ibinico Posté 31 décembre 2008 Signaler Posté 31 décembre 2008 The balance of power between old-school managers and young talent is changing—a bitTHEIR defenders say they are motivated, versatile workers who are just what companies need in these difficult times. To others, however, the members of “Generation Y”—those born in the 1980s and 1990s, otherwise known as Millennials or the Net Generation—are spoiled, narcissistic layabouts who cannot spell and waste too much time on instant messaging and Facebook. Ah, reply the Net Geners, but all that messing around online proves that we are computer-literate multitaskers who are adept users of online collaborative tools, and natural team players. And, while you are on the subject of me, I need a month’s sabbatical to recalibrate my personal goals. This culture clash has been going on in many organisations and has lately seeped into management books. The Net Geners have grown up with computers; they are brimming with self-confidence; and they have been encouraged to challenge received wisdom, to find their own solutions to problems and to treat work as a route to personal fulfilment rather than merely a way of putting food on the table. Not all of this makes them easy to manage. Bosses complain that after a childhood of being coddled and praised, Net Geners demand far more frequent feedback and an over-precise set of objectives on the path to promotion (rather like the missions that must be completed in a video game). In a new report from PricewaterhouseCoopers, a consultancy, 61% of chief executives say they have trouble recruiting and integrating younger employees. Click here to find out more! For the more curmudgeonly sort of older manager, the current recession is the joyful equivalent of hiding an alarm clock in a sleeping teenager’s bedroom (see article). Once again, the touchy-feely management fads that always spring up in years of plenty (remember the guff about “the search for meaning” and “the importance of brand me”) are being ditched in favour of more brutal command-and-control methods. Having grown up in good times, Net Geners have laboured under the illusion that the world owed them a living. But hopping between jobs to find one that meets your inner spiritual needs is not so easy when there are no jobs to hop to. And as for that sabbatical: here’s a permanent one, sunshine. Today’s narcissistic layabout is tomorrow’s talent In fact, compromise will be necessary on both sides. Net Geners will certainly have to temper some of their expectations and take the world as it is, not as they would like it to be. But their older bosses should also be prepared to make concessions. The economy will eventually recover—and demographic trends in most rich countries will make clever young workers even more valuable. Besides, many of the things that keep Net Geners happy—such as providing more coaching to young employees or embracing cheaper online ways to communicate—are worth doing anyway. But for the moment at least, the Facebookers are under the cosh. Source : The Economist Apparemment, les jeunes sont de plus en plus difficiles à intégrer dans le monde "réel" du travail. J'ai vu qu'il y a quelques entrepreneurs sur liberaux.org, vous en pensez quoi ? Avez-vous été confronté à des difficultés particulières ? Je serais intéressé par vos commentaires.
RedGhost Posté 31 décembre 2008 Signaler Posté 31 décembre 2008 Attendez de voir ma génération des 90s, vous allez rire.
john_ross Posté 31 décembre 2008 Signaler Posté 31 décembre 2008 Je pense pas que ce soit pire que gérer l'arrivée de la génération 68 dans le monde du travail!
Saucer Posté 31 décembre 2008 Signaler Posté 31 décembre 2008 Je pense pas que ce soit pire que gérer l'arrivée de la génération 68 dans le monde du travail!
Sous-Commandant Marco Posté 31 décembre 2008 Signaler Posté 31 décembre 2008 L'article oublie qu'entre la génération "old school" (disons les baby boomers, se caractérisant par une carrière effectuée pour l'essentiel avant Internet) et la génération "Facebook", il y a les Web 1.0, pour lesquels Internet, sans voir marqué leur jeunesse, a joué un rôle important dans leur travail. Entre l'upper management, constitué des premiers, et la piétaille des seconds, les troisièmes jouent le rôle de charnière au sein du middle-management.
neuneu2k Posté 31 décembre 2008 Signaler Posté 31 décembre 2008 L'article oublie qu'entre la génération "old school" (disons les baby boomers, se caractérisant par une carrière effectuée pour l'essentiel avant Internet) et la génération "Facebook", il y a les Web 1.0, pour lesquels Internet, sans voir marqué leur jeunesse, a joué un rôle important dans leur travail. Entre l'upper management, constitué des premiers, et la piétaille des seconds, les troisièmes jouent le rôle de charnière au sein du middle-management. Avec la variante "ça sers a rien de recruter des jeunes qui savent rien faire, on peut les remplacer avantageusement par un petit script et deux vietnamiens, et ca nous coutera moins cher en accès internet " Je déconne mais c’est vrai que, en informatique en tout cas, la qualité a baissé nettement entre les recrutements dans les années 90 et à partir de 2000, les écoles d’informatique sont a la mode, et les « jeunes » croient savoir se servir d’un ordinateur parce qu’ils sont sur facebook… Je crains que la génération de ceux qui se sont passionnés et qui sont capable de suivre les avancées technologiques avec des bases correctes ne soit terminée, on trouvera toujours des passionnés autodidactes, mais ils sont plus difficiles a détecter maintenant dans la masse.
Luis Posté 1 janvier 2009 Signaler Posté 1 janvier 2009 Né en 86, formé comme ingénieur, et ayant été invité à plusieurs entretiens de recrutement et de motivation auprès de boîtes de "conseil" et de services dans le secteur de l'informatique et des télécoms, l'impression que j'ai est que les boîtes essaient de ruser en promettant monts et merveilles aux jeunes diplômés en matière de "développement personnel", "parcours d'intégration", "missions en adéquation avec votre projet professionnel". Les jeunes diplômés qui se retrouvent dans ces boîtes découvrent ensuite que tout ça est plutôt creux, qu'ils ne sont que de la chair à canon, et, pour certains, se mettent à zapper d'une boîte à l'autre sans être jamais satisfaits.
Sous-Commandant Marco Posté 1 janvier 2009 Signaler Posté 1 janvier 2009 Né en 86, formé comme ingénieur, et ayant été invité à plusieurs entretiens de recrutement et de motivation auprès de boîtes de "conseil" et de services dans le secteur de l'informatique et des télécoms, l'impression que j'ai est que les boîtes essaient de ruser en promettant monts et merveilles aux jeunes diplômés en matière de "développement personnel", "parcours d'intégration", "missions en adéquation avec votre projet professionnel". Les jeunes diplômés qui se retrouvent dans ces boîtes découvrent ensuite que tout ça est plutôt creux, qu'ils ne sont que de la chair à canon, et, pour certains, se mettent à zapper d'une boîte à l'autre sans être jamais satisfaits. C'est la version "entreprise" de la politique.
Vincemobile Posté 1 janvier 2009 Signaler Posté 1 janvier 2009 Né en 86, formé comme ingénieur, et ayant été invité à plusieurs entretiens de recrutement et de motivation auprès de boîtes de "conseil" et de services dans le secteur de l'informatique et des télécoms, l'impression que j'ai est que les boîtes essaient de ruser en promettant monts et merveilles aux jeunes diplômés en matière de "développement personnel", "parcours d'intégration", "missions en adéquation avec votre projet professionnel". Les jeunes diplômés qui se retrouvent dans ces boîtes découvrent ensuite que tout ça est plutôt creux, qu'ils ne sont que de la chair à canon, et, pour certains, se mettent à zapper d'une boîte à l'autre sans être jamais satisfaits. Ce sont les joies de la communication et de la sur-vente… Bienvenu, dans le monde réel, bien différent de celui décrit à l'école ou dans les magazines pseudo-économiques (Challenge, Capital…). Mais pour être passé par là un peu avant (né en 82), je me souviens que le choc a été rude quand je me suis retrouvé en entreprise pour de vrai (les stages ce n'est vraiment pas la même chose).
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