BRUGIER PHILIPPE-ARNAUD Posted February 11, 2007 Report Posted February 11, 2007 Dans le Valeurs actuelles du 9 Février 2007 , DOUSTE-BLAZY , alors maire de Toulouse , en 2001 , reconnaît qu'il y a eu , en effet , DEUX EXPLOSIONS : < SIC Philippe Douste-Blazy de son ouvrage "Des affaires pas si étrangères " ( Editions Odile Jacob ) repris par Valeurs Actuelles > : " Brutalement , une première explosion , puis une seconde qui soulève le parquet de mon bureau dans un nuage de poussière , pulvérise les vitres des fenêtres et projette les crémones à travers la pièce . A ce moment-là , il est impossible de savoir ce qui s'est passé "
pankkake Posted February 11, 2007 Report Posted February 11, 2007 Heu, bof. Il y a eu deux "boum", et ça a été expliqué.
Jesrad Posted February 11, 2007 Report Posted February 11, 2007 Oui, deux "boum" ayant des origines géograhiques distinctes
Ash Posted February 11, 2007 Report Posted February 11, 2007 Et merde… encore un bouquin de P. de Villiers…
Stan Selene Posted February 11, 2007 Report Posted February 11, 2007 Il em semble qu il y a eu effectivement deux boom, mais quelle est la these concurrente?
toccata Posted February 11, 2007 Report Posted February 11, 2007 Qu'en est-il de la différence de vitesse de propagation dans l'air et dans la terre? Par exemple, lorsqu'il y a une explosion dans l'eau, on ressent d'abord une grosse secousse, puis ensuite on entend l'explosion. Cela dit, le magazine Valeur Actuelle a défendu la thèse des deux explosions, documents sonores à l'appui…
Jesrad Posted February 11, 2007 Report Posted February 11, 2007 J'ai fait le calcul moi-même à l'époque, à partir de deux enregistrements sonores venant de directions différentes autour du site. En utilisant les données météo de l'époque on peut obtenir la vitesse de propagation du son dans l'air, on ajout un léger décalage à cause du vent qui soufflait, on ajoute les témoignages supplémentaires, et ça donne un écart temporal entre les deux "boum" qui est différent dans chaque direction partant du site. [Edit] Pour expliquer simplement, si la seconde explosion a eu lieu 660 mètres à l'Ouest de la première au bout de N secondes avec une vitesse du son de 330 m / seconde, ceux qui sont encore plus à l'Ouest entendent la seconde explosion N - 2 secondes après la première, et ceux qui sont à l'Est l'entendent N + 2 secondes après. A partir de ces décalages, on peut calculer la distance géographique qui séparait les deux explosions par rapport aux directions où elles ont été enregistrées. Le calcul est facile, et une fois qu'on applique le décalage géographique découvert (si je me souviens bien, quelque chose comme 800 mètres), et qu'on place une des deux explosions sur le hangar d'AZF… l'autre tombe EXACTEMENT sur la tour de la SNPE. En revanche les "calculs" utilisant des vitesses différentes de propagation entre air et terre ne peuvent pas donner le même résultat: le décalage est alors proportionnel à la distance à l'explosion unique, et ne peut pas dépasser 1 seconde par 330 mètres de distance environ (maximum atteint pour une vitesse de propagation de son dans la terre INSTANTANEE). Pour que le décalage atteigne 8 secondes, il faudrait s'être tenu à au minimum à 8 * 330 = 2640 mètres. Or, les témoins ayant fait des enregistrements étaient tous beaucoup plus près, en plus ceux qui étaient aussi loin n'ont entendu que la seconde explosion.
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