Constantin_H Posté 30 mai 2005 Signaler Posté 30 mai 2005 Et oui. Il y a des fautes. Mais étant donné que je suis un défenseur du dur labeur, pour moi le temps c'est de l'argent. Mais si vous voulez jouer au correcteur orthographique et perdre votre temps cela signifie t-il que vous n'avez que cela à faire ou bien je me trompe ? <{POST_SNAPBACK}> Cela signifie que Ronnie Hayek fait respecter la charte du forum, et notamment l'article 6, qu'il vient de vous citer. Je suppose que votre maman vous avez appris, tout pressé que vous soyez, que la moindre des politesses, lorsqu'on est accueilli quelque part, est de se conformer aux usages de la maison. En particulier lorsque l'un des hôtes vous fait remarquer une incongruité dans votre comportement.
Invité jmarcde Posté 30 mai 2005 Signaler Posté 30 mai 2005 Non, je suis dans mon rôle de modérateur. Ayez l'amabilité de (re)lire la charte, s'il vous plaît: <{POST_SNAPBACK}> Qui ne fait pas de fautes ? Tout le monde est sujet aux erreurs même orthographique.
Ronnie Hayek Posté 30 mai 2005 Signaler Posté 30 mai 2005 Qui ne fait pas de fautes ?Tout le monde est sujet aux erreurs même orthographique. <{POST_SNAPBACK}> Ce n'est pas une raison pour oublier d'écrire correctement. Simple question de respect dû aux lecteurs et aux autres participants.
Invité jabial Posté 31 mai 2005 Signaler Posté 31 mai 2005 La question est donc de se demander si les employés, qui se soumettent à cette « centralisation », sont vraiment libres de le faire – c’est-à-dire si ils sont libres de s’y soustraire… Les libéraux supposent qu’ils sont bien libres de se barrer, libres de préférer démissionner et de mourir sous un pont tant qu’on ne les force pas. Cette soi-disant liberté est bien le pivot sur lequel repose le capitalisme des libéraux. Mais c’est encore supposer que les employés ont les moyens de s’en aller, de quitter leur job, sans subir de dommages supérieurs à ceux qu’ils éprouvaient à travers leur travail. Et ça, il faudrait être bien malhonnête pour considérer que c’est la cas. D’ailleurs, à l’inverse, si de pauvres bougres se tuent à d’horribles tâches toutes plus ingrates et plus inintéressantes les unes que les autres, et ce pour un salaire dérisoire, qui leur permet tout juste de survivre, ce n’est pas par plaisir mais bien parce qu’il s’agit là d’une obligation vitale. Être libre d’être pauvre, être libre de mourir dans la misère, est-ce vraiment une liberté ?… En fait, le « capitalisme » que revendiquent les libéraux repose sur une monstrueuse hypocrisie. <{POST_SNAPBACK}> Après le "droit au logement", le "droit à la retraite" et le "droit à l'éducation", le "droit à un patron qui investit son pogno non pour lui, mais pour ses employés". Bientôt, le "droit au père noël".
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