Invité rogermila Posté 2 mars 2009 Signaler Posté 2 mars 2009 Alors que, la semaine dernière, des Chinois n'ont pas réussi juridiquement à empêcher la vente aux enchères par P. Bergé de statuettes en bronze prétendument dérobés lors du pillage d'un palais à Pékin au XIX ème siècle; c'est finalement un acquéreur anonyme … chinois qui a remporté l'enchère mais refuse maintenant de payer. Un Chinois a déclaré qu'il avait remporté les enchères des deux bronzes chinois controversés de la collection de Pierre Bergé et Yves Saint Laurent mais qu'en tant que patriote il n'avait pas l'intention de les payer. http://fr.news.yahoo.com/4/20090302/tts-ar…es-ca02f96.html
Luis Posté 2 mars 2009 Signaler Posté 2 mars 2009 L'article dans Gala montre la phrase explicite employée par les Chinois concernés ((badurl) http://www.gala.fr/l_actu/on_ne_parle_que_de_ca/encheres_ysl-berge_le_lapin_le_rat_et_le_subterfuge_chinois_150742 (badurl)) : Nous voulons de nouveau souligner, comme l'a fait Cai Mingchao, que cet argent ne peut pas être versé Héhé.
Drake Posté 2 mars 2009 Signaler Posté 2 mars 2009 Les médias français au sujet de cette affaire se sont fait largement écho du discours selon lequel Pierre Bergé, l'actuel propriétaire, aurait dû, de lui-même "rendre les statuettes à la Chine". Je n'ai guère de compétences en matière juridique mais il me semble que : 1) La patine du temps, lorsqu'il se compte en siècles, couvre le recel de vol d'un voile de respectabilité. 2) Les statuettes n'appartiennent pas à l'Etat chinois, mais aux ayant-droits du propriétaire du palais pillé (sans doute massacrés au XXème siècle par les communistes). A qui rendre donc les statuettes : certainement pas aux assassins des propriétaires légitimes.
Invité jabial Posté 2 mars 2009 Signaler Posté 2 mars 2009 Dupé, dupé… Bah, il gardera les statuettes et puis voilà.
Jesrad Posté 2 mars 2009 Signaler Posté 2 mars 2009 Les médias français au sujet de cette affaire se sont fait largement écho du discours selon lequel Pierre Bergé, l'actuel propriétaire, aurait dû, de lui-même "rendre les statuettes à la Chine". Je n'ai guère de compétences en matière juridique mais il me semble que :1) La patine du temps, lorsqu'il se compte en siècles, couvre le recel de vol d'un voile de respectabilité. 2) Les statuettes n'appartiennent pas à l'Etat chinois, mais aux ayant-droits du propriétaire du palais pillé (sans doute massacrés au XXème siècle par les communistes). A qui rendre donc les statuettes : certainement pas aux assassins des propriétaires légitimes. Pas la peine de s'embêter: Quelqu'un peut prouver qu'il est un propriétaire plus légitime que son possesseur actuel ?Non ? Adjugé.
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