Legion Posté 6 octobre 2006 Signaler Posté 6 octobre 2006 J'ai l'impression que depuis quelques années, il ne se passe pas une seule élection démocratique, dans aucun pays que ce soit, sans que le perdant, qu'il soit de droite ou de gauche, n'accuse avec force fracas et effets scéniques le gagnant d'avoir remporté la victoire par tricherie. Est-ce juste une impression ou bien quelque chose ne serait-il pas en train de subtilement partir en couille ?
Fredo Posté 6 octobre 2006 Signaler Posté 6 octobre 2006 Surtout quand les résultats sont serrés. Peut-être les gens commencent-ils à comprendre ce que "dictature de la majorité" veut dire ?
phoenix Posté 6 octobre 2006 Signaler Posté 6 octobre 2006 J'ai l'impression que depuis quelques années, il ne se passe pas une seule élection démocratique, dans aucun pays que ce soit, sans que le perdant, qu'il soit de droite ou de gauche, n'accuse avec force fracas et effets scéniques le gagnant d'avoir remporté la victoire par tricherie. Est-ce juste une impression ou bien quelque chose ne serait-il pas en train de subtilement partir en couille ? Disons que quand les politiques voient que ça peut merder même dans les plus grandes démocraties (le bush/gore a constitué le précédent), ils font plus attention ou justement en profitent pour tenter de passer en force également. Comme dans les avions: depuis 9/11 les compagnies "recomptent à la main" tes baggages pour être sûr de ne rien laisser passer!
Nick de Cusa Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 La vieille Europe a jusqu'ici échappé à ce phénomène, Sicile continentale exceptée bien sûr. Quand ça tombera sur la France, l'Allemagne ou le UK, le phénomène prendra une nouvelle ampleur.
océane sitbon Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 La vieille Europe a jusqu'ici échappé à ce phénomène, Sicile continentale exceptée bien sûr. Quand ça tombera sur la France, l'Allemagne ou le UK, le phénomène prendra une nouvelle ampleur. Le Sarko/Ségo qui nous attend est sans doute le plus serré des combats politiques français depuis bien longtemps. J'imagine très facilement Sarko passer avec 50,2% et les gauchistes mettre en cause les comptages… Ce qui me pose problème dans cette tendance, c'est la double interprétation possible : 1. Prise de conscience de la "tyrannie de la majorité" et des limites de la démocratie… ou 2. Attachement méticuleux à la démocratie (devenue valeur suprême) et à ses procédures… . Qu'en pensez-vous ?
h16 Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 Le Sarko/Ségo qui nous attend est sans doute le plus serré des combats politiques français depuis bien longtemps. J'imagine très facilement Sarko passer avec 50,2% et les gauchistes mettre en cause les comptages… Bonne remarque. Je sens ça venir. Pour ma part, je vois plutôt DSK à la place de la Pudibonde du Poitou, mais ça ne change pas le fond. Et pour ce qui est de l'aspect "prise de conscience", je n'y compterai pas trop. Déjà, la plupart des Français se font gentiment remodeler la rondelle avec le tractopelle fiscal, et pourtant, personne n'en prend réellement conscience. Alors un concept aussi éthéré que "la tyrannie de la démocratie" …
Legion Posté 7 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 7 octobre 2006 Totalement HS (mais c'est mon fil alors j'ai le droit), mais j'aime beaucoup la façon dont les couleurs de mon avatar et de mon image de signature sont assorties avec celles de ce sous forum.
Ronnie Hayek Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 Totalement HS (mais c'est mon fil alors j'ai le droit), mais j'aime beaucoup la façon dont les couleurs de mon avatar et de mon image de signature sont assorties avec celles de ce sous forum. Mmmh… Cela me rappelle quand même un peu l'harmonie entre le costard de Lhermitte et le divan dans Le Père Noël est une ordure. (Et je ne parle pas de sa cravate ! )
Legion Posté 7 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 7 octobre 2006 Mmmh… Cela me rappelle quand même un peu l'harmonie entre le costard de Lhermitte et le divan dans Le Père Noël est une ordure. Huhuhu, yavais un squètche des Robins des Bois, ou Jean-Paul Rouve jouait "monsieur Orange", avec un costume dont la veste et le pantalon dans deux teintes distinctes d'orange automnal. À un moment il s'adosse au mur du fond de la scène, qui se trouve être peint des deux même couleurs, et à ce moment les autres réagissent comme s'il avait disparu, le cherchent du regard, l'appellent, et lui de se réavancer : "mais quoi ? je suis là !"
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.