Freeman Posté 21 octobre 2005 Signaler Posté 21 octobre 2005 J'ai imaginé cette histoire ( mieux vaut préciser ) mais elle me paraît si réaliste. Quand Sarkozy sera au pouvoir, voici ce à quoi on pourra s'attendre. _______________________________________________________ Alternative Libérale existe enfin. Pierre me le confirma par texto. Nous avions enfin notre propre mouvement, successeur de Démocratie Libérale d’Alain Madelin, qui s’était planté grave aux élections. Au sein de ce mouvement il y avait de tout, des libéraux de gauche, des libéraux conservateurs, des anarcaps… La diversité est une richesse, ne dit-on pas ? Ce mouvement était 100 % libéral. Il allait de soi que notre mouvement devait faire élire certains de nos candidats dès 2007, ce qui allait très certainement faire parler de nous. Je poursuivis mes études, en espérant que nous ferions élire des candidats. Pierre était finalement devenu chef du parti, et tout leader se doit d’être bien habillé. Prenez par exemple Aurélien Véron, nouveau Président de Liberté Chérie. Il s’habille chez Paul Smith ! Le look joue beaucoup plus aujourd’hui qu’il ne jouait auparavant. Les français sont très voyeurs et veulent tout connaître de leurs hommes politiques. Comme on s’y attendait, en 2007 Sarkozy remporta les présidentielles avec 56 % des voix contre Laurent Fabius. Les proeuropéens n’avaient pas pu digérer en effet que l’ancien Premier ministre de Mitterrand fit campagne pour le NON. Aux législatives, surprise ! Nous avons réussi à faire élire plusieurs de nos candidats qui ont battu des socialistes et certains uhaimpéens. Victoire ! Inutile de dire que ce jour là nous avons fait la fête en constatant les résultats. Nous avions des élus à l’Assemblée Nationale ! Et la presse allait très vite parler de nous… Les législatives furent remportées triomphalement par la droite, la gauche fut totalement laminée. Au moins Sarkozy aurait les mains libres pour gouverner. Nous allions pouvoir nous amuser à lui taper dessus, sauf lorsqu’il mènera des réformes vraiment libérale. Franchement, j’en doute fort ! J’aurais voulu qu’il y ait plus de libertariens au sein de notre mouvement, c’est dommage. Il est vrai que j’avais déjà tenté, avec un bilan plutôt mitigé, de changer les idées des jeunes de ma fac. Ils étaient plutôt d’accord avec moi et trouvaient mes idées intéressantes. Un net progrès. Je parlais des droits de l’homme, de la liberté, de la démocratie… Tout ce qui n’aurait jamais existé si les libéraux eux-mêmes n’avaient pas lutté contre les tenants de l’Ancien Régime. Au cours de ma licence, on a justement eu droit à un cours relatif aux idées et à la politique, pendant la présidentielle. Inutile de vous dire que j’ai beaucoup dit. Je pourrais parler pendant des heures des idées que je défends sans me lasser. C’est vrai. Bien entendu, Sarkozy rentra dans le lard des syndicats tout en leur faisant certaines concessions. Il fallait réformer la France, disait-il. J’étais bien d’accord, mais quelles réformes ? Il fallait aller beaucoup plus loin ! Mais pour Sarkozy, la réforme des retraites version Raffarin était déjà une réforme courageuse… CQFD. Certes, il a fait quelques trucs, mais franchement, on pouvait s’attendre à mieux venant d’un candidat qui se prétendait réformateur et libéral. Je plains les militants UMP qui l’ont rejoint, quelle déception ! Heureusement que nous étions là ! Il faut dire que nous l’avons pas mal critiqué, car si Sarkozy avait un libéralisme light, il était volontairement très sécuritaire. Il voulait tout contrôler, absolument tout. La séparation des pouvoirs, connaît pas ! Il tapait sur tout le monde, sur les juges, qu’il humiliait, sur les députés socialistes, tous des abrutis, sur nous aussi ; nous voilà qualifiés de droits de l’hommistes qui vivons dans des beaux quartiers, qui ne savent pas ce que subit le vrai peuple, etc… Quel mépris à l’égard du Parlement… J’en discutais avec Pierre justement. - Sarkozy nous en fait voir des vertes et des pas mûres, me dit Pierre. - C’est clair. - Mais ça marche. Nous avons de plus en plus de soutiens, venant d’élus souvent terrorisés. C’est une bonne chose… - Sarkozy va se casser la gueule, et on en entendra plus parler. Un jour peut-être nous gouvernerons la France. - Nico, qu’est-ce que c’est encore que cette chemise ? - Ca ? C’est une Gucci. - En soie, j’imagine ? Tu ne les achètes qu’en soie. Evidemment… Bravo ! Quand Libération a parlé de nous, il s’est focalisé sur toi. Franchement, la France c’est pas Beverly Hills, Nico. Faut que tu comprennes ça. Faut que tu changes… - J’aime bien me faire plaisir. - Peut-être, mais faut que tu comprennes qu’il y a des gens qui n’ont pas une thune, qui vivent avec moins que rien, et qu’on n’arrivera jamais à les séduire si tu t’habilles comme tu le fais. Quelle image crois-tu donner de notre mouvement en agissant de la sorte ? - Celle d’un parti moderne, dynamique, qui refuse la fatalité, et qui permettra, s’il arrive au pouvoir, à tous ceux qui en ont marre de la misère dans laquelle ils vivent de s’enrichir et de se payer ce genre de fringues. Et dans une société libérale, tout le monde peut y arriver ! - Oui, mais dans une société libérale, il y a aussi des laissés pour compte… C’est bien la peine que je me casse la tête à populariser nos idées… soupire-il. Au cours du mandat de Sarkozy donc, il y eut beaucoup moins de bonnes réformes que de mauvaises réformes. Sarko créa une TVA sociale en faveur des classes moyennes ( du gros n’importe quoi ) sans parler de l’explosion des budgets en faveur des logements sociaux, comme si le mieux n’était pas, comme aux USA, de permettre à tout le monde d’être propriétaire de son logement. Mais Sarkozy se disait pragmatique. Ce n’est pas avec des mecs comme ça qu’on va avancer. A-t-il supprimé l’ISF ? Grands dieux non ! Quelques assouplissements, rien de plus. A-t-il enterré les 35 heures ? Oui, dans les services publics, dans le privé, tu parles ! Et les changements constitutionnels promis ? Enterrés, parce que le Sénat s’y était opposé ! A-t-il privatisé la SNCF ? Non ! Il s’est contenté d’un service minimum, acceptable peut-être, mais la privatisation d’une compagnie toujours plus déficitaire aurait été vraiment souhaitable. Et l’Education nationale ! A-t-il revu tous les programmes ? Tu penses ! Il a juste changé certaines choses, mais la philosophie dominante reste la même. Et le SMIC ? A-t-il supprimé le SMIC ? Penses-tu ! Il l’a juste gelé, mais il ne l’a pas réduit. Il ne faut surtout pas fâcher les syndicats. Et tans pis si toujours plus d’entreprises délocalisent à l’étranger ! Pour le RMI, c’est pareil ! Nous avons fait entendre notre voix. On parlait de nous partout. Là encore, j’ai fait une bourde. J’avais dit dans une interview que j’étais favorable à la légalisation des drogues et au mariage gay. Que n’avais-je pas dit là ! Si effectivement, cela n’a pas eu que des retombées négatives, cela nous a définitivement grillés de l’électorat de droite. Ne parlons même pas de l’extrême droite. Nous étions des irresponsables, des anti-cathos, des extrémistes de gauche, carrément. C’était assez amusant, d’autant plus que notre programme économique était loin d’être proche des communistes. Pierre fit une attaque. Il vit ma tête sur la page de couverture de Paris Match. C’est vrai qu’en y réfléchissant, j’avais pas arrangé ce pauvre Pierre. Evidemment, je me suis fait tirer les oreilles. Je n’étais pas le seul à faire des conneries. Quelques jours plus tard, c’est un anarcap qu’on a pris en photo en train de fumer de la coke. Le gars était député ! Pfff… Un désastre, répétait Pierre, c’était un désastre. On n’allait pas s’en remettre, le parti était mort… Terminé, nous étions grillés ! Et pourtant, le plus marrant dans toute cette histoire complètement dingue, c’est qu’on ne s’en est pas trop mal tirés, au bout du compte. On n’a pas plus aux vieux, mais on a plu aux jeunes. On ne peut pas plaire à tout le monde comme dirait Fogiel. Sarkozy bien entendu voulait la tête de notre député, après avoir su, mais on a riposté en lui précisant que ses lois anti-drogues n’avaient servi à rien, puisque tout le monde pouvait s’en procurer. D’une pierre deux coups ! Et puis la gauche s’est réveillée à son tour, a demandé justement qu’on mène une enquête parlementaire sur le sujet, etc… C’est repartit pour un tour. Malgré tous ces incidents de parcours, nous avions réussi, tant bien que mal, à nous imposer. Pierre avait repris le dessus sur les évènements et annonça déjà, un an avant le scrutin de 2012, sa candidature. Il estimait avoir l’âge et les capacités pour gouverner la France. Pourquoi pas, dira-on. Il avait remporté le congrès interne du parti, battant Aurélien à plates coutures ( qui se voyait bien Président, depuis qu’il avait refilé Liberté Chérie à Sabine Herold et Simon Aubert ) et voyait déjà les portes de l’Elysée s’ouvrir. Sarkozy, fragilisé, se retrouva dans la même situation qu’un Raffarin en fin de règne. On espérait beaucoup de Sarkozy, que de désillusions. Sarkozy n’avait rien changé. Pourquoi ? Il ne pensait qu’à sa carrière, il ne pensait qu’aux sondages, il voulait plaire à tout le monde, a sacrifié le peu d’idées qu’il avait pour satisfaire son ego démesuré. Cela l’a tué. L’UMP ressemblait à présent à celle de Juppé. Plus personne ne voulait y adhérer. Plus personne n’y croyait. Par contre, de notre côté, les adhésions ont explosé. Ceux qu’on désignaient comme les militants Sarkozy ont depuis lors jeté leur carte UMP à la poubelle et ont pris la leur à Alternative Libérale. Nous avions 50 000 militants, ce qui est une bonne performance pour un petit parti. Beaucoup de gens croyaient en nous. Nous voulions réellement changer les choses, pas comme Sarkozy qui restera dans l’histoire comme un peu plus libéral que DSK, et encore, je suis gentil. Pierre était donc candidat. Plus rien ni personne ne pouvait l’arrêter, ni les socialistes, toujours à la recherche d’un programme depuis 2002, ni les umpéens.
Freeman Posté 21 octobre 2005 Auteur Signaler Posté 21 octobre 2005 Pour la suite, bon, c'est un idéal ( bien modéré ) mais malheureusement, les corporatismes sont tels dans ce pays… __________________________________________ Honnêtement, je finissais par me demander si Pierre réussirait à l’emporter. Il avait des compétences, mais il avait Sarkozy en face. Les socialistes étaient tellement divisés qu’ils ne risquaient pas de lui nuire. II se qualifia au second tour, mais il ne fut pas élu. Malgré tous ses défauts, Sarkozy l’a emporté. Le plus drôle c’est que Pierre a plus rassemblé à gauche qu’à droite. Vinrent les législatives… Ce fut un carton. Plus de la moitié des sièges. On avait battu l’UMP et le PS réunis. Champagne ! Du coup, ce serait Pierre qui serait nommé à Matignon. Sarkozy n’avait pas le choix. A moins que celui-ci démissionne et provoque des élections anticipées. Mais c’est mal connaître l’homme, assoiffé de pouvoir. Sarkozy - Toullec : une vraie cohabitation. C’est peu dire que les deux hommes ne s’aimaient pas et divergeaient totalement dans l’analyse du pays. On aurait dit Sarkozy et Chirac d’il y a quelques années. C’était loin tout ça maintenant. Pierre était complètement obsédé à l’idée de permettre à toutes les sensibilités libérales d’être représentées au sein du gouvernement. Déjà qu’au Parlement c’était assez divers. Le soir même de son triomphe aux législatives, il voulait me voir. Après tout, je m’étais plutôt bien démené localement sur Biarritz pour faire avancer mes idées, ce qui n’était pas de la tarte. Il m’invita chez lui. Je suis venu avec ma copine, qui se serait ennuyée toute seule. - Tu sais Nico, je t’ai beaucoup critiqué, mais franchement, je dois t’avouer que t’as fait du bon boulot. - Il fallait bien que quelqu’un le fasse. - Voilà, tu sais que nous avons gagnés les élections. - Quand je pense à tout ce qu’on a fait pour en arriver là ! C’est merveilleux… Enfin, après tant d’années ! Tu te rends compte Pierre ? Ca y est, c’est repartit, le libéralisme à la cote ! - C’est ma foi vrai. J’ai décidé de choisir Aurélien pour Bercy. - Très bon choix en effet, je suis sûr qu’Aurélien fera du bon boulot. - Sabine à l’Emploi. - Judicieux. Une femme à l’Emploi qui fera oublier une autre femme : Aubry ! riais-je. - Assurément, pouffe-il. Christophe Maillard, tu connais ? Il se retrouvera aux affaires étrangères… - Oui, c’est pas bête, mais je le connais pas assez. - Je ne t’ai pas oublié non plus Nico. L’environnement, ça te tenterait ? - L’environnement ? - J’aimerais vraiment que tu fasses partie de mon gouvernement. Tu es le seul anarcap en magasin… Rocou a refusé, il préfère être député. Quant à Xav, j’ai pas réussi à le convaincre. Il se voyait à la place de Maillard. - Promouvoir la liberté et les droits de l’homme de part le monde, est quelque chose de plus excitant en effet que de s’occuper de dispositions communautaires relatives à la taille des moules en Bretagne ! Après dîner, nous décidions, quelques minutes plus tard, de faire un tour. Il voulait me parler en privé. - J’ai besoin de toi. Aurélien est brillant, c’est un type bien, un pro de la com’, mais il ne peut pas tout faire. - Tu en as d’autres ! Simon Aubert ? - Dostix ? Enfin Nico, il est bien trop jeune… - LEF ? Il est bien LEF ! - Oui, bien sûr, mais les gens ne le connaissent pas assez. - Et Thierry ? - X Box Man ? Tu sais, il est partit aux USA monter son affaire alors… - Fabrice ! - De Libéraux.org ? La dernière fois qu’on l’a vu à la télé, il est passé pour un communiste ! - Ah ! Ils t’ont raconté ? - Oui, aux Six minutes de Lyon. Bon, c’est pas dramatique, mais… - Tu as RH ! Et il est très fort ! - Nico, il est belge. - Ah oui, c’est vrai… Coldstar ? Etienne ? Tiens, c’est un bon choix, ça, Etienne ! - Nico, c’est toi que je veux, tu es le plus connu, toutes les télés parlent de toi… - Ce n’est pas parce qu’elles parlent de moi que je suis meilleur que ceux que je viens de te citer. - Tu es très bon, arrêtes de douter de toi un peu. - Tu connais mes idées… - Oui, je sais. Mais on s’est mis d’accord avec Aurélien : tu pourras être ministre sans rien toucher. - Tu ne comprends pas… Ce que tu me demandes, c’est d’entrer dans un système qui repose sur la violence, sur le racket, sur la corruption… L’Etat, ce n’est rien d’autre qu’une mafia, qui vise à asservir les individus. Je n’ai tout de même pas entrepris tout ce que j’ai entrepris pour en arriver là. - Nico, tu ne voudrais pas voir tes idées se concrétiser enfin ? Tu sais bien qu’il faut en passer par là pour réduire l’Etat. Sinon, tu le laisses comme il est, sans qu’il ne change. - Il ne changera jamais parce que ce putain de système finit par t’avoir, et après, comme les autres, tu finis par profiter du système parce que c’est alors dans ton intérêt de ne rien changer. Et même un Etat très minimal sera et restera toujours une tyrannie, mais disons qu’elle sera plus modérée. Quelle différence ? - Tu renonces ? - Je renonce. - Réfléchis encore… Tes idéaux… Une fois ministre, on pourrait en parler plus souvent. - Ce n’est pas comme ça qu’ils deviendront populaires, et ça se comprend aisément. Pierre était ennuyé, un libertarien dans son gouvernement l’aurait bien arrangé. Finalement, il casa Stéphane de LC à l’environnement, qui lui était motivé, par contre. Pierre avait eu peur que Sarkozy profite de la situation pour lui taper dessus. Il n’en fit rien. Sarkozy, comme Mitterrand du temps de la cohabitation Mitterrand - Balladur, ne disait plus rien, complètement sonné par son échec aux législatives. Quand on pense que quelques années plus tôt, il était si énergique, si actif, si dynamique. On aurait dit qu’il avait pris 20 ans d’un coup ! Il était quasiment absent. On ne le voyait nulle part. Pierre mena de véritables réformes libérales, qui relancèrent économiquement la France. Il eut un très bon bilan économique et social. Tous les doutes sur le déclin français s’étaient envolés. La France avait doublé tous ses partenaires européens, était devenue un modèle. Pierre, c’était notre Reagan français. Il avait accompli de belles choses, de grandes choses, réduit fortement le poids de l’Etat dans l’économie, la société. Bien sûr, les socialistes râlaient, mais ils n’étaient pas écoutés. Pour preuve, aux municipales suivantes, en 2014 donc, nous remportions un énorme succès. Quant à moi… Qu’étais-je devenu ? Un entrepreneur comme les autres, qui avait trouvé le filon au bon moment. J’avais fait parlé de moi en refusant un poste ministériel. Plus on s’éloignait du pouvoir politique, mieux on se portait. Bien sûr, il y a des gens qui ont compris mes raisons, d’autres non. J’animais quand j’avais le temps des conférences où je parlais de mes idées. Je n’étais pas le seul, certains membres de Libéraux.org s’y étaient mis aussi. La pensée dominante était devenue la suivante : puisque le libéralisme est finalement une bonne chose et nous a beaucoup apporté, plus on accélérera le mouvement, mieux ce sera. Du coup, en toute logique, les idées libertariennes ont pris un essor considérable au cours du second mandat de Pierre, qui déjà avait été triomphalement élu Président de la République pour avoir changé les choses. Les gens aspiraient à un changement beaucoup plus radical, à présent, et comme Pierre était un modéré, il fallait chercher ailleurs, et bien entendu, les médias sont donc venus me trouver… En Australie, là où je m’étais installé et où je coulais une vie paisible. Je ne leur avais rien demandé, mais j’ai senti derrière tout ça un véritable mouvement de masse. »
Dostix Posté 21 octobre 2005 Signaler Posté 21 octobre 2005 y'a un truc qui va pas… Thierry est plus jeune que moi de deux ans et Pierre aussi, mon brave Nico… Et j'ai pas du tout envie qu'on me refile LC .
Dostix Posté 21 octobre 2005 Signaler Posté 21 octobre 2005 Sinon le Edouard il doit être content que tu l'oublies totalement
Freeman Posté 22 octobre 2005 Auteur Signaler Posté 22 octobre 2005 Lol j'aime bien Edouard, mais je ne le connais pas suffisamment. Sarkozy n'est en rien libéral, je le sens arriver gros comme une montagne : il restera dans l'histoire comme un réformateur léger, qui ne réglera pas les problèmes de fond…
Messer Posté 23 octobre 2005 Signaler Posté 23 octobre 2005 N'empeche, on s'amusera beaucoup sous sa présidence à voir ses velléités se faire démolir les unes après les autres. Si c'est Fabius j'émigre.
Harald Posté 23 octobre 2005 Signaler Posté 23 octobre 2005 N'empeche, on s'amusera beaucoup sous sa présidence à voir ses velléités se faire démolir les unes après les autres.Si c'est Fabius j'émigre. <{POST_SNAPBACK}> Et si c'est, au choix : JMLP ? Emmanuelli ? Hollande ? DSK ? Lang ? Chirac (à ne pas négliger) ?
Messer Posté 23 octobre 2005 Signaler Posté 23 octobre 2005 Chirac c'est cuit, grillé et foutu à mon avis. Le reste bahhh… mais je prout encore plus Fabius.
Freeman Posté 24 octobre 2005 Auteur Signaler Posté 24 octobre 2005 Fabius et son socialisme anti-européen, on dirait un national socialiste, il me fait gerber !
Sarvok Posté 25 octobre 2005 Signaler Posté 25 octobre 2005 il restera dans l'histoire comme un réformateur léger, qui ne réglera pas les problèmes de fond… <{POST_SNAPBACK}> Peut-être il restera comme la caricature de l'homme politique si tu vois ce que j'veux dire … :-D
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