xavdr Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 OBAMA reçoit depuis quelques jours des soutiens de poids habituellement classés républicains ou libéraux: après Colin POWELL, The Economist…
Sous-Commandant Marco Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 OBAMA reçoit depuis quelques jours des soutiens de poids habituellement classés républicains ou libéraux: après COLIN POWEL, The Economist… Il n'est jamais trop tard pour bien faire. Et ça ne change rien au fait que les prétendus "liberals" n'ont pas vraiment le pouvoir aux Etats-Unis et que les Républicains se sont transformés en anti-conservateurs dépensiers. Pour prendre un exemple de ce que critique Miller, le "politically correct" est plutôt une invention des Républicains modérés.
xavdr Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 Ce n'est pas une plainte recevable parce que, au cours des 25 dernières années citées par ce Cory Miller, les "liberals" comme Obama n'ont été au pouvoir que 8 ans au plan national et pour ainsi dire jamais au Texas. Et les 8 ans où Clinton a été au pouvoir ont été la période la moins anti-libérale de l'histoire récente des Etats-Unis. Accuser Obama d'être responsable de la crise financière et de la crise morale des Etats-Unis, c'est tout simplement grotesque. Ce qui est grotesque, c'est de prétendre que les républicains seraient responsables du système de l'accès social à la propriété alors que c'était la "chose" des démocrates, qui a fait faillite: les démocrates l'ont mis en place par épisode, les plus importants étant au début de la présidence de Bill CLINTON et ils l'ont maintenu en obtenant des majorités de circonstances avec la défection de quelques parlementaires républicians venant rejoindre la masse des parlementaires démocrates quand ceux-ci n'avaient pas à eux seul la majorité. Les quotas de discrimination positive et autres critères sociaux de refinancement ont augmentés sous la conduite de "responsables" démocrates. En plus des majorités de circonstances obtenues à contre courant sur des programmes tels que ceux de l'accès social à la propriété, les USA ont connus plusieurs cohabitations partielles ou totales depuis 25 ans, ce qui modère fortement votre affirmation qui suggère de façon erronnée que les républicains auraient eu le pouvoir durant 17 des 25 dernières années. En outre les défenseurs des transports en commun et des fortes contraintes urbanistes sont plus souvent des démocrates que des républicians, même si en la matière le distingo est moins marqué. Or ces politique urbanistes sont un des instruments qui ont forgé la bulle immobilière. En ce qui concerne les responsabilités des républicains, vous pouvez défendre l'idée que les bas taux d'intérets de la banque centrale ont permis aux irresponsables de s'exprimer, et placé durant plusieurs années les gens responsables sous la pression d'une solution court-termiste qu'il leur coutait dans un 1er temps de ne pas utiliser…
José Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 OBAMA reçoit depuis quelques jours des soutiens de poids habituellement classés républicains ou libéraux: après COLIN POWEL, The Economist… Une impression que beaucoup, dans les jours à venir, vont voler au secours de la victoire.
neuneu2k Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 En ce qui concerne les responsabilités des républicains, vous pouvez défendre l'idée que les bas taux d'intérets de la banque centrale ont permis aux irresponsables de s'exprimer, et placé durant plusieurs années les gens responsables sous la pression d'une solution court-termiste qu'il leur coutait dans un 1er temps de ne pas utiliser… Ca et un manque notoire de couilles en politique intérieure (qu’ils compensent phalliquement peut être avec des couilles et peu de cervelle en politique étrangère…). Quand on est au pouvoir, on est aussi responsable de tout ce qu’on n’arrête pas que de tout ce qu’on commence, surtout quand on n’essaye même pas d’arrêter.
xavdr Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 Quand on est au pouvoir, on est aussi responsable de tout ce qu’on n’arrête pas que de tout ce qu’on commence, surtout quand on n’essaye même pas d’arrêter. Exact. Les GSE ont été mis sur la sellette parlementaire en 2002, et ce sont les démocrates qui ont obtenu une majorité de circonstance leur ayant permis de préserver leur système, leurs hommes, etc., contre la volonté de la plupart des républicains de stopper la machine sociale infernale. Le 16 juillet 2002, le libéral Ron PAUL avait même fait un discours au parlement dénonçant les GSE et leur conséquence, la bulle immobilière en cours de formation. La vision courante que les médias français donnent souvent, d'un régime US purement présidentiel, est erronnée.
Sous-Commandant Marco Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 Ce qui est grotesque, c'est de prétendre que les républicains seraient responsables du système de l'accès social à la propriété alors que c'était la "chose" des démocrates, qui a fait faillite Tout va bien alors puisque ce n'est pas ce que je dis… En fait, il y a en fait peu de différences entre Démocrates et Républicains sur les différents point cités par Miller, dont la critique tombe à plat sur la sa propre figure. Car si les Républicains sont plus adeptes des baisses d'impôts que les Démocrates, c'est au prix de déficits massifs, qui sont en fait des impôts décalés dans le temps. En plus des majorités de circonstances obtenues à contre courant sur des programmes tels que ceux de l'accès social à la propriété, les USA ont connus plusieurs cohabitations partielles ou totales depuis 25 ans, ce qui modère fortement votre affirmation qui suggère de façon erronnée que les républicains auraient eu le pouvoir durant 17 des 25 dernières années. Peut-être mais il s'agit de l'élection présidentielle à venir. Exact. Les GSE ont été mis sur la sellette parlementaire en 2002, et ce sont les démocrates qui ont obtenu une majorité de circonstance leur ayant permis de préserver leur système, leurs hommes, etc., contre la volonté de la plupart des républicains de stopper la machine sociale infernale. Le 16 juillet 2002, le libéral Ron PAUL avait même fait un discours au parlement dénonçant la bulle immobilière en cours de formation.La vision que les médias donnent en France, d'un régime US purement présidentiel est erronnée. Bush a le pouvoir de véto mais ne l'a quasiment jamais exercé lorsqu'il s'agissait d'augmenter les dépenses publiques…
Invité jabial Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 A choisir entre les deux, je reste partisan de McCain. Et merde.
h16 Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 A choisir entre les deux, je reste partisan de McCain. Et merde. Aux dernières nouvelles, elle n'est plus candidate. Il ne te reste plus donc que McCain.
José Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 A choisir entre les deux, je reste partisan de McCain. Et merde. D'un autre côté, quitte à avoir un étatiste de compétition à la Maison Blanche pour les quatre ans à venir, autant que ce soit un Démocrate.
Sous-Commandant Marco Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 Aux dernières nouvelles, elle n'est plus candidate.[…] Si si, elle est candidate à la vice-présidence… Tu confonds avec Crotte, qui a été éliminée par Obama.
Taranne Posté 31 octobre 2008 Auteur Signaler Posté 31 octobre 2008 Ce n'est pas une plainte recevable parce que, au cours des 25 dernières années citées par ce Cory Miller, les "liberals" comme Obama n'ont été au pouvoir que 8 ans au plan national et pour ainsi dire jamais au Texas. Tout dépend de quel point de vue on se place; les Démocrates n'ont perdu la majorité au Congrès que dans les années quatre-vingts-dix, sous Clinton je crois. Pour prendre un exemple de ce que critique Miller, le "politically correct" est plutôt une invention des Républicains modérés. Tu peux développer? Et sans blague, ça existe encore, les Républicains modérés?
Sous-Commandant Marco Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 Tout dépend de quel point de vue on se place; les Démocrates n'ont perdu la majorité au Congrès que dans les années quatre-vingts-dix, sous Clinton je crois. Mais la critique s'adresse à Obama, qui se présente aux élections présidentielles. Tu peux développer? Et sans blague, ça existe encore, les Républicains modérés? A ma connaissance (je vivais aux Etats-Unis à l'époque), le "politically correct" au sens où on l'entend aujourd'hui a fait ses débuts au début des années 90, alors que des Républicains modérés étaient encore au pouvoir. Vous m'excuserez de citer Wikipedia: http://en.wikipedia.org/wiki/Politically_correct In conservative rhetoricIn the 1990s, after the Cold War, this obscure term became part of conservative social and political challenges to curriculum expansion and "progressive" teaching methods in American universities and high schools (D'Souza 1991; Berman 1992; Schultz 1993; Messer Davidow 1993, 1994; Scatamburlo 1998). In 1991, in a commencement address at the University of Michigan, U.S. President George H. W. Bush spoke against a "movement" that would "declare certain topics off-limits, certain expressions off-limits, even certain gestures off-limits".
Taranne Posté 1 novembre 2008 Auteur Signaler Posté 1 novembre 2008 Yes, mais Wikipedia précise bien que le terme a été popularisé par les conservateurs afin de décrire une réalité déjà existante, qu'ils n'ont pas inventée.
xavdr Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 D'après les témoignages que j'ai recueilli, c'est devenu un délire pur et simple par le fait de militants hystériques liés aux mouvances radicales des minorités. Depuis les USA sont devenus un enfer de bien disance et de bien pensance, adeptes de la novlangue, ayant des formations obligatoires pour les managers des grandes entreprises sous peine de passer aux yeux des tribunaux potentiels pour de dangereux laxistes face à l'oppression des vils dominants. C'est ainsi que mon DG France d'une filiale d'une demi-douzaine de personnes dont le hasard a voulu qu'elles soient toutes masculines a du suivre il y a quelques mois une formation morale et juridique sur la prévention du harcellement sexuel, parfaitement conforme au droit californien de la maison mère de notre petite multinationale de 1000 personnes.
xavdr Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 A choisir entre les deux, je reste partisan de McCain. […] +1 Ceci dit McCAIN n'est pas complètement rassurant. Son séjour de 2 ans dans les camps de lavages de cerveau au Vietnam est héroïque mais un peu problématique quand il s'agit de confier le pouvoir militaire suprême à qqun. Vis-à-vis des GSE Fannie Mae et Freddie Mac il a tenu un discours "raisonnable" sous la forme d'une apporbation indignée du plan de sauvetage des canards boiteux de la sociale démocratie à l'états-unienne. Certes, il est présenté comme un de ceux qui ont dénoncé leur gabegie tardivement en 2006, après une nouvelle véléité de réforme neutralisée en 2005. Je crois pouvoir en déduire qu'en 2002, alors que le débat parlementaire venait sur les GSE, il n'avait alors pas une position aussi pertinente. En outre la société de lobbying de son directeur de campagne a une lucrative proximité avec Freddie Mac, ce qui a fait scandale fin septembre quelques jours après qu'il ait durci son discours envers les GSE. Bref, la position de McCAIN me semble plus ambigüe qu'il n'eut été souhaitable pour transformer l'effondrement des structures sociales démocrates d'économie mixte en dynamique philsophique libérale et en dynamique électorale républicaine.
Ash Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 +1Ceci dit McCAIN n'est pas complètement rassurant. Son séjour de 2 ans dans les camps de lavages de cerveau au Vietnam est héroïque mais un peu problématique quand il s'agit de confier le pouvoir militaire suprême à qqun. Du reste, en quoi ce qu'il a fait là-bas est héroïque ?
xavdr Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 Du reste, en quoi ce qu'il a fait là-bas est héroïque ? Il semble avoir eu un comportement émérite, avoir refusé de quitter les camps tant que ses camarades de détention n'étaient pas eux même libérés, etc. En tout cas il a souffert de fractures, coups de baionettes ayant laissé une de ses jambes et un de ses bras en partie impotents, isolement total de 2 ans, à nouveau frappé, fracturé, etc. Un journaleux français (ancien collabo français à en croire Wikipedia) en cours de reportage pro-communiste (apparemment: anti-américain) l'a même interviewé quelques jours après sa capture à l'issue de la chute de son avion le 25/26 octobre 1967. A en croire Wikipedia, il avait été fracturé aux deux bras et une jambe lors de sa chute, a subi au moment de sa capture les coups de baïonette le laissant partiellement impotent au bras gauche et à une jambe, puis a été emprisonné sans lit et battu durant 5 jours avant qu'il ne soit identifié (par sa déclaration épuisée ?) comme fils d'un amiral ; alors transporté dans un hopital il est soigné puis au 10ème jour de son hospitalisation (= 15ème jour depuis sa chute) est interrogé par le journaleux en train de faire son reportage pro communiste qui enregistre ses déclarations laissant croire qu'il a été spontanément soigné et bien traité. Mac CAIN fume même devant la caméra en utilisant son bras gauche.
Sous-Commandant Marco Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 […] Un journaleux français (ancien collabo français à en croire Wikipedia) en cours de reportage pro-communiste (plus probablement: anti-américain) […] Juste une petite parenthèse pour rappeler que François Chalais était un excellent journaliste, bien loin de l'image que tu en donnes ici.
Taranne Posté 1 novembre 2008 Auteur Signaler Posté 1 novembre 2008 Le Guardian se réveille (trop tard?) http://www.guardian.co.uk/commentisfree/20…as-mccain/print
xavdr Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 Soit dit en passant, ce n'est pas pire que l'édition 2004 des aventures électorales états-uniennes, où les deux principaux candidats étaient parait-il des membres de la société secrète "Skull & Bones" de Yale. Ces élections avaient été précédées d'un film grand public au scénario sinistre avec pour sujet une société secrète universitaire "Skull". Il semble que le système US soit très tourné vers le foutage de gueule électoral.
Ash Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 Il semble avoir eu un comportement émérite, avoir refusé de quitter les camps tant que ses camarades de détention n'étaient pas eux même libérés, etc. En tout cas il a souffert de fractures, coups de baionettes ayant laissé une de ses jambes et un de ses bras en partie impotents, isolement total de 2 ans, à nouveau frappé, fracturé, etc.Un journaleux français (ancien collabo français à en croire Wikipedia) en cours de reportage pro-communiste (apparemment: anti-américain) l'a même interviewé quelques jours après sa capture à l'issue de la chute de son avion le 25/26 octobre 1967. A en croire Wikipedia, il avait été fracturé aux deux bras et une jambe lors de sa chute, a subi au moment de sa capture les coups de baïonette le laissant partiellement impotent au bras gauche et à une jambe, puis a été emprisonné sans lit et battu durant 5 jours avant qu'il ne soit identifié (par sa déclaration épuisée ?) comme fils d'un amiral ; alors transporté dans un hopital il est soigné puis au 10ème jour de son hospitalisation (= 15ème jour depuis sa chute) est interrogé par le journaleux en train de faire son reportage pro communiste qui enregistre ses déclarations laissant croire qu'il a été spontanément soigné et bien traité. Mac CAIN fume même devant la caméra en utilisant son bras gauche. Ca en fait une victime, un rescapé, toujours pas un héros. En outre, c'était parait-il un vrai casse-cou aussi bien dans l'armée que dans sa vie personnelle.
xavdr Posté 2 novembre 2008 Signaler Posté 2 novembre 2008 Juste une petite parenthèse pour rappeler que François Chalais était un excellent journaliste, bien loin de l'image que tu en donnes ici. Il suffit de voir le reportage pour se faire une idée sur son "excellence". Difficile à son visionnage de comprendre que les cibles étaient militaires ou infrastructures utilisées par les militaires, que le prisonnier était torturé, que le gentil dictateur président démocratique un peu "intransigeant" était un exterminateur de masse, que les commissaires politiques sont partout et noyautent la population et biaisent chaque reportage, etc.
Sous-Commandant Marco Posté 2 novembre 2008 Signaler Posté 2 novembre 2008 Il suffit de voir le reportage pour se faire une idée sur son "excellence".Difficile à son visionnage de comprendre que les cibles étaient militaires ou infrastructures utilisées par les militaires, que le prisonnier était torturé, que le gentil dictateur président démocratique un peu "intransigeant" était un exterminateur de masse, que les commissaires politiques sont partout et noyautent la population et biaisent chaque reportage, etc. Difficile de comprendre comment on peut aligner tant de contre-vérités en une seule phrase, en effet. Le reportage est certainement criticable mais sur aucun des points que tu cites, qui me paraissent fortement biaisés.
Taranne Posté 2 novembre 2008 Auteur Signaler Posté 2 novembre 2008 C'est maintenant au tour de Fukuyama de se rallier à Obama: http://www.amconmag.com/article/2008/nov/03/00020/
AX-poulpe Posté 4 novembre 2008 Signaler Posté 4 novembre 2008 La dernière manoeuvre d'Obama pour gagner l'élection. Sérieusement, c'est pas minable de faire mourir sa grand-mère au moment décisif pour s'attirer la compassion ?
Nick de Cusa Posté 4 novembre 2008 Signaler Posté 4 novembre 2008 J'ai entendu ce matin à la radio son speach sur le décès de sa grand mère. Outre que c'était pure exploitation d'un évènement présenté comme une tragédie personnelle, ce qui démontre une lugubre absence de scrupule, j'ai été frappé de son accent noir américain, plus précisément prêcheur noir américain, or Si un parent noir suffit à faire un noir alors un parent blanc suffit à faire un blanc, donc il est blancPlus sérieusement, il n'est pas noir américain au sens descendant d'esclave mais fils d'immigrant Kenyan, et ce n'est pas du tout la même cultureEnfin, il a été élevé par des blancs et ce n'est donc pas son accent d'enfance Son accent ressemble donc à un cynique numéro d'acteur. Navrant.
Ash Posté 4 novembre 2008 Signaler Posté 4 novembre 2008 La dernière manoeuvre d'Obama pour gagner l'élection. Sérieusement, c'est pas minable de faire mourir sa grand-mère au moment décisif pour s'attirer la compassion ? Ce qui est assez navrant, c'est qu'on en retient qu'elle était raciste.
h16 Posté 18 novembre 2008 Signaler Posté 18 novembre 2008 Comment dire … je … ah. Hem. Bref. Consternant.
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