Pierre-Ernest Posté 15 juillet 2005 Signaler Posté 15 juillet 2005 Chaque fois qu'une bombe explose dans un pays soumis au terrorisme, on constate : - quelques décès chez les habitants - un décès pour le "kamikaze" Si on apprenait la nouvelle du décès d'un ou plusieurs kamikazes à la suite d'une bataille policière, on dirait que le réseau terroriste a été partiellement démantelé. C'est exactement la même chose avec la bombe du terrorisme : à chaque bombe, le rapport terroristes (kamikazes) / habitants des pays visés diminue au détriment des terroristes. Or, il ne faut pas croire qu'il est facile de convaincre quelques jeunes gens de se faire sauter… Surtout, si on insistait sur le fait qu'après le "boum", il ne reste d'eux que quelques débris humains qu'on s'empresse d'incinérer, qu'ils ne seront plus là pour redresser le comportement douteux de leur petite soeur, et que le paradis dont on leur a parlé, c'est le sucre pour faire sauter le chien. Voilà donc les armes anti-terroristes adaptées : compter le nombre de survivants et pas le nombre de morts. Désamorcer le fanatisme en faisant se poser des questions théoriques et pratiques aux futurs poseurs de bombes. Admettre que la "menace" terroriste est infime, car on a plus de 1000 fois plus de chances de mourir dans un accident de voiture que de succomber à une attaque terroriste. Cette mission devrait être dévolue aux médias…
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.