Blonde On Blonde Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Réinstaurer la tradition du duel serait une bonne idée. On y réfléchirait probablement à deux fois avant d'écrire n'importe quoi sur n'importe qui. Parallélement, on serait probablement moins enclin à se placer en situation d'offensé pour un oui ou un non.
Tremendo Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Car il y en a des procès pour diffamation ? Oui, classiquement, ce qu'il me vient à l'esprit mais je peux me tromper ce sont les nombreux procès dans le show biz, pour des trucs absurdes en plus du style un tel qui attaque un tel pour avoir dit dans vsd qu'il avait un gosse caché. Ces accusations sont légion, mais la majorité du temps, les affirmations sont vraies en plus, mais le juge sanctionne quand même le "diffamateur". Bref, quand on voit que ces procès ont lieu uniquement dans le cercle très fermé et très bête du show-biz, on aura vite compris l'inutilité et l'injustice d'un tel principe.
Invité jabial Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Oui des millions de types croient en Dieu et ont trompé tout le monde pendant des milliers d'années. Pourtant au bout de 20 ans, j'ai compris que c'était comme le père Noel, sauf que ce dernier existe vraiment. C'est ce qui caractérise certains athées en effet : ils croient au père noël mais ils trouvent la religion ridicule Car il y en a des procès pour diffamation ? Bah oui. Comme il y a eu, du temps où ça se pouvait, des procès pour sorcellerie. Donne à quelqu'un la possibilité d'utiliser l'appareil terroriste de l'Etat pour combattre ses ennemis et il sautera sur l'occasion. Réinstaurer la tradition du duel serait une bonne idée. On y réfléchirait probablement à deux fois avant d'écrire n'importe quoi sur n'importe qui. Parallélement, on serait probablement moins enclin à se placer en situation d'offensé pour un oui ou un non. Il ne faut tout de même pas oublier que le duel est volontaire. D'ailleurs, certaines personnes refusaient le duel pour des raisons religieuses ou philosophiques.
neuneu2k Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Il ne faut tout de même pas oublier que le duel est volontaire. D'ailleurs, certaines personnes refusaient le duel pour des raisons religieuses ou philosophiques. Tout a fait, et refuser un duel a des conséquences sociales plus ou moins graves, tout comme refuser un procès
Invité Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 De toute façon, la Liberté est l'unique Dieu, et Rothbard son prophète. Et il a dit que de faire des sons avec sa gorge ou son anus ne peut juridiquement constituer une agression. Liberté akbar !!!
Saucer Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 De toute façon, la Liberté est l'unique Dieu, et Rothbard son prophète.Et il a dit que de faire des sons avec sa gorge ou son anus ne peut constituer une agression. Liberté akbar !!! . . . Non.
Invité Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Si. Considérons maintenant le cas extrême où l'information est fausse et où X le sait. Il a le droit (de propriété) de dire que Y est un voleur ou un homosexuel, même s'il sait pertinemment que cela est faux, et d'imprimer, et de vendre cet énoncé. L'opinion contraire, qui fonde l'illégalité actuelle de la calomnie, est que chaque homme a un "droit de propriété" sur sa propre réputation (incluant le droit à l'image). Mais la réputation de Y n'est ni une chose physique ni quelque chose qu'il porte sur lui ou à l'intérieur de sa personne. La réputation de Y est exclusivement une fonction des attitudes et des croyances subjectives qui le concernent mais qui sont contenues dans l'esprit d'autres personnes. Comme il s'agit de croyances qui sont dans l'esprit d'autrui, Y ne peut les posséder ou les contrôler d'aucune manière légitime. C'est donc une agression et une violation du droit que de mettre des concurrents hors la loi ou simplement d'interdire légalement la diffusion de calomnies contre une personne ou ses produits. Il se peut d'ailleurs que la situation se retourne en faveur des victimes de la calomnie. Si tout le monde a le droit de dire des faussetés, le public se méfierait davantage de ce qu'il écoute et lit, et il demanderait des preuves beaucoup plus sérieuses. Les calomnies qui circulent le duperaient moins que maintenant.Enfin, l'illégalité de la diffamation nuit de deux manières aux gens qui ont peu de moyens : ils sont des proies plus faciles pour les calomniateurs ; et on entrave leur propre capacité à diffuser des vérités sur les riches. Ethique de la Liberté.
Invité jabial Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 De toute façon, la Liberté est l'unique Dieu, et Rothbard son prophète. La liberté n'est pas Dieu, mais dans une optique religieuse c'est un don de Dieu que l'homme ne peut légitimement retirer à son prochain. Et bien entendu, la liberté, comme la science ou la sagesse, ne saurait avoir de prophète, mais seulement des chercheurs. Ce qui parle en faveur de Rothbard, c'est que ses raisonnements se tiennent logiquement. Et il a dit que de faire des sons avec sa gorge ou son anus ne peut juridiquement constituer une agression. Il a surtout extrêmement bien expliqué qu'une agression est la violation d'un droit, et que ça implique que ce droit existe. La réputation d'un homme est dans le cerveau des autres. On ne peut exiger qu'on change ce qui s'y trouve. Liberté akbar !!! Elle est grande en effet.
Invité Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 La liberté n'est pas Dieu C'est de la diffamation.
neuneu2k Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Il a surtout extrêmement bien expliqué qu'une agression est la violation d'un droit, et que ça implique que ce droit existe. La réputation d'un homme est dans le cerveau des autres. On ne peut exiger qu'on change ce qui s'y trouve. Bien entendu que la diffamation n’est pas une agression, et c’est bien pour ça qu’elle ne cause pas de perte de droit inaliénable, celui qui met en prison ou qui torture ou tue pour diffamation est un criminel. Mais le droit ne se limite pas a la gestion de l’agression et de la punition/réparation contre celle-ci, il couvre la gestion des conflits entre les hommes en général, l’arbitrage peut être demandé sur n’importe quel sujet, pas uniquement si un droit a été violé. Le problème est a mon avis sémantique, si tu veux appeler ça de l’arbitrage et non pas du droit… ça n’empêche que ça existe et existerai tout aussi bien dans une société anarcap axiomatique (du simple fait que j’en serais un client ainsi que Lucilio)
José Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 L'opinion contraire, qui fonde l'illégalité actuelle de la calomnie, est que chaque homme a un "droit de propriété" sur sa propre réputation (incluant le droit à l'image). Rothbard, qui n'était pas juriste, se gourre méchament sur ce qui fonde la sanction de la diffamation et de la calomnie, ce n'est pas une quelconque propriété sur notre réputation, mais bien le dommage que l'on peut subir d'allégations fausses et malveillantes. Comme souvent, Rothbard, déconnecté de la réalité, croit que le système juridique s'est construit sur les seules prémisses de la propriété. Partant, tout ce qu'il raconte sur la diffamation et sa sanction, c'est du pipo célestial.
Tremendo Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Rothbard, qui n'était pas juriste Il n'était pas juriste comme nous tous ici, il en connaissait pas mal non plus, il savait tout de même de quoi il parlait. Certe, tu as raison, ce n'était pas l'expert avec un grand E. ce qui fonde la sanction de la diffamation et de la calomnie, ce n'est pas une quelconque propriété sur notre réputation, mais bien le dommage que l'on peut subir d'allégations fausses et malveillantes. Argument des externalités négatives déjà démonté. On ne peut prétendre mettre des contrôles au-dessus de chacun de nos actes, car chacun de nos actes a des conséquences indirectes. Ces conséquences peuvent être positives comme négatives, si l'on met en place des contrôles au-dessus des actes provoquant des externalités négatives, alors il faut en mettre au-dessus des actes provoquant des externalités positives aussi.
José Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Il n'était pas juriste comme nous tous ici, il en connaissait pas mal non plus, il savait tout de même de quoi il parlait. Non, pas sur ce point particulier en tout cas, puisqu'il a complètement faux en ce qui concerne le fondement juridique réel (le dommage) et pas fantasmé (la "propriété" de notre réputation) de la diffamation. Argument des externalités négatives déjà démonté. Démontés dans les discussion de comptoirs nanarcaps. Pas dans les cours de justice, ni dans aucun traité de droit. Nulle part. Jamais. Vous aurez beau danser sur votre tête : même en anarcapie, la responsabilité aquilienne sera toujours poursuivie.
Invité Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Rothbard, qui n'était pas juriste, se gourre méchament sur ce qui fonde la sanction de la diffamation et de la calomnie, ce n'est pas une quelconque propriété sur notre réputation, mais bien le dommage que l'on peut subir d'allégations fausses et malveillantes. Comme souvent, Rothbard, déconnecté de la réalité, croit que le système juridique s'est construit sur les seules prémisses de la propriété. Partant, tout ce qu'il raconte sur la diffamation et sa sanction, c'est du pipo célestial. Et ce dommage relève de la susceptibilité ? Un devoir de ne pas titiller la susceptibilité des autres ? Il n'a peut être encore jamais écrit dans un aucun tribunal ou arbitrage du monde que la diffamation n'est pas une agression, mais cela a du être le cas d'autres choses qui sont aujourd'hui ou demain évidentes. Comme par exemple un meilleur respect des prémisses célestes de la propriété.
Tremendo Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Démontés dans les discussion de comptoirs nanarcaps. Pas dans les cours de justice, ni dans aucun traité de droit. Nulle part. Jamais.Vous aurez beau danser sur votre tête : même en anarcapie, la responsabilité aquilienne sera toujours poursuivie. Donc, à te suivre, tous les principes en cours dans les tribunaux actuellement doivent être préservés puisqu'ils existent …. Donc en gros, si je suis ton raisonnement, pourquoi irait-on remettre en cause le droit des Etats avec toutes les lubies socialistes qu'il contient puisqu'il existe ?
neuneu2k Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Il n'a peut être encore jamais écrit dans un aucun tribunal ou arbitrage du monde que la diffamation n'est pas une agression, mais cela a du être le cas d'autres choses qui sont aujourd'hui ou demain évidentes. Au risque de me répéter, on peut aller voir un juge pour autre chose qu’une agression.
José Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Et ce dommage relève de la susceptibilité ? Un exemple con, j'envoie une lettre à ton employeur (directeur d'une banque) où je lui signale que tu as déjà été condamné, à plusieurs reprises, pour détournement de fonds, je joins même des copies trafiquées de jugement qui prouveraient cela. T'es viré. Tu le sens bien le dommage ? Encore une fois, c'est bien gentil le monde liberto-bisounours, mais dans la vie réelle, la calomnie peut provoquer de gros dégâts pécuniaires, moraux, psychologiques, etc. Et ça, ça se paie. Au comptant. Donc, à te suivre, tous les principes en cours dans les tribunaux actuellement doivent être préservés puisqu'ils existent … Je me fie plus au jugement de centaines de milliers de spécialistes du droit pratiquanrt sur le terrain qui, depuis plus de deux millénaires, partout dans le monde, disent que celui qui a causé un dommage à autrui par sa faute doit le réparer, qu'à celui d'un philosophe en chambre qui n'a jamais dû rendre un jugement ou défendre un client.
Invité Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Oui bon exemple. Un autre. Je suis professeur et j'adore les petits enfants, un voisin envoie des lettres à tout le monde sans preuve que je suis pédophile. Je suis viré, je le poursuis en diffamation. Il perd. Je retrouve mes petits enfants. La prohibition de la diffamation est à double tranchant.
neuneu2k Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Oui bon exemple.Un autre. Je suis professeur et j'adore les petits enfants, un voisin envoie des lettres à tout le monde sans preuve que je suis pédophile. Je suis viré, je le poursuis en diffamation. Il perd. Je retrouve mes petits enfants. La prohibition de la diffamation est à double tranchant. Le deuxième tranchant, là je ne le vois pas bien, un disciple de Ségolène peut être ?
john_ross Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 C'est vrai des preuves sont du superflues.
Invité Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Le deuxième tranchant, là je ne le vois pas bien, un disciple de Ségolène peut être ? C'est très aisé de faire taire quelqu'un pour diffamation alors que ce dernier essaie de protéger l'ordre public de tes méfaits. C'est pour cela que cette loi a autant de succès.
john_ross Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Pour accuser quelqu'un il faut un minimum de semblant de preuve.
José Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Je suis professeur et j'adore les petits enfants, un voisin envoie des lettres à tout le monde sans preuve que je suis pédophile. La vache d'exemple ad hoc crédible. Dans le vrai monde, le voisin te dénonce - même anonymement - aux poulets.
neuneu2k Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 J'en prends bonne note, dorénavant, je lapiderai personnellement pour viol chaque personne qui aura été accusé anonymement, après tout, toutes ces procédures a la noix pour essayer de condamner des innocents, on peut tout a fait s’en passer. La prochaine fois que tu ‘participe’ à un procès pour trafic de stupéfiants, essaye de poursuivre les témoins pour diffamation pour rire !
Tremendo Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Donc, à te suivre, tous les principes en cours dans les tribunaux actuellement doivent être préservés puisqu'ils Je me fie plus au jugement de centaines de milliers de spécialistes du droit pratiquanrt sur le terrain qui, depuis plus de deux millénaires, partout dans le monde, disent que celui qui a causé un dommage à autrui par sa faute doit le réparer, qu'à celui d'un philosophe en chambre qui n'a jamais dû rendre un jugement ou défendre un client. Faux, les juges ne se fient absolument pas à leur jugement et ne décident de rien du tout, ça n'est pas eux qui créent le Droit, ils sont là juste pour l'appliquer avec l'arsenal législatif qui a été voté auparavant. Actuellement c'est: le parlement vote les lois, la justice les fait appliquer. Par ailleurs je ne sais pas ce que t'as contre ma chambre .. . Sérieusement, si il faut être BAC+30 et être bardé de diplomes pour exposer un minimum d'opinion sur un sujet, on est tous mal barré.
LeSanton Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Oui bon exemple.Un autre. Je suis professeur et j'adore les petits enfants, un voisin envoie des lettres à tout le monde sans preuve que je suis pédophile. Je suis viré, je le poursuis en diffamation. Il perd. Je retrouve mes petits enfants. La prohibition de la diffamation est à double tranchant. Diffamez, diffamez, il en restera toujours quelque chose…Dans la réalité, le professeur sera vu comme un pédophile potentiel. Autre exemple: cet élève qui s'est plaint de ce que son prof l'ait battu. Il a été mis en examen, s'est pendu, et l'enquête a montré que le gosse avait inventé l'histoire. Cool!
john_ross Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Faux, les juges ne se fient absolument pas à leur jugement et ne décident de rien du tout, ça n'est pas eux qui créent le Droit, ils sont là juste pour l'appliquer avec l'arsenal législatif qui a été voté auparavant. Eu un temps ou ce sont les juges qui faisaient le droit! Et les procès en diffamation ont eu lieu bien avant que ce ne soit l'état qui fasse la lois. Diffamez, diffamez, il en restera toujours quelque chose…Dans la réalité, le professeur sera vu comme un pédophile potentiel.Autre exemple: cet élève qui s'est plaint de ce que son prof l'ait battu. Il a été mis en examen, s'est pendu, et l'enquête a montré que le gosse avait inventé l'histoire. Cool! On a eu aussi droit au suicide de quelque professeurs accusés à tort de pédophilie.
José Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Faux, les juges ne se fient absolument pas à leur jugement et ne décident de rien du tout, ça n'est pas eux qui créent le Droit, ils sont là juste pour l'appliquer avec l'arsenal législatif qui a été voté auparavant. Tu me parles d'aujourd'hui. Mais la responsabilité aquilienne est un antique principe jurisprudentiel sanctionné par la loi, c'est tout. Le fait, que l'on retrouve partout et tout le temps la responsabilité non contractuelle pour dommage montre justement qu'il ne s'agit pas là d'une arbitraire création du législatif. Ta critique est aussi absurde que de dire que le droit de propriété est une construction législative arbitraire puisque c'est inscrit dans le code voté par le parlement. Sérieusement, si il faut être BAC+30 et être bardé de diplomes pour exposer un minimum d'opinion sur un sujet, on est tous mal barré. Ça ne te viens pas à l'esprit que le fait que la responsabilité aquilienne (on est responsable du dommage que l'on cause par son propre fait) soit appliqué depuis toujours partout soit un bon indice que l'on se trouve très près du Droit naturel ?
Tremendo Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Le fait, que l'on retrouve partout et tout le temps la responsabilité non contractuelle pour dommage montre justement qu'il ne s'agit pas là d'une arbitraire création du législatif. Tu ne me réponds pas sur la question des externalités négatives. Si on sanctionne la diffamation pour des conséquences indirectes négatives que cela engendrerait effectivement, tu dois par exemple, alors, sanctionner un licenciement dans une entreprise pour les conséquences indirectes négatives qu'engendrerait le dit-licenciement (perte de confiance en soi, déprime, alcoolisme etc…).
José Posté 29 octobre 2008 Signaler Posté 29 octobre 2008 Tu ne me réponds pas sur la question des externalités négatives. Parce que c'est du blabla déconnecté de la réalité juridique. Le monde réel de la justice, c'est un acte considéré fautif, un dommage, une réparation. Un licenciement légitime n'est pas un acte fautif. Pas de réparation. Par contre, un licenciement abusif peut être considéré comme une faute et engager la responsabilité et être sanctionné par l'obligation de réparer.
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