pierreyves Posté 18 juin 2006 Signaler Posté 18 juin 2006 coolos Je remarque combien Rothbard avait eu un excès d'optimisme à la fin des années 80… il développe les mêmes thèmes dans "The Ethics of Liberty": une grande révolution est en marche, le socialilsme va/a perdu etc etc… Je crois que cela rejoins le fait que, comme Mises, il considère que "In the long run, ideas are the thing that counts". Un a priori d'universitaire ? Je ne connais pas assez Rothbard pour le dire.
Invité jabial Posté 18 juin 2006 Signaler Posté 18 juin 2006 A long terme, ce ne sont pas les idées (de quelques uns) qui comptent. Ce sont les idiosyncrasies du plus grand nombre. Pour l'instant, le socialo-facho-communisme a définitivement gagné.
pierreyves Posté 18 juin 2006 Signaler Posté 18 juin 2006 A long terme, ce ne sont pas les idées (de quelques uns) qui comptent. Ce sont les idiosyncrasies du plus grand nombre. Pour l'instant, le socialo-facho-communisme a définitivement gagné. Ah, si Rothbard était un peu optimiste, toi tu me sembles un peu pessimiste Rq : Rothbard pensait peut-être que les idiosyncrasies fautives avaient pris du plomb dans l'aile avec la chute du mur (?) et que les idées allaient gagner du terrain mécaniquement chez le plus grand nombre … Reste que les idées vraies sans l'action n'ont jamais changé les idiosyncrasies du plus grand nombre, selon moi.
Invité jabial Posté 18 juin 2006 Signaler Posté 18 juin 2006 Quand je dis définitivement, je commets un anglicisme impardonnable. Je ne suis donc pas aussi pessimiste que tu crois.
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