Invité jabial Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 (je n'ai pas réussi à trouver l'image appropriée sur Google mais ceux qui ont vu Constantine comprendront) JE T'EVOQUE DANS LA LUMIERE!
WALDGANGER Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Quelqu'un s'est emparé du clavier de Waldganger et lui fait écrire n'importe quoi !Oscourt ! Oscourt ! C'est vrai, je sais pas trop ce qui m'arrive ces derniers temps C'est peut être parce que ça fait plusieurs jours que je dors plus. Mais là en l'occurence je pense être d'accord avec moi.
h16 Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Ce n'est pas rassurant et ton occurrence manque d'R.
WALDGANGER Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 C'est donc plutôt similaire à l'amour de la patrie. oui au final c'est ça, la comparaison avec l'amour porte plus sur le processus par lequel on tombe amoureux, on commence à regarder une équipe qui n'a pas d'intéret pour nous et on finit par y attacher des choses que l'on crée de toute pièce. La différence avec le patriotisme au final c'est que l'on peut très bien savoir au fond de soi que ça n'est pas sérieux. Mais c'est comme un enfant qui a un ami imaginaire, je pense qu'au fond de lui il le sait très bien, mais le reconnaitre serait faire perdre tout intéret au jeu.
Mike Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 C'est donc plutôt similaire à l'amour de la patrie. Bof. The glory of your tribe, tout au plus. J'aime le football parce que ça permet à tous les gens d'une même ville de se retrouver et d'échanger sur un sujet pour lequel tout le monde sera d'accord: l'OM doit gagner et les autres doivent perdre. Au fond d'eux, tous les supporters savent que c'est ridicule de pousser un ballon au fond d'une cage, mais ce n'est pas de ça dont il est question. Ce dont il est question c'est d'entretenir deux dynamiques essentielles de l'être humain: le conflit, vis à vis d'un ennemi imaginaire, et l'amitié et les relations avec des gens que l'on croise tous les jours dans la rue mais que l'on n'ose pas aborder pour parler de la pluie et du beau temps. D'ailleurs je pense que si on a pas eu de 3ème GM, c'est parce qu'on a inventé la Coupe du Monde de football.
alex6 Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Waldganger se drogue, pas d'autre explication possible…
h16 Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Waldganger se drogue, pas d'autre explication possible… Possible. Il reste rigolo à lire, ceci dit.
Harald Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Bof. The glory of your tribe, tout au plus. J'aime le football parce que ça permet à tous les gens d'une même ville de se retrouver et d'échanger sur un sujet pour lequel tout le monde sera d'accord: l'OM doit gagner et les autres doivent perdre. Au fond d'eux, tous les supporters savent que c'est ridicule de pousser un ballon au fond d'une cage, mais ce n'est pas de ça dont il est question. Ce dont il est question c'est d'entretenir deux dynamiques essentielles de l'être humain: le conflit, vis à vis d'un ennemi imaginaire, et l'amitié et les relations avec des gens que l'on croise tous les jours dans la rue mais que l'on n'ose pas aborder pour parler de la pluie et du beau temps. D'ailleurs je pense que si on a pas eu de 3ème GM, c'est parce qu'on a inventé la Coupe du Monde de football.
alex6 Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Il reste rigolo à lire, ceci dit. La drogue n'empêche pas de pouvoir être marrant, cela allait sans dire
Mike Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Harald, tu as raison, la quasi totalité des supporters que j'ai eu la chance de rencontrer sont de dangereux et violents criminels.
Ronnie Hayek Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Je ne prétends avoir le monopole du bon goût, moi. Dixit le distributeur automatique de certificat de conformité idéologique.
h16 Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Harald, tu as raison, la quasi totalité des supporters que j'ai eu la chance de rencontrer sont de dangereux et violents criminels. … d'ailleurs, j'écris depuis ma cellule où je fus incarcéré suite à mes exactions en tant que supporter du FC-Troufigny.
POE Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Harald, tu as raison, la quasi totalité des supporters que j'ai eu la chance de rencontrer sont de dangereux et violents criminels. Sans doute que non, mais le comportement des animaux en groupe varie nettement de celui de l'individu isolé.
alex6 Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Harald, tu as raison, la quasi totalité des supporters que j'ai eu la chance de rencontrer sont de dangereux et violents criminels. Ils ont surtout autant de neurone qu'un poulpe dès qu'ils s'approchent à moins de 100mètres d'un stade.
Ash Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Canal + payerait le football quand bien même ça lui couterait 1 milliard.C'est la même chose à chaque fois qu'une renégociation a lieu, tous les 3 ans: "ce championnat il est pourri, on le prend parce que vraiment on est bien bon mais l'année prochaine on arrête…" Cette chaine a basé son développement sur le football, les films, et le porno. Ils se sont fait souffler le porno par internet, les films sont de plus en plus rares et de plus en plus chers, il ne leur reste que le ballon. Sans lui ils ne sont rien. Faux ! Il leur reste le chval !
WALDGANGER Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 La drogue n'empêche pas de pouvoir être marrant, cela allait sans dire Non mais arrétez je suis très sérieux Pour Harald: c'est le problème du jeu de role qui tourne mal. Plus tu t'identifies à ton équipe, plus tu joues le jeu à fond, plus tu peux ressentir d'émotions. Et si tu vas trop loin, ça peut effectivement basculer du mauvais coté, mais comme pour les jeux de role ça reste minoritaire (même si il est beaucoup plus facile de basuler dans le foot). SAO PAULO (AP) - Un Brésilien de 21 ans et ses deux parents ont été tués après que le jeune homme a accepté d’être assassiné avec sa famille s’il perdait un jeu de rôles "meurtre et mystère"
alex6 Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 J'ai une autre explication, tu n'as plus eu de copine depuis longtemps (et tu prends de la drogue pour oublier)
h16 Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Non mais arrétez je suis très sérieux Pour Harald: c'est le problème du jeu de role qui tourne mal. Plus tu t'identifies à ton équipe, plus tu joues le jeu à fond, plus tu peux ressentir d'émotions. Et si tu vas trop loin, ça peut effectivement basculer du mauvais coté, mais comme pour les jeux de role ça reste minoritaire (même si il est beaucoup plus facile de basuler dans le foot). "basculer dans le foot" : bien dit. D'autre, c'est dans la luxure ou l'opprobre. Comme quoi…
0100011 Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Ils ont surtout autant de neurone qu'un poulpe dès qu'ils s'approchent à moins de 100mètres d'un stade. Je m'en voudrais de faire partir en sucette un fil de discussion sérieux mais là il me semble que dès le titre on pouvait s'attendre au pire. Je ne résiste donc pas à faire remarquer que le poulpe est un animal très intelligent (second au classement des animaux aquatiques d'après un sondage ipsos).
alex6 Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Je ne résiste donc pas à faire remarquer que le poulpe est un animal très intelligent (second au classement des animaux aquatiques d'après un sondage ipsos). Je m'en voudrais d'être insultant envers le pouple, je le remplace donc par limace.
POE Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Je ne résiste donc pas à faire remarquer que le poulpe est un animal très intelligent (second au classement des animaux aquatiques d'après un sondage ipsos). Comme le supporter, il faut battre le poulpe pour qu'il soit tendre …
Ronnie Hayek Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Je ne résiste donc pas à faire remarquer que le poulpe est un animal très intelligent (second au classement des animaux aquatiques d'après un sondage ipsos). Lucilio sera très certainement de cet avis.
alex6 Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Comme le supporter, il faut battre le poulpe pour qu'il soit tendre …
Invité jabial Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Le poulpe est effectivement un animal intelligent, qui se débrouille très bien dans les expériences de type labyrinthe et résolution de problèmes concrets.
Punu Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 LA POLÉMIQUE DES POULPESNouvelle d'Alberto Moravia (1907-1990) (Récit de jeunesse, édité en 1956, Italie) Pêché et jeté au fond du bateau, le poulpe resta immobile des heures durant. Ensuite, une fois à terre, plongé dans un baquet d'eau salée, ranimé, il revient à la surface et cria: «Un moment!» Je lui demandai ce qu'il voulait. Il répondit: «Connaître mon sort.» Je dis: «Tu seras bouilli, assaisonné avec de l'huile, du sel, du citron, du persil et enfin mangé.» Le poulpe parut déconcerté et secoua sa petite tête en répétant: «Bouilli, assaisonné avec de l'huile, du sel, du citron, du persil et mangé… je ne comprends pas, vraiment je ne comprends pas…» Intrigué, je demandai ce qu'ils prévoyaient, au fond de la mer. Il s'enfla de suffisance et répliqua: «Ce que tu me demandes n'est pas rien: autant dire une histoire complète de nos croyances… Peu de poulpes seraient en mesure de satisfaire ta curiosité… tu as la chance d'être tombé sur un poulpe instruit… Je t'avertis que c'est une longue histoire.» Je l'incitai à parler et, sur un ton doctrinal, il commença: «Eh bien, les choses, mais vraiment en gros, se sont passées, en mer, de la façon suivante. Pendant des siècles et des siècles, les poulpes ont cru qu'au-dessus de la mer il y avait un endroit appelé Terre, où ils allaient au terme de leur vie, terme qu'ils appellent Pêche. Une fois pêchés, les poulpes qui, dans leur vie, s'étaient bien conduits allaient dans un endroit appelé Vivier. Ce Vivier était un réservoir profond, large et long de mille milles et entièrement rempli de millions et de millions de ces petits et exquis poissons dont précisément se nourrissent les poulpes. Assis sur le rebord du Vivier, les bons poulpes n'avaient qu'à tendre leurs tentacules et à choisir le poisson qu'ils désiraient. C'est ce qui s'appelle la béatitude du Vivier. En revanche, les mauvais poulpes finissaient, après la Pêche, dans une fosse non moins grande que le Vivier, mais pleine de requins très cruels qui les déchiquetaient pour l'éternité. -- Bien vu, dis-je, et on y croit encore parmi les poulpes? -- On n'y croit plus, répondit le poulpe. Une génération de poulpes, audacieuse ou impie, je n'en sais rien, il n'y a pas tant d'années que ça, attaqua cette croyance et parvint à démontrer que ce n'était que le rêve d'un monde meilleur, heureux et libre, ayant pour origine les terribles conditions dans lesquelles vivaient et ont toujours vécu en réalité les poulpes au fond de la mer. Ne pouvant jamais manger à satiété, contraints de gagner leur pitance de poissons à la sueur de leur petit front, toujours assaillis par la misère, par les requins, la faim et les maladies, les poulpes, selon ces sceptiques, avaient fini par se construire une espèce de monde idéal dans l'au-delà, presque en compensation des innombrables insuffisances du monde réel d'ici-bas. -- Et que mettaient-ils à la place du Vivier, ces sceptiques? demandai-je. -- C'est là le problème, rétorqua le poulpe. Ils ne mettaient rien… ils disaient que les poulpes devaient bien se conduire, sans espérer de récompense ni craindre de châtiment… avec pour seuls critères l'intelligence et la conscience morale. -- Ils sont très bien, ces poulpes. -- Doucement…, avertit le poulpe. J'ai dit: ils devaient… en réalité les choses se sont finalement passées autrement… les poulpes, ayant découvert que dans l'au-delà il n'y avait ni récompense ni châtiment, mais bel et bien le néant, décidèrent que, dans ces conditions, tout était permis… Les poulpes s'abandonnèrent donc à leurs instincts et il faut que tu saches que les instincts des poulpes n'ont rien de charmant… ils se mirent à se voler mutuellement, à s'entre-tuer, à se poursuivre les uns les autres… les gros écrasèrent les petits, les petits se réunirent pour combattre les gros… un désastre. -- Qui dure encore maintenant? -- Non, dit le poulpe. On ne pouvait pas continuer comme ça et tout a changé une fois de plus… il est survenu, en fait, une autre génération de poulpe, qui, vu l'insupportable anarchie où avait sombré notre nation, imagina une autre théorie ou croyance propre, justement, à déjouer l'anarchie… cette théorie, d'ailleurs, rassemble quelques éléments de l'ancienne croyance du Vivier et quelques affirmations de l'école sceptique… Alors qu'elle soutient, elle aussi, que dans l'au-delà il n'y a rien, elle promet tout de même le Vivier, mais pas à terre et après la Pêche, déjà en mer, et au bout d'un certain laps de temps. -- Explique-toi. -- Je m'explique: ces nouveaux poulpes, après avoir étudié attentivement l'ancienne croyance, en vinrent à la conclusion qu'elle avait eu, au moins, l'excellent avantage de faire en sorte que les poulpes soient bons et travaillent… mais désormais l'illusion s'était évanouie et il n'y avait plus rien à faire; aucun poulpe n'aurait jamais plus cru à la fable du Vivier… alors qu'est-ce que ces nouveaux poulpes imaginèrent? Ils déclarèrent que, d'un point de vue technique, le Vivier de l'ancienne croyance était, après tout, réalisable, à condition que les poulpes le veuillent. Bref, il s'agissait de construire au fond de la mer un réservoir carré, long, large et profond de mille milles, et d'y mettre toutes sortes de poissons et de prendre des dispositions pour que les poissons prolifèrent et se multiplient au fur et à mesure qu'ils étaient mangés… Une fois ce réservoir construit, dirent-ils, les poulpes vivraient véritablement dans la merveilleuse béatitude du poisson abondant et facile… et toutes leurs misères finiraient pour toujours. Le croiras-tu? Bien que le Vivier soit toujours resté le même, avec les mêmes effets et les mêmes propriétés, et bien que la différence entre l'ancienne croyance et la nouvelle se réduise au fond seulement au fait que l'avènement du Vivier soit renvoyé non plus à l'après-Pêche, mais à un avenir indéterminé, la théorie conquit les poulpes en un clin d'oeil. De l'anarchie, ils passèrent, comme par miracle, à l'ordre le plus rigoureux et se mirent à construire le Vivier… -- Un moment, dis-je. Il ne s'agissait pas, après tout, du même Vivier… le premier était un rêve, comme tu l'as dit, le second une réalité. -- Une réalité dans des siècles et des siècles, corrigea le poulpe, autrement dit presque un rêve… En effet, la construction d'un tel Vivier, profond, large et long de mille milles, dépasse de beaucoup la vie du poulpe… Mais ce qui importait le plus était de créer un nouvel espoir… Je ne sais pas ce qu'il en est pour vous autres, les hommes, mais les poulpes ne peuvent pas vivre sans espoir… Autrefois, ils espéraient dans le Vivier à terre, après la Pêche, et ils se tenaient bien, maintenant ils espèrent dans le Vivier en mer et ils se tiennent bien… Pour se tenir bien et ne pas s'entre-dévorer ils ont besoin, au fond, d'espérer dans un Vivier quelconque… ce n'est pas significatif, tout ça?» Je lui demandai pourquoi il avait adopté ce ton mélancolique. Il répondit: « Peut-être t'en seras-tu déjà aperçu… j'appartiens à l'école sceptique… et je pensais, comme je le pense encore, qu'il aurait été souhaitable que les poulpes se conduisent bien sans espérer en aucun Vivier… mais à ce qu'il semble, ce n'est vraiment pas possible. Et pourtant le poulpe devrait espérer à la mesure du poulpe. Chaque fois que cet espoir dépasse excessivement les possibilités effectives du poulpe, je subodore une tromperie. -- À savoir? -- À savoir, dit le poulpe, que le poulpe peut espérer aller moins mal, ou tout au plus aller mieux; mais il ne peut absolument pas espérer aller bien et encore moins imposer aux autres poulpes de l'espérer. S'il fait ça, eh bien, je n'hésite pas à déclarer qu'il se trompe lui-même ou qu'il trompe les autres… ou, comme cela se produit souvent, il se trompe lui-même et il trompe tous les autres en même temps. -- Sceptique petit poulpe! m'écriai-je. Mais enfin, peut-on savoir en quoi tu crois? -- Je crois, répondit le poulpe avec une véhémence mêlée de mélancolie, dans le poulpe. -- Et ce poulpe? -- Ce poulpe devra toujours peiner pour attraper des poissons et les requins l'attaqueront toujours et il n'y aura jamais assez de poissons et la nécessité et la douleur formeront toujours la vie du poulpe. -- Allez, je suis désolé, mais j'en ai assez entendu… la casserole ne peut pas attendre davantage… si tu n'as rien d'autre à dire… -- Rien d'autre, dit le poulpe. Mais qui aurait pu prévoir ça?… bouilli, assaisonné avec de l'huile, du sel, du persil et du citron et mangé… je n'y comprends rien… ce n'est pas le Vivier, ce n'est pas le néant… c'est quelque chose de différent. -- Exactement», dis-je en le saisissant et en le jetant dans l'eau bouillante.
0100011 Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Je m'en voudrais d'être insultant envers le pouple, je le remplace donc par limace. D'après le forum "magicmaman" les limaces permettent un traitement naturel des oreillons. Je crois qu'il faut dès lors se résoudre à la comparaison la pire qui soit : ils ressemblent à des supporters de foot.
WALDGANGER Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Pour revenir à des choses plus sérieuses, je ne sais pas quelle est exactement la forme que prend l'adjudication des droits (c'est une enchere je crois mais de quelle forme?), il peut être rationnel pour canal de faire croire à ses concurrents que son offre va diminuer sans que ce soit réellement le cas. C'est aussi sont intéret de faire croire que le championnat est moins intéressant qu'il ne l'est en réalité (enfin ça dépend à qui on s'adresse, dans ses pubs, canal ne se prive évidemment pas de vanter les mérites de la ligue1).
alex6 Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Je retire, en m'excusant platement pour celles et ceux qui nous lisent, mon insulte envers les pouples et les limaces.
Harald Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 Harald, tu as raison, la quasi totalité des supporters que j'ai eu la chance de rencontrer sont de dangereux et violents criminels. Je sais, c'est très mal de généraliser. Cependant ce n'est pas de ma faute si les supporters s'ingénient très régulièrement à faire la une des journaux par leur conduite. Et je compte même pas les matches opposant des équipes de 1000ème division où de délicats individus trouvent du dernier chic de balancer des canettes sur la tronche de l'arbitre, lorsqu'ils ne le coursent pas jusque dans les vestiaires.
h16 Posté 29 août 2007 Signaler Posté 29 août 2007 des équipes de 1000ème division Elles doivent être terriblement grass-root, je suppose.
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.