pierreyves Posté 2 novembre 2007 Signaler Posté 2 novembre 2007 LaFéeC a dit : Est-ce que j'ai une tête à suivre les conseils d'un chercheur pour accéder au bonheur ? Citation En même temps, voir la bouteille à moitié pleine plutôt qu'à moitié vide est un exercice qui paye. C'est pourtant du conditionnement, non ? moi j'appelle ça du réalisme quand je vois toute la bouteille.
Jaimepasmonpseudo Posté 2 novembre 2007 Signaler Posté 2 novembre 2007 Le différence du nombre de choix possibles entre une social démocratie et une hypothétique société libérale est à mon avis peu perceptible du point de vue d'un invidivu, car il aura tendance à élaguer les possibilités s'offrant à lui en fonction selon ses capacités propres. Je pense donc que c'est avant tout une question d'hygiène intellectuelle de s'efforcer de ne pas regretter ses choix et de ne pas se laisser submerger par une trop grande quantité de choix anxiogènes. Ainsi, pour les éternels indécis, même la décision la plus banale et routinière peut être génératrice de stress puis de regrets, quelque soit le contexte sociétale dans lequel il se trouve. Enfin, les expériences me semblent tout de même "light" et trop ciblées pour en tirer de si grandes conclusions générales , et je pense que si elles sont nécessaires à la compréhension des mécanismes du "bonheur", elles n'en sont pas moins insuffisante : ce n'est qu'un des nombreux ingrédients du gateau. Pour conclure, il serait bête de dire Amen à son [Dan Gilbert] discours, tout autant qu'il serait dommage de le rejeter totalement.
pierreyves Posté 3 novembre 2007 Signaler Posté 3 novembre 2007 Jaimepasmonpseudo a dit : Le différence du nombre de choix possibles entre une social démocratie et une hypothétique société libérale est à mon avis peu perceptible du point de vue d'un invidivu, car il aura tendance à élaguer les possibilités s'offrant à lui en fonction selon ses capacités propres.Je pense donc que c'est avant tout une question d'hygiène intellectuelle de s'efforcer de ne pas regretter ses choix et de ne pas se laisser submerger par une trop grande quantité de choix anxiogènes. Ainsi, pour les éternels indécis, même la décision la plus banale et routinière peut être génératrice de stress puis de regrets, quelque soit le contexte sociétale dans lequel il se trouve. Enfin, les expériences me semblent tout de même "light" et trop ciblées pour en tirer de si grandes conclusions générales , et je pense que si elles sont nécessaires à la compréhension des mécanismes du "bonheur", elles n'en sont pas moins insuffisante : ce n'est qu'un des nombreux ingrédients du gateau. Pour conclure, il serait bête de dire Amen à son [Dan Gilbert] discours, tout autant qu'il serait dommage de le rejeter totalement. Très sensé Ce que je prends dans son discours c'est le fait qu'on puisse mesurer son propre bonheur… ce que je rejette c'est l'appel à l'auto-conditionnement
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