Ronnie Hayek Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Tu n'y vois vraiment pas un seul intérêt toi ? Sauf si l'on aime les réglementations idiotes et mal fichues votées par des ignares n'entendant rien au droit.
foxxbat Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Tu n'y vois vraiment pas un seul intérêt toi ? Moi j'en vois, mais pas pour moi.
kamel Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Sauf si l'on aime les réglementations idiotes et mal fichues votées par des ignares n'entendant rien au droit. Pourquoi tu n'essayes pas de te faire élire alors si tu te sens plus calé qu'eux en droit et en économie ?
Ronnie Hayek Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Pourquoi tu n'essayes pas de te faire élire alors si tu te sens plus calé qu'eux en droit et en économie ? J'y avais jamais pensé, tiens !
kamel Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 J'y avais jamais pensé, tiens ! On verra si tu fais mieux qu'eux….
foxxbat Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Pourquoi tu n'essayes pas de te faire élire alors si tu te sens plus calé qu'eux en droit et en économie ? Argument classique mais qui n'apporte rien au débat. Par exemple, quid du type qui comme un peu nous tous ne veut pas que quelqu'un s'autoproclame son représentant et se mèle de sa vie? A t'entendre, le choix devrait se résumer soit à accepter que de parfaits inconnus à qui nous n'avons strictement rien demandé passe son temps à intervenir dans nos affaires privées (le tout à nos frais bien entendu), soit à endosser nous même ce rôle?
Ronnie Hayek Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 On verra si tu fais mieux qu'eux…. L'ironie n'est pas ton fort, dirait-on… Pour ta carrière politique, c'est mal parti !
Avril Posté 7 juin 2006 Auteur Signaler Posté 7 juin 2006 Ce n'est pas une question d'élimination des partis extrémistes. Je me pose simplement la question de l'intérêt d'avoir lutte ouvrière et le front national au sein du parlement.De plus j'apprécie que très modérement les remarques réductrices qui sous entendrait que le PS, LO ou le FN finalement représentent le même problème. Le PS aussi archaïque soit-il est un parti démocratique le FN j'en doute fort… Avant de dire que le FN est un parti anti-démocratique, je te conseille de lire son programme, après on en reparle: http://www.frontnational.com/
kamel Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Argument classique mais qui n'apporte rien au débat. Par exemple, quid du type qui comme un peu nous tous ne veut pas que quelqu'un s'autoproclame son représentant et se mèle de sa vie? A t'entendre, le choix devrait se résumer soit à accepter que de parfaits inconnus à qui nous n'avons strictement rien demandé passe son temps à intervenir dans nos affaires privées (le tout à nos frais bien entendu), soit à endosser nous même ce rôle? Nan mais ça me fait toujours un peu sourire quand on vient balancer l'argument qu'ils sont ignares, alors du coup je demande "pourquoi tu veux pas y aller pour nous prouver qu'on peut faire mieux ?". C'est pas méchant mais juste histoire de montrer que c'est peut être un peu plus compliqué que ce qu'on pourrait en penser. Un représentant ne l'est que pour une durée déterminé et à la prochaine élection rien n'empêche d'en élire un autre. Donc je ne saisis pas ton argument… Non le choix serait aussi de proposer des gens capables et qui veulent vraiment mettre la france sur les rails. Si le choix se porte uniquement vers des types qu'on voit depuis 30 ans alors effectivement on peut se poser des questions, mais pourquoi pas de nouvelles personnes, de nouvelles idées ? il y a de place pour tout le monde et d'ou la question "pourquoi pas lui ? ou pourquoi pas toi après tout…".
Ronnie Hayek Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Nan mais ça me fait toujours un peu sourire quand on vient balancer l'argument qu'ils sont ignares, alors du coup je demande "pourquoi tu veux pas y aller pour nous prouver qu'on peut faire mieux ?". C'est pas méchant mais juste histoire de montrer que c'est peut être un peu plus compliqué que ce qu'on pourrait en penser. Je complète: ignares et/ou malhonnêtes. En réalité, qu'il y ait des élus votant des lois et des gouvernant pour les appliquer est une illustration du refus de la division naturelle du travail. Car les lois, cela ne se vote pas. Ensuite, pour exécuter celles-ci, la police et la justice sont suffisantes.
kamel Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 L'ironie n'est pas ton fort, dirait-on… Pour ta carrière politique, c'est mal parti ! tu me connais vraiment très mal et il vaut mieux que tu te bornes à argumenter plutôt que d'entrer dans des considérations personnelles sur ma capacité ou non à manie l'ironie. J'essaye d'être sérieux mais on peut rigoler si tu veux….. et je n'ai aucune envie de faire une carrière politique… mais toi tu devrais y penser, tu as l'air d'avoir de la répartie jeune scarabée.
foxxbat Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Nan mais ça me fait toujours un peu sourire quand on vient balancer l'argument qu'ils sont ignares, alors du coup je demande "pourquoi tu veux pas y aller pour nous prouver qu'on peut faire mieux ?". C'est pas méchant mais juste histoire de montrer que c'est peut être un peu plus compliqué que ce qu'on pourrait en penser.Un représentant ne l'est que pour une durée déterminé et à la prochaine élection rien n'empêche d'en élire un autre. Donc je ne saisis pas ton argument… Non le choix serait aussi de proposer des gens capables et qui veulent vraiment mettre la france sur les rails. Si le choix se porte uniquement vers des types qu'on voit depuis 30 ans alors effectivement on peut se poser des questions, mais pourquoi pas de nouvelles personnes, de nouvelles idées ? il y a de place pour tout le monde et d'ou la question "pourquoi pas lui ? ou pourquoi pas toi après tout…". Le fait que les politiciens soient souvent ignares ne fait qu'aggraver la situation. Ils pourraient êtres tous super calés et avoir un QI de 180, ça ne change rien au fait que je ne leur ai rien demandé et que rien ne justifie le fait qu'ils mettent leur nez dans mes histoires.
kamel Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Avant de dire que le FN est un parti anti-démocratique, je te conseille de lire son programme, après on en reparle: http://www.frontnational.com/ Pourquoi tu tires une conclusion d'une simple question ? J'ai juste demandé quel était l'intérêt de faire entrer des partis extrèmistes au parlement… Le fait que les politiciens soient souvent ignares ne fait qu'aggraver la situation. Ils pourraient êtres tous super calés et avoir un QI de 180, ça ne change rien au fait que je ne leur ai rien demandé et que rien ne justifie le fait qu'ils mettent leur nez dans mes histoires. Chacun pour soi et dieu pour tous ? En lisant certaines proses ici, je me demande vraiment si on vit sur la même planète…
h16 Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Nan mais ça me fait toujours un peu sourire quand on vient balancer l'argument qu'ils sont ignares, alors du coup je demande "pourquoi tu veux pas y aller pour nous prouver qu'on peut faire mieux ?". C'est pas méchant mais juste histoire de montrer que c'est peut être un peu plus compliqué que ce qu'on pourrait en penser. Généralement, le politique qui réussit est très bon en psychologie des masses, il a de bons conseillers, et sait manipuler l'humain ; c'est clair. En revanche, et pour la plupart de ceux que j'ai pu voir à l'oeuvre (pour ne pas dire tous), ils sont effectivement ignares en économie, et le droit est un truc assez vague dont ils n'ont que de brumeux souvenirs. C'est un fait malheureux, mais ça reste un fait. Et utiliser l'argument "si t'es pas content de la façon dont le porridge est cuit, t'as qu'a le cuire toi-même", c'est un peu bidon : ils prennent eux même comme des grands des responsabilités de diriger un pays, ils ont donc le devoir d'assumer leur charge en toute compétence. Et nous avons toute latitude pour les tancer vertement quand ils sont stupides, ignares, arrogants, pleutres, magouilleurs ou tout ça à la fois. D'autant plus que c'est avec NOTRE ARGENT, NOTRE TRAVAIL et NOTRE LIBERTE qu'ils s'amusent. Un représentant ne l'est que pour une durée déterminé et à la prochaine élection rien n'empêche d'en élire un autre. Donc je ne saisis pas ton argument… Bah bien sûr. Le renouvellement politique qui a lieu régulièrement en France est à lui seul une démonstration parfaite que les hommes politiques se suivent et ne se ressemblent pas, n'est-ce pas ! Non le choix serait aussi de proposer des gens capables et qui veulent vraiment mettre la france sur les rails. Si le choix se porte uniquement vers des types qu'on voit depuis 30 ans alors effectivement on peut se poser des questions, mais pourquoi pas de nouvelles personnes, de nouvelles idées ? il y a de place pour tout le monde et d'ou la question "pourquoi pas lui ? ou pourquoi pas toi après tout…". "Demandez, et il vous sera accordé" (Jean 15:5-8). Suffit d'y croire.
Ronnie Hayek Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Chacun pour soi et dieu pour tous ? On ne saurait mieux dire : http://chacun-pour-soi.blogspot.com/ Et utiliser l'argument "si t'es pas content de la façon dont le porridge est cuit, t'as qu'a le cuire toi-même", c'est un peu bidon En fait, c'est à eux que l'argument devrait s'appliquer quand ils pleurnichent sur les licenciements dans telle entreprise, quand ils s'inquiètent de la nuisance de tel produit pharmaceutique, quand ils pérorent sur la nourriture surgelée et les étiquette des boissons gazeuses, etc. On a envie de leur dire : "Vous faites mieux ? Eh bien, sortez-vous les doigts du cul, et prouvez-le !"
José Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Deux mesures qu'il serait amusant d'appliquer : 1° Droit de vote composé de deux voix ; une voix positive, on vote pour le parti que l'on voudrait voir accéder au pouvoir ; une voix négative, qui supprime une voix au parti que l'on ne voudrait jamais voir accéder au pouvoir ; 2° Quant au vote des lois par le parlement, il faudrait 2/3 des voix des élus pour adopter une loi, mais il ne faudrait que 1/3 des voix pour supprimer une loi.
kamel Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Généralement, le politique qui réussit est très bon en psychologie des masses, il a de bons conseillers, et sait manipuler l'humain; c'est clair. En revanche, et pour la plupart de ceux que j'ai pu voir à l'oeuvre (pour ne pas dire tous), ils sont effectivement ignares en économie, et le droit est un truc assez vague dont ils n'ont que de brumeux souvenirs. C'est un fait malheureux, mais ça reste un fait. Et utiliser l'argument "si t'es pas content de la façon dont le porridge est cuit, t'as qu'a le cuire toi-même", c'est un peu bidon : ils prennent eux même comme des grands des responsabilités de diriger un pays, ils ont donc le devoir d'assumer leur charge en toute compétence. Et nous avons toute latitude pour les tancer vertement quand ils sont stupides, ignares, arrogants, pleutres, magouilleurs ou tout ça à la fois. D'autant plus que c'est avec NOTRE ARGENT, NOTRE TRAVAIL et NOTRE LIBERTE qu'ils s'amusent. Autant la première partie de ton raisonnement je peux te suivre sans problème, autant quant tu commences à dire qu'ils sont ignares en économie et en droit, la je ne suis pas du tout d'accord. Il y a des politiciens qui sont diplomés en droit, en économie etc et ce n'est pas ça le problème. Le véritable problème c'est qu'ils n'ont aucune libertés d'actions parce que pris dans la masse étatique du parti dont il sont membre. Ils doivent mener une politique de groupe, faire attention de ne pas trop froisser l'électorat sous peine de ne plus être réélu… C'est ça le problème véritable….l'étatisation et l'archaïsme des partis politique. Il faudrait repenser la politique différement mais ça risque encore d'être plutôt long. je ne saisis pas pourquoi tu prends ma remarque aussi mal, c'est pourtant évident quand je ne suis pas content de quelque chose, j'essaye de le faire moi même. J'avais un prof de philo qui nous disais souvent "on ne critique que lorsqu'on est capable de faire mieux, sinon on nuance ses propos". Alors fais de la politique et fais toi élire. Tu es libéral et la france à besoin du libéralisme……. (ce n'est pas de l'ironie mais tant que les libéraux se cacheront on pourra toujours espérer des miracles). Pour la dernière phrase je suis bien d'accord avec toi… ils hypothèques notre avenir ces cons. Bah bien sûr. Le renouvellement politique qui a lieu régulièrement en France est à lui seul une démonstration parfaite que les hommes politiques se suivent et ne se ressemblent pas, n'est-ce pas ! Ca appuye mon raisonnement…. Il faut des libéraux au pouvoir…et bien allons-y (sans démagogie).
José Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Il faut des libéraux au pouvoir…et bien allons-y (sans démagogie). Non, il faut moins de pouvoir étatique.
kamel Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Non, il faut moins de pouvoir étatique. S'il y a des libéraux au pouvoir, cela permettra de sortir de l'étatisme………Donc……
Messer Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Le véritable problème c'est qu'ils n'ont aucune libertés d'actions parce que pris dans la masse étatique du parti dont il sont membre. Ils doivent mener une politique de groupe, faire attention de ne pas trop froisser l'électorat sous peine de ne plus être réélu… C'est ça le problème véritable…. Magnifique résumé pour désigner la démocratie en régime pourrissime où il faut plaire au plus grand nombre pour régner/appliquer ses idées. Il faut être droit dans ses idées, mais pas trop pour ne pas risquer de ne pas se faire élire hein.. La réussite en politique est clairement conditionnée par le mensonge et le compromis..
José Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 S'il y a des libéraux au pouvoir, cela permettra de sortir de l'étatisme………Donc…… Étudie l'histoire politique de la Belgique qui au 19e siècle était un pays libéral, avec moults libéraux au pouvoir durant des décennies… tout est parti en couille… et ces libéraux n'étaient pas les moins responsables dans l'augmentation du pouvoir étatique. La participation au pouvoir est un piège et une illusion sur le long terme.
alex6 Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 L'idée selon laquelle "le pouvoir arrête le pouvoir" est réputée à tort libérale. C'est le Droit qui doit arrêter le pouvoir. http://chacun-pour-soi.blogspot.com/2006/0…uvoiristes.html Je me plaçais dans l'optique d'un pouvoir politique du XVIIIème qui n'a pas grand chose à voir avec l'actuel. Les interrogations, dont la réponse partielle sur la séparation des pouvoirs et le jeu des partis de Montesquieu, étaient bien légitime et tout à fait à propos à l'époque. Le partage du pouvoir n'est un problème à creuser que lorsque ce pouvoir est très limité or c'est loin d'être le cas aujourd'hui. Réduisons drastiquement l'influence du pouvoir, sa limitation dans ses actes restant n'en sera que plus aisé. …qu'on peut associer la lutte contre les inégalités avec le libéralisme. C'est en tout cas la façon dont moi je concois ce concept. La seule lutte du libéralisme se situe contre les inégalités de droit. Tu ne pourras pas concilier lutte contre les inégalités de conditions (quelqu'en soit la définition que tu leurs donnes) et libéralisme.
h16 Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Note : pour faire des quotes, utilisez le bouton "répondre" en bas de chaque post - ça vous évitera d'avoir à coller des balises "code". Accessoirement, au lieu de code, mettez quote. Autant la première partie de ton raisonnement je peux te suivre sans problème, autant quant tu commences à dire qu'ils sont ignares en économie et en droit, la je ne suis pas du tout d'accord. Il y a des politiciens qui sont diplomés en droit, en économie etc et ce n'est pas ça le problème. Mais ça ne veut rien dire. On peut très bien être docteur en quelque chose et être totalement incompétent dans la matière en question (surtout avec le système éducatif actuel, mais c'est un autre vaste débat). En outre, la plupart des élus ne sont pas effectivement ni docteur en droit, ni docteur en éco ; ils sont généralement issus de la fonction publique où la spécialité est plutôt les lettres… Le véritable problème c'est qu'ils n'ont aucune libertés d'actions parce que pris dans la masse étatique du parti dont il sont membre. Ils doivent mener une politique de groupe, faire attention de ne pas trop froisser l'électorat sous peine de ne plus être réélu… C'est ça le problème véritable….l'étatisation et l'archaïsme des partis politique. Il faudrait repenser la politique différement mais ça risque encore d'être plutôt long. En substance, vous m'expliquez ici qu'ils sont compétents mais que le système les rend incompétents ou impuissants. Et vous proposez de faire partie du système soit en devenant politique, soit en adhérant à un parti. Excusez moi, mais je ne trouve pas ça cohérent. En revanche, vous avez raison en disant que le problème de l'électorat est que, girouette par nature, il impose de ne pas suivre les voies les plus douloureuses et pourtant nécessaire à la rémission des maux qui pullulent dans ce pays. La conclusion logique est d'ailleurs que la démocratie ne permet en rien de s'affranchir de ce problème de girouettisme. je ne saisis pas pourquoi tu prends ma remarque aussi mal, c'est pourtant évident quand je ne suis pas content de quelque chose, j'essaye de le faire moi même. J'avais un prof de philo qui nous disais souvent "on ne critique que lorsqu'on est capable de faire mieux, sinon on nuance ses propos". Alors fais de la politique et fais toi élire. Tu es libéral et la france à besoin du libéralisme……. (ce n'est pas de l'ironie mais tant que les libéraux se cacheront on pourra toujours espérer des miracles). Pour la dernière phrase je suis bien d'accord avec toi… ils hypothèques notre avenir ces cons. Je ne prends pas la remarque aussi mal que ça, j'ai un peu de cuir, ça protège. Humpf. Schlaaa. En tout cas, pour ma part, jamais je n'entrerai en politique : je trouve ahurissant qu'on se retrouve esclave de l'état, ce n'est pas pour devenir esclavagiste moi-même. Lucilio l'a bien dit : le pouvoir et la politique corrompent complètement. Ca appuye mon raisonnement…. Il faut des libéraux au pouvoir…et bien allons-y (sans démagogie). Bah dans ce cas, je ne comprends pas vos papouilles appuyées pour DSK qui est tout sauf libéral (comme la plupart, voire la totalité des représentants du paysage politique français).
Toast Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Je me plaçais dans l'optique d'un pouvoir politique du XVIIIème qui n'a pas grand chose à voir avec l'actuel.Les interrogations, dont la réponse partielle sur la séparation des pouvoirs et le jeu des partis de Montesquieu, étaient bien légitime et tout à fait à propos à l'époque. Le partage du pouvoir n'est un problème à creuser que lorsque ce pouvoir est très limité or c'est loin d'être le cas aujourd'hui. Réduisons drastiquement l'influence du pouvoir, sa limitation dans ses actes restant n'en sera que plus aisé. La seule lutte du libéralisme se situe contre les inégalités de droit. Tu ne pourras pas concilier lutte contre les inégalités de conditions (quelqu'en soit la définition que tu leurs donnes) et libéralisme. Je ne pense pas que le problème de la séparation des pouvoirs soit secondaire, Montesquieu avait parfaitement raison d'en souligner l'importance ; la séparation des pouvoirs est justement la condition de la limitation des pouvoirs de l'Etat. Le problème, si je ne m'abuse, que souligne RH est que cette séparation des pouvoirs, telle que théorisée par Montesquieu, ne fonctionne pas (c'est notamment une critique développée par Hayek à l'égard des démocraties contemporaines), puisqu'in fine, la chambre législative se transforme en pouvoir exécutif. Pour en revenir au sujet, la proportionnelle aux élections, bof, cela ne changera àmha rien au problème majeur, qui est la démocratie telle qu'on la connait aujourd'hui : une chambre au pouvoir illimité, dirigée par des partis irresponsables et peuplée d'opportunistes ne se préoccupant que de leurs petits intérêts.
José Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 …puisqu'in fine, la chambre législative se transforme en pouvoir exécutif. C'est plutôt le contraire : c'est l'exécutif qui se transforme en législateur. …une chambre au pouvoir illimité… Justement non, la constitution de la Ve République limite fortement les compétences du législatif, tout le surplus est de la compétence de l'exécutif. Il savait bien ce qu'il faisait le gros Charles.
Toast Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 C'est plutôt le contraire : c'est l'exécutif qui se transforme en législateur.Justement non, la constitution de la Ve République limite fortement les compétences du législatif, tout le surplus est de la compétence de l'exécutif. Il savait bien ce qu'il faisait le gros Charles. L'exécutif est lui-même sans limites, certes (et c'est tout de même plus intéressant d'avoir un homme seul disposer de larges pouvoirs plutôt qu'une chambre, même si ce n'est pas l'idéal), mais le pouvoir législatif ne produit pas uniquement des textes à vocation générale, ce qu'il devrait normalement faire. En dehors de cela, puisque tu abordes le sujet, le problème actuel va un peu plus loin qu'une crise institutionnelle, en effet, je dirais que c'est plutôt une crise politique dans son ensemble. Les institutions auraient pu être mieux conçues -- quoi que de Gaulle ait fait avec les moyens du bord… -- mais il est vrai que la classe politique s'est évertuée à les détruire depuis fort longtemps.
Ash Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 J'ai juste demandé quel était l'intérêt de faire entrer des partis extrèmistes au parlement… Extrémistes mais démocratiques. Donc vous n'avez plus aucun argument à sortir. Vive la démocratie qu'on vous dit ! S'il y a des libéraux au pouvoir, cela permettra de sortir de l'étatisme………Donc…… Des libéraux trop soucieux de leurs places iront-ils jusqu'au bout ? Le pouvoir ne lutte que rarement contre le pouvoir. Les libéraux devraient logiquement faire exception mais…
kamel Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Oui c'est un grand parti démocratique la preuve : Les obseques de François Duprat sont célèbrées le 22 mars à Saint Nicolas du Chardonnet devant 2000 personnes. La messe est dite par Mgr Ducaud-Bourget. La nécrologie que "Le National", l'hebdomadaire, du Front national, consacre au defunt, dans un éditorial non signé…, résume au plus près son idéologie : "Dans le manifeste nationaliste révolutionnaire, tu avais bien montré, la situation de domination, d'aliénation, et de colonisation dans laquelle se trouve présentement notre nation. Tu avais parfaitement compris que derrière l'ennemi apparent, se trouvait l'ennemi réel, et tu avais osé mettre en pleine lumiere son mufle hideux. Nous connissons tous le plan de génocide qu'il (l'ennemi réel..) avait ourdi contre notre peuple : l'ouverture toute grande des vannes de l'immigration n'était que le corollaire obligé de la campagne anti-nataliste et de la propagande avorteuse. Nous osions soutenir qu'il ne s'agissait nullement d'un assassinat (Duprat) mûrement prémédité. Etudiant le nom de ses promoteurs, nous retrouvions les mêmes incrustés dans les médias, les groupes gauchistes et à la tête de certains lobbies bien précis…, soucieux d'interêts tout autres que ceux de la France et du peuple français. "Et puis pour mieux conditionner nos concitoyens, il y avait tous ces tabous herités du second conflit mondial. En tant qu'historien soucieux de vérité historiques, tes patientes études t'avaient amené à remttre en question ces "mensonges nourriciers", à t'attaquer à tous ces tabous et préjugés grâce auxquels l'ennemi a réussi, depuis plus de trente ans à imposer son exécrable domination[…] -"Le National/1978" UN MONUMENT D'ANTISEMITISME QUE JEAN MARIE LE PEN N'A JAMIAS SONGE A RECUSER. Maurice Bardeche : Beau- frère de l'écrivain nazi français Robert Brasillach fusillé à la Libération, a publié en 1948, Nuremberg ou la terre promise. Il anima le revue Défense de l'Occident. François Duprat, lui, est avant tout un activiste, un animateur de groupes de combat, entré au Front National en 1974 à la tête de la tendance "nationaliste-révolutionnaire". Comment assumes tu les liens entre le financier du terrorisme islamiste Armand Huber alias Ahmed Huber et ton mouvement. ? Comment assumes tu l'amitié de Le Pen pour d'anciens nazis ou pour des néonazis ? comme Coston, Bardèche, Barthelemy, Frederiksen, Paul Malaguti, le Waffen SS Schönhuber, le "sorcier" du KKK David Duke, l'antisémite roumain Corneliu Vadim Tudor, le négationniste anglais David Irving, l'oustachi Dobrolav Paraga, le nazi Harald Neubauer, les néo-nazis belge Karel Dillen et Franck Vanhecke, etc….. * Léon Gaultier: ancien lieutenant Waffen SS * Gilbert Gilles : ancien adjudant Waffen SS, ancien membre de l'OAS * Marc Augier : Alias Saint-Loup. Ecrivain, ex-SS * Pierre Busquet : Ancien de la division Charlemagne * Victor Barthélemy : Ancien de la légion des volontaires français contre le Bolchevisme (LVF) déclara " j'étais l'homme de confiance de l'état major SS". * Paul Malaguti : Membre du Parti Populaire Français, montant la garde devant le maison de la Gestapo à Nice, pendant que des résistants se faisaient torturer (Canard enchainé du 26 fevrier 1992) * Roland Gauguillot : Ancien membre du gouvernement de Vichy * André Dufraisse, ancien de la LVF, fut même inspecteur général du PPF et restera également du côté nazi jusqu'au bout, recrutant pou lutter contre débarquement en Normandie. * Robert Blanc ancien Waffen SS beau-père de Jean Yves LE GALLOU * François Brigneau engagé dans la milice le 6 juin 1944 * Gaston-Armand Amaudruz négationniste suisse admirateur du nazisme * Ahmed Huber islamiste pro-nazi suisse * François Genoud fut l'un des maîtres d'oeuvre de l'exfiltration des criminels du IIIème Reich, puis le financier de leurs réseaux. Par antisémitisme, il soutint également la lutte arabe contre Israèl. Il a écrit dans Jeune Nation, Défense de l'Occident (la revue de Bardèche), Carrefour, Europe Action, etc. L'infatigable Coston a été plus récemment chroniqueur à Présent puis à National-Hebdo. [url=http://www.phdn.org/negation/rassinier/coston.html][color=#006699]http://www.phdn.org/negation/rassinier/coston.html[/color][/url] On peut sans hésiter qualifier Henry Coston d'antisémite professionnel et ultra-virulent. Pendant plus de 70 ans, jusqu'à sa mort en juillet 2001, il n'a cessé sa propagande de haine. Repreneur, en 1930, avec un autre antisémite hystérique, Jacques Ploncard, du journal de Drumont, La Libre Parole, le Coston d'avant-guerre se faisait remarquer par la distribution de tracts reproduisant au verso un billet de 100 frs et au recto un texte antisémite. En 1930 il avait créé les « jeunesses anti-juives » dont le programme comportait l'exclusion des Juifs de la communauté française et la spoliation de leurs biens. Il allait créer également en 1933 un parti politique, « explicitement national-socialiste ». L'objectif de l'organisation de Coston, le Francisme, mentionne explicitement « la sauvegarde de la race française ». En 1936, il est candidat à la députation à Oran. Il se présente sous l'étiquette : « candidat antisémite ». A partir de 1934, il fut en relation avec le centre allemand de propagande anti-juive d'Erfurt, la fameuse Weltdienst. En fait Coston était probablement vendu à la Weldienst, l'organisme nazi de propagande antisémite, à visée internationale. Il était perçu à l'époque par les services allemands comme un « authentique idéaliste national-socialiste ». Le colonel Fleichauer, directeur de la Weldienst, écrivait en février à l'idéologue nazi Alfred Rosenberg: « Les royalistes peuvent être éventuellement antijuifs, mais, pour le moment, ils sont réactionnaires et chauvins. Il ne faut pas s'y fier. Les catholiques aussi. Seuls les gens de Coston se sont mis au-dessus de tout cela et pourraient devenir des alliés précieux pour réaliser ce que le Führer propose comme but. » Et de fait, La Weldienst verserait de l'argent à Coston pour sa propre propagande antisémite. En 1934 il avait été reçu par le gauleiter de Franconie, l'antisémite fanatique Julius Streicher. Il édita, entre autres, le trop célèbre faux antisémite tsariste, les Protocoles des sages de Sion. Le Bulletin d'information anti-maçonnique qu'il publie affirme: « Pour Henry Coston, anti-sémite [sic] et anti-maçon de la première heure, la lutte anti-maçonnique et anti-juive n'est pas un vain mot ». En 1973, Coston déclarait, à propos de Louis Darquier (auto-proclamé "de Pellepoix"), qui avait été, pendant la guerre, le deuxième directeur du Commissariat général aux questions juives, le plus virulent et pro- allemand: « Darquier de Pellepoix! Je lui ai appris tout ce qu'il sait. Quand il est venu nous voir après les émeutes de 1934, il n'y connaissait rien à l'antisémitisme. C'est moi qui lui ai fourni les livres et les pamphlets nécessaires » L'influence de Coston en l'occurence semble avoir été efficace. Lors de la même interview, Coston déclarait encore: « il [Darquier] exigeait dès 1937 qu'ils [Les Juifs, principalement étrangers et les plus démunis] soient ou expulsés ou exécutés […] Et il fit les deux. » Pendant la guerre, Coston fut vice-président de l'association des journalistes anti-juifs. Il multiplie alors les ouvrages anti- maçonniques et antisémites, relevant de diverses théories du complot -- ce serait sa spécialité après-guerre. Il participait à nombres de publications, comme Au pilori, qui faisait de la haine antisémite leur fond de commerce. Certaines de ces feuilles étaient contrôlées par les nazis. En 1944, Coston était la cheville ouvrière d'une brochure antisémite intitulée Je vous hais, « la publication la plus violemment antisémite de la période de l'occupation ». Dans cette brochure, Coston faisait l'apologie des camps de concentration. Et encore ça ? 12 septembre 1998, Paris. A Saint Nicolas-du-Chardonnet, fief des catholiques intégristes, sont célébrées les obsèques de Maurice Bardèche. Les générations de l'extrême droite la plus dure viennent rendre un dernier hommage à l'écrivain fasciste. Les négationnistes Pierre Guillaume et Henri Rocques sont là. Jean-Marie Le Pen, absent, s'associe à la cérémonie par la publication d'un "in memoriam" dans la presse d'extrême droite, dans laquelle il salue le "grand écrivain", "l'historien d'avant garde" et un "indéfectible compagnon de route du combat national". JM Le Pen président du Front national poursuit: "Gageons que son oeuvre puissante et courageuse perdurera longtemps encore, et que son souvenir constituera un modèle de droiture et d'intelligence pour les gnénérations à venir […]. Jeunes et moins jeunes, nous serons nombreux à conserver une pensée secrète et reconnaissante pour Maurice […]. "Jean-Marie Le Pen rend hommage à l'écrivain antisémite Maurice Bardeche", Le Monde, 15 sept 1998 Ces quelques lignes donnent une image asez précise d'un état du négationnisme en France, 50 ans apès son apparition et de son rapport avec le parti de JMLP, le Front national . Maurice Bardèche, l'initiateur du négationnisme, est mort le 30 juillet 1998. L'extrême droite vient saluer une derniere fois, la mémoire du néofasciste et du negationniste. Henri Rocques du Front national et Pierre Guillaume (ultra-gauche), symbolisent cette alliance negationniste entre deux extêmes, spécifique à l'Hexagone. Quant à Jean-Marie LE PEN, il décide, une nouvelle fois d'accréditer ouvertement la négation de la politique d'extermination nazie à l'encontre des juifs d'Europe au nom de son parti. Front national qualifié d'école nazie par D'ormesson qui a préferé rendre demissionner afin de ne pas cautionner : Maire de la ville d'Ormesson sur Marne depuis plus de 40 ans, Olivier d'Ormesson était l'un des nombreux transfuges de la droite traditionnelle vers le FN. Il était promis à un bel avenir au sein du FN. Un mois après "le détail" il compromet cette carriere en quittant le bureau politique du FN et en renonçant à la présidence du comité national de soutien à la candidature présidentielle de JMLP. Le 26 octobre 1987, Olivier d'Ormesson annonce sa defection du parti. Il est le premier et non des moindres, à laisser le FN pour cause de negationnisme. Dans un entretien qui 'il accorde au Monde 4 ans et demi plus tard il fait part des véritables raisons de sa renonciation à sa carrièree au Front national. L'ancien resistant certifie le négationnisme de Jean-Marie Le Pen et confirme l'interdépendance des theses négationnistes et du raisonnement frontiste : "J'ai eu la révélation brutale, que pour lui les chambres à gaz n'avaient jamais existé et que le pardon à Adolph Hitler était nécessaire.[…] C'est cela le fond du problème peut-on refaire une histoire où l'on mette Staline d'un côté et Hitler de l'autre en disant : Eh bien ! Hitler, c'était tout de même mieux ? C'est cela le problème de Jean-Marie Le Pen et c'est cela le problème de son entourage.[…] Mon sentiment est que M. Le Pen a une attirance pour la façon dont Hitler a subjugué les foules pour arriver au pouvoir. ses meetings sont d'ailleurs toujours très orientés vers le culte du chef, leur mise en scène est très proche des meetings nationaux socialistes, il existe dans l'entourage de JMLP une véritable école nazie et c'est pour cela que le Front national est dangereux. Le Monde 7 fev 1992 - "Un entretien avec Olivier d'Ormesson". Fin août 1989, alors député européen, delegué à la formation du Front national et organisateur de l'université du FN à La Baule, Bernard Antony prétend qu'à sa connaissance "Il n'y avait pas eu de juifs morts à Auschwitz*" *. Le 1er septembre 1989, "Libération" rend compte en ses termes des propos de Bernard Antony : "Beaucoup de juifs sont morts à Auschwitz mais pas 4 millions. Savez vous combien de juifs sont morts à Auschwitz ? Quatre millions ? Moi je crois zero[.]….A Auschwitz lieu atroce, on pendait beaucoup…" et puis… Comme si l'antisemtisme et les saloperies mensongères et calomnieuses étaient une nouveauté au FN… Le docteur Jean-Maurice Demarquet (le toubib de Le Pen et de feu Lambert..) avait été mandaté par Le pen pour témoigner dans les procés sur les torture de JMLP en Algérie, chose qu'il avait refusé car "il ne voulait pas mentir"…(sic) "j'ai refusé car je ne voulais pas mentir : je n'accepte pas qu'on vienne se déguiser en officier irréprochable, ganté de blanc, quand ça devient gênant, parce qu'on veut jouer au rassembleur ayant un destin national et une ligne de téléphone directe avec Domrémy. " le toubib connait bien son patient. Il met le doigt sur son point faible. *L'Antisémitisme.* : "Publiquement, Le Pen fait très attention car il est futé comme un bison, mais quand vous assistez à l'une de de ces nuits où l'on refait le monde en toute "liberté" à Saint Cloud…Il a une obsession raciste. C'est permanent. Les juifs, pour lui, c'est les "youbacs" (sic), qui ont des "pimards" (resic) qui leur dégringolent jusqu'aux sabots".! Immédiatement il a été le premier à proclamer que "Madame Toubon est juive". Chez lui, c'est une obsession maladive. Demarquet se prévaut de vieilles réminiscences en psychiatrie. "Le Front national est la planete des singes. Le Pen est un grand mammamouchi paranoiaque […] Feu Yann Piat racontait * qu'elle avait en mémoire "un dîner familial, à Saint Cloud, au début des années 80. "On aborda, le sujet des thèses negationnistes. Le Pen déclara que dans les camps de concentration les déportés étaient peut-être morts avant d'être incinérés dans les fours crématoires. Morts de dysentrie, de diphtérie ou d'autres maladies, plutôt que gazés." Simone Veil a été traitée de "tricoteuse" et accusée par "le National" de vouloir dépeupler la nation pour la livrer aux premiers occupants" (les immigrés). Lors de l'emission "l'Heure de verité" , il ne s'estime pas choqué que Simone Veil ait été qualifiée de "tricoteuse de Giscard" : la formule " souligne de façon *pittoresque et piquante* le rôle du ministre dans la loi dépénalisant l'IVG. Le peuple n'est pas seulement composé de bourge de salon. Il faut savoir, à l'occasion parler son language. Je n'aurais pas personellement utilisé cette expression mais c'est un point de détail". La formule fera son chemin. Toujours à propos de l'IVG, il observe que c'est * par crémation* qu'on s"se débarrasse des foetus". Suite à l'affaire du "détail" pour laquelle Le Pen sera lourdement condamné le 18 mars 1991 par la cour d'apel de versailles qui non seulement confirmera le jugement rendu par le tribunal de grandeinstance de Nanterre, mais aggravera les peines. Le leader du Front National devra verser 10 francs eu MRAP et 100 000 F à chacune des neuf autres associations qui le poursuivaient pour ses propos tenus sur RTL. A l'époque c'est la panique au groupe parlementaire…. Absourdis les députés lepénistes s'enferment dans un bureau pour visionner l'emmission. Tout l'état major de la campagne s'est réuni pour disséquer les propos de Le pen…"C'était un accident…". "On se rendait bien compte que c'était une catastrophe politique. Edouard Frédéric Dupond, lui est estomaqué : "trois jours avant l'affaire du détail (deputé FN) , il y avait eu une réunion des députés FN au cours de laquelle "quelqu'un" avait expliqué : "c'est intéressant cette thèse du profeseur Faurisson. Ca parait sérieux." J'étais tout de suite intervenu et leur avait expliqué : "Mes ches amis, si j'ai un bon conseil à vous donner, ne parlez JAMAIS de cela. Parce que moi j'ai visité Auschwitz deux fois et, jusqu'à la fin de mes jours, jamais, je n'oublierai ce que j'ai vu. N'abordez jamais ce sujet, sinon vous perdrez, et vous vous aliénerez les gens comme moi" Le pen a aussitôt déclaré : "N'aie pas peur.", "il ne faut pas se lancer dans ces histoires."Alors quand trois jours plus tard, Le Pen a parlé du "détail", j'ai été surpris." . Le meme lundi, le député du VIIe arrondissement de paris adresse à Le pen, à Strasbourg, une lettre par l'intermédiaure d'Olvier d'Ormesson. "Dans ce texte, raconte ce dernier, Frederic-Dupond le priait de demander pardon au peuple français pourl'enormité de ses propos ". Le pen en réponse, le traite de "traine savate"… le président des parlementaires strasbourgeois avait décidéde pronconcer le mardi dans l'hémicycle un hommage à toutes les victimes du nazisme. le lunid soir d'Ormesson président des parlementaires Front national a demandé à ses élus : "vous serez tous présents et debouts!" un député pétainiste impénitent, m'a tenu tête. j'ai dit aux autres : C'est à prendre ou je donne ma démission". Le Pen a approuvé ma décision. Biensur le fn n'est pas un parti raciste, xénophobe et antisémite… Désolé mais le fn pour moi n'a strictement rien de démocratique. Extrémistes mais démocratiques. Donc vous n'avez plus aucun argument à sortir. Vive la démocratie qu'on vous dit !Des libéraux trop soucieux de leurs places iront-ils jusqu'au bout ? Le pouvoir ne lutte que rarement contre le pouvoir. Les libéraux devraient logiquement faire exception mais… la création d'alternative libérale, c'est bien pour entrer dans le jeu de la politique et de faire avancer l'idée du libéralisme, non ?
Ash Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Le FN joue le jeu démocratique. La démocratie ce n'est plus qu'un bête mécanisme donc oui ils sont démocratiques. Pour AL oui mais comment dire… qui sait ce qu'il se passera au final.
José Posté 7 juin 2006 Signaler Posté 7 juin 2006 Oui c'est un grand parti démocratique la preuve… Et qui a permis au FN de croître ainsi dans la politique française si ce n'est ce maquiaveleux merdique, ce florentin de pacotille de Mitterrand, et le parti socialiste.
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