Luciole Posté 5 juillet 2009 Signaler Posté 5 juillet 2009 Il serait plus intéressant de calculer le coût de l'immigration occasionnée par le regroupement familial.
Esperluette Posté 8 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 8 juillet 2009 Et zou : http://www.maitre-eolas.fr/post/2009/07/08…nt-des-menteurs
Esperluette Posté 12 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 12 juillet 2009 De mieux en mieux. http://www.rue89.com/2009/07/12/a-montreui…tants-a-la-tete
free jazz Posté 12 juillet 2009 Signaler Posté 12 juillet 2009 De mieux en mieux.http://www.rue89.com/2009/07/12/a-montreui…tants-a-la-tete Loin de moi l'idée de légitimer la brutalité policière clairement disproportionnée dans ce cas, mais l'évacuation musclée de bandes de squatters professionnels occupant illégalement des propriétés privées est parfois nécessaire. De plus lesdits squatters sont organisés, soutenus par un réseau associatif qui s'occupe apparemment plus de politique partisane et de communication que de la défense des droits des clandestins, et spécialisé dans les opérations de propagande collectiviste. L'article que tu as posté est un modèle de démagogie victimaire : Le matin du mercredi 8 Juillet, la police avait vidé une clinique occupée dans le centre-ville. La clinique, en référence aux expériences venues d'Italie, avait pris la forme d'un « centro sociale » à la française : logements, projections de films, journal, défenses des sans papiers, repas… Tous ceux qui réfléchissent au vivre ensemble regardaient cette expérience avec tendresse. L'évacuation s'est faite sans violence. Les formidables moyens policiers déployés ont réglé la question en moins d'une heure. En traversant le marché le matin, j'avais remarqué leurs airs affairés et diligents.Ceux qui s'étaient attaché à cette expérience et les résidents ont décidé pour protester contre l'expulsion d'organiser une gigantesque bouffe dans la rue piétonnière de Montreuil. Trois immenses tables de gnocchi (au moins cinq mille) roulés dans la farine et fabriqués à la main attendaient d'être jetés dans le bouillon. Des casseroles de sauce tomate frémissaient. Ils avaient tendu des banderoles pour rebaptiser l'espace. Des images du front populaire ou des colonnes libertaires de la guerre d'Espagne se superposaient à cette fête parce que parfois les images font école. J'ai quitté cette fête à 20h en saluant Joachim. A quelques mètres de là, c'était le dernier jour dans les locaux de la Parole errante à la Maison de l'arbre rue François Debergue, de notre exposition sur Mai 68. Depuis un an, elle accueille des pièces de théâtres, des projections de films, des réunions, La nuit sécuritaire, L'appel des Appels, des lectures, des présentations de livres… Ce jour-là, on fermait l'exposition avec une pièce d'Armand Gatti « L'homme seul » lu Pierre Vial de la Comédie Française et compagnon de longue date. Plusieurs versions de la vie d'un militant chinois s'y confrontent : celle de la femme, des enfants, du père, du lieutenant, du général, des camarades… " Tous ceux qui réfléchissent au vivre ensemble regardaient cette expérience avec tendresse " Il faut être juste, mais ferme envers ceux qui violent les droits élémentaires pour imposer leur "vivre ensemble".
Esperluette Posté 12 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 12 juillet 2009 L'article que tu as posté est un modèle de démagogie victimaire Je sais. Mon indignation ne se soulève pas à l'idée que des gens virent des occupants illégitimes de leur bâtiment, naturellement. C'est, comme tu le mentionnes, la disproportion qui m'ébouillonne ici. Est-ce la première fois que la police affirme avoir agi par défense contre des projectiles et menaces alors que des témoins ont ensuite mentionné que rien de tel n'avaient eu lieu pour justifier les "bavures" ?
Glockinette Posté 12 juillet 2009 Signaler Posté 12 juillet 2009 Loin de moi l'idée de légitimer la brutalité policière clairement disproportionnée dans ce cas, mais l'évacuation musclée de bandes de squatters professionnels occupant illégalement des propriétés privées est parfois nécessaire. De plus lesdits squatters sont organisés, soutenus par un réseau associatif qui s'occupe apparemment plus de politique partisane et de communication que de la défense des droits des clandestins, et spécialisé dans les opérations de propagande collectiviste. + 1. C'est souvent bien trop soft à mon goût. A quand, en France, des signes aux abords des propriétés privées (comme on trouve parfois à l'étranger): " Private property. Enter at your own risk. " De mon point de vue, les choses sont simples: clandestin OU squatteur = pas le droit d'être là/d'occuper les lieux = mis dehors sans ménagement. Je ne vois pas où est le problème, sincèrement.
john_ross Posté 12 juillet 2009 Signaler Posté 12 juillet 2009 Et bien sur l'état à le droit de décider de qui à le droit d'être dans ma maison.
Glockinette Posté 12 juillet 2009 Signaler Posté 12 juillet 2009 Et bien sur l'état à le droit de décider de qui à le droit d'être dans ma maison. ?
john_ross Posté 12 juillet 2009 Signaler Posté 12 juillet 2009 Si j'ai un clandestin chez moi, genre ma compagne, il est parfaitement légitime pour l'état de l'expulser je présume?
Glockinette Posté 12 juillet 2009 Signaler Posté 12 juillet 2009 Si j'ai un clandestin chez moi, genre ma compagne, il est parfaitement légitime pour l'état de l'expulser je présume? Vous pouvez régulariser la situation de votre chérie, en vous mariant par exemple, ou en faisant le nécessaire pour l'aider à être en régle. Sinon, si une personne clandestine est chez vous, oui je pense qu'il est légitime pour l'Etat de l'expulser. On n'est pas chez les bisounours (malheureusement ), chaque pays a des lois en matière d'immigration; il est logique et normal d'éxiger leur respect. Petite question au passage, JR: pourquoi n'êtes vous pas à Plano, TX, à l'heure actuelle? (Sauf erreur de ma part, c'est parceque les Etats-Unis ont des régles en matière d'immigration, et que vous les respectez - et c'est, d'ailleurs, tout à votre honneur).
john_ross Posté 12 juillet 2009 Signaler Posté 12 juillet 2009 Petite question au passage, JR: pourquoi n'êtes vous pas à Plano, TX, à l'heure actuelle? (Sauf erreur de ma part, c'est parceque les Etats-Unis ont des régles en matière d'immigration, et que vous les respectez - et c'est, d'ailleurs, tout à votre honneur). Non c'est parce que je n'ai pas les lucioles de partir pour me retrouver dans un pays ou les seuls emplois qui s'offrent à moi sont des emplois aux noirs.
Invité jabial Posté 12 juillet 2009 Signaler Posté 12 juillet 2009 Le problème ce n'est pas l'emploi au noir - au contraire c'est génial, pas de charges - c'est qu'on ne trouve pas de bons emplois au noir. Ou alors si, mais dans la criminalité organisée. Un individu un minimum moral et ambitieux ne se satisfera ni de balayer ni de participer à une organisation qui commet des crimes. Encore qu'après tout, suivant ce que fait exactement cette organisation, ça peut être plutôt moins pire que de travailler pour les impôts, sauf bien sûr à saboter volontairement le boulot.
Glockinette Posté 12 juillet 2009 Signaler Posté 12 juillet 2009 Quoiqu'il existe des endroits où les revenus du travail ne sont pas taxés. Le Tennessee par exemple. Sinon, d'accord avec JR et Jabial pour les commentaires sur le travail au noir.
Esperluette Posté 4 janvier 2010 Auteur Signaler Posté 4 janvier 2010 Deux Français devant un tribunal anglais pour aide à l'entrée de clandestins JUSTICE - Ils auraient tenté de faire entrer 16 clandestins vietnamiens en Grande-Bretagne… Ils sont inculpés d’«assistance à l'entrée illégale dans un Etat membre de l'Union européenne», et sont en détention depuis la mi-novembre. Ce lundi, le procès de Christiane Chocat, 51 ans, et de son fils, 20 ans, débute ce lundi à partir de 10h devant un tribunal de Portsmouth, trois mois après la découverte dans leur fourgonnette de 16 clandestins vietnamiens. Christiane Chocat, conseillère municipale à Lumigny-Nesles-Ormeaux en Seine-et-Marne, près de Paris, et son fils Benjamin ont été interpellés dans le port de Portsmouth le 1er octobre dernier, à leur descente du ferry en provenance de Cherbourg. Les clandestins, treize hommes et trois femmes, s'étaient cachés parmi des boîtes de nouilles aux crevettes dans leur fourgonnette de location. Ils avaient été renvoyés en France. 14 ans de prison Les deux Français ont été accusés d'aide au passage illégal de frontières, et ont été maintenus en détention mi-novembre lors d'une brève comparution technique. L'aide à l'immigration clandestine est passible d'une peine de prison maximale de 14 ans. Mais la jurisprudence plaide plutôt pour des condamnations de 18 à 30 mois. Ce genre de procès dure en général environ une semaine. Georges Chocat, époux de Christiane Chocat, avait raconté lors de l'arrestation que sa femme lui avait écrit une lettre «dans laquelle elle expliquait qu'elle avait accompagné Benjamin en Angleterre dans une camionnette qu'il lui avait demandé de louer» et dans laquelle se trouvaient «des nouilles chinoises». Le mari avait affirmé «ne pas avoir été mis du tout au courant de ce voyage». Elle «assure qu'elle ne savait rien», avait ajouté Georges Chocat, qui s'était dit «très surpris» mais avait affirmé «croire (sa) femme». B.D. avec agence
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