A.B. Posté 13 juillet 2007 Signaler Posté 13 juillet 2007 Oui, comme tu dis, quelle grosse merde… Sans vouloir être désagréable envers notre récent membre éponyme, ce n'est pas de l'art, c'est du cochon. Autant je suis indigné qu'on fasse payer le contribuable autant j'apprécie Dubuffet.
Baltar Posté 13 juillet 2007 Signaler Posté 13 juillet 2007 Le pire c'est qu'il me semble (à vérifier donc) que le record de vitesse par train est japonnais. Sauf que comme c'est un train magnétique ce n'est pas pris en compte comme record de vitesse sur rail. Exact, ça passe toujours à la trappe dans les médias français. Sur wikipedia je trouve: Maglev: 581 km/h en 2003 TGV: 574,8 km/h en 2007
xiii Posté 13 juillet 2007 Signaler Posté 13 juillet 2007 je suis futur fonctionnaire de l'état, j'ai réussit un concours apres mettre battut depuis des mois pour l'obtenir, j'ai travaillé dans le privé je connais bien le libéralisme et j'en suis partisan mais il ya des choses sur lesquelles je ne peux être d'accord comme des inepties sur le sncf, les gens disent que les agents de la sncf sont des fonctionnaired alors que c'est faux, les fonctionnaire sont des gens rattachés à un ministere directement.mais je me sens libéral La dictée est elle au programme de votre concours d'entrée ?
Citronne Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 moi quand j'entend des usagers se plaindre à longeur de journée du reseau sncf sa me fait rire, aller voir en tunisie ou ailleur vous verez que vous etes chanceux, oh, une une fois je regarde fr3 et j'entend les usagers critiquer la sncf car leur train à été arrété plus d'une heures alors que c'était un cheval échappé que le train à percuté, la bétise humaine ne changera jamais.le libéralisme est une belle philosophie sauf pour alimenter la bétise humaine Bon alors je vais te faire part d'une jolie anecdote qui m'était arrivée grâce à la sncf que tu défends tant et si bien. Alors que j'avais 15ans, un ami et moi prenions le train pour rentrer chez moi. En chemin on croise un autre ami et nous décidons de faire le voyage ensemble. Problème, mon ami avait une carte 12/25 périmée mais pris quand même un billet avec la réduction pour la carte 12/25. Le controleur s'en aperçut et malgré le fait qu'il ai acheté son billet, au lieu de lui demander de rembourser la différence, NOUS ordonna de payer 120euros chacun. Aucune raison à cela, mon billet était en règle et celui de mon deuxième ami aussi. Il n'y avait qu'un seul fautif sur nous trois, et si il se devait certe de payer une différence, je doute qu'elle fut de 120euros. Bref, on tenta de négocier et l'ami qui avait fraudé paya la somme demandé (je ne sais plus combien mais on l'avait réduite.) Tout devait bien se passer. Seulement voilà, le controleur n'en avait pas eu assez. Au bout d'un moment, on voit le train s'arrêter en plein milieu du chemin et le controleur revient nous voir en disant: "Dites moi, votre destination c'était quelle ville? Car je crois que nous l'avons déjà dépassée… Bon eh bien écoutez, si vous ne voulez pas repayer 120 euros je vais vous déposer ici." Le train s'arrête et nous dépose… Dans une gare désafectée, près d'une ville se trouvant à 20km AVANT notre destination! En d'autres termes, ils ont d'une part, tenté de nous extorquer illégalement de l'argent sous de faux prétextes, et ensuite ils nous ont virés du train alors que nous n'étions même pas arrivés à destinations et que deux d'entre nous étions mineurs. On a porté plainte à la sncf qui n'a jamais donné suite. Alors ton service public… tu ne veux pas savoir ce que j'en pense, je risque d'être vulgaire.
iossip Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 Bon alors je vais te faire part d'une jolie anecdote qui m'était arrivée grâce à la sncf que tu défends tant et si bien.Alors que j'avais 15ans, un ami et moi prenions le train pour rentrer chez moi. En chemin on croise un autre ami et nous décidons de faire le voyage ensemble. Problème, mon ami avait une carte 12/25 périmée mais pris quand même un billet avec la réduction pour la carte 12/25. Le controleur s'en aperçut et malgré le fait qu'il ai acheté son billet, au lieu de lui demander de rembourser la différence, NOUS ordonna de payer 120euros chacun. Aucune raison à cela, mon billet était en règle et celui de mon deuxième ami aussi. Il n'y avait qu'un seul fautif sur nous trois, et si il se devait certe de payer une différence, je doute qu'elle fut de 120euros. Bref, on tenta de négocier et l'ami qui avait fraudé paya la somme demandé (je ne sais plus combien mais on l'avait réduite.) Tout devait bien se passer. Seulement voilà, le controleur n'en avait pas eu assez. Au bout d'un moment, on voit le train s'arrêter en plein milieu du chemin et le controleur revient nous voir en disant: "Dites moi, votre destination c'était quelle ville? Car je crois que nous l'avons déjà dépassée… Bon eh bien écoutez, si vous ne voulez pas repayer 120 euros je vais vous déposer ici." Le train s'arrête et nous dépose… Dans une gare désafectée, près d'une ville se trouvant à 20km AVANT notre destination! En d'autres termes, ils ont d'une part, tenté de nous extorquer illégalement de l'argent sous de faux prétextes, et ensuite ils nous ont virés du train alors que nous n'étions même pas arrivés à destinations et que deux d'entre nous étions mineurs. On a porté plainte à la sncf qui n'a jamais donné suite. Alors ton service public… tu ne veux pas savoir ce que j'en pense, je risque d'être vulgaire. Abracadabrantesque ! À qui veux tu faire croire un truc pareils ? Faut arrêter la moquette mon gars …
Harald Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 Abracadabrantesque ! À qui veux tu faire croire un truc pareils ? Faut arrêter la moquette mon gars … Tiens! Un chiraquien. Citronne, ce que ne dit pas notre ami fonctionnaire, c'est que les contrôleurs touchent 7% des pv qu'ils dressent au delà de la première cinquantaine. Ce qui explique le zèle dont ils font preuve.
iossip Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 Avec l'argent que nous vole l'Etat, j'espère bien qu'il est meilleur qu'en Tunisie. Mais c'est désastreux comparé à l'Allemagne, la Suisse, l'Angleterre, les Etats-Unis etc.En effet… euh… pour la Grande Bretagne : mauvaise pioche …
Harald Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 euh… pour la Grande Bretagne : mauvaise pioche … http://www.euro92.com/new/article.php3?id_article=606 La vérité sur les chemins de fer britanniquespar Allister HEATH Les défenseurs des monopoles publics ont de quoi se réjouir. Deux exemple étrangers semblent confirmer leurs préventions contre les politiques de privatisation. Il y avait les catastrophiques accidents de chemin de fer en Grande Bretagne. Cet été a vu l'apparition d'une grave pénurie électrique en Californie. Au lieu de baisser comme prévu, les prix de l'électricité vont flamber. Dans les deux cas, les détracteurs du "tout marché" et des privatisations croient y voir une confirmation de leurs thèses. L'apparent échec de ces deux privatisations vient en fait de ce que, dans les deux cas, la libéralisation n'a pas été poussée jusqu'au bout. Les pouvoirs publics se sont arrêtés en chemin, maintenant en place un appareil réglementaire qui est en fait à l'origine des faits dénoncés. C'est particulièrement visible dans l'affaire de l'électricité californienne où les prix au détail sont restés plafonnés alors qu'on déréglementait totalement le commerce des échanges de gros. Mais, nous explique Allister Heath, c'est également le problème des chemins de fer britanniques.La compétition entre les nouvelles entreprises privatisées n'a pas échoué car elle n'a jamais vraiment été testée. Dans les deux cas, il s'agit de réformes qui n'étaient qu'à moitié libérales. ******** Deux accidents de train au Royaume-Uni en octobre 2000 ont fait sortir des rails le peu de soutien dont jouissait en Europe la privatisation des chemins de fer. En l'espace de trois jours, quatre passagers ont trouvé la mort dans un tragique déraillement à Hatfield, au Sud de l'Angleterre, et un accident similaire a fait quatre-vingts blessés à Stafford, dans le Nord du pays. Depuis, les trains britanniques sont en pleine crise. La démission du principal dirigeant des chemins de fer britanniques a fait déborder le vase. En novembre et en décembre 2000, le gouvernement travailliste de Tony Blair a, de facto, repris le contrôle opérationnel du réseau, sans toutefois officiellement renationaliser quoi que ce soit. Depuis, tout semble aller de mal en pis, et si l'on veut arriver à l'heure, il n'est guère conseillé de prendre un train en Grande-Bretagne ces temps-ci. Est-ce vraiment dû à la privatisation ? Les problèmes du système ne proviennent-ils pas en réalité d'un manque de libéralisme, et de réglementations intempestives ? L'introduction de la concurrence dans le système Le moins que l'on puisse dire, c'est que ces accidents, et le chaos qu'ils ont provoqué en Grande-Bretagne, ne pouvaient pas plus mal tomber pour les partisans du libéralisme ferroviaire. La directive européenne 91/440, adoptée en 1991, a placé une bombe à retardement sous les grands monopoles nationaux qui dominent encore le secteur. Les bureaucrates de Bruxelles, dans un rare moment de sagesse, ont décidé que la gestion du transport des voyageurs et des marchandises devra être séparée de celle des voies dans chaque pays de l'Union Européenne. Leur but était d'introduire la concurrence dans le système afin de permettre à différents opérateurs de partager un même réseau, tout comme les compagnies de bus partagent actuellement les mêmes routes. Bien qu'imparfaitement libérale, puisqu'elle rend obligatoire une bipartition des entreprises et qu'elle nécessite une supervision d'une agence de type anti-trust, cette idée va au moins dans la bonne direction. Malheureusement, presque rien ne s'est passé sur le continent européen depuis 1991 malgré cette décision. Les grandes réformes ont été remisées partout sauf au Royaume-Uni. Comme souvent, l'Angleterre a décidé de se lancer seule. C'est ainsi que le gouvernement conservateur de l'époque a divisé le système ferroviaire : d'une part l'intégralité des quelques 16 430km de voie ferrée, des 2480 stations et l'équipement de signalisation, qui constituent l'infrastructure ferroviaire ; cette dénationalisation en 1996 amena la création d'un grand groupe privé nommé Railtrack. D'autre part, différents opérateurs furent chargés des services ferroviaires pour les voyageurs et pour le fret. Ainsi, pour les voyageurs, le pays a été divisé en 25 secteurs, chaque zone étant donnée en franchise à une entreprise spécialisée dans la gestion des services. Ces franchises devaient théoriquement aboutir un jour à une concurrence entre différentes entreprises sur les mêmes trajets. Au total, l'intégralité de l'ancien monopole de la British Rail (c'est à dire la somme des deux parties du nouveau système) s'est trouvée répartie sur près d'une centaine d'entreprises privées. Sur le continent, avant la récente crise en Grande-Bretagne, la fin des monopoles d'Etat était finalement en vue. La compagnie ferroviaire allemande, Deutsche Bahn, étant en train d'être privatisée ; les politiciens de l'UE se réunissant à Bruxelles pour décider de la meilleure façon de rattraper les efforts de privatisation des Anglais. L'opposition du gouvernement français, qui ne supporte pas l'idée que des entreprises non françaises puissent bientôt subvenir aux besoins de la population parisienne en lieu et place de la sacro-sainte SNCF, était prévisible. Le ministre communiste des Transports, Jean-Claude Gayssot se trouve exposé à de fortes pressions de la part des dirigeants syndicalistes. 100 fois plus dangereux d'être piéton Bien qu'il soit tout à fait normal que les réformes anglaises soit examinées de près, de mauvais arguments ont été avancés lors des récents accidents. L'argument le plus important contre la privatisation des chemins de fer est ce bon vieux souci : la sécurité. En réalité, en Angleterre, prendre le train est près de six fois et demie plus sûr que de rouler en voiture, d'après les chiffres donnés par les analystes de l'agence gouvernementale Health and Safety Executive. Plus encore, selon cette même agence, il est près de cent fois moins dangereux de prendre le train que de marcher. "La sécurité des chemins de fer britanniques s'améliore d'année en année" affirme l'expert en transports Christian Wolmar. "Chaque décennie depuis la Seconde Guerre Mondiale a vu décroître le nombre des morts ; celui-ci est passé de 334 morts dans les années 1940 à 46 morts dans les années 1990". M. Wolmar rejette aussi l'idée que les trains anglais soient beaucoup plus dangereux que ceux des autres pays européens. Des chiffres souvent cités montrent que les trains britanniques sont classés en onzième position en Europe pour la sécurité, avec 0,36 morts pour un milliard de kilomètres. En France le nombre de morts par milliard de kilomètres est de 0,27, et en Allemagne il est de 0,31. La première remarque est que ces statistiques sont très proches et ne prouvent pas grand chose. De plus, il y a de fortes raisons de croire que les chiffres anglais exagèrent le nombre de décès dus réellement aux trains. Ces statistiques "comprennent les morts de gens ivres tombant sous les rails des trains, lorsqu'ils sont en possession d'un ticket" précise M. Wolmar. Les autres pays européens ne comptent que les décès dus aux déraillements et collisions. De plus, beaucoup de trains anglais sont utilisés régulièrement par des "commuters". Ces services intensifs détériorent davantage le réseau que l'utilisation moindre qu'en font la France et l'Allemagne. En fait, la sécurité s'est probablement améliorée depuis la privatisation des trains. Ainsi, le nombre de signaux "passés avec danger" (l'équivalent de "griller" un feu rouge sur la route) est actuellement de 480 par an au lieu de 870 annuels pendant les six ans précédant la privatisation, d'après les derniers chiffres officiels. Le nombre de déraillements et de collisions a aussi considérablement diminué et moins de rails nécessitent réparation ou remplacement. A la mi-octobre 2000, le nombre de passagers avait augmenté de 30% depuis la privatisation, et la quantité de fret de 13%. Une économie en expansion et la congestion des autoroutes sont certes un facteur de cette croissance, mais de loin la majeure partie de ce boom est due aux bonnes stratégies de marketing et aux systèmes de prix novateurs proposés par les entreprises privées. Le legs de la nationalisation Cependant, les chemins de fer britanniques sont loin d'être parfaits, même sans les problèmes des derniers mois. Retards et annulations sont monnaie courante, et les employés presque aussi revêches que leurs confrères de la Deutsche Bahn. De bien des façons, les nouvelles entreprises ne sont que des microcosmes de l'ancien monopole. Il y a bien eu des changements cosmétiques (les employés portent des uniformes plus élégants que leurs collègues français, et les voyageurs se sont métamorphosés en "clients") mais l'attitude générale reste désespérément bureaucratique. Bien que la sécurité se soit améliorée, l'index de ponctualité calculé par les régulateurs a chuté de 25% pendant les six mois précédant octobre 2000. Ceci explique pourquoi le temps n'est plus le sujet de conversation typique des anglais : nous nous plaignons maintenant du délabrement des trains… Le mauvais service, l'inconfort des voitures et le mauvais entretien des rails sont le legs de la nationalisation. Le gouvernement britannique a longtemps contrôlé les chemins de fer sans pour autant y investir grand chose. Contrairement à la France, où l'Etat a fait dépenser des centaines de milliards de francs aux contribuables pour les TGV, les chemins de fer Outre-Manche furent privés d'argent pendant au moins un quart de siècle. Comment quelques années de privatisation pourraient-elles réparer si vite les maux de plusieurs décennies ? En outre, la privatisation n'a pas été menée à son terme. Plutôt que de déréglementer entièrement les relations entre les nouvelles entreprises, les régulateurs ont gardé le pouvoir. Railtrack obtient la majorité de ses revenus à partir des frais imposés aux opérateurs qui empruntent ses réseaux ferroviaires. La première erreur économique des régulateurs a été d'imposer un système de tarification forfaitaire. Ce qui fait que 9% seulement des charges versées à Railtrack en 1998-99 tenaient compte de l'intensité d'utilisation, d'après le rapport annuel de l'entreprise. C'est à dire que Railtrack gagne la même somme, que l'opérateur fasse circuler cinquante ou cent trains. Rien ne motive donc l'entreprise, qui ne cherche pas à développer son réseau pour faire face à la demande. D'où des tensions avec les opérateurs dont les services profiteraient d'une amélioration de l'infrastructure. Les politiciens français devraient aussi considérer la deuxième grande erreur britannique : les opérateurs doivent payer des amendes dès que leurs trains accumulent du retard ; or les travaux sur les voies ferrées, dont ils n'ont pas le contrôle, contribuent à ces retards. Ils refusent donc de discuter l'amélioration et le développement du réseau avec Railtrack. Les travaux sont bâclés, menaçant la sécurité des passagers et ouvrant la porte à des accusations mal placées "d'échec du marché". Il est clair que le temps de réparation des rails ne devrait pas nécessairement être pris en compte dans l'évaluation des retards d'un opérateur. La véritable solution libérale L'échec partiel des réformes britanniques est imputable au fait qu'elles ne sont qu'à moitié libérales. La France doit tenir compte des ces erreurs et véritablement privatiser son système ferroviaire si elle ne veut pas tomber dans le même piège. Seule une industrie fondée sur la propriété privée, sur la liberté des contrats et affranchie de toute réglementation étatique peut assurer le transport des passagers et des marchandises d'une façon réellement efficace et juste. Allister Heath est un économiste diplômé de la London School of Economics et de l'Université d'Oxford. Il est Directeur des Recherches à la European Foundation à Londres et écrit régulièrement pour des journaux internationaux. allister_heath@yahoo.co.uk
0100011 Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 Pour information il s'agit d'une oeuvre de Dubuffet intitulée "Chaufferie avec cheminée". Enfin, pour être précis il s'agit d'une copie très agrandie faite en résine par un atelier spécialisé. L'original de Dubuffet ne dépasse pas 1,20m. En plus ils se permettent d'agrandir une chose pareille ?!?! L'humanité court à la catastrophe.
Invité fonctionpublique Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 Cher fonctionnaire,Vous avez reçu un message de la modération. Veuillez vous en inspirer avant de poursuivre sur ce forum sous peine de sanctions. N.B. : pour votre édification, ce forum est un lieu privé où vous pourrez vous exprimer tant que vous respecterez les conventions qui y sont d'usage (veuillez vous référer à la charte). EN fait sur ce forum la liberté d'expression et le droit à la défense n'est pas de mise. En fait faut-t-il tout privatiser, mais absolument tout et supprimer les fonctionnaire En fait la limite de la liberté d'expression, est de ne pas être dans le courant de la haine ambiante. A méditer, c'est la crédibilité de ce forum, qui est discuter peut-être sur d'autres sites d'internet, liberaux org ne pourra pas contrôler tous les forums du net.
Ronnie Hayek Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 EN fait sur ce forum la liberté d'expression et le droit à la défense n'est pas de mise.En fait faut-t-il tout privatiser, mais absolument tout et supprimer les fonctionnaire En fait la limite de la liberté d'expression, est de ne pas être dans le courant de la haine ambiante. A méditer, c'est la crédibilité de ce forum, qui est discuter peut-être sur d'autres sites d'internet, liberaux org ne pourra pas contrôler tout les forums du net. Allez, le refrain habituel !
Jesrad Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 EN fait sur ce forum la liberté d'expression et le droit à la défense n'est pas de mise. Bien sûr que si. Tu es libre de t'exprimer, et l'admin est libre de te mettre hors de chez lui. En fait la limite de la liberté d'expression, est de ne pas être dans le courant de la haine ambiante. Il n'y a pas de limite à la liberté d'expression. Il y a par contre une limite que chacun détermine librement à ce qu'il accepte d'entendre et de voir. Je suis libre de ne pas lire tes messages et d'ignorer tes opinions. A méditer, c'est la crédibilité de ce forum, qui est discuter peut-être sur d'autres sites d'internet, liberaux org ne pourra pas contrôler tous les forums du net. Encore heureux qu'il y a des gens pour critiquer. Sinon de qui pourra-t-on se moquer ?
Invité fonctionpublique Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 Abracadabrantesque ! À qui veux tu faire croire un truc pareils ? Faut arrêter la moquette mon gars … Je trouve cette histoire assez incroyable, mais il ne faut s'étonner de rien. Un billet avec une carte périmée, c'est un voyage sans billet, mais pour ceux qui sont en règle, il n'y avait aucune raison de mettre un PV, et le ne serait pas plutôt un PV pour le comportement à l'égard de ce contrôleur les 120 € me paraissent élevés pour un simple voyage sans billet. Le train arrêté en campagne, là c'est vraiment du délire. Les voyageurs en règles verbalisés abusivement avaient les preuves pour leur contestations, mais sont-ils bien sûrs d'avoir composté leur billet. Mais dans un site anti fonctionnaire primaire, on peut dire n'importe quoi, du moment, que c'est contre les fonctionnaires, au passage à la SNCF, ils ne sont pas fonctionnaires.
phantom_opera Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 Abracadabrantesque ! À qui veux tu faire croire un truc pareils ? Faut arrêter la moquette mon gars … Citronne est une fille.
Nick de Cusa Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 En fait faut-t-il tout privatiser, mais absolument tout et supprimer les fonctionnaire Il faut supprimer le statut de fonctionnaire: emploi à vie, financement des régimes spéciaux par les autres Français. A part ça, l'immense majorité des missions remplies par des fonctionnaires pourraient l'être, mieux et moins cher, par des indépendants ou des entreprises aux auquels on accorderait des concessions, par exemple par appel d'offres. Ca ne poserait aucun problème et réduirait énormément la gâchis, et ça donnerait plus de droits aux clients puisque, face à une personne privée, on peut se plaindre, voir la poursuivre, et qu'elle a intérêt à fournir un service impeccable sous peine de ne pas voir renouvelée sa concession. Alors face au "service public" (signification réelle: le public est à son service) tout ce que tu peux faire est avaler ton humiliation, et chercher des moyens pour faire tomber le mur.
Nick de Cusa Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 LES FONCTIONNAIRES PAYENT LEURS IMPÔTS COMME TOUS LE MONDE C'est fallacieux de dire ça: ils touchent plus d'argent des impôts qu'ils n'en versent. Au final donc, ils sont receveurs d'impôts et non pas payeurs.
phantom_opera Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 Alors face au "service public" (signification réelle: le public est à son service)Il y avait aussi la formule d'Aurel: le sévice public
Citronne Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 Abracadabrantesque ! À qui veux tu faire croire un truc pareils ? Faut arrêter la moquette mon gars … A vrai dire, à toi je n'ai rien à prouver. Tu ne souhaites pas y croire, je ne vais pas te faire un lavage de cerveau. Mais justement, c'est tellement énorme comme histoire que tu devrais te demander si ce n'est pas vrai. Si j'étais réellement une anti-sncf primaire, j'aurais plutôt fait comme tout le monde et parlé bêtement de retards. etc…. Dans cette histoire, il se trouve que sur ce forum se trouve l'un des amis qui était avec moi dans ce train. Et il se trouve également que je suis toujours en contact avec le deuxième ami à qui est arrivé cette histoire. J'ai également une autre personne de mon entourage qui peut témoigner nous avoir vu tout les trois dans une ville où nous n'aurions pas du nous trouver et dont la gare est effectivement désaffecté. Donc si tu veux le récit des autres personnes, je peux les inviter à confirmer mes dires. fonction publique: Oui nous avions compostés nos billets, mais même avec des billets compostés, rien ne justifie l'acte. Surtout pas envers deux mineurs de moins de seize ans. Ensuite, j'estime que vous jugez ce forum et le comportement des membres un peu vite. Ce n'est pas tant les fonctionnaires que l'on critique, ils ont le droit d'avoir un boulot comme tout le monde. Certains membres de ce forum sont fonctionnaires et mes propres soeurs le sont également. Ce n'est pas pour autant que je vais les insulter etc… Il suffirait de parler poliment et posément pour que l'on réponde mieux…
Mobius Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 Je n'ai aucun mal à croire citronne quand je vois des trucs comme ceci (AMTRAK est une entreprise d'état)
Coldstar Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 EN fait sur ce forum la liberté d'expression et le droit à la défense n'est pas de mise. Y'a pas de droit à la défense qui tienne quand il n'y a pas d'agression.
ULYSSE Posté 14 juillet 2007 Signaler Posté 14 juillet 2007 Bon alors je vais te faire part d'une jolie anecdote qui m'était arrivée grâce à la sncf que tu défends tant et si bien.Alors que j'avais 15ans, un ami et moi prenions le train pour rentrer chez moi. En chemin on croise un autre ami et nous décidons de faire le voyage ensemble. Problème, mon ami avait une carte 12/25 périmée mais pris quand même un billet avec la réduction pour la carte 12/25. Le controleur s'en aperçut et malgré le fait qu'il ai acheté son billet, au lieu de lui demander de rembourser la différence, NOUS ordonna de payer 120euros chacun. Aucune raison à cela, mon billet était en règle et celui de mon deuxième ami aussi. Il n'y avait qu'un seul fautif sur nous trois, et si il se devait certe de payer une différence, je doute qu'elle fut de 120euros. Bref, on tenta de négocier et l'ami qui avait fraudé paya la somme demandé (je ne sais plus combien mais on l'avait réduite.) Tout devait bien se passer. Seulement voilà, le controleur n'en avait pas eu assez. Au bout d'un moment, on voit le train s'arrêter en plein milieu du chemin et le controleur revient nous voir en disant: "Dites moi, votre destination c'était quelle ville? Car je crois que nous l'avons déjà dépassée… Bon eh bien écoutez, si vous ne voulez pas repayer 120 euros je vais vous déposer ici." Le train s'arrête et nous dépose… Dans une gare désafectée, près d'une ville se trouvant à 20km AVANT notre destination! En d'autres termes, ils ont d'une part, tenté de nous extorquer illégalement de l'argent sous de faux prétextes, et ensuite ils nous ont virés du train alors que nous n'étions même pas arrivés à destinations et que deux d'entre nous étions mineurs. On a porté plainte à la sncf qui n'a jamais donné suite. Alors ton service public… tu ne veux pas savoir ce que j'en pense, je risque d'être vulgaire. sacré Ronnie ! C'est pas la première fois qu'il se déguise en contrôleur SNCF pour donner une mauvaise image du service public en emmerdant les voyageurs… Et il faut avouer que ça marche à tous les coups!!
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