José Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Quel est le bilan de Jacques Chirac à la tête de la France ? L’année 2007 pointant le bout de son nez, et avec elle la dernière ligne droite du second et probablement dernier mandat présidentiel de Chirac, le journal The Independent fait le bilan de douze années de chiraquisme présidentiel. Et juge que le grand Jacques (par la taille) a échoué à régler les problèmes économiques et sociaux en France. Alors que Charles De Gaulle dispose d’un aéroport et d’un parc à son nom, Pompidou d’un centre d’arts modernes et Mitterrand d’une bibliothèque et d’un bout de quai de Seine, le quotidien britannique se demande ce que la postérité réservera à l’actuel président français. Et de suggérer de rebaptiser la rue Vaugirard; située rive gauche, en rue Jacques Chirac car cette rue « est une des plus vieilles de Paris et qu’elle tourne et se tortille sans fin pour finalement arriver à peu près nulle part ». http://www.lepan.be/?p=890
Nick de Cusa Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 http://www.lepan.be/?p=890 Infamie! La rue de Vaugirard ne se termine pas nulle part mais à la Porte de Versailles, qui donne sur Issy Les Moulineaux. C'est aussi la plus longue de paris et assez rectiligne. Si le correspondant de The Independent la trouve tortueuse, ça soulève des questions sur son rapport à l'éthanol.
Punu Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Tu parles de l'autre bout, je crois. Lorsqu'elle s'achève (commence) sur le boulevard Saint-Michel, elle n'est plus fort rectiligne. Mais la comparaison manque en effet d'exactitude.
Nick de Cusa Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Tu parles de l'autre bout, je crois. Lorsqu'elle s'achève (commence) sur le boulevard Saint-Michel, elle n'est plus fort rectiligne. Mais la comparaison manque en effet d'exactitude. Ah non, cher infaillible. Une rue "commence" à son extrémité la plus proche du centre ville et "arrive" à son extrémité la plus proche de la périphérie.
Punu Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Si on reconnaît la valeur de la numérotation étatique, bien sûr.
Ronnie Hayek Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Si on reconnaît la valeur de la numérotation étatique, bien sûr. Quand tu envoies du courrier, tu changes le numéro du destinataire afin qu'il concorde avec ton sens de l'orientation non étatique ?
melodius Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Il a enfin compris pourquoi les lettres qu'il envoyait "place de l'infâmie" lui revenaient; il aurait du écrire "place du gouvernement provisoire".
Punu Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Depuis que la Poste est bénéficiaire, je n'envoie plus de courrier car cela revient à faire gagner de l'argent à l'état.
José Posté 11 janvier 2007 Auteur Signaler Posté 11 janvier 2007 Tiens au fait, la numérotation des rues est apparue à quelle époque ?
melodius Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Depuis que la Poste est bénéficiaire, je n'envoie plus de courrier car cela revient à faire gagner de l'argent à l'état. J'ai toujours dit que j'aimais ce garçon !
Punu Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Tiens au fait, la numérotation des rues est apparue à quelle époque ? Je ne sais pas vraiment. Par exemple, je connais au moins deux personnes qui habitent en France dans des petits villages et qui n'ont pas de numéro de rue. Si tu veux leur écrire, il suffit de mettre "M. X, Rue Y". Mais je dirais vers la fin du 18è, début du 19è ?
Ronnie Hayek Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Tiens au fait, la numérotation des rues est apparue à quelle époque ? Il semble qu'elle ait été établie pour la France le 4 février 1805.
Punu Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Il semble qu'elle ait été établie pour la France le 4 février 1805. Décret impérial pour mieux tenir la populace à l'oeil, donc.
Etienne Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Il semble qu'elle ait été établie pour la France le 4 février 1805. C'est marrant le "il me semble" et la date précise ne collent pas bien ensemble.
Messer Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Je ne sais pas vraiment. Par exemple, je connais au moins deux personnes qui habitent en France dans des petits villages et qui n'ont pas de numéro de rue. Si tu veux leur écrire, il suffit de mettre "M. X, Rue Y". Mais je dirais vers la fin du 18è, début du 19è ? Même dans une grande ville, le nom de la rue suffit, sans avoir besoin du numéro. Déjà vécu, un pote m'a envoyé une lettre en se gourrant dans l'intitulé exact de la rue, et s'est totalement planté de numéro. Heureusement qu'il connaissait mon nom
Invité Arn0 Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Voila une question intéressante : les rues des villes privées seraient-elles numérotées?
Coldstar Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Par exemple, je connais au moins deux personnes qui habitent en France dans des petits villages et qui n'ont pas de numéro de rue. Si tu veux leur écrire, il suffit de mettre "M. X, Rue Y". Mais je dirais vers la fin du 18è, début du 19è ? Dans des petits villages, on peut ne trouver ni numéro ni rue, seulement un lieu-dit.
Nick de Cusa Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Voila une question intéressante : les rues des villes privées seraient-elles numérotées? les gens qui refuseraient payeraient une prime pour la livraison de leurs lettres et colis.
Harald Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Ah non, cher infaillible. Une rue "commence" à son extrémité la plus proche du centre ville et "arrive" à son extrémité la plus proche de la périphérie. Ca, c'est le principe général qui a été initié à Paris. Je connais des petites villes de province où le numéro correspond à la distance (à vol d'oiseau) qui sépare la maison du clocher. Ca donne des résultats amusants. Pour info: 12 Mai 2003Numérotation des rues : pas d'obligation de côtés pairs et impairs Lorsqu'un maire fait procéder à la numérotation des habitations d'une rue, est-il tenu de mettre les numéros pairs d'un côté et les numéros impairs de l'autre côté ? Non, puisque la réglementation n’impose aucune obligation à cet égard. C’est ce que vient de répondre le ministre de l’Intérieur à un sénateur (1). Le numérotage des habitations en agglomération, explique le ministre, constitue une mesure de police générale que seul le maire peut prescrire, en vertu des pouvoirs qu'il tient de l'article L. 2213-28 du Code général des collectivités territoriales. Cet article ne fait peser aucune obligation précise en la matière sur les autorités locales puisqu'il précise notamment que le numérotage est exécuté " dans toutes les communes où l'opération est nécessaire ". Il convient de souligner que, si le numérotage des immeubles constitue un moyen d'ordre et de police générale que le maire peut prescrire en considération du caractère de nécessité que peut présenter une telle opération, le décret n°94-1112 du 19 décembre 1994 relatif à la communication au centre des impôts fonciers ou au bureau du cadastre de la liste alphabétique des voies de la commune et du numérotage des immeubles oblige, indirectement, les communes de plus de 2 000 habitants à numéroter les immeubles, la notification du numérotage étant devenue une formalité foncière. S'agissant de l'affectation des numéros pairs et impairs sur les habitations riveraines des voies publiques, les maires attribuent, en principe, pour des motifs d'intérêt général, les numéros pairs d'un côté de la rue et les numéros impairs de l'autre côté. Toutefois, ce numérotage, qui permet de définir sans équivoque l'identification des immeubles, ne revêt aucun caractère obligatoire, cette compétence relevant exclusivement des pouvoirs de police générale du maire. Question n° 534, réponse publiée au JO Sénat du 08/05/2003
Messer Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Hum franchement, je crois que la numérotation des batiments est quelquechose de vraiment mineur :] et je pense que ca persisterait même dans les rues privées (qui existent un peu partout, notamment à Paris).
Sarvok Posté 11 janvier 2007 Signaler Posté 11 janvier 2007 Je ne sais pas vraiment. Par exemple, je connais au moins deux personnes qui habitent en France dans des petits villages et qui n'ont pas de numéro de rue. Si tu veux leur écrire, il suffit de mettre "M. X, Rue Y". Mais je dirais vers la fin du 18è, début du 19è ? Toute ma résidence (universitaire) n'a pas de numéro de rue …. pourtant l'école en face à bien un numéro
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