Tremendo Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 L'objectif doit être la suppression des allocations familiales, mais comme il est irréaliste de vouloir le faire d'un seul coup, il s'agirait d'un petit pas en avant en vue de réhabituer les citoyens à la responsabilité, comme l'on fait pour désintoxiquer les drogués - le sevrage s'effectuant progressivement par des mécanismes incitatifs. A terme c'est la politique du planing familial, dont les effets de décivilisation sont connus, qui doit être attaquée et déconstruite. Le problème c'est qu'en attendant, pour faire fonctionner ladite mesure, il faudra embaucher des fonctionnaires en plus, pas forcément pour compter le nombre d'absents à chaque classe bien sûr, mais pour reporter ces résultats et calculer qui a le droit et qui n'a pas le droit à l'allocation familiale chaque année. Le pendant de toute réglementation, c'est l'embauche d'un fonctionnaire au moins, donc l'augmentation des dépenses et a fortiori l'augmentation des impôts.
labbekak Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 Je ne saisis pas bien le rapport. Ce qui fait que la population consent à se faire prélever des cotisations, est de savoir qu'elle sera protégé si un événement couvert par la sécu lui arrive (ici, avoir des enfants à entretenir), les autres allocataires sociaux, ainsi que ceux qui n'ont pas d'enfant trouveraient bien toutes les excuses pour arrêter d'indemniser une catégorie particulière ! C'est surtout dévier de la question initiale : doit-on continuer de payer pour de "mauvais élèves/enfants" ? Et puis où est-il précisé que ça concerne les ados ? Il me semble que l'absentéisme survient de plus en plus tôt. Ce qui donnerait : Doit-on obliger la scolarisation d'un enfant de 10 ans ? C'est tout de suite moins tendance. Ce sont les parents qu'on indemnise, pas leurs enfants, ne confondons pas les assurés sociaux. Je crois que ce qui doit intéresser les libéraux ici, c'est le coût que ces irresponsabilités font porter à la société. Sans se faire d'illusions, je crois comme FJ que c'est toujours ça en moins. En tout ça ne ressemble pas à une injustice. C'est qui, la société ?
Esperluette Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 Tout à fait, ce à quoi je disais que même en primaire et surtout en primaire, l'obligation n'est pas nécessaire; pour apprendre à compter et à écrire, mes parents, les bescherelles et autres bouquins de mathématiques ont été de meilleur enseignement que mes instits. Je n'en doute pas mais j'imagine que tes parents possèdent aussi une connaissance correcte du français (grammaire / syntaxe / lexique) et du calcul. Ce qui n'est pas toujours le cas, même chez les Français. Ne pas posséder le moindre rudiment de lecture, d'écriture et de calcul constitue un handicap terrible dans la société française actuelle où l'écrit prédomine, même pour s'orienter dans le métro ou trouver le service idoine en cas de soins.
Ash Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 Ce qui fait que la population consent à se faire prélever des cotisations, est de savoir qu'elle sera protégé si un événement couvert par la sécu lui arrive (ici, avoir des enfants à entretenir), les autres allocataires sociaux, ainsi que ceux qui n'ont pas d'enfant trouveraient bien toutes les excuses pour arrêter d'indemniser une catégorie particulière ! La proposition émane du gouvernement et obtiendra sans doute l'approbation des ménages, qu'ils aient des enfants ou non. Tout le monde comprend cela comme : je n'ai pas à "soutenir" de mauvais parents. Ce sont les parents qu'on indemnise, pas leurs enfants, ne confondons pas les assurés sociaux. On indemnise ? C'est qui, la société ?
Samahell Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 L'objectif doit être la suppression des allocations familiales, mais comme il est irréaliste de vouloir le faire d'un seul coup, il s'agirait d'un petit pas en avant en vue de réhabituer les citoyens à la responsabilité, comme l'on fait pour désintoxiquer les drogués - le sevrage s'effectuant progressivement par des mécanismes incitatifs. A terme c'est la politique du planing familial, dont les effets de décivilisation sont connus, qui doit être attaquée et déconstruite. Dans l'optique de faire progresser l'idée de la suppression, on est perdants dans les deux cas avec cette mesure : - soit elle obtiendra de bons résultats et on se dira naturellement que la suppression des alloc' entrainerait une dégradation de la situation, au moins dans les domaines où l'amélioration a été constatée ; - soit elle obtiendra de mauvais résultats et on y verra la preuve qu'il vaut mieux subventionner tout le monde sans condition. De plus, cette mesure ne peut pas sensibiliser les individus aux conséquences de leurs actes mais à celles provoquées par la réaction de l'état à leurs actes. Ça fait une grosse différence qui ne peut que renforcer une conception paternaliste de l'état.
labbekak Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 La proposition émane du gouvernement et obtiendra sans doute l'approbation des ménages, qu'ils aient des enfants ou non. Tout le monde comprend cela comme : je n'ai pas à "soutenir" de mauvais parents. La proposition émane du gouvernement et obtiendra sans doute l'approbation des ménages, qu'ils soient d'accord ou non. On indemnise ? lapsus révélateur Et oui, et oui, et oui !
Esperluette Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 A terme c'est la politique du planing familial, dont les effets de décivilisation sont connus, qui doit être attaquée et déconstruite. Pourrais-tu, je te prie, développer ce point - loin d'être évident pour moi ?
labbekak Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 L'objectif doit être la suppression des allocations familiales … En fait, non : si on se contente de supprimer les allocations familiales sans toucher aux autres rentes sociales, on ne fera qu'accroître les déséquilibres, et ce, une fois de plus au profit des retraités …
David Boring Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 Peu importe l'objectif réel ou supposé, les arrières pensées, etc…L'actualité est un marchepied pour nous idées: Le débat nous sert à ouvrir sur le sujet de l'école elle même. Le problème est d'être audible, généralement dans ce genre de "débats" ce qui est demandé est d'être "pour" ou "contre", point.
Tremendo Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 Je n'en doute pas mais j'imagine que tes parents possèdent aussi une connaissance correcte du français (grammaire / syntaxe / lexique) et du calcul. Ce qui n'est pas toujours le cas, même chez les Français. Et donc ? Est-ce à la société de corriger ce défaut? N'est-ce pas plutôt aux parents en question de se tirer les doigts du cul ? Il n'est jamais trop tard quand on veut aider ses gosses à sortir de l'ornière pour montrer l'exemple et faire un effort pour corriger ses propres lacunes. Et attention, je n'ai pas dit qu'il ne fallait pas envoyer les gosses à l'école , j'ai juste parler de fin d'obligation, si les parents estiment ne pas être compétents ou ne pas avoir le temps d'instruire eux-mêmes leurs gosses et ben qu'ils les envoient à l'école, mais ceux qui estiment qu'ils peuvent s'en passer et instruire eux-mêmes chez eux, ben je ne vois pas le problème. Ne pas posséder le moindre rudiment de lecture, d'écriture et de calcul constitue un handicap terrible dans la société française actuelle où l'écrit prédomine, même pour s'orienter dans le métro ou trouver le service idoine en cas de soins. J'entends bien , mais là par cette exemple , en quelques sortes tu justifies l'obligation scolaire comme une condition de la liberté, ce qui sonne chez moi un peu comme de la 3ème voie. En fait, non : si on se contente de supprimer les allocations familiales sans toucher aux autres rentes sociales, on ne fera qu'accroître les déséquilibres, et ce, une fois de plus au profit des retraités … Euh, ça sonne comme un argument socialiste ça? Franchement rien à faire, une allocation supprimée c'est déjà ça, le reste suivra, peu m'importe si ça avantage les retraités.
labbekak Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 Euh, ça sonne comme un argument socialiste ça?Franchement rien à faire, une allocation supprimée c'est déjà ça, le reste suivra, peu m'importe si ça avantage les retraités. Je crains fort qu'ils n'en profitent pour demander encore plus …
Esperluette Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 Et attention, je n'ai pas dit qu'il ne fallait pas envoyer les gosses à l'école , j'ai juste parler de fin d'obligation, si les parents estiment ne pas être compétents ou ne pas avoir le temps d'instruire eux-mêmes leurs gosses et ben qu'ils les envoient à l'école, mais ceux qui estiment qu'ils peuvent s'en passer et instruire eux-mêmes chez eux, ben je ne vois pas le problème. C'est déjà le cas, quoique rares sont les parents qui optent pour l'IEF par rapport aux établissements privés et plus encore publics. Maintenant si ce vocable te heurte, je veux bien parler d'instruction obligatoire. J'entends bien , mais là par cette exemple , en quelques sortes tu justifies l'obligation scolaire comme une condition de la liberté, ce qui sonne chez moi un peu comme de la 3ème voie. Obligation d'instruction en écriture, lecture et calcul à un niveau rudimentaire, si tu préfères. Et cela représente pour moi une condition de l'autonomie en France, oui.
thabor Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 Je crois que ce qui doit intéresser les libéraux ici, c'est le coût que ces irresponsabilités font porter à la société. Sans se faire d'illusions, je crois comme FJ que c'est toujours ça en moins. En tout ça ne ressemble pas à une injustice. On ne se poserait pas de questions si l'éducation était une affaire privée (pas d'écoles d'Etat et aucune obligation d'aller à l'école).
POE Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 L'objectif doit être la suppression des allocations familiales, mais comme il est irréaliste de vouloir le faire d'un seul coup, il s'agirait d'un petit pas en avant en vue de réhabituer les citoyens à la responsabilité, comme l'on fait pour désintoxiquer les drogués - le sevrage s'effectuant progressivement par des mécanismes incitatifs. A terme c'est la politique du planing familial, dont les effets de décivilisation sont connus, qui doit être attaquée et déconstruite. Certainement pas. Les allocations sont la contrepartie des prélèvements effectués. Communiquer sur la suppression des allocs. sans évoquer la fin des prélèvements correspondants, c'est suicidaire. Les français sont attachés aux allocs. d'une manière symbolique, et quasi universelle. Il me semble clairement contre productif de communiquer de cette manière. A mon avis, la communication doit d'abord porter sur les prélèvements correspondants, sur la mauvaise gestion de l'Etat, et sur l'absence de choix laissé aux individus.
Théo31 Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 afin que les allocs ne finissent pas que au bar PMU. L'allocation de rentrée scolaire fait le bonheur des vendeurs d'écrans plats dont les chiffres explosent fin août début septembre. Probablement pour leurs rejetons regardent la 5. Ce serait marrant de voir, parmi les députés qui accepteraient de voter une telle mesure, combien sont des professionnels de l'absentéisme parlementaire.
Saucer Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 L'allocation de rentrée scolaire fait le bonheur des vendeurs d'écrans plats dont les chiffres explosent fin août début septembre. C'est très possible, mais : Source ?
Tremendo Posté 14 janvier 2010 Signaler Posté 14 janvier 2010 Ce serait marrant de voir, parmi les députés qui accepteraient de voter une telle mesure, combien sont des professionnels de l'absentéisme parlementaire. Oui c'est vraiment l'hôpital qui se moque de la charité. Faire la même chose avec l'absentéïsme parlementaire en coupant le salaire des députés à coup sûr l'Etat ferait de grandes économies.
Théo31 Posté 14 janvier 2010 Signaler Posté 14 janvier 2010 en coupant le salaire tribut des députés à coup sûr l'Etat ferait de grandes économies. Corrigé.
Wallace Posté 14 janvier 2010 Signaler Posté 14 janvier 2010 J'ignore si l'idée a été évoquée dans le fil, mais je propose d'aligner le montant des allocs sur les résultats scolaires de l'enfant, dernier de la classe=zéro alloc, c'est simple, et plein pot d'alloc pour les parents des bon éléments. Une telle mesure permettrait sans doute de mobiliser toute l'attention des parents des ptits lardons des banlieues. Il faut pousser la logique de la performance jusqu'au bout !
Randian shithead Posté 15 janvier 2010 Signaler Posté 15 janvier 2010 J'ignore si l'idée a été évoquée dans le fil, mais je propose d'aligner le montant des allocs sur les résultats scolaires de l'enfant, dernier de la classe=zéro alloc, c'est simple, et plein pot d'alloc pour les parents des bon éléments. Une telle mesure permettrait sans doute de mobiliser toute l'attention des parents des ptits lardons des banlieues.Il faut pousser la logique de la performance jusqu'au bout ! Mouais, jouer à la performance avec de l'argent public, ça peut avoir des effets assez inattendus. Par exemple, l'apparition de combines pour mettre son gamin dans une classe/école de bas niveau pour bénéficier de plus grosses allocs, ou des choses comme ça. Là, comme ça, je n'imagine pas forcément toutes les conséquences, mais j'ai l'impression qu'un tel système serait un nid à corruption, niches spéciales, et autres arnaques (car il faudrait une administration supplémentaire derrière tout ça pour gérer les cas particuliers (déficients mentaux ou autres)). Sans parler de la mainmise idéologique supplémentaire de l'EdNat sur les élèves.
José Posté 15 janvier 2010 Signaler Posté 15 janvier 2010 …je propose d'aligner le montant des allocs sur les résultats scolaires de l'enfant… Pourquoi ? Encore une fois : les allocations familiales ne sont pas un chèque éducation, elles concernent également l'alimentation, l'habillement ou les loisirs de l'enfant.
labbekak Posté 15 janvier 2010 Signaler Posté 15 janvier 2010 J'ignore si l'idée a été évoquée dans le fil, mais je propose d'aligner le montant des allocs sur les résultats scolaires de l'enfant, dernier de la classe=zéro alloc, c'est simple, et plein pot d'alloc pour les parents des bon éléments. Une telle mesure permettrait sans doute de mobiliser toute l'attention des parents des ptits lardons des banlieues.Il faut pousser la logique de la performance jusqu'au bout ! Génial, comme ça l'ado qui ne pense pas conformément à ce que la collectivité attend de lui, en plus d'avoir des résultats médiocres verra ses parents sanctionnés !
Tremendo Posté 15 janvier 2010 Signaler Posté 15 janvier 2010 J'ignore si l'idée a été évoquée dans le fil, mais je propose d'aligner le montant des allocs sur les résultats scolaires de l'enfant, dernier de la classe=zéro alloc, c'est simple, et plein pot d'alloc pour les parents des bon éléments. Une telle mesure permettrait sans doute de mobiliser toute l'attention des parents des ptits lardons des banlieues.Il faut pousser la logique de la performance jusqu'au bout ! Zéro alloc pour tout le monde, pour les bons et les mauvais! Mais en suivant ta proposition, si on récompense classe par classe les bon éléments, les parents voudront donc envoyer leurs enfants dans les établissements et les classes les plus pourris avec le niveau le plus bas possible pour que l'enfant puisse facilement être le meilleur élément de la classe. Donc nivellement par le bas. Dans ce système seront donc récompensés ceux qui pensent comme le système, ceux qui pondront des dissertations d'histoire en citant Jean Jaures, Léon Blum et François Mitterand comme les meilleurs hommes politiques français, ou vanteront les mérites de Salvador Allende et de Pablo Neruda à l'oral en espagnol, ceux-là auront les meilleures notes et donc les allocs.
ernest Posté 15 janvier 2010 Signaler Posté 15 janvier 2010 Génial, comme ça l'ado qui ne pense pas conformément à ce que la collectivité attend de lui, en plus d'avoir des résultats médiocres verra ses parents sanctionnés ! Faut pas nous prendre pour des cons… Un enfant qui rate sa scolarité en primaire/collège ce n'est pas parce qu'il aurait une "subjectivité propre" ou un "autre regard sur le monde"… Non, non, non c'est un glandeur - quel que soit le programme qu'il apprend, il est trop jeune pour émettre un jugement.
labbekak Posté 15 janvier 2010 Signaler Posté 15 janvier 2010 Faut pas nous prendre pour des cons… Un enfant qui rate sa scolarité en primaire/collège ce n'est pas parce qu'il aurait une "subjectivité propre" ou un "autre regard sur le monde"… C'est vrai, et les enseignants sont tous des gens parfaitement objectifs qui ne considèrent jamais qu'ils ont une mission de formatage à accomplir sur nos enfants ! Non, non, non c'est un glandeur - quel que soit le programme qu'il apprend, il est trop jeune pour émettre un jugement. Comme par hasard, le jour où le législateur décide de sa majorité, il en devient capable …
Esperluette Posté 15 janvier 2010 Signaler Posté 15 janvier 2010 Comme par hasard, le jour où le législateur décide de sa majorité, il en devient capable … Bien sûr. Le système juridique reconnaît aux mineurs un statut propre, différent des adultes, estimant par défaut que les djeunz ne disposent pas des mêmes aptitudes et des mêmes responsabilités, notamment au pénal. Même si la limite de 18 ans donne lieu à chipotages justifiés, ce statut protège les petits et les moins petits. Ton propos consiste-t-il à réformer cette réglementation ?
john_ross Posté 15 janvier 2010 Signaler Posté 15 janvier 2010 Faut pas nous prendre pour des cons… Un enfant qui rate sa scolarité en primaire/collège ce n'est pas parce qu'il aurait une "subjectivité propre" ou un "autre regard sur le monde"… Non, non, non c'est un glandeur - quel que soit le programme qu'il apprend, il est trop jeune pour émettre un jugement. La question qu'il faut se poser c'est pourquoi un enfant est un glandeur. A 6 ans j'ai comme un doute que cela soit de sa responsabilité exclusive.
labbekak Posté 15 janvier 2010 Signaler Posté 15 janvier 2010 Ton propos consiste-t-il à réformer cette réglementation ? Cette réglementation n'a aucun sens : jusqu'à 18 ans, l'enfant est "trop jeune pour émettre un jugement", le lendemain, il peut même voter … Avant 18 ans, il n'est pas responsable de ses actes (comme s'il n'avait pas de conscience) et ne doit pas réparer les dommages qu'il occasionne, par contre ses parents sont toujours la cause de tout !? Cette législation, c'est n'importe quoi !
Ash Posté 15 janvier 2010 Signaler Posté 15 janvier 2010 Tu veux faire payer les mineurs ? Qu'ils payent des impôts et reçoivent des aides ?
Esperluette Posté 15 janvier 2010 Signaler Posté 15 janvier 2010 Cette réglementation n'a aucun sens : jusqu'à 18 ans, l'enfant est "trop jeune pour émettre un jugement", le lendemain, il peut même voter …Avant 18 ans, il n'est pas responsable de ses actes (comme s'il n'avait pas de conscience) et ne doit pas réparer les dommages qu'il occasionne, par contre ses parents sont toujours la cause de tout !? Cette législation, c'est n'importe quoi ! C'est un peu plus nuancé que cela, quand même, ça ne fonctionne pas par tout ou rien du jour au lendemain. Et oui bien sûr, le corollaire d'un manque de discernement donc de responsabilité, c'est la tutelle d'un tiers, généralement le parent.
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