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Bétancourt : la suite


Taranne

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Posté

Et grande prétentieuse mégalomaniaque narcissique, c'est permis?

Non parce que sinon je ne l'écris pas, hein.

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Vous y croyez vous, devant ces larmes de crocodile?

Son changement de position est logique vu le scandale qu'elle a provoqué dans l'opinion en Colombie, elle reste politocarde dans l'âme.

Ingrid Betancourt, 48 ans, durement critiquée dans plusieurs ouvrages d'anciens compagnons de captivité, puis dans un livre écrit par son ex-mari Juan Carlos Lecompte, sort en septembre chez Gallimard un livre où elle raconte sa version de son enlèvement, Même le silence a une fin.

Même en captivité, les politiciens sont abjects.

Posté
Son changement de position est logique vu le scandale qu'elle a provoqué dans l'opinion en Colombie, elle reste politocarde dans l'âme.

Pute un jour, pute toujours.

Posté

http://www.lepoint.fr/monde/betancourt-reg…-1213657_24.php

L'ex-candidate à la présidentielle de 2002 a ensuite expliqué pourquoi elle estimait que les forces de l'ordre avaient négligé sa sécurité. "On m'a enlevé mes gardes du corps. Si l'État considérait que c'était si dangereux ils auraient du me les laisser (…) et s'ils considéraient que c'était vraiment dangereux, on aurait dû me bloquer au poste de contrôle et ne pas me laisser y aller"

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Posté
L'ex-candidate à la présidentielle de 2002 a ensuite expliqué pourquoi elle estimait que les forces de l'ordre avaient négligé sa sécurité. "On m'a enlevé mes gardes du corps. Si l'État considérait que c'était si dangereux ils auraient du me les laisser (…) et s'ils considéraient que c'était vraiment dangereux, on aurait dû me bloquer au poste de contrôle et ne pas me laisser y aller"

Putain ! parce qu'en plus elle voulait condamner à mort ses gardes du corps !

J'en irais presque à plaindre se geôliers de d'avoir eu à la supporter 6 ans…

Posté
Rebondissements croustillants : le mari de l'Ingrid s'est fait lourder par l'ingrate.

je l'avais vu dans un reportage. Il s'était fait tatouer le visage de Betancourt sur son bras. Un peu allumé, quand même.

Le coup de l'indemnisation, c'est pas mal. On devrait lui présenter la facture de sa libération.

Bon, il faut que je trouve des extraits de ce que ses ex-compagnons de captivité ont pu raconter sur son compte. Quand on a vécu une telle épreuve et qu'on a ce genre de choses à dire, c'est que ça doit être croustillant.

Posté
Le coup de l'indemnisation, c'est pas mal. On devrait lui présenter la facture de sa libération.

De sa libération, mais aussi de toutes les gesticulations grotesques organisées en son honneur par le club des bien pensants (je suis parisien et j'ai encore en travers de la gorge ces immenses affiches à la gloire de cette manipulatrice qui ont décoré à nos frais les murs de la mairie), de tous les fonctionnaires qui ont oeuvré à sa libération…

Tous les vrais prisonniers politiques qui auraient pu être aidés si cette femme n'avait concentré sur elle toutes les ressources médiatiques et administratives disponibles peuvent encore la remercier. S'ils sont encore en vie.

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Et on en apprend encore :

En parallèle de ses démarches auprès des autorités de Bogota, Ingrid Betancourt bataillait secrètement pour obtenir également des indemnités de Paris. C'est ce qu'a révélé, dans son édition du 18 juillet, «Le Journal du dimanche». L'ex-otage aurait d'ailleurs obtenu la somme de 450 000 euros de ce fonds, financé par des cotisations obligatoires sur les contrats d'assurance de responsabilité civile. Selon le JDD, elle ne les a pas touchés, jugeant la somme insuffisante compte tenu du préjudice subi. Le conseil d'administration du fonds devait se pencher à nouveau sur son cas en septembre.

http://www.leparisien.fr/politique/ingrid-…010-1005264.php

  • 2 months later...
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Nice shot.

Sans leur chef militaire historique, les Farc risquent la débandade

BOGOTA (AFP) 24/09/2010 - La mort du chef militaire de la guérilla colombienne des Farc est le coup le plus dur porté à celle-ci, selon les spécialistes qui n'écartent pas qu'elle entraîne au sein de ses troupes une désorganisation propice à des démobilisations et un dialogue de paix.

Luis Suarez, alias Jorge Briceno ou "Mono Jojoy", était selon le ministère de la Défense son chef militaire incontesté, dirigeant son front le plus puissant, le bloc oriental, et membre de son bureau politique depuis le début des années 199O.

"C'est sans nul doute le coup le plus dur" porté à cette guérilla, a déclaré à l'AFP Ariel Avila, spécialiste du conflit au sein de la Corporation Nuevo Arco Iris, l'institut de référence dans ce domaine.

"Sa mort peux signifier la désorganisation des structures de la guérilla. C'est un coup porté au moral de ses troupes, car il était très apprécié, mais aussi un coup militaire et économique, car le bloc oriental qu'il dirigeait était celui qui avait le plus d'argent", a-t-il déclaré.

Agé de 57 ans, Jorge Briceño a été tué dans une opération menée par les quatre corps d'armée colombiens à partir de mercredi à 01h00 du matin (06h00 GMT), selon le ministère de la Défense, qui a annoncé sa mort jeudi matin.

L'opération a impliqué plus de 70 aéronefs et plusieurs centaines de soldats. Une cinquantaine de bombes ont été lancées sur le campement où il se trouvait et ses environs, dans le département central de Meta.

Outre le "Mono Jojoy", une vingtaine de guérilleros, dont certains seraient des gradés, ont également été tués.

"La mort de Briceño a la même importance, d'un point de vue militaire, que celle de Raul Reyes dans les domaines politiques et économiques", a expliqué jeudi à l'AFP le spécialiste Alfredo Rangel, en évoquant la disparition le 1er mars 2008 de celui qui était considéré comme le numéro deux des Farc, dans un bombardement.

"Les Farc sont orphelines, sur le terrain politique mais aussi dans le domaine militaire", a-t-il assuré.

Raul Reyes avait été tué lors du bombardement d'un campement des Farc en Equateur. Quelques semaines plus tard, la guérilla avait perdu son fondateur historique, Manuel Marulanda, emporté par une maladie, et un troisième membre du bureau politique, Ivan Rios, assassiné par son aide de camps.

Après ces disparitions et le sauvetage par l'armée de quinze de leurs plus précieux otages, dont la franco-colombienne Ingrid Betancourt, le 2 juillet 2008, les Farc, qui compteraient actuellement quelque 8.000 combattants selon le ministère de la Défense, avaient traversé l'un des pires moments de leur histoire depuis leur fondation en 1964.

Mais elles s'étaient réorganisées et avaient changé leurs tactiques. En 2009, selon la Corporation Nuevo Arco Iris 2.318 militaires ont ainsi été tués ou blessés par les Farc, contre 2.066 en 2002.

La mort du "Mono Jojoy" devrait cependant être désormais difficile à assimiler pour la guérilla, "qui avait déjà perdu ces dernières années son cap idéologique et est aujourd'hui réduite à une structure militaire", selon le politologue colombien Fernando Giraldo.

"Briceño était un grand stratège (…) même s'il est remplacé, ceux qui lui succéderont sont loin de pouvoir atteindre son niveau", a-t-il expliqué.

C'était un "radical" et un "orthodoxe" dont le départ pourrait en revanche faciliter un dialogue, car le chef de la guérilla Alfonso Cano a la réputation d'être plus flexible, a-t-il ajouté.

Son décès, en tous cas, "renforce (le président colombien) Santos face à l'opinion publique" après une vague d'attaques attribuées à la guérilla depuis le début du mois de septembre dans lesquelles au moins 43 militaires et policiers ont été tués, 90 selon les Farc, a encore estimé M. Giraldo.

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