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Le MR et le féminisme


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Posté
…les gamins dans une cour de récré : ils se tapent dessus, hurlent, les grands tapent les petits, c'est la loi du plus fort…

Si seulement c'était vrai… Mais déjà à cet âge ne manquent pas les mal nés qui vont pleurnicher chez la maîtresse.

Invité jabial
Posté
La supériorité physique des hommes par rapport au femmes peut expliquer en partie que la majorité des viols soient commis par ceux-ci, pour autant ce n'est pas une explication suffisante.

Je ne parle pas de force mais de la forme de l'organe sexuel. Il est facile pour un homme de violer ; comment une femme peut-elle violer? Ca existe, oui, mais c'est vraiment plus compliqué.

et parce que le viol lesbien est quelque chose d'extrément rare voire qui n'existe pas (ou alors c'est qu'on en parle pas).

Renseigne toi mieux.

http://www.rainbowhope.org/index.php?name=…d=43&page=1

De toutes façons il suffit de regarder la masse d'inadaptés sociaux issus de l'école obligatoire pour constrater qu'elle n'a aucune vertu socialisante particulière. Mieux vaut pour un enfant ne pas aller à l'école mais apprendre le credo le plus socialisant qui soit "sortez de votre appartement, allez à la rencontre du sexe opposé"

Heu… La socialisation, c'est quand même avant la puberté, hein.

Certainement pas. L'excision n'empêche pas la femme de procréer.

D'un point de vue strictement anatomique, l'équivalent de l'excision sera la coupure du gland. En effet, le clitoris est anatomiquement analogue au pénis, et la plus grande partie de cet organe est interne. Ce que je cherchais, c'est un exemple non pas anatomiquement équivalent, mais équivalent d'un point de vue socio-culturel. La tradition des oenuques et des castrats est bien ce qui se rapproche le plus de l'excision. Il est inutile de chercher, de toute façon, une analogie parfaite : les hommes ne sont pas des femmes.

D'ailleurs, nombre de gens se servent de l'exemple de l'école (ou de ce qu'elle est devenue) comme plaidoyer pour une société plus collectiviste, j'ai eu droit souvent lors de discussions sur le libéralisme au type d'argument suivant : "tu vois bien que les gens ont besoin d'un état, regarde les gamins dans une cour de récré : ils se tapent dessus, hurlent, les grands tapent les petits, c'est la loi du plus fort…"

Ce qui est intéressant c'est que précisément l'école est une structure où des enfants sont arrachés à leur environnement naturel pour être intégrés dans un environnement construit et organisé par l'Etat.

Posté
Cf. Ma réponse à LaFéeC. C'est un choix et le fait est que l'on pourrait parfaitement en faire d'autres. Il me semble intéressant de relever que pour beaucoup de gens, l'idée de faire d'autres choix est tout simplement inconcevable.

Quant à la socialisation, comme l'a justement fait remarquer LaFéeC, elle passe (devrait passer ?) par bien d'autres choses que l'école.

Je n'ai pas dit que c'est inconcevable néanmoins le rôle de l'école c'est aussi la socialisation.

si on enfermait 150 adultes (et ça c'est pour les petites écoles) derrière une grille dans un espace qui ressemble à s'y méprendre à une prison, je ne sais pas ce que ça donnerait.

L'école totalitaire, on me l'avait encore jamais faite.

En bref, il n'y a rien de naturel ni de sain à mettre x gamins au même endroit pendant plus de la moitié de la journée et comme le dit AbominableNH

Alors que plus tard dans nos bureaux… :icon_up:

Posté
Je n'ai pas dit que c'est inconcevable néanmoins le rôle de l'école c'est aussi la socialisation.

Je ne t'ai pas imputé cette idée. Ma remarque était d'ordre général. :icon_up:

Même si l'école y participe, le rôle de l'école n'est pas la socialisation.

Invité jabial
Posté
Je n'ai pas dit que c'est inconcevable néanmoins le rôle de l'école c'est aussi la socialisation.

Heu… Et bien alors ça ne marche pas :doigt:

L'école totalitaire, on me l'avait encore jamais faite.

Ce n'est pas si faux que ça en a l'air. C'est probablement une externalité négative du système de l'EPGO. Je me demande à quel point ça a pu favoriser certaines évolutions socio-politiques - ou pas.

Alors que plus tard dans nos bureaux… :icon_up:

Le rôle du bureau n'est pas de t'éduquer ni de te socialiser ; c'est un lieu permettant la communication et le contrôle dans le cadre d'un travail coordonné - et éventuellement la rencontre entre l'offre et la demande dans les lieux destinés à l'accueil des clients. L'optique est très, très différente. Qu'un enfant passe la majorité de la journée à être instruit, ça me paraît parfaitement normal ; la question est de savoir dans quelles conditions.

Posté
Il est facile pour un homme de violer ; comment une femme peut-elle violer? Ca existe, oui, mais c'est vraiment plus compliqué.

Avec un manche à balai?

Ceci dit, il me semble que pénalement, le viol d'un homme par une femme n'est pas reconnu - ou difficilement.

Posté

Logiquement, c'est possible puisque dès qu'il y a pénétration sexuelle (toute sorte de pénétration) contrainte et forcée, il y a viol.

(cette discussion me semble "bizarre").

Invité jabial
Posté
Logiquement, c'est possible puisque dès qu'il y a pénétration sexuelle (toute sorte de pénétration) contrainte et forcée, il y a viol.

L'organe sexuel de l'homme se prête mieux que celui de la femme à l'automatisme du viol. Quoi qu'on puisse dire sur le sexe, c'est à l'origine un comportement reproductif. Un violeur peut répandre ses gènes de façon exponentielle. C'est un comportement parasitaire typique. On me dira que tout ça n'explique pas les violeurs-tueurs, mais un mécanisme évolutif peut aussi avoir des effets externes négatifs - je pense notamment à la drépanocytose. Le taux de violence, l'absence d'empathie, l'esprit pervers nécessaires pour faire un violeur sont aussi de très bons composants pour un tueur sans remords.

D'un point de vue axiomatique, le viol est un cas particulier du crime de torture. Un tortionnaire n'ayant rien à faire dans la société des honnêtes gens, on l'en retranche.

Posté
D'un point de vue strictement anatomique, l'équivalent de l'excision sera la coupure du gland. En effet, le clitoris est anatomiquement analogue au pénis, et la plus grande partie de cet organe est interne. Ce que je cherchais, c'est un exemple non pas anatomiquement équivalent, mais équivalent d'un point de vue socio-culturel. La tradition des oenuques et des castrats est bien ce qui se rapproche le plus de l'excision. Il est inutile de chercher, de toute façon, une analogie parfaite : les hommes ne sont pas des femmes.

D'un point de vue anatomique, la castration a pour effet d'empêcher l'homme de procréer, tandis que l'excision ne nuit pas aux facultés reproductives de la femme. Je sais que ça fait compassionnel d'exagérer la portée de cette opération (parfaitement dégueulasse, nous sommes d'accord) mais la vérité a ses droits.

Posté
L'organe sexuel de l'homme se prête mieux que celui de la femme à l'automatisme du viol. Quoi qu'on puisse dire sur le sexe, c'est à l'origine un comportement reproductif. Un violeur peut répandre ses gènes de façon exponentielle. C'est un comportement parasitaire typique. On me dira que tout ça n'explique pas les violeurs-tueurs, mais un mécanisme évolutif peut aussi avoir des effets externes négatifs - je pense notamment à la drépanocytose. Le taux de violence, l'absence d'empathie, l'esprit pervers nécessaires pour faire un violeur sont aussi de très bons composants pour un tueur sans remords.

Nous sommes d'accord : d'un point de vue anatomique, il est plus facile pour un homme de violer une femme que l'inverse. Notons toutefois que ça ne s'avère pas être la seule cause.

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