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Al, La Trahison


alisdead

Messages recommandés

Posté
Roudaut, il était selon moi en Bourgogne.

Gonzague s'était lancé dans sa carrière de commercial (c'était l"explication officielle de Fillias mais il y avait peut être uen autre raison)

Maxime, je l'ai eu au téléphone il y a quelques temps. Je crois que ce n'est pas un homme d'action. Et je crois qu'il était lucide sur Fillias.

Rien à voir….mais la pub pour AL avec la godasse et les sous c'est une blague? :icon_up:

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Premier avril, mais je ne trouve pas ce canular très malin.

oui…merde 1er avril c'est vrai. La godasse ou les sous pas très malin? :doigt: hummm hummm :icon_up:

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Premier avril, mais je ne trouve pas ce canular très malin.

Tout bien réfléchi, le choix du mocassin à glands est bien vu.

Posté
Tout bien réfléchi, le choix du mocassin à glands est bien vu.

Justement, je cherchais le sens de cette métaphore alors qu'effectivement elle saute aux yeux…

Posté
Tout bien réfléchi, le choix du mocassin à glands est bien vu.

La présence de glands est justifiée. Mais quid du mocassin ? C'est injurieux pour les mocassins je trouve ! :icon_up:

Posté
Impossible d'oublier, lorsqu'on parle de (mocassins à) glands, ce post :

http://www.zonel.net/index.php?Lutte-contre-la-pauvrete

J'aime beaucoup ce texte également - j'aime beaucoup les propos et le ton d'Eskoh en général. :icon_up:

Cela étant, je ne suis pas certain de partager son point de vue sur l'idée que le libéralisme n'est ni de droite ni de gauche.

Je pense par ailleurs que les débats qui intéressent les libéraux et nos échanges sur ce forum seraient tout à fait différents s'il n'existait une telle rupture entre conservatisme et libéralisme - rupture que je considère pour ma part comme l'un des drames majeurs, sinon le drame majeur, de la droite.

Invité jabial
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C'est marrant, plus ça va et plus je pense le contraire.

Posté
Je pense par ailleurs que les débats qui intéressent les libéraux et nos échanges sur ce forum seraient tout à fait différents s'il n'existait une telle rupture entre conservatisme et libéralisme - rupture que je considère pour ma part comme l'un des drames majeurs, sinon le drame majeur, de la droite.

Je crois que c'est un problème insoluble, dans la mesure où le libéralisme fut le premier gauchisme à avoir pu s'établir avec plus ou moins de succès. S'il est aujourd'hui perçu comme appartenant à la "droite", c'est en raison du glissement constant du spectre politique suivant ce que certains ont nommé la "sinistrisation". Depuis deux siècles, nous assistons à une radicalisation des idées de gauche, et par conséquent à de continuelles subdivisions et proliférations de courants jouant la carte du "pas d'ennemis à gauche".

En résumé, les libéraux se sont trouvés débordés par plus progressistes qu'eux, et ce n'est qu'à la faveur de cette évolution que leur doctrine politique a pu être étiquettée "de droite" (ce qui en dit long, en quelque sorte, sur les schémas idéologiques dominants).

Posté
Je crois que c'est un problème insoluble, dans la mesure où le libéralisme fut le premier gauchisme à avoir pu s'établir avec plus ou moins de succès. S'il est aujourd'hui perçu comme appartenant à la "droite", c'est en raison du glissement constant du spectre politique suivant ce que certains ont nommé la "sinistrisation". Depuis deux siècles, nous assistons à une radicalisation des idées de gauche, et par conséquent à de continuelles subdivisions et proliférations de courants jouant la carte du "pas d'ennemis à gauche".

En résumé, les libéraux se sont trouvés débordés par plus progressistes qu'eux, et ce n'est qu'à la faveur de cette évolution que leur doctrine politique a pu être étiquettée "de droite" (ce qui en dit long, en quelque sorte, sur les schémas idéologiques dominants).

Si tu écris "le libéralisme fut le premier gauchisme à avoir pu s'établir avec plus ou moins de succès". Doit-on comprendre que tu ne te qualifies plus de "libéral" ?

D'ailleurs, il me semblait que jusqu'alors tu définissais cette déviance "progressiste" comme n'étant seulement qu'une frange déviante du libéralisme qui a conduit à la révolution française. Je ne sais plus où est ce fil, mais je me souviens très bien avoir lu de ta plume que tu considérais qu'il y avait deux libéralismes, un progressiste/constructiviste et un disons conservateur faute de mieux, car je ne me souviens plus de tes termes.

Est-ce que ta position a évolué récemment sur le "libéralisme" ?

Considères-tu maintenant que c'est toute la philosophie libérale qui est à jeter dans les poubelles de l'Histoire ?

Posté
Si tu écris "le libéralisme fut le premier gauchisme à avoir pu s'établir avec plus ou moins de succès". Doit-on comprendre que tu ne te qualifies plus de "libéral" ?

Ce serait un bel éclair de lucidité.

Posté

Vous n'en avez pas marre de vous la jouer commissaire politique ? Non seulement vous êtes odieux, mais, pire, vous êtes ridicules.

Posté
Vous n'en avez pas marre de vous la jouer commissaire politique ? Non seulement vous êtes odieux, mais, pire, vous êtes ridicules.

On est des monstres meurtriers inhumains, comment veux-tu qu'on s'en empeche ?

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On est des monstres meurtriers inhumains, comment veux-tu qu'on s'en empeche ?

Non vous n'êtes pas des "monstres meurtriers inhumains", vous êtes des obsédés de la pureté idéologique. Ca devient franchement lassant.

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Je crois que c'est un problème insoluble, dans la mesure où le libéralisme fut le premier gauchisme à avoir pu s'établir avec plus ou moins de succès. S'il est aujourd'hui perçu comme appartenant à la "droite", c'est en raison du glissement constant du spectre politique suivant ce que certains ont nommé la "sinistrisation". Depuis deux siècles, nous assistons à une radicalisation des idées de gauche, et par conséquent à de continuelles subdivisions et proliférations de courants jouant la carte du "pas d'ennemis à gauche".

En résumé, les libéraux se sont trouvés débordés par plus progressistes qu'eux, et ce n'est qu'à la faveur de cette évolution que leur doctrine politique a pu être étiquettée "de droite" (ce qui en dit long, en quelque sorte, sur les schémas idéologiques dominants).

Cette analyse est tout à fait correcte.

Pour prendre cet exemple, je lisais encore ces jours ci une histoire politique de la France au XIXe siècle: il est par exemple frappant de voir que l'extrême gauche radicale au début de la IIIe République (incarnée principalement par Gambetta) s'auto-déclare au fil du temps de gauche (sous Combes), de centre-gauche (sous Herriot) avant de finir officieusement au centre-droit sous les gouvernements Daladier de l'immédiat avant-guerre, placés sous le signe de la liquidation du Front populaire et du réarmement.

Amusant (mais non surprenant) que le Parti radical continue - y compris sous la IVe République - de se considérer comme un parti de gauche.

De même, les héritiers politiques de Jules Ferry (Ribot, Méline) étaient historiquement situés au centre-gauche, avant d'être considérés comme les portes-paroles du centre-droit puis clairement de la droite, de l'Affaire Dreyfus à la guerre de 1914 (une grosse partie des héritiers de l'ex-opportunisme, Waldeck Rousseau le premier, ayant choisi de s'allier avec les radicaux au sein du Bloc des gauches).

Là encore, il est notable que le groupe politique qui les représentait à la Chambre des Députés se dénommait lui-même "progressiste" (sous entendu républicain).

Et il faudra attendre 1931 pour que les modérés de la Chambre renoncent sous l'impulsion d'André Tardieu à se dénommer "républicains de gauche" !

Posté
Si tu écris "le libéralisme fut le premier gauchisme à avoir pu s'établir avec plus ou moins de succès". Doit-on comprendre que tu ne te qualifies plus de "libéral" ?

D'ailleurs, il me semblait que jusqu'alors tu définissais cette déviance "progressiste" comme n'étant seulement qu'une frange déviante du libéralisme qui a conduit à la révolution française. Je ne sais plus où est ce fil, mais je me souviens très bien avoir lu de ta plume que tu considérais qu'il y avait deux libéralismes, un progressiste/constructiviste et un disons conservateur faute de mieux, car je ne me souviens plus de tes termes.

Est-ce que ta position a évolué récemment sur le "libéralisme" ?

Considères-tu maintenant que c'est toute la philosophie libérale qui est à jeter dans les poubelles de l'Histoire ?

Ce serait un bel éclair de lucidité.

Comme j'ai horreur de me répéter, je vous renvoie à ce mien commentaire en date du 2 avril :

Au final, peut-être. Pour ma part, je ne me définis plus ni comme libéral ni comme anarcap, mais comme défenseur de la liberté individuelle - vive la liberté intellectuelle. :icon_up: De même, si l'anarcho-capitalisme est défendu majoritairement par des gens aux idées aberrantes, la raison se loge probablement dans la théorie défendue et pas uniquement dans les esprits nanarcapiens qui s'en réclament.

Je vais finir par croire que le libéralisme se partage en deux volets complémentaires: les pleurnicheries larmoyantes sur le thème "personne ne nous aime" - bref, la victimisation de soi - et le nietzschéisme de bas étage constitué de provocations dignes de carabins attardés, destinées à nier toute humanité aux victimes de cette idéologie (car il y en a, cf. les débats "éthiques"). Pas étonnant que le socialisme soit son rejeton - évidemment, pas reconnu par le papa (quand bien même celui-ci n'aurait-il que le terme "responsabilité" à la bouche).

Et sinon, j'ai déjà exprimé à quelques reprises cette opinion relative au premier gauchisme de l'histoire - ce n'est pas neuf. Produire ce constat ne signifie d'ailleurs pas que l'on récuse nécessairement sa propre appartenance au courant libéral; c'est juste un appel à un peu de lucidité et de recul critique.

Posté

Toutes les doctrines politiques nouvelles sont progressistes, donc "gauchistes" à leurs débuts; puis elles dérivent vers la "droite" quand elles vieillissent, en s'institutionnalisant.

Analyse grossière, mais qui marche pour plusieurs doctrines nées après la Révolution.

Posté
Comme j'ai horreur de me répéter, je vous renvoie à ce mien commentaire en date du 2 avril :

Et sinon, j'ai déjà exprimé à quelques reprises cette opinion relative au premier gauchisme de l'histoire - ce n'est pas neuf. Produire ce constat ne signifie d'ailleurs pas que l'on récuse nécessairement sa propre appartenance au courant libéral; c'est juste un appel à un peu de lucidité et de recul critique.

Un peu de quoi ? :icon_up::doigt:

Posté
Doit-on comprendre que tu ne te qualifies plus de "libéral" ?

Tu peux préciser ta question ?

Non vous n'êtes pas des "monstres meurtriers inhumains", vous êtes des obsédés de la pureté idéologique. Ca devient franchement lassant.

Mais enfin Mélo ? Que fais-tu de l'ivresse que procure le nombrilisme ?

Posté
Je crois que c'est un problème insoluble, dans la mesure où le libéralisme fut le premier gauchisme à avoir pu s'établir avec plus ou moins de succès. S'il est aujourd'hui perçu comme appartenant à la "droite", c'est en raison du glissement constant du spectre politique suivant ce que certains ont nommé la "sinistrisation". Depuis deux siècles, nous assistons à une radicalisation des idées de gauche, et par conséquent à de continuelles subdivisions et proliférations de courants jouant la carte du "pas d'ennemis à gauche".

En résumé, les libéraux se sont trouvés débordés par plus progressistes qu'eux, et ce n'est qu'à la faveur de cette évolution que leur doctrine politique a pu être étiquettée "de droite" (ce qui en dit long, en quelque sorte, sur les schémas idéologiques dominants).

A la réflexion, j'aurais peut-être mieux fait d'écrire "distance" en lieu et place de "rupture".

Posté
Non vous n'êtes pas des "monstres meurtriers inhumains", vous êtes des obsédés de la pureté idéologique. Ca devient franchement lassant.

Nous sommes des obsédés de la vérité.

Posté
Comme j'ai horreur de me répéter, je vous renvoie à ce mien commentaire en date du 2 avril :

Et sinon, j'ai déjà exprimé à quelques reprises cette opinion relative au premier gauchisme de l'histoire - ce n'est pas neuf. Produire ce constat ne signifie d'ailleurs pas que l'on récuse nécessairement sa propre appartenance au courant libéral; c'est juste un appel à un peu de lucidité et de recul critique.

Tu vas donc retirer la mention "libéral conservateur" de ton profil ?

Posté
Tu vas donc retirer la mention "libéral conservateur" de ton profil ?

Cela va changer quelque chose à ta vie ?

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Posté

Je crois que quelques heures de cours de logique seraient utiles. Pour l'instant c'est très XIX le discours local sur la vérité, l'axiomatisation, la prouvabilité, la décidabilité, la complétude, la cohérence et autres. Il y a eu de belles découvertes pourtant depuis les années 30…

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