Nick de Cusa Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 C'est surtout un coup mortel porté à la science-fiction au cinéma. Surtout, on entend des bruits dans le vide interstellaire. Contrairement à un grand film sur l'espace dont il est souvent question sur ce forum.
vincponcet Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Moi je suis en train de dévorer le remake de Battlestar Galactica. Le vrai sujet est évidemment la guerre contre le terrorisme… En tout cas, j'aime beaucoup, malgré le féminisme un peu trop prononcé de la série. ton analyse du féminisme dans battlestar m'interresse, tu peux m'en dire plus ? est-ce que parce que la présidente est une femme ? J'ai surtout vu des épisodes des diverses suites de Star Trek avec d'autres commandants. C'est plein de bons sentiments onusiens avec des acteurs qui s'expriment dans un anglais châtié et bien articulé, donc relativement facile à suivre pour un non-anglophone. Le plus horrible c'est deep space nine. Il y a l'exacerbation des bons sentiments onusiens, des clichés raciaux, et du faschisme militarisant.
Nick de Cusa Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Les interminables amourettes dans le garage des chasseurs interstellaires. Avantage: Marcels moulants et tâches de camboui sur peaux tout juste post pubères. Franchement, il y a mieux pour trouver ce type d'esthétique, nul besoin de subir cent péripéties gratuites peinant à masquer la pauvreté du récit. Et la présidente qui a le cancer. Non mais je vous demande. Et la pilote qui est la fille du général. Ne me dis pas que tu ne vois pas que ça n'arrive pas à la cheville de Huggie Bear & Co.
pankkake Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 De toute façon Star Trek est clairement communiste.
vincponcet Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Mes séries préférées en ce moment c'est 24 (saison 6) et Dexter (saison 2). http://www.allocine.fr/series/ficheserie_g…serie=3004.html http://fr.wikipedia.org/wiki/Dexter_(s%C3%…3%A9vis%C3%A9e) ah oui, dexter, c'est vraiment bien. J'ai vu la première saison sur canal+, c'est vraiment bien parce qu'on ne sait pas trop où va l'histoire, et on découvre un peu épisode par épisode. Les interminables amourettes dans le garage des chasseurs interstellaires. Avantage: Marcels moulants et tâches de camboui sur peaux tout juste post pubères.Franchement, il y a mieux pour trouver ce type d'esthétique, nul besoin de subir cent péripéties gratuites peinant à masquer la pauvreté du récit. Et la présidente qui a le cancer. Non mais je vous demande. Et la pilote qui est la fille du général. Ne me dis pas que tu ne vois pas que ça n'arrive pas à la cheville de Huggie Bear & Co. hein ?? starbuck est la fille de adama ??? mince, j'ai loupé un truc.
Ronnie Hayek Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Ta comparaison en elle-même est mauvaise : tout les (bons) films se fondent sur l'économie de la nouvelle. Griffith est le premier et le dernier qui a essayé de transposer à l'écran de mode de fonctionnement du roman. Quid d'Abel Gance et de ce film dont je pensais que tu serais l'un des plus grands fans ? http://youtube.com/watch?v=zu7ZPRH7uj0
José Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Les interminables amourettes dans le garage des chasseurs interstellaires. Avantage: Marcels moulants et tâches de camboui sur peaux tout juste post pubères.Franchement, il y a mieux pour trouver ce type d'esthétique, nul besoin de subir cent péripéties gratuites peinant à masquer la pauvreté du récit. Et la présidente qui a le cancer. Non mais je vous demande. Et la pilote qui est la fille du général. Ne me dis pas que tu ne vois pas que ça n'arrive pas à la cheville de Huggie Bear & Co. +1 Quid d'Abel Gance… C'est qui Abel Gance ?
melodius Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Les interminables amourettes dans le garage des chasseurs interstellaires. Avantage: Marcels moulants et tâches de camboui sur peaux tout juste post pubères.Franchement, il y a mieux pour trouver ce type d'esthétique, nul besoin de subir cent péripéties gratuites peinant à masquer la pauvreté du récit. Et la présidente qui a le cancer. Non mais je vous demande. Et la pilote qui est la fille du général. Tout cela s'y trouve, c'est vrai (hors la "pauvreté du récit"). Seulement, ce qui est intéressant à mes yeux, c'est que ces amourettes en soi sans intérêt permettent de développer un scénario dont le vrai sujet est le terrorisme, la paranoïa, les droits civiques, etc. qui sont abordés sans complaisance. C'est justement ça que je trouve génial. hein ?? starbuck est la fille de adama ???mince, j'ai loupé un truc. Non, c'est lui qui a vu un épisode et qui n'a pas compris. Mais comme tu vois ça ne l'empêche pas d'avoir une opinion informée sur le sujet.
Ronnie Hayek Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Quand Aaron Spelling est mort, The Atlantic a écrit un très bon article disant en substance: les séries sérieuses deviennent inregardable au bout de quelques années alors que Starsky et Hutch et la Croisière s'Amuse gardent leur charme. Je pense qu'ils avaient raison. Lucilio est d'ailleurs un fan absolu de Love Boat. Le grand avantage de ces séries, c'est qu'elles ne se prenaient pas au sérieux, ni ne se la jouaient. Comme les films d'Abbott & Costello.
Chitah Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Lucilio quelquepart a un peu raison malgré son snobisme. La série est un genre nouveau à mon sens, qui n'a pas encore atteint ses lettres de noblesses. Ce genre n'a rien à voir avec le long métrage, le moyen métrage, ou le court métrage. J'en parlais avec Bellegarrigue ce vendredi : par exemple Columbo a été la première série d'un genre nouveau. Dès les trois premières minutes, on connaissait l'assassin, on connaissait la fin de l'histoire. Je ne suis pas sûr qu'il y ait eu beaucoup de films comme ça. Ou alors, Le Prisonnier : c'est la série où on ne sait pas pourquoi le mec est en taule, ni ce qu'il a réellement à faire etc…. Bref : Lucilio, tu devrais donner un peu sa chance au produit je pense.
José Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Lucilio est d'ailleurs un fan absolu de Love Boat. Moi !? Comme les films d'Abbott & Costello. De fait, entre Costello et Soprano, y a pas photo.
Nick de Cusa Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Tout cela s'y trouve, c'est vrai (hors la "pauvreté du récit").Seulement, ce qui est intéressant à mes yeux, c'est que ces amourettes en soi sans intérêt permettent de développer un scénario dont le vrai sujet est le terrorisme, la paranoïa, les droits civiques, etc. C'est justement ça que je trouve génial. Non, c'est lui qui a vu un épisode et qui n'a pas compris. Mais comme tu le vois ça ne l'empêche pas d'avoir une opinion informée sur le sujet. OK, tu projettes tes soucis et tu reluque la belette. Je comprends me voilà rassuré.
Chitah Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 PS : au passage, je me demande à quel point le fait que la série soit un genre populaire, comme le roman l'a été il y a quelques siècles, fait que Lucilio n'apprécie pas celui-ci.
melodius Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 OK, tu projettes tes soucis et tu reluque la belette. Je comprends me voilà rassuré. Je ne dois pas être le seul : http://www.slate.com/id/2151425/
Chitah Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Et au passage, à propos du format de 50 minutes dont parle Lucilio, il faut savoir que les Columbo faisaient (j'ai vérifié) entre 75 et 90 minutes.
Ronnie Hayek Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 La série est un genre nouveau à mon sens Pas exactement. Le principe de la série hebdomadaire ou presque remonte au cinéma muet : http://www.louis-feuillade.com/lunelart/ci…de/feu_seri.htm Moi !? Allez, Isaac, un bon cocktail te fera du bien ! C'est Goffer qui te le dit.
José Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 La série est un genre nouveau à mon sens… Euh… seulement 50 ans, l'âge de la télévision. …qui n'a pas encore atteint ses lettres de noblesses. Et ce n'est pas sur la voie empruntée par les séries récentes que l'on va les trouver, ces lettres. Sinon, de très belles choses ont été faites : La petite maison dans la prairie, Maigret, Fifi Brindacier, etc.
Ronnie Hayek Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 PS : au passage, je me demande à quel point le fait que la série soit un genre populaire, comme le roman l'a été il y a quelques siècles, fait que Lucilio n'apprécie pas celui-ci. Celle-là, plutôt.
melodius Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Pas exactement. Le principe de la série hebdomadaire ou presque remonte au cinéma muet : http://www.louis-feuillade.com/lunelart/ci…de/feu_seri.htm C'est vrai, mais la différence à laquelle Chitah fait allusion (me semble-t-il) est que ces nouvelles séries forment un seul arc narratif, que les acteurs sont meilleurs et que le ton s'est considérablement assombri.
Nick de Cusa Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Je ne dois pas être le seul : http://www.slate.com/id/2151425/ Toi! Utiliser cet argument!
melodius Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 A ce propos, j'attends avec impatience que tu te procures la première saison de six feet under afin de pouvoir me prêter toute la série…
José Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 C'est Goffer qui te le dit. C'est qui ce mec ? On me cache tout, on me dit rien !
Chitah Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Euh… seulement 50 ans, l'âge de la télévision. Et le cinéma? Je suis bien placé pour le savoir, le premier film de l'histoire de l'humanité a été tourné à 100m de mon ancien lycée. D'autre part, il y a une différence fondamentale entre les séries des années 50 et les actuelles : le genre des séries a explosé à la fin des années 80 seulement, dans les années 50 tu en avais une ou deux grand maximum. Et ce n'est pas sur la voie empruntée par les séries récentes que l'on va les trouver, ces lettres. Sinon, de très belle choses ont été faites : La petite maison dans la prairie, Maigret, Fifi Brindacier, etc. Tu connais Six Feet Under par exemple?
teabag Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Why I hate Star trek and why it sucks. Star Trek's Society: Starfleet is an incredibly unlikely and silly organization -- a socialist quasi-military goverment that seems to be in charge of everything; they seem to be in charge of commerce, government, arts, culture, the military, and the media . The Trek Universe: Star Trek, especially the newest incarnations, is void of all of the things that make for entertaining, adult-minded science fiction. The Next Generation, Deep Space Nine, and Voyager, have a sort of juvenile mindset to them. Instead of having people do exactly what they normally would do as humans, the Trek Universe has people behaving as though there are strict rules about everything that prevent a person from even considering self-preservation or self-indulgence as a primary motivator. The entire world that the Star Trek Universe has created is bogus and lacking color. Take, for example, the fact that nobody in the Star Trek Universe listens to rock music. The one episode where a character did listen to rock, he was discouraged by Picard, and the alien Rock'N'Roll was excessively dissonant. How can a future exist where 100 years of music is erased from history? The only music people listen to on Star Trek is Classical and a non-descript "space jazz" kind of music. You'd think that in the future, there would be a bigger variety of musical styles, since musical styles never really die, they develop. After all, when you scan through the radio dial today, you do not find just one or two kinds of music. You find everything from pre-baroque to modern classical, country, western, all forms of jazz, all forms of rock, dixieland, gospel, International, and many many others. People from all over the world (and presumably from all over the universe) would listen to a larger variety or music. The individual's quarters are almost completely lacking in those personal touches -- knick-nacks, posters, personal effects. Crew quarters are sterile. Only once in a while (usually when the plot calls for it) do we see personal effects and individual decor. Some might argue that Starfleet is a military organization, like the US Navy or the Marines, but reality only supports my observation. Bunks in a military barracks usually have pinups, posters, and tables with personal effects in them. Whenever people inhabit an area, even a shared one, they have an urge to mark it or at least make their personal area more pleasing to themselves, more individualized. Easy on your mind: The views on politics in Star Trek stories are shallow at best. There is always a clear distinction between good and evil -- rarely any gray areas. Aliens are always either good aliens or bad aliens. Rarely do we see a political descision that involved chosing the lesser of two seemingly bad options. As a result, the right answer to every political and social dilemma encountered seems to be that The Federation (or the Commander) is always right. Picard, Janeway, and Sisko have the altruistic and flawless wisdom of messiahs; they are never really wrong about anything, and seem to know exactly what the best solution to any problem is. Never (except in flashbacks) do they make descisions that backfire, and which cause them to agonize over the results. At least Captain Kirk had real flaws which could screw him -- like his bad habit of screwing with half the women he met. Are we to believe that the only flaws that the main characters on the new Trek shows ever have only boil down to universal psychological nags, like not having done something differently in the past? Don't any of these people have vices, personal agendas, or "hot-buttons" that occaisionally get pressed? All of the descisions Trek characters face seem to be laid out before them in simple cookie-cutter shapes. In real life, there are descisions that have to be weighed, and even when you make what appears to be the right descision, it can still have a negative effect. There are rarely any real moral dilemmas faced in Trek. Whenever such a dilemma is faced, it is usually only a dilemma because of unknown elements, which later get known in the episode, making a clear-cut black-and-white distinction between right and wrong. In the real world, you can do perfectly good, selfless things for people, and cause unforseen tragic events to occur as a result. For example, you could set up a charity mission for the poor in a 3rd world nation, and give out free food and medical care to the needy. An unforseen tragedy of that act (which we have seen happen before), is that the reputation of that mission for giving free food and healthcare can spread throughout the country (even beyond it's borders), and large masses of poor, starving people could migrate to the location of the mission, looking for free food and healthcare, causing overcrowding and more poverty in an area than there was before the mission was started. Trek's psychology is juvenile, too. I find it hard to believe that the technological future society of Star Trek could be so into kooky New Age pop-psychology, that it would have a psychic stationed on every spaceship as a counselor. Deanna Troi is the stupidest character I have seen on Trek -- her whole purpose is to state the obvious. We see a scowling alien screaming over the viewscreen, and Troi predictably babbles "I sense hostility in him!" A Character holds back a few tears or talks kind-of choked up, and Troi says "I sense sadness…" Get a clue! […]
José Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Toi! Utiliser cet argument! Un chat acculé au mur, je te dis.
melodius Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Surtout, on entend des bruits dans le vide interstellaire. Contrairement à un grand film sur l'espace dont il est souvent question sur ce forum. Je sais que c'est méchant, mais là tu me fais irrésistiblement songer à ces gens qui disent que l'opéra est ridicule parce que des mourants chantent un aria de cinq minutes ou encore qu'on chante "partons partons" en restant sur place.
Chitah Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 C'est vrai, mais la différence à laquelle Chitah fait allusion (me semble-t-il) est que ces nouvelles séries forment un seul arc narratif, que les acteurs sont meilleurs et que le ton s'est considérablement assombri. Toutafé.
José Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Tu connais Six Feet Under par exemple? …des mourants chantent un aria de cinq minutes ou encore qu'on chante "partons partons" en restant sur place. Ça, c'est seulement dans l'opéra français.
melodius Posté 26 novembre 2007 Signaler Posté 26 novembre 2007 Un chat acculé au mur, je te dis. Disons que si même les geeks de Slate voient de quoi ça cause et vous pas, c'est parlant.
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