Bastiat Posté 10 novembre 2007 Signaler Posté 10 novembre 2007 j'ai fait une grosse connerie dans ma boite, j'ai voté à droite comme un bon nombre de gens et j'ai fait savoir pour qui j'ai voté, mais des gauchos de ma boite se foutent un de ma gueule, du coup je les ai envoyé chier quelques un. Bon ce dernier point pas terrible. Voilà le genre de choses que je fais (évidement pour un anar-cap c'est plus facile) et toujours avec le sourir !. Gaucho: c'est quoi tes opinions politiques ? Moi: Un genre de "libertaire centriste" Si tu passe pour un type sympa, personne n'osera t'insulter avec un gros mot du genre "libéral" "ultra libéral". G: Ha! Voilà le type de droite ! M: He! salut à toi camarade révolutionnaire ! hasta la victoria siempre ! tu cantonne le gars à un créno révolutionnaire extrémiste don les "heros" sont à 10000 lieues de savie de petit employé. G: Tu vote pour qui ? M: Bas, j'ai voté Bayrou , puis Sarko mais avec des pincettes, j'ai pris le moins pire à chaque foi. Là ça fait de toi un modéré, qui classe la candidate socialiste dans les nulles, c'est toujours plus difficile de défendre des candidats loosers en démocratie, le peuple y a toujours RAISON exactement comme le Roi en monarchie. Bon et puis il n'y à quand même pas mal de raison de taper sur Sarko avec l'actu, fais un effort, même si tu as voté pour lui tu en trouvera. G: La gauche défend les pauvres ! M: Ouep, (option: avec 100 000 000 d'assassinats, 1 000 000 000 d'esclaves) c'est c'est vrais que durant le vingtièmes siècle les communistes ont super bien éliminé les problèmes des pauvres. Petit rappel historique, tu ne t'en prend pas directement à ton interlocuteur mais indirectement à ses idées. G: Sale fasciste ! (regard de haine et couteau entre les dents) M: Ouep, et je suis espion de la CIA aussi ! Avec mes oreilles électroniques, je te surveille en permanence. (sourire méprisant). Si tu avait répondu "sale communiste", tu aurais implicitement accepté son accusation. Là tu la tourne en dérision et tu le fait passer pour un parano. La lecture de Frédéric Bastiat et la connaissance de chiffres clés sont nécessaire pour CHAQUE position que tu défend si la discussion devient sérieuse. Et n'oublie pas , toujours le sourire. Toutes ces discussions NE DOIVENT JAMAIS PERTURBER LES RELATIONS PROFESSIONNELLES en cas de litige entre 2+ personnes et une personne seule, le manager à peu de chance d'arbitrer en faveur du plus faible, même s'il est de gôche…
h16 Posté 10 novembre 2007 Signaler Posté 10 novembre 2007 Le mieux consiste à le faire hurler. Là, tu as gagné.
Jesrad Posté 10 novembre 2007 Signaler Posté 10 novembre 2007 Je me rends compte que j'ai eu du bol avec mes collègues, jusqu'ici. J'ai eu quelques clashes (rien de violent) au sujet de Mugabe avec des immigrés africains… pas mal de discussions étranges avec un français devenu hindouiste sans cesser d'être anti-américain - je crois qu'on ne s'est jamais vraiment compris sur le sujet des armes à feu. Là j'ai prêté "Révolte sur la Lune" d'Heinlein (récit anarcho-capitaliste avec apologie de la polygamie/polyandrie) à une collègue sénégalaise et musulmane, on verra bien ce que ça donne (Remarque, y a pas que les libéraux qui doivent faire attention: hier un collègue a mis les pieds dans le plat en agitant Tiananmen en plein dans la face de deux collègues chinoises)
teabag Posté 10 novembre 2007 Signaler Posté 10 novembre 2007 Et puis les pauvres, c'est le fond de commerce de la gauche, donc aucun intérêt à les voir s'enrichir.
Harald Posté 10 novembre 2007 Signaler Posté 10 novembre 2007 Et puis les pauvres, c'est le fond de commerce de la gauche, donc aucun intérêt à les voir s'enrichir. C'est exactement ce que pensent un certain nombre de personnes qui travaillent dans le secteur social et qui partagent (tout au moins une partie) nos idées. Voir les ouvrages de Thierry Vieille par exemple.
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