DiabloSwing Posté 1 septembre 2009 Signaler Posté 1 septembre 2009 (badurl) http://www.lemonde.fr/technologies/article/2009/09/01/telephonie-mobile-sfr-conteste-le-prix-de-la-quatrieme-licence_1234561_651865.html#xtor=RSS-3208 (badurl) Un écueil de plus pour ceux qui pensent que les entreprises sont systématiquement libérales, puisque privées. Comme Mises l'avait constaté, elles (et leurs dirigeants, de fait) préfèrent mettre les bâtons dans les roues d'une autre entreprise qui viendrait s'installer sur leur territoire. Verrouiller leur marché en somme. La problématique rejoint partiellement celle des taxis : parce qu'untel va moins subir que ce qu'on a subi, on préfère lui taper dessus. Ils devraient plutôt demander le remboursement partiel des licences pour être à égalité. Même pas en fait.
eclipse Posté 1 septembre 2009 Signaler Posté 1 septembre 2009 Pour Lévy [président de Vivendi], l'arrivée d'un nouvel opérateur est de toute façon inutile : « la guerre des prix existe déjà en France et les Français bénéficient déjà de prix parmi les plus bas d'Europe »
dop Posté 1 septembre 2009 Signaler Posté 1 septembre 2009 800 mins + 1600 texts £19.58 per month O2 en Angletere sans chercher Si Mr Lévy trouve l'équivalent en France
Invité jabial Posté 1 septembre 2009 Signaler Posté 1 septembre 2009 Le fait que les opérateurs préfèrent demander la taxation d'autrui plutôt que le remboursement de leur propre taxe prouve que, quelque soit le prix de leur taxe, elle est pour eux rentable. Et c'est la raison pour laquelle en cas de libéralisation, nous devons bien nous garder de les rembourser - ils se sont déjà largement payés sur la bête.
Invité Arn0 Posté 1 septembre 2009 Signaler Posté 1 septembre 2009 (badurl) http://www.lemonde.fr/technologies/article/2009/09/01/telephonie-mobile-sfr-conteste-le-prix-de-la-quatrieme-licence_1234561_651865.html#xtor=RSS-3208 (badurl)Un écueil de plus pour ceux qui pensent que les entreprises sont systématiquement libérales, puisque privées. Comme Mises l'avait constaté, elles (et leurs dirigeants, de fait) préfèrent mettre les bâtons dans les roues d'une autre entreprise qui viendrait s'installer sur leur territoire. Verrouiller leur marché en somme. La problématique rejoint partiellement celle des taxis : parce qu'untel va moins subir que ce qu'on a subi, on préfère lui taper dessus. Ils devraient plutôt demander le remboursement partiel des licences pour être à égalité. Même pas en fait. C'est aussi qu'ils (taxis ou opérateurs) savent pertinemment qu'ils ont nettement plus de chance d'obtenir le maintient du statut quo plutôt qu'un remboursement : faire cracher l'État est infiniment plus dur que de lui demander de restreindre l'accès à un marché.
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