free jazz Posté 25 mai 2010 Signaler Posté 25 mai 2010 En attendant, sur l'essentiel : tu as déjà écrit que l'islamophobie est un mythe, et voilà que tu parles de cathophobie; indépendamment de savoir si il est vrai ou pas que l'islamophobie ou la cathophobie existe, on remarque un peu étonnant deux poids deux mesures. Vu que l'un est passé dans le langage courant, je ne vois pas pourquoi il faudrait se priver d'utiliser l'autre. Simple isonomie, qui s'applique assez bien aux récentes campagnes d'hystérie à chaque fois que Bennie s'exprime. Je me demande pourquoi alimenter le trollage des fils par tes soins. Cependant pour couper court à tes simagrées, j'ai dit que la litanie selon laquelle la France serait un pays massivement islamophobe est effectivement un mythe. Si la France était un pays islamophobe, les mosquées n'y seraient pas financées par de l'argent public. Maintenant si on cherche des tarés on en trouve partout…
Invité jabial Posté 25 mai 2010 Signaler Posté 25 mai 2010 Vous êtes tous foutus de toute façon, c'est le complot islamo-sioniste qui dirigera le monde.
Sous-Commandant Marco Posté 25 mai 2010 Signaler Posté 25 mai 2010 C'est juste une question de sémantique mais dans la réalité, cette autorité elle marche comment et avec quelle légitimité? Comment cette autorité fait-elle appliquer ses décisions? Qui empêchera cette autorité d'étendre ses prérogatives? Moi je veux bien ce que dit le pape à la limite, mais est-ce réaliste de le vouloir carrément au niveau mondial, pourquoi pas au niveau national d'abord, ne serait-ce pas plus réaliste? Si je m'en tiens aux passages cités par Free Jazz sur le site de chretiente.info (vers lequel je te renvoie), il me semble que cette autorité pourrait fonctionner comme une cour de justice ou un conseil de sages. L'application de ses décisions reposerait sur les états, en général, et peut-être sur sa propre force, constituée pour l'occasion dans les cas extraordinaires, par exemple si un état est en cause. Tout cela ressemble fort à l'ONU, qui en constituerait la base, évidemment, comme indiqué par Benoît XVI, la différence étant que les décisions de l'ONU et le droit international sont actuellement tributaires des rapports de force entre les états les plus puissants, tandis que le pape souhaite qu'ils soient conformes au droit et à la morale. Qui empêcherait cette autorité d'outrepasser sa fonction ? Cette autorité serait "le fruit d'un accord", devrait être "reconnue par tous" et viserait à "susciter" plutôt qu'à "imposer" ses vues. Il faut donc compter sur son auto-régulation. C'est le point crucial : il s'agit d'une autorité juridique et morale, pas d'un gouvernement qui se substituerait aux autres gouvernements ou limiterait leurs prérogatives.
Hidalgo Posté 25 mai 2010 Signaler Posté 25 mai 2010 Caroline Fourest a dit que c'était un terme inventé par l'ayatollah Jean-Paul II dans les années 1980 pour faire taire les critiques contre le catholicisme. Ne nous laissons pas berner par les ennemis de la libre-parole. Elle ne vous fait pas penser à Marcy d'Arcy? A partir de 6'11.
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