Sous-Commandant Marco Posté 16 décembre 2006 Signaler Posté 16 décembre 2006 Selon un rapport du Centre d'analyse stratégique (encore un machin étatique) intitulé "Poséidon", la pêche française engloutirait chaque année 800 millions d'euros de subventions, pour un chiffre d'affaires total de 1,1 milliard. Ne cherchons pas plus loin les causes de la surpêche dont on nous rebat les oreilles sans arrêt.
Salatomatonion Posté 18 décembre 2006 Signaler Posté 18 décembre 2006 Selon un rapport du Centre d'analyse stratégique (encore un machin étatique) intitulé "Poséidon", la pêche française engloutirait chaque année 800 millions d'euros de subventions, pour un chiffre d'affaires total de 1,1 milliard. Ne cherchons pas plus loin les causes de la surpêche dont on nous rebat les oreilles sans arrêt. Oui le "Canard Enchaîné" en parle cette semaine (je suppose que tu l'as pêché ici ). Il y a aussi les 20 petits millions d'euros d'amende infligés par la Cour de justice européenne. Voici un aperçu de toute la puissance de feu de l'état lorsqu'il impose une gestion de quotas pour des poissons. Et après ça certains voudront encore me faire croire qu'imposer des quotas d'immigrés n'est pas une ineptie.
vincponcet Posté 20 décembre 2006 Signaler Posté 20 décembre 2006 Selon un rapport du Centre d'analyse stratégique (encore un machin étatique) intitulé "Poséidon", la pêche française engloutirait chaque année 800 millions d'euros de subventions, pour un chiffre d'affaires total de 1,1 milliard. Ne cherchons pas plus loin les causes de la surpêche dont on nous rebat les oreilles sans arrêt. excellente information ! vu que j'aime avoir les vraies sources, j'ai trouvé le rapport : http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/rappo…nitif081206.pdf page 55: Le constat de la surcapacité de la flotte, valable en France, l’est aussi dans d’autres pays européens. La modernisation des équipements, leur remplacement, souvent aidés par les fonds publics, ont contrebalancé les effets de la diminution du nombre de navires de pêche sur le volume des captures. Le haut niveau d’aides publiques pour ce « petit » secteur conduit naturellement à s’interroger sur la pertinence de le maintenir : plus de 800 millions d’euros en intégrant les soutiens sociaux, plus si l’on intègre les aides conjoncturelles liées à la hausse du gazole à comparer au 1,1 milliard de chiffre d’affaires à la première vente en 2004.
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.