Sous-Commandant Marco Posté 8 avril 2010 Signaler Posté 8 avril 2010 Je me souviens d'un article de Science & Vie dans nes années 80 (ou peut-être au début des années 90), qui analysait en détails les problèmes des banlieues. Il concluait que les cités, banlieues et autres zones dites dangereuses ne souffrent pas de problèmes qualitativement différents des autres endroits. En revanche toutes les statistiques négatives, comme le chômage, l'assistanat, la délinquance, les trafics, etc, sont sensiblement plus élevées qu'ailleurs. A mon sens, les banlieues sont un problème "de longue traîne", autrement dit la manifestation extrême d'un problème de fond qui touche toute la société française. Ce n'est certainement pas en agissant spécifiquement dessus qu'on le règlera, de même que ce n'est pas en subventionnant la pauvreté qu'on l'éradique.
Invité jabial Posté 8 avril 2010 Signaler Posté 8 avril 2010 Je me souviens d'un article de Science & Vie dans nes années 80 (ou peut-être au début des années 90), qui analysait en détails les problèmes des banlieues. Il concluait que les cités, banlieues et autres zones dites dangereuses ne souffrent pas de problèmes qualitativement différents des autres endroits. En revanche toutes les statistiques négatives, comme le chômage, l'assistanat, la délinquance, les trafics, etc, sont sensiblement plus élevées qu'ailleurs. A mon sens, les banlieues sont un problème "de longue traîne", autrement dit la manifestation extrême d'un problème de fond qui touche toute la société française. Ce n'est certainement pas en agissant spécifiquement dessus qu'on le règlera, de même que ce n'est pas en subventionnant la pauvreté qu'on l'éradique. +1
h16 Posté 8 avril 2010 Signaler Posté 8 avril 2010 Je me souviens d'un article de Science & Vie dans nes années 80 (ou peut-être au début des années 90), qui analysait en détails les problèmes des banlieues. Il concluait que les cités, banlieues et autres zones dites dangereuses ne souffrent pas de problèmes qualitativement différents des autres endroits. En revanche toutes les statistiques négatives, comme le chômage, l'assistanat, la délinquance, les trafics, etc, sont sensiblement plus élevées qu'ailleurs. A mon sens, les banlieues sont un problème "de longue traîne", autrement dit la manifestation extrême d'un problème de fond qui touche toute la société française. Ce n'est certainement pas en agissant spécifiquement dessus qu'on le règlera, de même que ce n'est pas en subventionnant la pauvreté qu'on l'éradique. Je partage exactement ce même avis.
Invité rogermila Posté 8 avril 2010 Signaler Posté 8 avril 2010 A mon sens, les banlieues sont un problème "de longue traîne", autrement dit la manifestation extrême d'un problème de fond qui touche toute la société française. Un élu d'oppposition du Val de Marne révèle que les stats départementales laissent apparaitre un triste record: celui d'un RMiste qui se trouve depuis 13 ans dans cette situation et qui prétend ne pas avoir encore réussi à s'intégrer professionnellement. Ce genre d'individus passent le plus clair de leur temps à entuber les services sociaux
JackieV Posté 8 avril 2010 Signaler Posté 8 avril 2010 Un élu d'oppposition du Val de Marne révèle que les stats départementales laissent apparaitre un triste record: celui d'un RMiste qui se trouve depuis 13 ans dans cette situation et qui prétend ne pas avoir encore réussi à s'intégrer professionnellement.Ce genre d'individus passent le plus clair de leur temps à entuber les services sociaux C'est malheureusement tout à fait crédible, quand on condamne un individu au chômage en fixant un salaire minimum trop élevé, l'individu perd progressivement ses capacités à travailler jusqu'à devenir incapable.
Chitah Posté 8 avril 2010 Signaler Posté 8 avril 2010 De mémoire, sur les 1,2 millions de titulaires du RMI, deux ou trois cent mille le sont depuis 1989, date de la création dudit RMI.
h16 Posté 8 avril 2010 Signaler Posté 8 avril 2010 C'est, quand on y pense, terrifiant. On a l'impression d'un nombre de victimes d'une opération nucléaire.
pipo Posté 8 avril 2010 Signaler Posté 8 avril 2010 Un élu d'oppposition du Val de Marne révèle que les stats départementales laissent apparaitre un triste record: celui d'un RMiste qui se trouve depuis 13 ans dans cette situation et qui prétend ne pas avoir encore réussi à s'intégrer professionnellement.Ce genre d'individus passent le plus clair de leur temps à entuber les services sociaux En Belgique il y a quelque années, on a "fêté" le premier chômeur à vie à arriver à l'âge de la retraite mais impossible de retomber sur l'article
Invité Arn0 Posté 9 avril 2010 Signaler Posté 9 avril 2010 Je me souviens d'un article de Science & Vie dans nes années 80 (ou peut-être au début des années 90), qui analysait en détails les problèmes des banlieues. Il concluait que les cités, banlieues et autres zones dites dangereuses ne souffrent pas de problèmes qualitativement différents des autres endroits. En revanche toutes les statistiques négatives, comme le chômage, l'assistanat, la délinquance, les trafics, etc, sont sensiblement plus élevées qu'ailleurs. A mon sens, les banlieues sont un problème "de longue traîne", autrement dit la manifestation extrême d'un problème de fond qui touche toute la société française. Ce n'est certainement pas en agissant spécifiquement dessus qu'on le règlera, de même que ce n'est pas en subventionnant la pauvreté qu'on l'éradique. +1 Cela dit les quartiers difficiles ce n'est pas un problème spécifiquement français.
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