Nick de Cusa Posté 2 février 2007 Signaler Posté 2 février 2007 Les révolutions sont la prise de pouvoir d'une classe ou d'une catégorie dont l'influence a cru et qui soudainement en a assez pour s'emparer du pouvoir. A ce titre, le dernier rapport en date du International Panel on Climate Change des Nations Unis, qui promet 3 degrés C d'augmentation des températures au XXIe siècle, malgré les incertitudes qui subsistent, n'est il pas un exemple classique de révolution en cours? Les scientifiques en général, et les climatologues en particuliers, ont acquis une telle influence -en gros, tout le monde les suit maitenant, au moins dans les pays riches- que cette affaire de réchauffement leur donne l'occasion de prendre, sinon le pouvoir lui même, du moins un part énorme de l'allocation des ressources économiques. Le manque à ganger pour tous les autres, en terme d'abandon de potentiel de croissance, serait encore bien plus substantiel. Pour résumer, on aura un classe nouvellement puissante qui gagne en ressources et en influence, et toutes les autres qui s'en retrouveront appauvries. Somme nous en ce moment même témoins de la dernière forme en date du phénomène révolutionnaire?
Nick de Cusa Posté 2 février 2007 Auteur Signaler Posté 2 février 2007 m…e, faute dans le titre. Quelqu'un pourrait-il corriger? "forme" au lieu de "for".
José Posté 2 février 2007 Signaler Posté 2 février 2007 m…e, faute dans le titre. Quelqu'un pourrait-il corriger? "forme" au lieu de "for". Esclavagiste ! Fais le sale travail toi-même : édite ton premier message.
Invité jabial Posté 2 février 2007 Signaler Posté 2 février 2007 m…e, faute dans le titre. Quelqu'un pourrait-il corriger? "forme" au lieu de "for". C'est fait. Au passage, comme le rappelle Lucilio, tout le monde peut modifier son titre en éditant le premier message du fil s'il en est l'auteur.
rixxe Posté 2 février 2007 Signaler Posté 2 février 2007 Les révolutions sont la prise de pouvoir d'une classe ou d'une catégorie dont l'influence a cru et qui soudainement en a assez pour s'emparer du pouvoir.A ce titre, le dernier rapport en date du International Panel on Climate Change des Nations Unis, qui promet 3 degrés C d'augmentation des températures au XXIe siècle, malgré les incertitudes qui subsistent, n'est il pas un exemple classique de révolution en cours? Les scientifiques en général, et les climatologues en particuliers, ont acquis une telle influence -en gros, tout le monde les suit maitenant, au moins dans les pays riches- que cette affaire de réchauffement leur donne l'occasion de prendre, sinon le pouvoir lui même, du moins un part énorme de l'allocation des ressources économiques. Le manque à ganger pour tous les autres, en terme d'abandon de potentiel de croissance, serait encore bien plus substantiel. Pour résumer, on aura un classe nouvellement puissante qui gagne en ressources et en influence, et toutes les autres qui s'en retrouveront appauvries. Somme nous en ce moment même témoins de la dernière forme en date du phénomène révolutionnaire? Une chose est sure c'est que les écologistes ont le vent en poupe… Tous les jours on nous rabache les oreilles avec ce discours type "bug de l'an 2000", dans 100 ans on sera tous en train de désécher au soleil etc. Par ailleurs j'entends de plus en plus régulièrement des personnes parler de "dictature écologique" sans aucune vergogne, et sans que ça provoque aucune contestation… Maintenant les écologistes ne proposent que des solutions totalement débiles pour réduire la pollution. Comme les communistes, il oublient que nos civilization ne vont pas stagner pendant 100 ans aux mêmes niveaux technologiques. Par exemple, vouloir réduire les taux de CO2 dans l'atmosphère en forcant les gens à moins consommer va vite tourner à la plaisanterie dès lors que nous auront développé des techniques bien plus efficaces pour lutter contre ce phénomène: http://www.businessweek.com/innovate/conte…v.g3a.rssm1109c
Général Stugy Posté 2 février 2007 Signaler Posté 2 février 2007 Les écolos comme les communistes ? Voilà qui me rapelle une intervention de Le Pen à la télé, le fruit en question à la main : "les écolos c'est comme les pastèques : vert à l'extérieur et rouge à l'intérieur", et d'exposer à la caméra l'intérieur du fruit qu'il avait sorti de son sac. Ca c'est de la comm !
José Posté 2 février 2007 Signaler Posté 2 février 2007 Les scientifiques en général, et les climatologues en particuliers, ont acquis une telle influence -en gros, tout le monde les suit maitenant, au moins dans les pays riches- que cette affaire de réchauffement leur donne l'occasion de prendre, sinon le pouvoir lui même, du moins un part énorme de l'allocation des ressources économiques. Les écologistes ne prendront le pouvoir d'aucune manière. Si on les entend beaucoup, c'est parce que cela arrange beaucoup de politiciens qui espèrent prendre ainsi prétexte pour avancer leurs pions. Bref, les classiques idiots utiles du socialisme de toujours. Et n'oublions pas : les politiciens ne sont pas des enfants de choeur et ils ne se laisseront jamais déposséder du pouvoir. Compte sur eux.
Nick de Cusa Posté 2 février 2007 Auteur Signaler Posté 2 février 2007 Je ne parlais pas d'une prise du pouvoir par les écolos. Ce n'est pas ce que j'ai écrit. Je parlais des scientifiques, qui ont plus d'arguments à faire valoir.
José Posté 2 février 2007 Signaler Posté 2 février 2007 Je parlais des scientifiques… Encore moins. D'autant plus qu'en ces temps de recherches subventionnées, les scientifiques sont à la pogne des politiciens.
Nick de Cusa Posté 2 février 2007 Auteur Signaler Posté 2 février 2007 Encore moins. D'autant plus qu'en ces temps de recherches subventionnées, les scientifiques sont à la pogne des politiciens. Qui, s'ils refusent les crédits, se retrouvent ennemis de la planète.
Harald Posté 2 février 2007 Signaler Posté 2 février 2007 Encore moins. D'autant plus qu'en ces temps de recherches subventionnées, les scientifiques sont à la pogne des politiciens. Essaie seulement de dire du mal de ces admirables chercheurs fonctionnarisés et syndiqués du CNRS pour voir!
José Posté 2 février 2007 Signaler Posté 2 février 2007 Essaie seulement de dire du mal de ces admirables chercheurs fonctionnarisés et syndiqués du CNRS pour voir! Entre dire du mal et leur céder le pouvoir, il y a de la marge. Sérieusement les mecs, vous sous-estimez 'achement la perversité méchante qui peut mouvoir un politicien. Vouloir lui quitter son pouvoir ? Piquer leur Canigou à une demi-douzaine de dobermann affamés serait moins dangereux.
Highlife Posté 2 février 2007 Signaler Posté 2 février 2007 "les écolos c'est comme les pastèques : vert à l'extérieur et rouge à l'intérieur" C'était pas une expression reservée aux castristes à l'époque ?
Harald Posté 2 février 2007 Signaler Posté 2 février 2007 Entre dire du mal et leur céder le pouvoir, il y a de la marge. Sérieusement les mecs, vous sous-estimez 'achement la perversité méchante qui peut mouvoir un politicien. Vouloir lui quitter son pouvoir ? Piquer leur Canigou à une demi-douzaine de dobermann affamés serait moins dangereux. Je ne sous-estime rien, je galéjait.
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