pierreyves Posté 26 octobre 2005 Signaler Posté 26 octobre 2005 Je propose un petit jeu. Nous avons tous dans nos tablettes des citations pas très claires, absconses, obscures voire totalement opaque… 1\ Il s'agit de partager nos trouvailles, celles très perso qui ne parlent qu'à nous, ou bien celles qui nous ont fait un jour crier "eureka" à la vingtième lecture ! 2\ A chacun de proposer son explication de la citation. 3\ Evidemment il faut être capable de fournir au moins une explication plausible à la citation. Voici la mienne : Tu penses que c'est moi, mais ce n'est que moi, Etre n'a point couleur, La Vérité seule au centre s'inscrit. A vos idées !
Taisei Yokusankai Posté 27 octobre 2005 Signaler Posté 27 octobre 2005 "colorless green ideas sleep furiously"
Dilbert Posté 27 octobre 2005 Signaler Posté 27 octobre 2005 Gotlib a dit : Parce que transatlantique !
Ronnie Hayek Posté 27 octobre 2005 Signaler Posté 27 octobre 2005 "Paul Valéry" a dit : La peau sépare le monde en deux espaces: côté couleur et côté douleur
pierreyves Posté 27 octobre 2005 Auteur Signaler Posté 27 octobre 2005 Taisei Yokusankai a dit : "colorless green ideas sleep furiously" <{POST_SNAPBACK}> Trouvé : http://home.tiac.net/~cri/1997/chomsky.html (merci google) ! Citation The poet seems to be saying that new ideas, not yet sharply defined, circulate in the unconscious, rapidly altering at a furious rate. Comme quoi on trouve un sens à tout …
pierreyves Posté 27 octobre 2005 Auteur Signaler Posté 27 octobre 2005 Dilbert a dit : Gotlib a dit : Parce que transatlantique ! <{POST_SNAPBACK}> Ya un paragraphe entier dans Wikipedia sur cette non réponse à une non question : http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9di…_septembre_2005 . Hors jeu, à moins que tu puisses proposer une explication bien entendu…
pierreyves Posté 27 octobre 2005 Auteur Signaler Posté 27 octobre 2005 Ronnie Hayek a dit : "Paul Valéry" a dit : La peau sépare le monde en deux espaces: côté couleur et côté douleur <{POST_SNAPBACK}> J'hésite entre une image simple sur la peau et la douleur de la maladie et une autre entre la peau et le rideau de fer… Vu que Paul Valéry est mort en 1945, je suis obligé de pencher pour la première, qui n'est pas vraiment satisfaisante. Continuons à chercher (un point pour RonnieH).
Punu Posté 27 octobre 2005 Signaler Posté 27 octobre 2005 Citation L'hémorragie de tes désirsC'est éclipser sous l'azur bleu dérisoire Du temps qui se pa-a-sse Contre duquel on ne peut rien Etre ou ne pas être Telle est la question sinusoïdale De l'anachorète Hypocondriaque Mais tu dis [mais tu dis] Que le bonheur est irréductible Et je dis [et il dit] Que ton espoir n'est pas si désespéré A condition d'analyser Que l'absolu ne doit pas être annihilé Par l'illusoire précarité de nos amours Destituées Et vice et versa [et vice versa] Il faut que tu arriveras A laminer tes rancœurs dialectiques Même si je suis contre Point de vue que c'est très difficile Mais comme moi dis toi Qu'il est tellement plus mieux D'éradiquer les tentacules de la déréliction Et tout deviendra clair Mais tu dis [mais tu dis] Que le bonheur est irréductible Et je dis [et il dit] Que ton espoir n'est pas si désespéré A condition d'analyser Que l'absolu ne doit pas être annihilé Par l'illusoire précarité de nos amours Destituées Et vice et versa [et vice versa] {Instrumental violons} {Parlé:} D'où venons-nous Où allons-nous J'ignore de le savoir Mais ce que je n'ignore pas de le savoir C'est que le bonheur est à deux doigts de tes pieds Et que la simplicité réside dans l'alcôve Bleu et rose et rouge et mauve De nos rêveries bleues et roses et rouges et mauves Et et et et pourpre Et et et et paraboliques Et vice et versa Mais tu dis [mais tu dis] Que le bonheur est irréductible Et je dis [et il dit] Que ton espoir n'est pas si désespéré A condition d'analyser Que l'absolu ne doit pas être annihilé Par l'illusoire précarité de nos amours [Dest…] Et qu'il ne faut pas cautionner l'irréalité Sous les aspérités absentes et désenchantées De nos pensées iconoclastes et désoxydées [et v…] De nos désirs excommuniées de la fatalité Destituée Et vice et versa Et vice et versa… {Murmuré:} Et vice et versa Et vice et versa [et vice versa)
Dilbert Posté 27 octobre 2005 Signaler Posté 27 octobre 2005 pierreyves a dit : Ya un paragraphe entier dans Wikipedia sur cette non réponse à une non question :http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9di…_septembre_2005 . Hors jeu, à moins que tu puisses proposer une explication bien entendu… <{POST_SNAPBACK}> Ben oui, l'explication est qu'il n'y a pas d'explication.
Ronnie Hayek Posté 27 octobre 2005 Signaler Posté 27 octobre 2005 "Gadrel a dit : Etre ou ne pas êtreTelle est la question sinusoïdale De l'anachorète Hypocondriaque
Punu Posté 27 octobre 2005 Signaler Posté 27 octobre 2005 Sinon, dans le même genre il y a "Equation", des Snuls, qui pastiche Gainsbourg et Birkin avec des paroles elles aussi incompréhensibles. Mais je ne trouve pas les paroles sur le Net.
Punu Posté 27 octobre 2005 Signaler Posté 27 octobre 2005 Ronnie Hayek a dit : <{POST_SNAPBACK}> En effet ! On ne peut plus se fier à paroles.net
Ronnie Hayek Posté 27 octobre 2005 Signaler Posté 27 octobre 2005 Gadrel a dit : En effet ! On ne peut plus se fier à paroles.net <{POST_SNAPBACK}> Ô combien ! Ils semblent d'ailleurs estimer que le correcteur orthographique, c'est du luxe: Citation L'hémorragie de tes désirsC'est éclipser sous l'azur bleu dérisoire
h16 Posté 27 octobre 2005 Signaler Posté 27 octobre 2005 A la con a dit : Si vous n'aimez pas le goût de la lessive, ne lavez pas vos chaussettes avant de les manger en salade.Quand le chat n'est pas là, les hirondelles volent bas parce qu'elles se sont trompées de proverbe. La première est d'une logique implacable et convient dans bien des situations…
Ronnie Hayek Posté 27 octobre 2005 Signaler Posté 27 octobre 2005 Après Valéry, un autre grand poète: Citation Quand mon regard tombe sur ce château,Là-haut, Il ne peut s'empêcher de pouffer de rire… Oui, je ris aux éclats sous cape… Cap que je n'hésiterai pas à franchir. De qui est-ce ?
Legion Posté 27 octobre 2005 Signaler Posté 27 octobre 2005 Du même maire, le must c'est quand même : "Nous irons là où la main de l'homme n'a jamais mis le pied !"
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