DiabloSwing Posté 18 octobre 2005 Signaler Posté 18 octobre 2005 Dommage Eric Le Boucher était le moins pénible des auteurs du journal Le Monde, il prouve là que soit il est muselé, soit il révèle ses pensées sociales-démocrates. http://www.lemonde.fr/web/article/reactions/0,1-0,36-699852,0.html Et les réactions tout aussi éclairées des lecteurs d'en rajouter. On ne peut même pas parler de bêtise, mais d'ignorance profonde. Un peu comme quand ma tante me titille avec la SF que j'affectionne, et fait continuellement référence à Star Wars : ce n'est pas de la SF, mais de la fantasy avec des boulons. En fait j'aurais aimé réagir sur ces réactions, mais il faut être lecteur du monde et donc payer 6 euros par mois…y a quelqu'un ici qui est lecteur du monde ? Les réactions sur d'autres forums sont aussi pitoyables : http://www.bulle-immobiliere.org/forum/viewtopic.php?t=3768 Y a du boulot à faire (et peut-être de l'entrisme)
Sous-Commandant Marco Posté 18 octobre 2005 Signaler Posté 18 octobre 2005 Consternant! A un tel stade de décrépitude, je crois que c'est sans espoir. Il n'y en a qu'un seul sur toute la première page des réactions qui a les yeux en face des trous: Stephane - San Francisco17.10.05 | 15h32 Ceux qui parlent de decroissance sont des hypocrites. Tant que le capitalisme payait pour eux (30 glorieuses), tout allait bien: hauts salaires, confort, vacances, benefices en tout genre. Quant on arrachait une semaine de vacance supplementaire, on se souciait guere de l'environment. Maintenant que les choses vont en leur defaveur et en faveur des populations delaissees jusqu'a present (Chine…), ils ne veulent plus jouer. Ils veulent changer les regles. Pour moi, c'est de l'egoisme pur.
h16 Posté 18 octobre 2005 Signaler Posté 18 octobre 2005 Que faire pour atténuer le poids de la finance sur l'économie réelle ? … parce que la finance, c'est pas dans l'économie réelle ? Je suis Superdéçu (après avoir été Sulcu, mais c'est une autre histoire). Je prennais Le Boucher pour quelqu'un de bien. Que faire pour atténuer le poids de la bêtise sur l'économie réelle ? … Ceci étant, je me demande s'il n'a pas été effectivement bailloné. Il avait habitué à mieux.
Dilbert Posté 19 octobre 2005 Signaler Posté 19 octobre 2005 Comment peut-on lire Le Monde ? <{POST_SNAPBACK}> Je me demande d'ailleurs si le Monde est aussi subventionné que l'Humanité ? Dans ce cas, on peut comprendre que le contribuable français essaye de récupérer sa mise en lisant ce torchon. Quoique ça fasse cher du torchon (qui tache, en plus). Hélas même les mots croisés sont d'un niveau quelconque.
Guillaume Posté 19 octobre 2005 Signaler Posté 19 octobre 2005 Et ce journal passe pour référence dans les grandes écoles…..
h16 Posté 19 octobre 2005 Signaler Posté 19 octobre 2005 Comment peut-on lire Le Monde ? Il y a internet, et, au fil des liens, on tombe parfois sur un article intéressant. On finit par reconnaître la patte d'un journaliste, dont on mémorise le nom. Et on se prend à rêver d'une enclave libérale dans ce journal. Et pof, tout s'écroule.
Messer Posté 19 octobre 2005 Signaler Posté 19 octobre 2005 Il faut se demander si l'échantillon qui a écrit les remarques sur l'article est représentatif des francais. Si oui, nos idées n'ont vraiment pas le vent en poupe… La majorité des reproches concernent la redistribution des richesses, et le "désastre écologique". M'est d'avis qu'aucun pays méchant capitaliste n'a jamais pollué autant que l'URSS..
José Posté 19 octobre 2005 Signaler Posté 19 octobre 2005 M'est d'avis qu'aucun pays méchant capitaliste n'a jamais pollué autant que l'URSS.. Oui, mais là on pouvait polluer sans complexes puisqu'il n'y avait pas d'idée de lucre.
Dilbert Posté 19 octobre 2005 Signaler Posté 19 octobre 2005 Oui, mais là on pouvait polluer sans complexes puisqu'il n'y avait pas d'idée de lucre. <{POST_SNAPBACK}> De même qu'on pouvait assassiner sans complexes puisque c'était pour le bien du peuple et la cause coco.
melodius Posté 19 octobre 2005 Signaler Posté 19 octobre 2005 Ce qui m'a toujours frappé, c'est qu'on ne s'intéresse aux victimes des bolchos que lorsqu'elles "en" ont été. On ne peut écraser une larme que lorsque la révolution "mange ses enfants". Les autres ont bien mérité leur sort, somme toute.
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