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Programme Libéral


Freeman

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J'ai cherché à écrire un programme qui pourrait rassembler tous les libéraux… Je ne sais pas si j'y suis arrivé… Enfin jugez par vous-mêmes !

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Nous avons coutume d’associer l’Etat à des institutions élaborant des règles de conduite qui sont censées être suivies par le plus grand nombre. Ne dit-on pas « sans Etat, point de salut ? ». Qu’est-ce qui nous vient à l’esprit quand nous pensons à l’Etat ? Certainement pas qu’il nous rackette en permanence, qu’il est une organisation criminelle, mafieuse. Nous disons plutôt « L’Etat me prend mon argent, certes, mais en échange il me rend des services » ou encore « L’Etat est nécessaire pour canaliser la nature humaine, sans lui les gens s’entre-tueraient » et enfin, pour quelques uns, « L’Etat me prend mon argent mais il le donne à ceux qui en ont besoin, c’est social » ( même si cela reste une forme de racket, car y avez-vous consenti ? ).

Mais si l’Etat nous rend des services, ceux-ci sont-ils à la hauteur de nos espérances ? Les bavures policières, souvenons-nous de Malik Oussekine ou de tous ces innocents passés sur la chaise électrique ; les défaillances de la justice, Outreau et ses familles brisées, non indemnisées. Que dire du Viet Nam ! Quand vous étiez, il n’y a pas si longtemps encore, contraint, par les hommes de l’Etat, à faire votre service militaire et partir en guerre… Qui se souvient de ces jeunes tués au combat ? L’Etat est-il juste, moral ? Toutes les lois sont-elles réellement guidées par la raison ? Et qu’est-ce que la raison sinon l’idée où la perception que l’on s’en fait ?

L’Etat n’est pas démocrate. Dans un contexte libéral, de sérieux aménagements sont envisageables, c’est ce que nous appellerons le libéralisme politique (I). Les hommes de l’Etat ne sont ni ouverts, ni progressistes, de profondes réformes visant à rétablir une égalité réelle entre les individus sont plus que jamais nécessaires, il s’agit du libéralisme social (II). Mais les politiques cherchent aussi à maintenir leurs privilèges sur le dos de la population et semblent s’opposer à la liberté économique, tout en maintenant une politique sociale étatiste, ici seront examinés des pistes conduisant au libéralisme économique (III). Enfin, sera traité ici ce que devrait être la politique étrangère d’un Etat devenu libéral par nécessité économique et politique (IV).

I) LE LIBERALISME POLITIQUE

Les hommes de l’Etat refusent la démocratie (A) mais une autre politique est possible (:icon_up: et celle-ci répondra aux enjeux futurs ©.

A) Le refus de la démocratie par les hommes de l’Etat

Nous savions, à la lecture du Léviathan de Hobbes, que la nature humaine est imparfaite. Celui-ci sourirait aujourd’hui s’il analysait l’évolution politique prise par chaque Etat. Prenons l’exemple de la France. Si nous voulions caricaturer grossièrement, nous dirions que la foi en Dieu à l’époque de l’Ancien Régime a été remplacée depuis la Révolution par la foi en l’Etat. Est-il juste, cet Etat ?

Si l’on s’en tient à son évolution, il l’a rarement été. La Révolution française a été cruelle, tout comme le furent le Régime de Vichy ou la période napoléonienne. La démocratie s’est cependant imposée au cours du XIXème siècle.

Aujourd’hui, qu’en est-il exactement ? Nous constatons l’hégémonie de l’UMP et du PS, une faible représentation des petits partis. Plusieurs millions d’électeurs ne sont pas représentés à l’Assemblée Nationale. Quand au Sénat, sa tendance politique est toujours la même depuis sa création. Bref, comme Hayek le prédisait, c'est la tyrannie de la majorité qui domine. Bien sûr, la démocratie a ses défauts, ses inconvénients… N'a-t-elle pas porté au pouvoir des dictateurs par le passé ? Cependant, ceci doit être tempéré. En renforcant la démocratie, paradoxalement, on pourra mener plus aisément des réformes libérales. En refusant toute ouverture, en ne cherchant pas à rapprocher le pouvoir des citoyens, on favorisera les extrêmes, protectionnistes et totalitaires.

:doigt: Une autre politique est possible : les solutions envisagées

A tout problème il existe une solution. Toutes les tendances politiques doivent être représentées à l’Assemblée Nationale. Comment peut-on dire que la loi est l’expression de la volonté générale quand on constate qu’un grand nombre d’électeurs ne sont pas représentés au Parlement et que les abstentionnistes sont toujours plus nombreux ? A ceux qui auraient peur de voir des frontistes à l’Assemblée, je leur répondrais : n’ayez pas peur de la démocratie ! Cependant, des règles doivent être prévues pour garantir une majorité durable. Le Sénat doit être démocratisé, les sénateurs seraient alors élus au suffrage universel direct en même temps que les députés et pour le même délai.

C’est alors dans cette hypothèse le régime présidentiel qui triomphe et le concept même de séparation des pouvoirs si chère à Montesquieu. Un Président et un vice-président seront élus au suffrage universel pour un mandat de cinq ans par le peuple. Nous concevrons une séparation stricte des pouvoirs afin de renforcer le rôle du Parlement tout en garantissant des assouplissements dans les faits.

Par ailleurs, la démocratie directe sera rétablie à l’échelon local. De multiples référendums auront lieu, et comme le souhaitait Montesquieu, les ministres, à l’exception du ministre des Finances ( quoi que celui-ci sera nommé par ses pairs ! ) seront élus par tirage au sort au niveau d’assemblées générales crées à cet effet. Il est vital que les citoyens soient réellement représentés sur le plan politique, à tous les niveaux ( maires, présidents de région, une partie des députés et des sénateurs ) pour que cesse enfin cette confiscation de la démocratie au profit d’une caste, les énarques. Des procédures de destitution pourront être envisagées, à tous les échelons politiques, du conseiller municipal au Président de la République, si celui-ci a trahi ses engagements, est suspecté dans des affaires de toutes sortes, ou a satisfait les revendications d’une catégorie d’individus minoritaires au détriment de l’intérêt général.

C) Les enjeux pour l’avenir

S’il est nécessaire de démocratiser notre pays, ce n’est pas seulement pour des raisons purement morales, cela répond aux exigences de notre siècle. En effet, démocratiser l’Etat, le rendre plus accessible aux hommes, c’est réduire l’abstention et l’extrémisme. Toute société, quelle que soit sa forme d’organisation, n’est viable que si elle repose sur des bases solides. Il est évident que la démocratie, les droits de l’homme comme la participation des individus aux activités de la nation sont fondamentaux, et que toute action doit être entreprise pour garantir ces libertés qui me paraissent vitales, car elles sont le ciment de notre nation, et permettent d’assurer la cohésion sociale et nationale d’un Etat de droit.

II) LE LIBERALISME SOCIAL

Les hommes de l’Etat se sont souvent opposés à de véritables progrès sociaux majeurs (A) Pourtant, les mœurs ont changé depuis la fin des années 60, et manifestent aujourd’hui encore, un véritable désir de changement (:warez:

A) L’opposition des politiques face aux changements pourtant inévitables

L’objectif des hommes de l’Etat, c’est de ne pas brusquer l’opinion. Ils s’opposent alors à tous changements, pourtant inévitables. Le droit de vote des femmes, sans cesse rejeté dans les années 20, est finalement accordé après la seconde guerre mondiale. Le divorce, qui a été introduit en 1789, a été mis à l’écart au cours du XIXème siècle, puis remis au goût du jour à la fin des années 60. Le droit à l’avortement, la reconnaissance de droits envers la famille naturelle, et même sa consécration lors de la loi sur le Pacs sont autant d’exemples de l’évolution de notre société.

Le général de Gaulle n’a semble-il pas réalisé que mai 68 a entraîné une véritable révolution des mœurs. Lionel Jospin, réticent lors de la préparation d’une loi en faveur du Pacs, s’y est plié en constatant l’inégalité successorale entre le couple classique et celui du même sexe. Jacques Chirac, en proie au conservatisme, s’oppose lui aussi au mariage homosexuel proprement dit, comme à la légalisation des drogues, alors même que sa légalisation réduirait probablement le nombre de fumeurs.

:warez: Le peuple en proie au changement

Depuis la fin des années 60, les français, notamment les jeunes, ont manifesté un véritable désir de changement, qui n’a pas été discerné par les politiques. Ceux-ci campent sur leurs positions rétrogrades et s’opposent aux réformes sociales pourtant nécessaires, ce qui achève de désintéresser les jeunes pour la politique. Un homme politique qui modifie en profondeur la société dans laquelle il vit sera certain d’emporter la sympathie du plus grand nombre et d’assurer sa réélection, plus qu’un homme de l’Etat adepte du statut quo.

Le mariage homosexuel existe dans un grand nombre de pays, comme la Belgique, les Pays Bas et bientôt l’Espagne. Il est pour ainsi dire entrer dans les mœurs, ne pose plus un problème sauf pour quelques irréductibles qui ont gardé encore au fond d’eux-mêmes l’idée d’un mariage entre un homme et une femme. L’interdiction faite par les autorités à la légalisation des drogues douces est elle aussi abbhérente, puisqu’elle est inefficace en pratique, et surtout qu’elle incite les jeunes à braver l’interdit.

III) LE LIBERALISME ECONOMIQUE

Si les hommes de l’Etat se sont souvent opposés à des changements radicaux, il en est de même concernant leurs privilèges. Alors qu’un Etat, pour exister, a besoin de se réformer constamment, les politiques, eux, refusent toute réforme de fond (A). Cependant, les aspirations de la société tendent en faveur de la liberté économique, et le décalage croissant entre d’un côté les politiques et de l’autre la société civile entraîneront la victoire de cette dernière (:ninja:

A) Les nécessaires réformes toujours reportées

On a coutume de dire que l’histoire se répète. Tout comme Louis XVI qui n’est pas parvenu à moderniser la monarchie a entraîné malgré lui la naissance d’un mouvement révolutionnaire et sa chute, Jacques Chirac et ses prédécesseurs n’ont cessé d’étatiser l’économie et de refuser de véritables réformes économiques. Pourtant une alternance économique est souhaitable dans la mesure où le peuple l’attend depuis des décennies sans jamais l’obtenir, ce qui explique aussi l’abstention et l’écoeurement des français pour leurs politiques, qui ont le sentiment que les choses n’avancent pas et sont bloqués.

Les Premiers ministres qui se sont succédés n’ont jamais eu l’envie de se mettre à dos les syndicats, qui ont remplacés les Parlements de l’Ancien Régime, alors qu’il s’agit d’une ultra minorité qui refuse tout changement et qui mène des actions dans la rue en détournant des fonds sur l’argent du contribuable, par l’intermédiaire des factures notamment. Quels en sont les résultats ? Un accroissement de la pauvreté, des inégalités sociales, un taux de chômage toujours élevé, des quartiers toujours plus délabrés.

:blink: Les doléances de la société civile accordées prochainement par les hommes de l’Etat

Face à cette situation les représentants de la société civile, par l’intermédiaire d’associations telles Contribuables Associés et Liberté Chérie, ou même des représentants de la nation (députés et sénateurs ) feront entendre leur voix face aux suppôts de l’immobilisme. La Cour de Justice Européenne, qui est sur le point d’examiner la situation de l’impôt sur la fortune, conclura certainement que celui-ci est inégalitaire et pénalise les familles aux revenus modestes, comme l’ont dénoncé les libéraux il y a plusieurs années. Les politiques ne pourront tenir bien longtemps, surtout si la CJCE leur impose de changer en profondeur leur législation.

Il est évident que d’ici les vingt prochaines années, notre société aura connu de profondes mutations que ne pourront mépriser sans cesse nos politiques. Il est fort probable au contraire, que les hommes de l’Etat décident de lâcher du lest même si finalement, il ne s’agit là que d’une stratégie pour détourner l’attention des gens sur cette question profonde : peut-on concevoir une société sans hommes de l’Etat ? La réponse peut être variable selon le point de vue que l’on partage, pour ma part, j’analyserais dans une section IV mon opinion propre et les limites de cette théorie.

La privatisation des services publics, voire même des fonctions régaliennes de l’Etat, fait peur. Effectivement, nous avons pris l’habitude de voir des hommes payés par l’Etat nettoyer les rues, entretenir les routes, conduire des bus, ou même enseigner dans des écoles. En fait, il suffit de montrer que cela est possible et même beaucoup plus efficace en dehors du cadre de l’Etat. Aucun français, par exemple, ne s’est jamais posé la question de la légitimité de la privatisation de nombreuses entreprises publiques vers la fin des années 80. Aucun français non plus ne s’est vraiment opposé à la monnaie unique. On a même vu, il n’y a pas si longtemps que ça, les socialistes soutenir bec et ongles le traité de Maastricht, et même un certain Fabius, qui aujourd’hui se veut l’opposant principal au projet de Constitution élaboré par Valery Giscard d’Estaing !

L’Etat doit se contenter de vendre l’enseignement, et non de construire des écoles. Cela peut prendre, comme l’expliquait Friedman, l’apparence d’un système de bons. Contrairement à la croyance générale, les écoles privées n’excluraient pas les plus pauvres de nos compatriotes, pour la bonne raison que si des écoles se concurrencent entre elles, les frais d’inscriptions descendraient au niveau du marché, et seraient donc les plus bas possibles. De la sorte, toute famille, pauvre comme riche, pourra inscrire ses enfants à l’école. On constate même, dans les écoles privées américaines ( les écoles religieuses) que les pauvres sont plus avantagés que dans les écoles publiques.

La justice publique est inefficace et coûte toujours plus cher au contribuable, alors que l’arbitrage, qui a pris un formidable essor aux Etats-Unis, satisfait les parties, ne coûte quasiment rien à ces dernières et à l’avantage de les protéger car les audiences ne sont pas rendues publiques. L’arbitrage pourrait être généralisé au niveau judiciaire.

La police publique fait elle aussi preuve de son échec en la matière. En effet, les individus, vivant dans des zones de non droits, victimes de l’insécurité, ne sont souvent pas protégées. Déjà des sociétés de surveillance en France embauchent des personnes pour les protéger. Il est fort probable que puisse naître en France de véritables agences de protection, plus sûres et plus efficaces que la police étatique.

Les rues publiques appartiennent à tout le monde, donc tout le monde peut y faire ce qu’il lui plaît. La privatisation des rues, c'est-à-dire le fait qu’une rue appartienne à une personne ou à un groupe de personnes, réglera bien des problèmes comme les crottes de chien, la pollution, la prostitution ( pour ceux qui s’en plaignent ) ou encore la délinquance urbaine. Ces rues existent déjà en partie à Paris, et cela n’étonne personne. Cependant, il faut généraliser cette expérience à toutes les voies de circulation.

Les villes enfin pourraient être gérées en dehors de toutes structures étatiques, mais nous devons tout de même introduire un tempérament. Il vaut mieux faciliter la naissance de villes nouvelles plutôt que de changer dans l’immédiat la structure politique des villes anciennes qui s’y sont conformées tant bien que mal. Ces villes nouvelles ne dépendront pas de l’Etat, protégeront les citoyens contre la délinquance et seront dynamiques, pour la simple et bonne raison qu’il n’existera aucune charge, aucun impôt qui sera imposé à l’égard de ces villes. La seule limite sera le respect de la Constitution que nous aurons alors adopté plus tôt, et qui s’opposera véritablement à toute forme d’asservissement. Pour ceux que je dis étonne, il existe à présent des villes aux Etats-Unis qui se développent selon ce schéma, sans aucune interférence de l’Etat fédéré et fédéral, et qui ont été couronnées de succès. Cela ne veut pas dire que ce sont les entreprises qui contrôlent ces villes. Un particulier, une association, un groupe d’individus, un organisme indépendant peut à loisir créer une ville, tant qu’il a les moyens pour le faire.

IV) POLITIQUE ETRANGERE

Malheureusement, et cela n’est une surprise pour personne, les Etats existeront toujours, et quand bien même nous réussirions à changer le notre et le limiter très fortement, il sera nécessaire de prendre les décisions qui s’imposent pour protéger nos libertés contre toute invasion, quelle qu’elle soit. En politique étrangère, nous pouvons nous assurer, en échange de contreparties, la protection d’une grande puissance, dans le cas où nous serions attaqués par des attentats. Nous devons agir pour éviter tout conflit qui s’étalerait sur la durée, il s’agit de mener des négociations pour que cessent les troubles principalement, tant que celles-ci paraissent raisonnables.

Dans notre optique il nous est totalement insupportable d’attaquer un autre Etat et donc de mener une guerre contre lui. Envoyer des troupes sur le terrain constitue une agression ( ne parlons pas des morts civils ) et va à l’encontre de notre idéal justement. Si l’on tient vraiment à renverser un régime dictatorial et corrompu, il suffit de subventionner au maximum les opposants au régime ou de leur offrir des armes pour qu’ils renversent le régime. En aucun cas un Etat ne doit faire preuve d’ingérence dans les affaires d’un autre et mener une guerre. C’est le peuple de cet Etat qui doit se révolter et renverser cette tyrannie.

Posté

Bel effort.

Mais je n'ai même pas eu le courage de lire jusqu'au bout.

Le mélange attendu/explications/conclusions = but ça fait un peu lourd pour moi.

Et ça me semble trop.

Y'a une maxime en politique :

"Ne me dites pas ce que je dois faire : je le sais. Dites moi comment".

Pour prendre un exemple : si demain, par magie, on privatisait toutes les écoles de France sans que ça déclenche la moindre manif et la moindre grève (puissante magie !), quel serait le résultat ?

Un désastre.

Les écoles ne sont tout simplement pas prète à se gérer, à affronter la concurrence de leurs voisines, à gérer l'afflux d'élèves ou au contraire leur fuite, avec toutes les implications (gestion du personnel, du matériel, des locaux, et.) tous les choix à faire. Il leur faudrait des années pour faire face.

France Télécom a commencé sa transformation 10 ans avant d'être privatisée, cette transformation n'est toujours pas achevée.

Idem pour l'état.

Pour moi, un bon programme est un programme moral et, osons le mot, démagogue. Il faut avoir la morale pour soi. Il faut aussi avoir assez de mauvaise foi pour dénigrer sans vergogne, à coup d'amalguame foireux.

Alors disons le : la France est un pays Soviétique, dans lequel il est interdit de produire une chose aussi dangereuse que … du lait ! et où on reçoit des subventions pour produire … du tabac ! La France est un pays Mafieux, où les plus hautes fonctions échoient à des repris de justice. La France est un pays de plus en plus pauvres, qui dépense pour une prétendue "solidarité" la moitié de sa richesse, mais où les mendiants meurent de froid et les vieux meurent de chaud. La France est un pays qui se prétend démocratique, mais où on interdit Internet et des chaînes de télévisions, comme en Corée du Nord et en Chine.

etc.

Posté

Juste une petite remarque : évite d'utiliser "notre dessein, quand nous serons". À vrai dire, je ne sais pas vraiment expliquer pourquoi ça me gène, ça n'est pas absolument faux, mais ici nous sommes loin d'être tous d'accord et surtout si un pays devient libéral les libéraux ne seront pas au pouvoir (tu as déjà utilisé "quand nous serons au pouvoir" ailleurs, je crois).

A mon avis on pourrait pousser la réflexion vers quels pourraient être les réactions négatives et comment les prévenir (sans oublier que "nos" :icon_up: adversaires ne seront pas morts pour autant).

J'avoue ne pas avoir lu ton texte en détail, je suis un peu trop fatigué (mais je suis en vacances !).

Posté

Oui, c'est vrai, quand je dis " nous " alors que tout le monde n'est pas censé être d'accord avec moi. Ca me fait penser aux débats des Verts, où t'en as un qui dit " je ferais ça " et l'autre " et la démocratie ? Enfin Daniel " C'est tellement le bordel chez eux…

Posté

oui bravo pour le contenu, mais ne l'appelle pas programme libéral puisqu'un "programme" est un texte politique qui respecte certaines normes, notamment celui d'être court et accessible.

Ne pourrions nous pas essayer de faire désormais un vrai programme en partant de cette base, c'est à dire qqch réunis en qqs points clefs, le tout faisant une dizaine de lignes? (c'est là la vraie difficulté d'ailleurs)

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