Esperluette Posté 20 juillet 2009 Signaler Posté 20 juillet 2009 http://www.maitre-eolas.fr/post/2009/07/17…nes-filles-nues Je n'en reviens pas que dans le cadre de fouilles aussi étendues sur une mineure, les parents ne soient pas prévenus et encore moins invités à venir. La perspective que leur enfant s'adonne à un acte interdit (par le règlement) ne les concerne pas ? Surtout avec la perspective de prise & distribution de médicaments ? Les parents ne sont pas non plus censés assister à l'entretien puis à la fouille corporelle pour constater le déroulement des opérations et, le cas échéant, défendre leur môme ?
Ash Posté 20 juillet 2009 Signaler Posté 20 juillet 2009 http://www.maitre-eolas.fr/post/2009/07/17…nes-filles-nuesJe n'en reviens pas que dans le cadre de fouilles aussi étendues sur une mineure, les parents ne soient pas prévenus et encore moins invités à venir. La perspective que leur enfant s'adonne à un acte interdit (par le règlement) ne les concerne pas ? Surtout avec la perspective de prise & distribution de médicaments ? Les parents ne sont pas non plus censés assister à l'entretien puis à la fouille corporelle pour constater le déroulement des opérations et, le cas échéant, défendre leur môme ? Oui bon… si on faisait à chaque fois qu'on veut en fouiller un… Je trouve que c'est du ramdam pour pas grand chose. Notre époque adore vraiment couper les cheveux en quatre. Et Eolas tout particulièrement.
Esperluette Posté 20 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 20 juillet 2009 Non, je parle bien de fouille à corps quasi complète sur un mineur. Pas d'ouvrir le cartable.
Ash Posté 20 juillet 2009 Signaler Posté 20 juillet 2009 Ce n'est pas non plus le drame du siècle cette histoire. Il y a quand même d'autres exemples bien plus graves et significatifs que celui-ci. D'autant que, bon, la mineure en question vendait très probablement les médocs : Il a ensuite convoqué Marissa Glines et, en présence d'Helen Romero, lui a fait vider ses poches. Où furent découvertes les pilules d'Ibuprofène (blanches) et une de Naproxène (bleue), et une lame de rasoir. Mais je comprends que ça plait aux avocats et qu'ils ont ainsi matière à se faire les dents.
neuneu2k Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Ce n'est pas non plus le drame du siècle cette histoire. Il y a quand même d'autres exemples bien plus graves et significatifs que celui-ci. D'autant que, bon, la mineure en question vendait très probablement les médocs Ca ne change rien au fait que faire se mettre a poil une ado de 13 ans… d'aucuns vont en prison pour très longtemps pour exactement le meme acte.
Ash Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 A 13 ans elles ont le string qui dépasse maintenant.
Esperluette Posté 21 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 21 juillet 2009 Ce n'est pas non plus le drame du siècle cette histoire. Il y a quand même d'autres exemples bien plus graves et significatifs que celui-ci. Ben non c'est pas le drame du siècle, je ne l'ai jamais prétendu d'ailleurs. N'empêche que l'attitude du personnel de l'école me sidère.
Boz Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Ca ne change rien au fait que faire se mettre a poil une ado de 13 ans… d'aucuns vont en prison pour très longtemps pour exactement le meme acte. Le contexte, neuneu, le contexte…
neuneu2k Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Le contexte, neuneu, le contexte… Justement, le contexte est douteux, dans le siècle d'abu graib, l'humiliation sexuelle régulière par les figures d’autorité ne peut être glissée sous le tapis aussi aisément. Sans parler d’abus sexuel, il y a clairement humiliation sexuelle dans cet acte, qui n’est en rien justifié par une nécessité d’urgence pour empêcher un crime.
Boz Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Justement, le contexte est douteux, dans le siècle d'abu graib, l'humiliation sexuelle régulière par les figures d’autorité ne peut être glissée sous le tapis aussi aisément. Sans parler d’abus sexuel, il y a clairement humiliation sexuelle dans cet acte, qui n’est en rien justifié par une nécessité d’urgence pour empêcher un crime. Je suis plutôt d'accord, mais ce n'est justement pas un abus sexuel, ni de la pédophilie, et donc ça ne mérite en aucun cas d'aller des années en prison.
Skeggjöld Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Justement, le contexte est douteux, dans le siècle d'abu graib, l'humiliation sexuelle régulière par les figures d’autorité ne peut être glissée sous le tapis aussi aisément. Sans parler d’abus sexuel, il y a clairement humiliation sexuelle dans cet acte, qui n’est en rien justifié par une nécessité d’urgence pour empêcher un crime. Je suis d'accord, c'était une humiliation sexuelle, d'autant plus inacceptable qu'aucun parent n'était là pour refuser qu'une telle chose se produise. A treize ans, toutes les jeunes filles n'ont pas le courage de résister aux intimidations et Dieu sait de quoi ces gens ont menacé la jeune fille pour qu'elle accepte de se dévêtir. Porter atteinte à la pudeur d'une jeune fille est un acte indigne, quoi qu'ait fait la fille. Je serais sa mère, je la changerais immédiatement d'école après lui avoir administré une punition de mon cru, mais je ne porterais jamais atteinte à sa pudeur. Sait-on pourquoi les anti-inflammatoires sont interdits dans les écoles ?
Boz Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Porter atteinte à la pudeur d'une jeune fille est un acte indigne, quoi qu'ait fait la fille. Non.
Esperluette Posté 21 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 21 juillet 2009 Sait-on pourquoi les anti-inflammatoires sont interdits dans les écoles ? Il s'agit du règlement de cette école précise. Peut-être y a-t-il eu des problèmes par le passé*, alors les élèves doivent se rendre à l'infirmerie de l'établissement pour obtenir des anti-inflammatoires. * Comme cet élève malade suite à la prise d'un cachet.
Boz Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Si Voyons voyons, soyons raisonnables. Ne réagissons pas dans l'émotion. Si, par exemple, je suspecte une jeune fille d'avoir planqué une bombe dans son corsage, que j'ai de bonnes raisons pour cela, et qu'il faut agir dans l'urgence, crois-moi que son intimité, je m'en tamponne complètement.
john_ross Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Sait-on pourquoi les anti-inflammatoires sont interdits dans les écoles ? Ce ne sont pas les anti-inflammatoire qui sont interdits mais les médicaments (sauf pour un traitement) dans cette école, car le personnel ne peut pas différencier un anti-inflammatoire d'une amphétamine par exemple.
G7H+ Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Les anti-inflammatoires sont habituellement prescrits pour soulager les douleurs pendant les règles.
john_ross Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Les anti-inflammatoires sont habituellement prescrits pour soulager les douleurs pendant les règles. La plupart des anti-inflammatoire (aspirine, paracétamol, ibuprofène) consommés sont délivrés sans ordonnances.
Skeggjöld Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Non. Je ne suis pas d'accord. Ordonner de déshabiller la fille était un acte inutile et une humiliation parmi les plus cuisantes. Je suis pourtant pour le fait de redonner un minimum d'autorité aux professeurs en cas de délit ou d'inattention des élèves, et je tolère largement différents types de punitions comme l'expulsion, le recopiage de lignes, le retrait au coin et même le coup de règle sur le bout des doigts, mais aucun membre du personnel d'aucune école n'est autorisé à demander à une jeune fille de se déshabiller devant témoins. C'est abject. Si une fouille était nécessaire, rien ne les empêchait de demander à la fille de se déshabiller seule dans un bureau et de se vêtir d'une longue chemise sans la moindre poche. Il s'agit du règlement de cette école précise.Peut-être y a-t-il eu des problèmes par le passé*, alors les élèves doivent se rendre à l'infirmerie de l'établissement pour obtenir des anti-inflammatoires. * Comme cet élève malade suite à la prise d'un cachet. D'accord, merci !
h16 Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Le paracétamol n'est pas un anti-inflammatoire, me semble-t-il. C'est un anti-pyritique.
Skeggjöld Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Voyons voyons, soyons raisonnables. Ne réagissons pas dans l'émotion. Si, par exemple, je suspecte une jeune fille d'avoir planqué une bombe dans son corsage, que j'ai de bonnes raisons pour cela, et qu'il faut agir dans l'urgence, crois-moi que son intimité, je m'en tamponne complètement. Deux cachets insignifiant et une lame de rasoir ne peuvent décemment pas être comparés à une bombe, et la situation dont nous parlons actuellement était loin d'être pressante.
h16 Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Ca dépend. Oussama McLadenyver est capable de faire des trucs de ouf avec des lames de cutter.
neuneu2k Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Voyons voyons, soyons raisonnables. Ne réagissons pas dans l'émotion. Si, par exemple, je suspecte une jeune fille d'avoir planqué une bombe dans son corsage, que j'ai de bonnes raisons pour cela, et qu'il faut agir dans l'urgence, crois-moi que son intimité, je m'en tamponne complètement. Oui, et tu la déshabille, mais ça reste indigne, des fois il faut etre une ordure, et la fin peut justifier certains moyens, mais elle ne les moralise jamais.
Skeggjöld Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Ca dépend. Oussama McLadenyver est capable de faire des trucs de ouf avec des lames de cutter. Accessoirement, pour une jeune fille, une lame de rasoir cela sert à se raser. Comme l'article de semblait pas spécifier si l'élève était en internat ou non (j'ai peut être mal lu, donc corrigez-moi si je fais erreur), je préfère penser que cette lame de rasoir servait à son usage premier. Les élèves devraient-elles être condamnées à arborer au niveau des jambes une fort inélégante fourrure ?
john_ross Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Le paracétamol n'est pas un anti-inflammatoire, me semble-t-il. C'est un anti-pyritique. J'ai une tendance naturelle à confondre antalgique et anti-inflammatoire.
Esperluette Posté 21 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 21 juillet 2009 Je suis pourtant pour le fait de redonner un minimum d'autorité aux professeurs en cas de délit ou d'inattention des élèves, et je tolère largement différents types de punitions comme l'expulsion, le recopiage de lignes, le retrait au coin et même le coup de règle sur le bout des doigts, mais aucun membre du personnel d'aucune école n'est autorisé à demander à une jeune fille de se déshabiller devant témoins. En matière d'autorité, je reste stupéfaite, précisément, que les parents n'aient pas été avertis ni consultés en premier lieu alors qu'il ne s'agit pas de ce que j'appelle un acte de routine. C'est sidérant.
john_ross Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Accessoirement, pour une jeune fille, une lame de rasoir cela sert à se raser. Comme l'article de semblait pas spécifier si l'élève était en internat ou non (j'ai peut être mal lu, donc corrigez-moi si je fais erreur), je préfère penser que cette lame de rasoir servait à son usage premier. Les élèves devraient-elles être condamnées à arborer au niveau des jambes une fort inélégante fourrure ? Vu les dessous arborés par la demoiselle ça ne doit pas servir que pour les jambes. En matière d'autorité, je reste stupéfaite, précisément, que les parents n'aient pas été avertis ni consultés en premier lieu alors qu'il ne s'agit pas de ce que j'appelle un acte de routine. C'est sidérant. Je trouve aussi, je ne comprends comment il est possible de croire que l'on a le droit de pratiquer une telle fouille sur une jeune fille sans l'accord des parents. Comment les personnels soignants peuvent-ils croire avoir autorité sur une élève pour pratiquer de tels actes, leur autorité émane des parents et rien que d'eux.
G7H+ Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Vu les dessous arborés par la demoiselle ça ne doit pas servir que pour les jambes. Elle portait une culotte, pas un string. Et quel rapport avec le Schmilblick ?
john_ross Posté 21 juillet 2009 Signaler Posté 21 juillet 2009 Elle portait une culotte, pas un string. Et quel rapport avec le Schmilblick ? Parce que maintenant on est obligé d'écrire des phrases en rapport avec le sujet? PS : Le but était juste de montrer que je connaissais le verbe arborer.
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