0100011 Posté 20 septembre 2007 Signaler Posté 20 septembre 2007 de la bonne nouvelle du jour : 8 petits milliards de déficits qui étaient cachés sous le tapis. Le tout grâce à la clareté des comptes qui qualifiait cette dette du doux nom de "Service annexe d'amortissement de la dette de la SNCF". La dette publique de la France au sens européen a été alourdie de 8,1 milliards d'euros pour 2006, ce qui la porte à 64,2% contre 63,7% précédemment, annoncé l'Insee dans un communiqué. Ce nouveau calcul intervient après la prise en compre d'une partie de la dette de la SNCF, à la demande de l'office européen des statistiques économiques. La dette du transporteur public était jusqu'ici comptabilisée au nom du Service annexe d'amortissement de la dette de la SNCF, une entité sans personnalité juridique, mais assumée financièrement par l'Etat, afin de la retirer du bilan de l'entreprise. source : http://www.lejdd.fr/cmc/scanner/economie/2…sncf_56887.html J'aime bien aussi la notion de "dette publique de la France au sens européen", on se demande quel est le chiffre "au sens strict"
h16 Posté 20 septembre 2007 Signaler Posté 20 septembre 2007 Une dette, au sens strict, serait "ce que doit l'entreprise au temps T pour l'avoir contracté au temps T-N, plus ce que l'entreprise va devoir dans le futur et qu'elle contracte du fait de sa simple existance", c'est à dire les dettes qu'elle fait et a fait, et les dettes qu'elle ne pourra pas ne pas faire. Pour la France, ça fait plus de 2000 milliards. Mais ce chiffre est tellement effrayant qu'il n'est pris en compte par personne.
Rémy Posté 20 septembre 2007 Signaler Posté 20 septembre 2007 Mais ce chiffre est tellement effrayant qu'il n'est pris en compte par personne. Mais enfin H16 : il n'y aucun risque, l'Etat ne peut pas faire faillite. Quoi l'Argentine?
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