Jussi Posté 1 avril 2008 Signaler Posté 1 avril 2008 Roudaut, il était selon moi en Bourgogne.Gonzague s'était lancé dans sa carrière de commercial (c'était l"explication officielle de Fillias mais il y avait peut être uen autre raison) Maxime, je l'ai eu au téléphone il y a quelques temps. Je crois que ce n'est pas un homme d'action. Et je crois qu'il était lucide sur Fillias. Rien à voir….mais la pub pour AL avec la godasse et les sous c'est une blague?
Ronnie Hayek Posté 1 avril 2008 Signaler Posté 1 avril 2008 Rien à voir….mais la pub pour AL avec la godasse et les sous c'est une blague? Premier avril, mais je ne trouve pas ce canular très malin.
Jussi Posté 1 avril 2008 Signaler Posté 1 avril 2008 Premier avril, mais je ne trouve pas ce canular très malin. oui…merde 1er avril c'est vrai. La godasse ou les sous pas très malin? hummm hummm
Harald Posté 1 avril 2008 Signaler Posté 1 avril 2008 Premier avril, mais je ne trouve pas ce canular très malin. Tout bien réfléchi, le choix du mocassin à glands est bien vu.
Samizdat Posté 1 avril 2008 Signaler Posté 1 avril 2008 Tout bien réfléchi, le choix du mocassin à glands est bien vu. Justement, je cherchais le sens de cette métaphore alors qu'effectivement elle saute aux yeux…
Ronnie Hayek Posté 1 avril 2008 Signaler Posté 1 avril 2008 Tout bien réfléchi, le choix du mocassin à glands est bien vu. Je ne l'avais même pas remarqué, à vrai dire.
Wallace Posté 1 avril 2008 Signaler Posté 1 avril 2008 Tout bien réfléchi, le choix du mocassin à glands est bien vu. La présence de glands est justifiée. Mais quid du mocassin ? C'est injurieux pour les mocassins je trouve !
Copeau Posté 1 avril 2008 Signaler Posté 1 avril 2008 Impossible d'oublier, lorsqu'on parle de (mocassins à) glands, ce post : http://www.zonel.net/index.php?Lutte-contre-la-pauvrete
Samizdat Posté 1 avril 2008 Signaler Posté 1 avril 2008 Impossible d'oublier, lorsqu'on parle de (mocassins à) glands, ce post :http://www.zonel.net/index.php?Lutte-contre-la-pauvrete Exellent , je ne connaissais pas l'origine de la pancarte, voilà qui est fait!
Abominable NH Posté 4 avril 2008 Signaler Posté 4 avril 2008 Impossible d'oublier, lorsqu'on parle de (mocassins à) glands, ce post :http://www.zonel.net/index.php?Lutte-contre-la-pauvrete J'aime beaucoup ce texte également - j'aime beaucoup les propos et le ton d'Eskoh en général. Cela étant, je ne suis pas certain de partager son point de vue sur l'idée que le libéralisme n'est ni de droite ni de gauche. Je pense par ailleurs que les débats qui intéressent les libéraux et nos échanges sur ce forum seraient tout à fait différents s'il n'existait une telle rupture entre conservatisme et libéralisme - rupture que je considère pour ma part comme l'un des drames majeurs, sinon le drame majeur, de la droite.
Invité jabial Posté 7 avril 2008 Signaler Posté 7 avril 2008 C'est marrant, plus ça va et plus je pense le contraire.
Ronnie Hayek Posté 7 avril 2008 Signaler Posté 7 avril 2008 Je pense par ailleurs que les débats qui intéressent les libéraux et nos échanges sur ce forum seraient tout à fait différents s'il n'existait une telle rupture entre conservatisme et libéralisme - rupture que je considère pour ma part comme l'un des drames majeurs, sinon le drame majeur, de la droite. Je crois que c'est un problème insoluble, dans la mesure où le libéralisme fut le premier gauchisme à avoir pu s'établir avec plus ou moins de succès. S'il est aujourd'hui perçu comme appartenant à la "droite", c'est en raison du glissement constant du spectre politique suivant ce que certains ont nommé la "sinistrisation". Depuis deux siècles, nous assistons à une radicalisation des idées de gauche, et par conséquent à de continuelles subdivisions et proliférations de courants jouant la carte du "pas d'ennemis à gauche". En résumé, les libéraux se sont trouvés débordés par plus progressistes qu'eux, et ce n'est qu'à la faveur de cette évolution que leur doctrine politique a pu être étiquettée "de droite" (ce qui en dit long, en quelque sorte, sur les schémas idéologiques dominants).
vincponcet Posté 7 avril 2008 Signaler Posté 7 avril 2008 Je crois que c'est un problème insoluble, dans la mesure où le libéralisme fut le premier gauchisme à avoir pu s'établir avec plus ou moins de succès. S'il est aujourd'hui perçu comme appartenant à la "droite", c'est en raison du glissement constant du spectre politique suivant ce que certains ont nommé la "sinistrisation". Depuis deux siècles, nous assistons à une radicalisation des idées de gauche, et par conséquent à de continuelles subdivisions et proliférations de courants jouant la carte du "pas d'ennemis à gauche". En résumé, les libéraux se sont trouvés débordés par plus progressistes qu'eux, et ce n'est qu'à la faveur de cette évolution que leur doctrine politique a pu être étiquettée "de droite" (ce qui en dit long, en quelque sorte, sur les schémas idéologiques dominants). Si tu écris "le libéralisme fut le premier gauchisme à avoir pu s'établir avec plus ou moins de succès". Doit-on comprendre que tu ne te qualifies plus de "libéral" ? D'ailleurs, il me semblait que jusqu'alors tu définissais cette déviance "progressiste" comme n'étant seulement qu'une frange déviante du libéralisme qui a conduit à la révolution française. Je ne sais plus où est ce fil, mais je me souviens très bien avoir lu de ta plume que tu considérais qu'il y avait deux libéralismes, un progressiste/constructiviste et un disons conservateur faute de mieux, car je ne me souviens plus de tes termes. Est-ce que ta position a évolué récemment sur le "libéralisme" ? Considères-tu maintenant que c'est toute la philosophie libérale qui est à jeter dans les poubelles de l'Histoire ?
A.B. Posté 7 avril 2008 Signaler Posté 7 avril 2008 Si tu écris "le libéralisme fut le premier gauchisme à avoir pu s'établir avec plus ou moins de succès". Doit-on comprendre que tu ne te qualifies plus de "libéral" ? Ce serait un bel éclair de lucidité.
melodius Posté 7 avril 2008 Signaler Posté 7 avril 2008 Vous n'en avez pas marre de vous la jouer commissaire politique ? Non seulement vous êtes odieux, mais, pire, vous êtes ridicules.
A.B. Posté 7 avril 2008 Signaler Posté 7 avril 2008 Vous n'en avez pas marre de vous la jouer commissaire politique ? Non seulement vous êtes odieux, mais, pire, vous êtes ridicules. On est des monstres meurtriers inhumains, comment veux-tu qu'on s'en empeche ?
melodius Posté 7 avril 2008 Signaler Posté 7 avril 2008 On est des monstres meurtriers inhumains, comment veux-tu qu'on s'en empeche ? Non vous n'êtes pas des "monstres meurtriers inhumains", vous êtes des obsédés de la pureté idéologique. Ca devient franchement lassant.
roubachov Posté 7 avril 2008 Signaler Posté 7 avril 2008 Je crois que c'est un problème insoluble, dans la mesure où le libéralisme fut le premier gauchisme à avoir pu s'établir avec plus ou moins de succès. S'il est aujourd'hui perçu comme appartenant à la "droite", c'est en raison du glissement constant du spectre politique suivant ce que certains ont nommé la "sinistrisation". Depuis deux siècles, nous assistons à une radicalisation des idées de gauche, et par conséquent à de continuelles subdivisions et proliférations de courants jouant la carte du "pas d'ennemis à gauche". En résumé, les libéraux se sont trouvés débordés par plus progressistes qu'eux, et ce n'est qu'à la faveur de cette évolution que leur doctrine politique a pu être étiquettée "de droite" (ce qui en dit long, en quelque sorte, sur les schémas idéologiques dominants). Cette analyse est tout à fait correcte. Pour prendre cet exemple, je lisais encore ces jours ci une histoire politique de la France au XIXe siècle: il est par exemple frappant de voir que l'extrême gauche radicale au début de la IIIe République (incarnée principalement par Gambetta) s'auto-déclare au fil du temps de gauche (sous Combes), de centre-gauche (sous Herriot) avant de finir officieusement au centre-droit sous les gouvernements Daladier de l'immédiat avant-guerre, placés sous le signe de la liquidation du Front populaire et du réarmement. Amusant (mais non surprenant) que le Parti radical continue - y compris sous la IVe République - de se considérer comme un parti de gauche. De même, les héritiers politiques de Jules Ferry (Ribot, Méline) étaient historiquement situés au centre-gauche, avant d'être considérés comme les portes-paroles du centre-droit puis clairement de la droite, de l'Affaire Dreyfus à la guerre de 1914 (une grosse partie des héritiers de l'ex-opportunisme, Waldeck Rousseau le premier, ayant choisi de s'allier avec les radicaux au sein du Bloc des gauches). Là encore, il est notable que le groupe politique qui les représentait à la Chambre des Députés se dénommait lui-même "progressiste" (sous entendu républicain). Et il faudra attendre 1931 pour que les modérés de la Chambre renoncent sous l'impulsion d'André Tardieu à se dénommer "républicains de gauche" !
Ronnie Hayek Posté 7 avril 2008 Signaler Posté 7 avril 2008 Si tu écris "le libéralisme fut le premier gauchisme à avoir pu s'établir avec plus ou moins de succès". Doit-on comprendre que tu ne te qualifies plus de "libéral" ?D'ailleurs, il me semblait que jusqu'alors tu définissais cette déviance "progressiste" comme n'étant seulement qu'une frange déviante du libéralisme qui a conduit à la révolution française. Je ne sais plus où est ce fil, mais je me souviens très bien avoir lu de ta plume que tu considérais qu'il y avait deux libéralismes, un progressiste/constructiviste et un disons conservateur faute de mieux, car je ne me souviens plus de tes termes. Est-ce que ta position a évolué récemment sur le "libéralisme" ? Considères-tu maintenant que c'est toute la philosophie libérale qui est à jeter dans les poubelles de l'Histoire ? Ce serait un bel éclair de lucidité. Comme j'ai horreur de me répéter, je vous renvoie à ce mien commentaire en date du 2 avril : Au final, peut-être. Pour ma part, je ne me définis plus ni comme libéral ni comme anarcap, mais comme défenseur de la liberté individuelle - vive la liberté intellectuelle. De même, si l'anarcho-capitalisme est défendu majoritairement par des gens aux idées aberrantes, la raison se loge probablement dans la théorie défendue et pas uniquement dans les esprits nanarcapiens qui s'en réclament.Je vais finir par croire que le libéralisme se partage en deux volets complémentaires: les pleurnicheries larmoyantes sur le thème "personne ne nous aime" - bref, la victimisation de soi - et le nietzschéisme de bas étage constitué de provocations dignes de carabins attardés, destinées à nier toute humanité aux victimes de cette idéologie (car il y en a, cf. les débats "éthiques"). Pas étonnant que le socialisme soit son rejeton - évidemment, pas reconnu par le papa (quand bien même celui-ci n'aurait-il que le terme "responsabilité" à la bouche). Et sinon, j'ai déjà exprimé à quelques reprises cette opinion relative au premier gauchisme de l'histoire - ce n'est pas neuf. Produire ce constat ne signifie d'ailleurs pas que l'on récuse nécessairement sa propre appartenance au courant libéral; c'est juste un appel à un peu de lucidité et de recul critique.
Coldstar Posté 7 avril 2008 Signaler Posté 7 avril 2008 Toutes les doctrines politiques nouvelles sont progressistes, donc "gauchistes" à leurs débuts; puis elles dérivent vers la "droite" quand elles vieillissent, en s'institutionnalisant. Analyse grossière, mais qui marche pour plusieurs doctrines nées après la Révolution.
Abominable NH Posté 7 avril 2008 Signaler Posté 7 avril 2008 Comme j'ai horreur de me répéter, je vous renvoie à ce mien commentaire en date du 2 avril :Et sinon, j'ai déjà exprimé à quelques reprises cette opinion relative au premier gauchisme de l'histoire - ce n'est pas neuf. Produire ce constat ne signifie d'ailleurs pas que l'on récuse nécessairement sa propre appartenance au courant libéral; c'est juste un appel à un peu de lucidité et de recul critique. Un peu de quoi ?
Abominable NH Posté 7 avril 2008 Signaler Posté 7 avril 2008 Doit-on comprendre que tu ne te qualifies plus de "libéral" ? Tu peux préciser ta question ? Non vous n'êtes pas des "monstres meurtriers inhumains", vous êtes des obsédés de la pureté idéologique. Ca devient franchement lassant. Mais enfin Mélo ? Que fais-tu de l'ivresse que procure le nombrilisme ?
Abominable NH Posté 8 avril 2008 Signaler Posté 8 avril 2008 Je crois que c'est un problème insoluble, dans la mesure où le libéralisme fut le premier gauchisme à avoir pu s'établir avec plus ou moins de succès. S'il est aujourd'hui perçu comme appartenant à la "droite", c'est en raison du glissement constant du spectre politique suivant ce que certains ont nommé la "sinistrisation". Depuis deux siècles, nous assistons à une radicalisation des idées de gauche, et par conséquent à de continuelles subdivisions et proliférations de courants jouant la carte du "pas d'ennemis à gauche". En résumé, les libéraux se sont trouvés débordés par plus progressistes qu'eux, et ce n'est qu'à la faveur de cette évolution que leur doctrine politique a pu être étiquettée "de droite" (ce qui en dit long, en quelque sorte, sur les schémas idéologiques dominants). A la réflexion, j'aurais peut-être mieux fait d'écrire "distance" en lieu et place de "rupture".
A.B. Posté 8 avril 2008 Signaler Posté 8 avril 2008 Non vous n'êtes pas des "monstres meurtriers inhumains", vous êtes des obsédés de la pureté idéologique. Ca devient franchement lassant. Nous sommes des obsédés de la vérité.
Ronnie Hayek Posté 8 avril 2008 Signaler Posté 8 avril 2008 Nous sommes des obsédés de la vérité. C'est ce qui explique sans doute tes courantes approximations historiques.
vincponcet Posté 8 avril 2008 Signaler Posté 8 avril 2008 Comme j'ai horreur de me répéter, je vous renvoie à ce mien commentaire en date du 2 avril :Et sinon, j'ai déjà exprimé à quelques reprises cette opinion relative au premier gauchisme de l'histoire - ce n'est pas neuf. Produire ce constat ne signifie d'ailleurs pas que l'on récuse nécessairement sa propre appartenance au courant libéral; c'est juste un appel à un peu de lucidité et de recul critique. Tu vas donc retirer la mention "libéral conservateur" de ton profil ?
roubachov Posté 8 avril 2008 Signaler Posté 8 avril 2008 Nous sommes des obsédés de la vérité. Ou du dogme ?
Abominable NH Posté 8 avril 2008 Signaler Posté 8 avril 2008 Ou du dogme ? La cohérence, c'est la Vérité.
Ronnie Hayek Posté 8 avril 2008 Signaler Posté 8 avril 2008 Tu vas donc retirer la mention "libéral conservateur" de ton profil ? Cela va changer quelque chose à ta vie ? [dailymotion]x1uqq7&v3=1&related=1[/dailymotion] [dailymotion]x4xj5e&v3=1&related=1[/dailymotion]
0100011 Posté 8 avril 2008 Signaler Posté 8 avril 2008 Je crois que quelques heures de cours de logique seraient utiles. Pour l'instant c'est très XIX le discours local sur la vérité, l'axiomatisation, la prouvabilité, la décidabilité, la complétude, la cohérence et autres. Il y a eu de belles découvertes pourtant depuis les années 30…
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