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La Gréves C'est Festif - Dixit Un Journaliste


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Posté

Un journaliste d'un quotidien qui s'annonce "libéral" dans l'edito presentant sa nouvelle maquette m'a tenue hier un discour tres interressant sur l'interet social des manifestation et des greves. Occasion unique de rencontrer des gens nouveaux dans les transports publics bourrés par les grèves.

Et puis ce n'est q'une fois par ans a t'il tenu a me preciser.

Etonnant non ?

Le journaliste de l'Huma lui a eut l'air de ne pas apprécier ce que je lui ais dit à propos de notre derniere action.

Bon ok j'avoue je vais encore vous inciter à jouer à notre jeu : Entartez les syndicats

Celui-ci à l'air de tres bien circuler - explosion des visites sur notre site -

Un bon geste les modérateurs laissez ce message dans le forum politique ;-)

Posté

C'est le 10 mars dernier que, pressé dans un tramway lyonnais tel une sardine dans sa boîte et incapable de surveiller mes poches, je me suis fait piquer mon portefeuille. Une métaphore de l'action syndicale d'aujourd'hui, sans nul doute.

Posté

Histoire de faire honneur à ma réputation de brute, chaque fois qu'on a essayé de me faire les poches (2 x dans le bus à Rome et 1x en rue à Milan, chaque fois par des gitans - is there a pattern here ?) j'ai attrapé l'impétrant et, dans un cas, lui ai quasi déboîté le bras.

Et c'était avant de faire des arts martiaux… :icon_up:

En fait, il suffit de savoir quelles sont leurs techniques pour ne plus se faire avoir: ils sont étonnamment peu inventifs.

Grand classique, le journal ou la carte pour "demander le chemin". Je ne veux pas paraître raciste, mais à priori un gitan roumain, illettré selon toute probabilité, qui lit "La Stampa" d'il y a trois jours, je trouve ça suspect. Autre grand classique, le ketchup sur le froc (ou ailleurs) pour détourner l'attention.

Le seul problème, c'est qu'il faut attraper le mec (ou la nana) immédiatement, parce que le portefeuille circule très vite. A Milan, j'ai attrapé mon virtuose trop tard mais je l'ai fait gueuler pour que ses potes reviennent avec mes petites affaires (d'où l'histoire du bras déboîté).

C'était ma minute "histoires d'ancien combattant".

Posté

Dans mon cas, vu ma prudence, mon gabarit et mon air méchant, on me laisse généralement tranquille. Mais ce jour-là était spécial: il y avait grève générale comme aujourd'hui, d'où la rencontre festive avec de nouvelles personnes, en quantité massive cependant. Et effectivement, il y a eu un individu louche qui attirait l'attention de tout le monde avec une mélopée du genre "intermittent du spectacle". Mais je ne suis pas sûr qu'il soit affilié aux coupables. Peut-être se contentait de piquer dans la poche des contribuables via l'Etat.

Posté
Un journaliste d'un quotidien qui s'annonce "libéral" dans l'edito presentant sa nouvelle maquette m'a tenue hier un discour tres interressant sur l'interet social des manifestation et des greves. Occasion unique de rencontrer des gens nouveaux dans les transports publics bourrés par les grèves.

Et puis ce n'est q'une fois par ans a t'il tenu a me preciser.

Etonnant non ?

Les grèves, ce n'est pas festif, et ce serait risible si c'était avec leur argent.

Par contre, j'admets qu'il est assez festif de se foutre de leurs slogans.

Posté
… A Milan, j'ai attrapé mon virtuose trop tard mais je l'ai fait gueuler pour que ses potes reviennent avec mes petites affaires (d'où l'histoire du bras déboîté).

Nikkyô ? :icon_up:

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