Adrian Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 Des fonctionnaires bientôt payés au mérite Environ 200.000 fonctionnaires devraient bénéficier prochainement d’une prime au mérite. Elle pourrait atteindre 14.400 euros par an au maximum pour les postes à forte responsabilité, annonce Le Figaro dans son édition de vendredi. Le décret qui paraîtra en novembre, croit savoir Le Figaro, concerne 198.200 fonctionnaires qui appartiennent notamment à la «filière administrative», c’est-à-dire intendants d’établissements scolaires, juristes dans des ministères, responsables de ressources humaines en préfecture… Cette prime de fonctions et de résultats (PFR) devrait remplacer «le fouillis d’indemnités et autres bonifications», écrit le quotidien. «La partie “résultats” (40%) sera purement individuelle et véritablement variable à l’issue d’un entretien annuel d’évaluation», selon le journal. Les premiers à inaugurer les PFR seront les attachés et attachés principaux, c’est-à-dire les 21.600 cadres de la filières administrative (catégorie A, recrutés à bac+3 et le plus souvent à bac+5). Affaires étrangères, agriculture, environnement, éducation et conseil d’Etat sont parmi les premiers à être concerné par cette PFR, dès 2009, alors qu’il n’existe aucun délai précis pour le reste des filières. Mais selon le Figaro, le décret précise que tous les attachés auront obligatoirement «basculé» le 1er janvier 2012 au plus tard. Opposés, les syndicats de fonctionnaires, à qui le dispositif a été présenté il y a une douzaine de jours, ont obtenu l’assurance que la première année aucun agent de la fonction publique ne verrait sa rémunération totale baisser. http://www.liberation.fr/economie/01021662…u-merite:page-2 Concours de lèche-cul bientôt organisé dans la fonction publique
Adrian Posté 31 octobre 2008 Auteur Signaler Posté 31 octobre 2008 Témoignage sur libé : Ca fait peut-être un peu cliché mais honnêtement j'y travaille également dans une administration et ce que j'y vois fait peur. Ce n'est qu'un avis tout à fait personnel mais voici ce que je vois toute la journée : Entre : - les anciens 'au placard' qui n'ont à décrocher leur tél que 2 fois par jour; - les gens qui passent leur temps à discuter dans les bureaux; - les j'arrive à 09h30 et à 16h30 je suis parti chercher les gamins à la sortie de l'école; - les 2 heures de pause déjeuner; - les pauses café interminables; - les congés au dessus de la moyenne Et honnêtement je le cache pas, j'aurais le temps de faire 2 voire 3 journées de boulot en une… Je pense sincèrement (j'en fais partie je le rappelle) qu'il est temps de dégraisser tout ça
roubachov Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 Témoignage sur libé : Excellente réforme. Je ne vois d'ailleurs pas pourquoi tu sembles trouver cela si risible ? Ou peut-être as-tu un préjugé anti-fonctionnaires ?
Wallace Posté 31 octobre 2008 Signaler Posté 31 octobre 2008 Excellente réforme. Non, ce qui la rendrait exellente, ça serait que le boulot soit évalué par des cabinets d'audit privé qui n'aient aucun lien avec le secteur public. Sinon c'est très exactement un concours de lèche cul qui sera déclenché, dire que j'ai faillis me retrouver attaché d'administration, je l'ai échappé bel !
roubachov Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 Non, ce qui la rendrait exellente, ça serait que le boulot soit évalué par des cabinets d'audit privé qui n'aient aucun lien avec le secteur public. Sinon c'est très exactement un concours de lèche cul qui sera déclenché, dire que j'ai faillis me retrouver attaché d'administration, je l'ai échappé bel ! Mouais. Je pense que les spécificités du secteur public (car il y en a) ne peuvent pas nécessairement être appréhendées par les cabinets d'audit que tu évoqués. Ceci étant, il y a évidemment énormément de gaspillage dans les pouvoirs publics, de l'Etat central aux communes. Et nous connaissons tous des planqués ou des cas sociaux dans les administrations - à côté d'excellents éléments qui ne sont pas toujours récompensés en conséquence.
Invité rogermila Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 Mouais. Je pense que les spécificités du secteur public (car il y en a) ne peuvent pas nécessairement être appréhendées par les cabinets d'audit que tu évoques. Moi je pense, au contraire, que de tels cabinets ont tout à fait la compétence pour expertiser les administrations. La manière de travailler devrait être la même dans le public comme dans le privé. L'appréciation du travail, telle qu'elle est réalisée actuellement par des inspecteurs, eux-mêmes fonctionnaires, ou le système de notation en interne ne sont vraiment plus appropriés et bon nombre de fonctionnaires voudraient que ça change. Et nous connaissons tous des planqués ou des cas sociaux dans les administrations . Le problème de ces primes au mérite c'est que ça va couter encore plus cher. Car au lieu de sanctionner les faineants, tricheurs et autres planqués, on va juste augmenter les salaires de ceux qui fournissent un travail normal en volume et en qualité .
roubachov Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 Moi je pense, au contraire, que de tels cabinets ont tout à fait la compétence pour expertiser les administrations.La manière de travailler devrait être la même dans le public comme dans le privé. L'appréciation du travail, telle qu'elle est réalisée actuellement par des inspecteurs, eux-mêmes fonctionnaires, ou le système de notation en interne ne sont vraiment plus appropriés et bon nombre de fonctionnaires voudraient que ça change. Le problème de ces primes au mérite c'est que ça va couter encore plus cher. Car au lieu de sanctionner les faineants, tricheurs et autres planqués, on va juste augmenter les salaires de ceux qui fournissent un travail normal en volume et en qualité . Partiellement d'accord. L'introduction de cabinets d'audit est un peu un faux problème: quand on voit ce qu'a cela a coûté en Belgique grace à la réforme Copernic ! Je pense donc que le problème devrait être résolu au sein de la fonction publique elle-même. On l'oublie parfois un peu mais: - pour les agents contractuels (de plus en plus nombreux, en tout cas en Belgique), le contrat peut être cassé aussi facilement que n'importe quel contrat d'employé de grande surface, de vendeur ou de secrétaire; - pour les agents statutaires, le statut est certes protecteur mais en principe, deux évaluations négatives en deux ans de temps, et c'est la porte. Bien entendu, des recours peuvent être introduits devant des chambres ad hoc: néanmoins, il n'est plus si rare qu'un agent incompétent ou indolent soit licencié. Tout cela pour dire que ce sont les chefs de services qui doivent prendre leurs responsabilités - ce qui implique de procéder à des évaluations sérieuses quant aux tâches attribuées et au travail accompli, et se débarrasser le cas échéant des trublions ou des empôtés. Certaines "facilités" peuvent être supprimées, comme par exemple le droit aux congés de maladie non pris ( ! ) ou la possibilité de rester en maladie un an sans problème pour la carrière: ceci est évidemment inconcevable dans une entreprise privée ! Voici d'ailleurs un document récent sur quelques réformes à réaliser d'urgence: http://www.itinerainstitute.org/upl/1/defa…inera_FR_LR.pdf
Invité rogermila Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 - pour les agents contractuels (de plus en plus nombreux, en tout cas en Belgique), le contrat peut être cassé aussi facilement que n'importe quel contrat d'employé de grande surface, de vendeur ou de secrétaire; Tout s'explique et je comprends mieux votre désaccord . Vous parliez de la Fonction publique en Belgique tandis que je parlais de celle de France. Ce qui se passe en Belgique devrait être la règle générale applicable aussi en France. Mais chez nous, on en est très très loin. Je pense même que si on voulait calquer le mode de fonctionnement de la Fonction Publique belge, les fonctionnaires français hurleraient en défilant dans les rues.
roubachov Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 Tout s'explique et je comprends mieux votre désaccord .Vous parliez de la Fonction publique en Belgique tandis que je parlais de celle de France. Ce qui se passe en Belgique devrait être la règle générale applicable aussi en France. Mais chez nous, on en est très très loin. Je pense même que si on voulait calquer le mode de fonctionnement de la Fonction Publique belge, les fonctionnaires français hurleraient en défilant dans les rues. Je vous confirme en effet que dans certaines administrations, le pourcentage de contractuels atteint … 50 % ! Néanmoins, bien souvent, les contractuels sont choisis sur une base … floue . Il peut s'agir d'agents disposant d'une compétence très pointue, mais malheureusement ce sont souvent d'anciens collaborateurs de cabinet qu'on recase in extremis faute de mieux. Ce que je reproche à ces contractuels-là, c'est le fait de n'avoir jamais passé et réussi d'épreuves de sélection (en Belgique, nous avons le SELOR pour ce faire) et de devoir leur boulot à des connaissances politiques ou syndicales, presque sur claquement de doigt. A côté de cela, il faut aussi mentionner le cas des chômeurs mis au travail ou assimilés (Convention de premier emploi, ex-stage ONEM). Ces contrats, particulièrement utilisés au niveau local, sont précaires par définition. Pour information, un contractuel en Belgique peut certes travailler dans l'administration de très nombreuses années mais par rapport à un statutaire (recruté à titre définitif), il ne bénéficiera pas d'augmentations intercalaires, ne pourra évaluer ses collaborateurs, et sa retraite sera légèrement moindre. Il n'a en fait aucune espérance de carrière. En Belgique, et selon le professeur de gestion Alain Eraly, la présence "non désirée" d'un contractuel dans une administration (parachutage en provenance d'un cabinet politique) coûtera au pouvoir public qui le recrute 2 millions € sur trente ans.
José Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 …pour les agents statutaires, le statut est certes protecteur mais en principe, deux évaluations négatives en deux ans de temps, et c'est la porte. En principe, en principe…
Invité rogermila Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 Et ces fonctionnaires là, vont-ils aussi améliorer leurs salaires grace aux primes selon le mérite ? source le FigaroLes magistrats de la Cour des Comptes jugent que toute une série de frais sont trop élevés à l'Assemblée Nationale. Sur un budget de fonctionnement de 506 millions d'euros en 2007, les frais de personnel se montent ainsi à 156 millions d'euros, ce qui en fait les plus important de tous les parlements d'Europe. Ces frais de personnel représentent près du quart du budget de l'Assemblée, quant ils ne sont que pour 15% de celui du Parlement britannique ou pour 10 à 12% de celui du Bundestag allemand. En outre, les fonctionnaires de l'Assemblée toucheraient, selon la Cour des Comptes, des salaires supérieurs de 75% à 150% à ceux du reste de la fonction publique. Les 24 fonctionnaires les mieux payés de l'Assemblée touchent en moyenne pas moins de 213.000 euros bruts par mois *. Pour la Cour, ce traitement est «particulièrement élevé compte tenu des avantages matériels et sociaux». * je pense que Le Figaro s'est planté, ça doit être par an.Faut quand même pas exagérer. http://www.lefigaro.fr/politique/2008/11/0…-assemblee-.php
Saxval Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 Venez donc dans la fonction publique helvétique, par certain côté, elle est même plus défavorisée que le privé . Il est vrai qu'il est difficile de faire des généralités, puisqu'en fait il y a 27 fonctions publiques distinctes. Cependant, le statut de fonctionnaire n'existe plus dans la plupart des cantons, ni au niveau fédéral.
Invité rogermila Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 Cependant, le statut de fonctionnaire n'existe plus dans la plupart des cantons, ni au niveau fédéral.
Nick de Cusa Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 En principe, en principe… Il faut éteindre la lumière, monsieur.
ledubitatif Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 Tout s'explique et je comprends mieux votre désaccord .Vous parliez de la Fonction publique en Belgique tandis que je parlais de celle de France. Ce qui se passe en Belgique devrait être la règle générale applicable aussi en France. Mais chez nous, on en est très très loin. Je pense même que si on voulait calquer le mode de fonctionnement de la Fonction Publique belge, les fonctionnaires français hurleraient en défilant dans les rues. On peut travailler dans le secteur public sans être fonctionnaire. Les contractuels sont nombreux aussi en France, et dans des conditions encore moins favorables que dans le secteur privé. L'Etat se réserve par exemple la possibilité de renouveler ses cdd pendant 6 ans, ce qui est interdit dans le privé. Le statut de fonctionnaire a évidemment un coût qui se reporte sur ceux qui n'en bénéficient pas, et si l'on est pas fonctionnaire titularisé, l'Etat français est un très mauvais employeur. Quand aux règles qui s'appliquent à l'emploi de fonctionnaires, il y a ce qu'elles sont censées dire, et ce qu'on en fait. Beaucoup de pratiques relèvent en fait de l'usage, de l'habitude, et sont bien aussi difficiles à remettre en cause qu'une règle écrite noir sur blanc.
roubachov Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 En principe, en principe… Certes, mais je connais néanmoins des cas où cela s'est fait; tu peux en trouver d'autres en lisant le Moniteur. Il me semble qu'à l'UE, un agent contractuel dispose d'un contrat d'un an, à charge pour lui de réussir un examen dans les douze mois. Quelqu'un pourrait-il me confirmer cela ? Cette solution aurait ma préférence.
roubachov Posté 1 novembre 2008 Signaler Posté 1 novembre 2008 Beaucoup de pratiques relèvent en fait de l'usage, de l'habitude, et sont bien aussi difficiles à remettre en cause qu'une règle écrite noir sur blanc. Eh oui ! Je suis persuadé que beaucoup de directeurs ignorent les possibilités offertes - soit via la loi sur le contrat de travail (possibilité de licenciement en cas de prestations insuffisantes) ; - soit via le statut (cf. évaluations comme dit plus haut). D'autant que si certains d'entre eux avaient inscrit dans leur plan de carrière d'occuper une fonction de management, beaucoup de directeurs ont été en fait promus soit par ancienneté, soit par piston ou connivence philosophique, voire les deux, et n'ont donc jamais eu l'occasion de réfléchir sur ce qu'est une gestion d'équipe.
Bastiat Posté 2 novembre 2008 Signaler Posté 2 novembre 2008 Le problème de ces primes au mérite c'est que ça va couter encore plus cher.Car au lieu de sanctionner les faineants, tricheurs et autres planqués, on va juste augmenter les salaires de ceux qui fournissent un travail normal en volume et en qualité. Les primes dans la fonction publique ça sert à realouer les ressources humaines elles ne disparaitront qu'avec le statut de la fonction publique et les corps. Le variable au mérite est probablement lié aux programmes de la lolf et à l'atteinte d'objectifs particuliers. Un paquet de ces objectifs est du au marché politique. Pour juger de la pertinence faudrait au moins qu'une comparaison possible avec le privé ce qui n'est pas possible pour l'essentiel du sévice public. Je vous confirme en effet que dans certaines administrations, le pourcentage de contractuels atteint … 50 % !Néanmoins, bien souvent, les contractuels sont choisis sur une base … floue . Il peut s'agir d'agents disposant d'une compétence très pointue, mais malheureusement ce sont souvent d'anciens collaborateurs de cabinet qu'on recase in extremis faute de mieux. En France les contractuels sont la file d'attente de l'administration, elle ne disparaitra qu'avec le statut de la fonction publique. Vous êtes en avance sur nous, un jour vous n'aurez plus d'anciens bras cassé à recaser. Venez donc dans la fonction publique helvétique, par certain côté, elle est même plus défavorisée que le privé .Il est vrai qu'il est difficile de faire des généralités, puisqu'en fait il y a 27 fonctions publiques distinctes. Cependant, le statut de fonctionnaire n'existe plus dans la plupart des cantons, ni au niveau fédéral. Vous voudriez de nous comme 27 ème canton ? Enfin Double-canton quand même hein ! C'est la Frôance !
Invité rogermila Posté 2 novembre 2008 Signaler Posté 2 novembre 2008 On peut travailler dans le secteur public sans être fonctionnaire. Les contractuels sont nombreux aussi en France, et dans des conditions encore moins favorables que dans le secteur privé. Oui, ce sont eux les grands perdants du système. Ce sont en quelque sorte " les Harkis" de la Fonction publique. Car ils sont méprisés à la fois par les syndicats officiels de fonctionnaires et les directions alors que sans eux, le travail ne pourrait se faire avec les seuls statutaires.
Punu Posté 2 novembre 2008 Signaler Posté 2 novembre 2008 Wishful thinking. La seule façon d'améliorer le "service" étatique, c'est de le mettre en concurrence.
roubachov Posté 2 novembre 2008 Signaler Posté 2 novembre 2008 Oui, ce sont eux les grands perdants du système.Ce sont en quelque sorte " les Harkis" de la Fonction publique. Car ils sont méprisés à la fois par les syndicats officiels de fonctionnaires et les directions alors que sans eux, le travail ne pourrait se faire avec les seuls statutaires. Les contractuels sont un peu aux statutaires ce que sont les professeurs certifiés aux agrégés.
vincponcet Posté 2 novembre 2008 Signaler Posté 2 novembre 2008 Les contractuels sont un peu aux statutaires ce que sont les professeurs certifiés aux agrégés. Bien pire, un contractuel a un statut précaire, alors que le certifié à l'emploi à vie.
roubachov Posté 2 novembre 2008 Signaler Posté 2 novembre 2008 Bien pire, un contractuel a un statut précaire, alors que le certifié à l'emploi à vie. Dont acte.
Nick de Cusa Posté 2 novembre 2008 Signaler Posté 2 novembre 2008 Les contractuels sont un peu aux statutaires ce que sont les professeurs certifiés aux agrégés. Au sens Belge mais pas au sens Français, il me semble.
roubachov Posté 2 novembre 2008 Signaler Posté 2 novembre 2008 Au sens Belge mais pas au sens Français, il me semble. Non non, je voulais bien dire au sens français, où il y a quand même une différence entre le statut social d'un professeur certifié et d'un professeur agrégé. En Belgique, il y a plusieurs types d'agrégés : - les agrégés de l'enseignement secondaire inférieur: ex-"régents", aujourd'hui bacheliers au terme de trois années de formation dans une Haute Ecole ; - les agrégés de l'enseignement secondaire supérieur: licenciés universitaires (aujourd'hui masters) qui ont fait une année en plus en vue de leur permettre d'enseigner; - les agrégés de l'enseignement supérieur: il s'agissait dans le temps de produire une thèse complémentaire, après avoir déjà obtenu un premier doctorat. Mais je crois que le titre a été supprimé suite à la réforme de Bologne ?
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