roubachov Posté 16 octobre 2007 Signaler Posté 16 octobre 2007 François Broche vient de publier une histoire des différents positionnements anti-gaullistes, de 1940 à nos jours: http://www4.fnac.com/Shelf/article.aspx?PR…p;Nu=1&Fr=3 Je suis en train de dévorer cet ouvrage bien documenté et ne peux que recommander sa lecture aux membres du forum, tant ceux qui vouent aux gémonies le Général que ceux qui le considèrent (et c'est mon cas) comme un des plus grands hommes d'Etat du XXe siècle.
Jesrad Posté 16 octobre 2007 Signaler Posté 16 octobre 2007 Erreur Fnac.comNous sommes momentanément dans l’impossibilité d’accéder à votre demande. Veuillez nous excuser pour ce désagrément auquel nous tâchons de remédier au plus vite.
John Loque Posté 16 octobre 2007 Signaler Posté 16 octobre 2007 Je suis en train de dévorer cet ouvrage bien documenté et ne peux que recommander sa lecture aux membres du forum, tant ceux qui vouent aux gémonies le Général que ceux qui le considèrent (et c'est mon cas) comme un des plus grands hommes d'Etat du XXe siècle. Je ne vois pas où est l'opposition entre les deux opinions…
Ronnie Hayek Posté 16 octobre 2007 Signaler Posté 16 octobre 2007 Autant poster le lien amazon : Quatrième de couverture : Dès son retour au pouvoir, en 1958, de Gaulle est à nouveau la cible d'une coalition allant des communistes aux nostalgiques de Vichy, qui n'ont jamais baissé pavillon. Durant quatre ans, l'affaire algérienne alimentera les haines et les hostilités. Mai 68 annonce la fin du règne. Le coup de grâce est donné en avril 1969 avec l'échec du referendum, qui marque la victoire des antigaullistes de tous les bords. S'ouvre alors une période dominée à la fois par la grande ombre du Commandeur (mort en 1970), toujours présent dans le débat politique et dans l'imaginaire des Français, et par un éloignement plus ou moins marqué à l'égard de son héritage, qu'illustrent, chacun à leur façon, les successeurs de Charles de Gaulle à la Présidence de la République.
walter-rebuttand Posté 16 octobre 2007 Signaler Posté 16 octobre 2007 François Broche vient de publier une histoire des différents positionnements anti-gaullistes, de 1940 à nos jours:<a href="http://"http://www4.fnac.com/Shelf/article.aspx?PRID=1906500&Mn=15&Ra=-1&To=0Ν=1&Fr=3"" target="_blank"><a href="http://www4.fnac.com/Shelf/article.aspx?PR…p;Nu=1&Fr=3" target="_blank">http://www4.fnac.com/Shelf/article.aspx?PR…p;Nu=1&Fr=3</a></a> Je suis en train de dévorer cet ouvrage bien documenté et ne peux que recommander sa lecture aux membres du forum, tant ceux qui vouent aux gémonies le Général que ceux qui le considèrent (et c'est mon cas) comme un des plus grands hommes d'Etat du XXe siècle. Avec Revel comme référence…
Hobbart Posté 16 octobre 2007 Signaler Posté 16 octobre 2007 Je suis l'un des grands admirateurs du Général. Je suis d'ailleurs membre actif du Cercle d'Etudes Charles de Gaulle, qui édite chaque trimestre une revue relatant les derniers événements ayant trait, de près ou de loin, au gaullisme. Je ne cautionne pas pour autant tous les faits et gestes du grand homme. Une carrière politique n'est jamais linéaire, surtout lorsqu'elle s'étend sur plusieurs décennies, surtout lorsqu'elle s'ajoute à d'autres vies. De Gaulle était non seulement un grand homme d'Etat, mais aussi, pour ceux qui en douteraient encore, un véritable écrivain doublé d'un stratège militaire qui, bien avant Hitler, avait compris l'utilité des chars d'assaut dans une guerre. Je considère d'ailleurs Le Fil de l'Epée comme une des oeuvres essentielles du XXe siècle, tant d'un point de vue militaire que sur le plan politique. Une oeuvre, assurément, très proche des idées libérales. De Gaulle a voulu "remercier" les communistes de leur appui à la résistance en leur offrant des portefeuilles ministériels. Les Français l'ont payé cher, jusqu'à la fin du règne mitterrandien. On peut également gloser à l'infini, mais avec notre recul, sur l'étatisme ou la fantasmagorie gaullienne qui ont vu la France engloutir des milliards dans le Concorde ou dans d'autres projets de grandeur. Quoi qu'on en dise, de Gaulle incarne à jamais la droiture et l'éthique en politique, le triomphe et la popularité d'un militaire qui préférait, de loin, les idées des hommes au jeu des partis. De Gaulle n'a jamais utilisé l'argent public à des fins privées. Il n'a jamais trahi sa parole, chérissant une droiture et une éthique qui ont fini par lui coûter l'Elysée. A la différence des cancrelats qui se sont revendiqués de son héritage, il n'a jamais hésité à dire clairement que, le jour où les Français ne voudraient plus de lui, il partira. C'est ce qu'il a fait en 1969. Personne, depuis, ne s'est inspiré d'un tel héritage. C'est pour ces multiples raisons que le Général mérite notre respect.
roubachov Posté 16 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 16 octobre 2007 Je ne vois pas où est l'opposition entre les deux opinions… Du reste, l'auteur cite Aron qui, à l'époque de la France libre, reprenait à l'attention du Général la célèbre sentance concernant Richelieu: "il a fait trop de bien pour en dire du mal, il a fait trop de mal pour en dire du bien." Autant poster le lien amazon : Quatrième de couverture : J'ai essayé je ne sais combien de fois, mais je ne parvenais même pas à trouver le bouquin sur Amazon … Ton habileté t'épate, RH Avec Revel comme référence… Effectivement ! Ah, le style du Général …
roubachov Posté 16 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 16 octobre 2007 Je suis l'un des grands admirateurs du Général. Je suis d'ailleurs membre actif du Cercle d'Etudes Charles de Gaulle, qui édite chaque trimestre une revue relatant les derniers événements ayant trait, de près ou de loin, au gaullisme.Je ne cautionne pas pour autant tous les faits et gestes du grand homme. Une carrière politique n'est jamais linéaire, surtout lorsqu'elle s'étend sur plusieurs décennies, surtout lorsqu'elle s'ajoute à d'autres vies. De Gaulle était non seulement un grand homme d'Etat, mais aussi, pour ceux qui en douteraient encore, un véritable écrivain doublé d'un stratège militaire qui, bien avant Hitler, avait compris l'utilité des chars d'assaut dans une guerre. Je considère d'ailleurs Le Fil de l'Epée comme une des oeuvres essentielles du XXe siècle, tant d'un point de vue militaire que sur le plan politique. Une oeuvre, assurément, très proche des idées libérales. De Gaulle a voulu "remercier" les communistes de leur appui à la résistance en leur offrant des portefeuilles ministériels. Les Français l'ont payé cher, jusqu'à la fin du règne mitterrandien. On peut également gloser à l'infini, mais avec notre recul, sur l'étatisme ou la fantasmagorie gaullienne qui ont vu la France engloutir des milliards dans le Concorde ou dans d'autres projets de grandeur. Quoi qu'on en dise, de Gaulle incarne à jamais la droiture et l'éthique en politique, le triomphe et la popularité d'un militaire qui préférait, de loin, les idées des hommes au jeu des partis. De Gaulle n'a jamais utilisé l'argent public à des fins privées. Il n'a jamais trahi sa parole, chérissant une droiture et une éthique qui ont fini par lui coûter l'Elysée. A la différence des cancrelats qui se sont revendiqués de son héritage, il n'a jamais hésité à dire clairement que, le jour où les Français ne voudraient plus de lui, il partira. C'est ce qu'il a fait en 1969. Personne, depuis, ne s'est inspiré d'un tel héritage. C'est pour ces multiples raisons que le Général mérite notre respect. Je suis largement d'accord avec ton constat (notamment en ce qui concerne la non utilisation d'argent public à des fins privées), mais un passage de ton intervention me laisse un peu rêveur: je ne suis pas vraiment persuadé que le Fil de l'Epée puisse être considéré comme une oeuvre se rattachant à la philosophie libérale, de près ou de loin. C'est plutôt un éloge du dynamisme et du volontarisme militaire (et par extension politique), de l'homme de caractère qui sait redresser une situation compromise en voulant défendre l'intérêt national. A moins de considérer (et c'est une interprétation qui peut se défendre) qu'un réformateur libéral/minarchiste pourrait s'inspirer pour son action politique du portrait et des méthodes de l'homme providentiel tels qu'ils ont été tracés par de Gaulle ? Dans cet esprit, j'ai d'ailleurs toujours été frappé par l'existence de certains points communs entre de Gaulle et Maggie. Outre leur nationalisme fervent et leur méfiance (justifiée) vis-à-vis de l'usine à gaz européiste, ils ont su imposer leur volonté politique en ayant toujours bien à l'esprit les buts ultimes qu'ils souhaitaient atteindre tout en faisant preuve d'un certain pragmatisme quant aux moyens, ce qui me semble être la marque d'hommes d'Etat. La différence fondamentale entre les deux est que si Maggie souhaitait un pouvoir politique fort et stable, c'était en vue de faire reculer le périmètre d'intervention des pouvoirs publics, ce qui aurait été inconcevable pour le premier Président de la Ve République.
Hobbart Posté 16 octobre 2007 Signaler Posté 16 octobre 2007 C'est plutôt un éloge du dynamisme et du volontarisme militaire (et par extension politique), de l'homme de caractère qui sait redresser une situation compromise en voulant défendre l'intérêt national. A moins de considérer (et c'est une interprétation qui peut se défendre) qu'un réformateur libéral/minarchiste pourrait s'inspirer pour son action politique du portrait et des méthodes de l'homme providentiel tels qu'ils ont été tracés par de Gaulle ? Je voulais insister, effectivement, sur l'indépendance et la suprématie de l'homme sur les intérêts politiques… même si l'un et l'autre sont inter-dépendants. Je reste persuadé que c'est en maintenant la fontière entre la vie privée et la vie politique qu'un homme d'action peut se revendiquer "libéral", c'est-à-dire détaché de toute pression, indépendant des intérêts des uns et des autres. C'est pour moi l'un des fondements de notre pensée. En ce sens, le Général est parvenu à instaurer ce que j'appellerais une "éthique de la politique", inégalée, me semble-t-il, jusqu'ici.
Ronnie Hayek Posté 16 octobre 2007 Signaler Posté 16 octobre 2007 Ton habileté t'épate, RH Je ne suis pas si fat. Je voulais insister, effectivement, sur l'indépendance et la suprématie de l'homme sur les intérêts politiques… même si l'un et l'autre sont inter-dépendants. Je reste persuadé que c'est en maintenant la fontière entre la vie privée et la vie politique qu'un homme d'action peut se revendiquer "libéral", c'est-à-dire détaché de toute pression, indépendant des intérêts des uns et des autres. C'est pour moi l'un des fondements de notre pensée. En ce sens, le Général est parvenu à instaurer ce que j'appellerais une "éthique de la politique", inégalée, me semble-t-il, jusqu'ici. De Gaulle est certainement l'un des chefs d'Etat les plus respectables du XXe siècle. Je doute même que d'autres puissent lui arriver à la cheville dans les années à venir.
roubachov Posté 16 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 16 octobre 2007 Je ne suis pas si fat.De Gaulle est certainement l'un des chefs d'Etat les plus respectables du XXe siècle. Je doute même que d'autres puissent lui arriver à la cheville dans les années à venir. Oups ! En fait, je voulais écrire: "M'épate" … visiblement, j'ai été trop vite
Yozz Posté 17 octobre 2007 Signaler Posté 17 octobre 2007 De Gaulle était sans aucun doute un grand homme. La seule tache à sa réputation est qu'il fut aussi un grand homme d'Etat.
melodius Posté 17 octobre 2007 Signaler Posté 17 octobre 2007 De Gaulle serait-il le politicien démocrate-chrétien préféré des libéraux belges ?
Ronnie Hayek Posté 17 octobre 2007 Signaler Posté 17 octobre 2007 De Gaulle serait-il le politicien démocrate-chrétien préféré des libéraux belges ? A la glorieuse exception de notre conquistador préféré !
José Posté 17 octobre 2007 Signaler Posté 17 octobre 2007 …doublé d'un stratège militaire qui, bien avant Hitler, avait compris l'utilité des chars d'assaut dans une guerre. Banalité classique répétée à l'envie : 1° l'utilisation des chars et la technique de percée motorisée avait déjà été décrite dès 1920 par le général Estienne (en 1925, De Gaulle vantera le concept de la ligne Maginot) et ces conceptions seront mises en oeuvre en Allemagne dans les années 1932-1933, avant le livre de De Gaulle Vers l'armée de métier paru en 1934 ; 2° De Gaulle s'est fait ratiboisé à Montcornet dans la seule bataille qu'il commanda durant la campagne '40, précisément par un mauvais usage des chars.
melodius Posté 17 octobre 2007 Signaler Posté 17 octobre 2007 Banalité classique répétée à l'envie : 1° l'utilisation des chars et la technique de percée motorisée avait déjà été décrite dès 1920 par le général Estienne (en 1925, De Gaulle vantera le concept de la ligne Maginot) et ces conceptions seront mises en oeuvre en Allemagne dans les années 1932-1933, avant le livre de De Gaulle Vers l'armée de métier paru en 1934 ; 2° De Gaulle s'est fait ratiboisé à Montcornet dans la seule bataille qu'il commanda durant la campagne '40, précisément par un mauvais usage des chars. Que de haine… Ca nuit à ton orthographe !
José Posté 17 octobre 2007 Signaler Posté 17 octobre 2007 Ca nuit à ton orthographe ! Je corrige : De Gaulle s'est fait latter les couilles.
melodius Posté 17 octobre 2007 Signaler Posté 17 octobre 2007 De Gaulle vaut mieux que ce que font de lui tant ses admirateurs que ses détracteurs.
Punu Posté 17 octobre 2007 Signaler Posté 17 octobre 2007 Heureusement qu'il s'est tiré suite au référendum sur la régionalisation, car son projet suivant était crypto-communiste : il voulait intéresser les employés à la gestion de toutes les entreprises.
José Posté 17 octobre 2007 Signaler Posté 17 octobre 2007 Cela va sans dire, mais cela va encore mieux en le disant : il y a 4 ou 5 univers parallèles entre Washington et De Gaulle.
Hobbart Posté 17 octobre 2007 Signaler Posté 17 octobre 2007 (en 1925, De Gaulle vantera le concept de la ligne Maginot) Où as-tu lu ce truc ?
Boisguilbert Posté 17 octobre 2007 Signaler Posté 17 octobre 2007 Bonsoir, J'en profite pour demander des détails supplémentaires sur la bataille de Montcornet, car de nombreuses sources internet affirment qu'elle fut une victoire pour de Gaulle (en dehors d'un seul assaut raté composé de chars légers), et non une défaite comme tu l'indiques Lucillo. Au hasard, ce site.
roubachov Posté 18 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 18 octobre 2007 Bonsoir,J'en profite pour demander des détails supplémentaires sur la bataille de Montcornet, car de nombreuses sources internet affirment qu'elle fut une victoire pour de Gaulle (en dehors d'un seul assaut raté composé de chars légers), et non une défaite comme tu l'indiques Lucillo. Au hasard, ce site. J'avoue aussi être quelque peu surpris par cette affirmation de Lucillo, qui est à l'habitude toujours bien informé ?
Ronnie Hayek Posté 18 octobre 2007 Signaler Posté 18 octobre 2007 Lucillo, qui est à l'habitude toujours bien informé ? Allons, allons, tout de suite les grands mots !
José Posté 19 octobre 2007 Signaler Posté 19 octobre 2007 J'avoue aussi être quelque peu surpris par cette affirmation de Lucillo, qui est à l'habitude toujours bien informé ? Dans un livre regroupant les témoignages de nombreux généraux allemands, Lidell Hart (le vrai génie stratégique du 20e siècle, pas De Gaulle) expliquait comment l'offensive de De Gaulle fut un pétard mouillé qui ne gêna en rien l'offensive allemande vers la mer. De même Lacouture, dans son De Gaulle, explique bien l'abîme qui sépare De Gaulle d'un type comme Rommel. On 17 May 1940, de Gaulle attacked the German tank forces at Montcornet. With only 200 French tanks and no air support, the offensive had little impact on the German advance. There was more success on 28 May, when de Gaulle's tanks forced the German infantry to retreat at Caumont. Bref, un échec de De Gaulle qui n'a pu arrêter l'offensive allemande. Tout ce qu'il arriva à faire, c'est repousser, légèrement, avec des blindés des éléments d'infanterie placées en couverture.
Hobbart Posté 19 octobre 2007 Signaler Posté 19 octobre 2007 La bataille de Montcornet est-elle gagnée ou perdue pour la France ? Je viens de dénicher ce compte-rendu très intéressant et bien documenté : http://mairie.orange.fr/mairie.montcornet/history.html … qui indique que c'est l'intervention de l'aviation allemande qui a mis fin à la bataille… de chars. Ce qui aurait tendance à conforter la thèse de Lucilio.
roubachov Posté 19 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 19 octobre 2007 Dans un livre regroupant les témoignages de nombreux généraux allemands, Lidell Hart (le vrai génie stratégique du 20e siècle, pas De Gaulle) expliquait comment l'offensive de De Gaulle fut un pétard mouillé qui ne gêna en rien l'offensive allemande vers la mer. De même Lacouture, dans son De Gaulle, explique bien l'abîme qui sépare De Gaulle d'un type comme Rommel.Bref, un échec de De Gaulle qui n'a pu arrêter l'offensive allemande. Tout ce qu'il arriva à faire, c'est repousser, légèrement, avec des blindés des éléments d'infanterie placées en couverture. Alors, nous sommes d'accord. Il est certain que cette offensive du "Colonel Motors" n'a guère retardé la marée allemande. Mais si le générallisme avait été de Gaulle au lieu de Gamelin, on peut penser que bien des choses auraient été changées …
roubachov Posté 20 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 20 octobre 2007 Dans un livre regroupant les témoignages de nombreux généraux allemands, Lidell Hart (le vrai génie stratégique du 20e siècle, pas De Gaulle) expliquait comment l'offensive de De Gaulle fut un pétard mouillé qui ne gêna en rien l'offensive allemande vers la mer. De même Lacouture, dans son De Gaulle, explique bien l'abîme qui sépare De Gaulle d'un type comme Rommel.Bref, un échec de De Gaulle qui n'a pu arrêter l'offensive allemande. Tout ce qu'il arriva à faire, c'est repousser, légèrement, avec des blindés des éléments d'infanterie placées en couverture. J'en profite pour signaler le dernier bouquin de Roland Hureaux, que je viens d'acheter (j'ai du le commander car je ne l'ai pas trouvé en accès direct): http://www.amazon.fr/Lactualit%C3%A9-gaull…2820&sr=1-1 Au moins un des essais contenus dans ce volume (à savoir: "De Gaulle fut-il infaillible ?") intéressera plus d'un membre du forum …
Wallace Posté 21 octobre 2007 Signaler Posté 21 octobre 2007 Quoi qu'on en dise, de Gaulle incarne à jamais la droiture et l'éthique en politique Les pieds-noirs apprécieront, ainsi que les amoureux du principe de légalité et de constitutionnalité. Grande Zohra n'était certes pas un grand exemple de coups bas et de filouterie en politique, mais il faut bien avouer que les quelques fois ou il s'est placé dans un telle optique il a bien réussi son coup.
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.