TODA Posté 10 septembre 2010 Signaler Posté 10 septembre 2010 Le truc, c'est de présenter un programme, des propositions aux français, nos idées.Quand plusieurs centaines de milliers de français croiront en ces idées, aller chercher les 500 signatures sera facile. En attendant, ça me semble impossible (mais tant mieux si je me trompe). ça ne doit pas pour autant nous empêcher de dire qu'on aimerait bien y aller, qu'on a des idées qui ne sont défendues par personne, etc… C'est ce qui avait été fait en 2007 par AL (enfin avant l'épisode Bayrou, épisode soutenu par le président de ton parti libéral). Voilà :ça ne doit pas pour autant nous empêcher de dire qu'on aimerait bien y aller, qu'on a des idées qui ne sont défendues par personne d'autre que nous, et que donc, un peu de courage que diable, c'est le moment de se labncer dans la bataille!
limmt Posté 10 septembre 2010 Signaler Posté 10 septembre 2010 Je pense que pour avoir une chance de présenter un candidat il faudrait deux phases: premièrement, il faut diffuser nos idées, pour qu'on soit connu de plus qu'1% de la population (tractage, affiches, réunions, etc.), dans un deuxième temps il faudra travailler probablement avec des gens spécialisés dans le marketing sur le meilleur moyen d'arriver à convaincre des élus de parrainer notre candidat, et ensuite baha voir une équipe qui se met au boulot pour contacter le plus d'élus possibles, notemment des maires de petites et moyennes communes DVD, qui pourraient être dégoutés de sarkoy, qui seraient le plus susceptibles de vouloir voir une alternative.
Aurel Posté 10 septembre 2010 Auteur Signaler Posté 10 septembre 2010 Je pense que pour avoir une chance de présenter un candidat il faudrait deux phases: premièrement, il faut diffuser nos idées, pour qu'on soit connu de plus qu'1% de la population (tractage, affiches, réunions, etc.), dans un deuxième temps il faudra travailler probablement avec des gens spécialisés dans le marketing sur le meilleur moyen d'arriver à convaincre des élus de parrainer notre candidat, et ensuite baha voir une équipe qui se met au boulot pour contacter le plus d'élus possibles, notemment des maires de petites et moyennes communes DVD, qui pourraient être dégoutés de sarkoy, qui seraient le plus susceptibles de vouloir voir une alternative. Plus prosaïquement, un parti de 3 ou 4.000 adhérents dispose d'un maillage suffisant pour envisager une chasse aux signatures. C'est également un seuil important pour disposer de l'autonomie financière nécessaire au lancement d'une telle campagne. C'est enfin un seuil de respectabilité pour les grands médias. La question repose donc sur la capacité ou non d'un parti de susciter un engouement chez les sympathisants. Ont-ils confiance dans le projet, dans ceux qui le portent, dans la stratégie ? Les erreurs passées et la division actuelle AL PLD ne les rassurent pas encore assez. Cela dit, il y a des signes positifs. Mais nous sommes encore loin d'être en état de nous lancer à l'assaut de telles échéances. Ensuite, je constate chez beaucoup de nouveaux adhérents l'absence de culture, d'habitude politique. La gauche et l'extrême gauche ont su depuis longtemps travailler cette fibre militante aux résultats patents : notre pays est clairement une économie socialiste (même la droite en subit une profonde influence). J'espère que ceux qui croient en l'efficacité de l'action politique (je comprends ceux qui n'y croient pas, mais je sais les hsitants nombreux) participeront progressivement à notre action en adhérant, en nous soutenant financièrement et en passant à l'action localement. Nous avons une responsabilité dans notre développement, les sympathisants qui nous observent également.
limmt Posté 10 septembre 2010 Signaler Posté 10 septembre 2010 En effet, comme tu le dis la division entre AL et le PLD ne donne pas envie d'adhérer. A titre personnel, je n'ai pas (encore?) de carte d'adhérent, mais le jour ou il y aura un seul parti libéral je la prendrai immédiatement. Comment être crédible pour porter un projet politique alors que l'on n'est même pas capable de se rassembler?
john_ross Posté 10 septembre 2010 Signaler Posté 10 septembre 2010 L'erreur c'est de croire que la fonction d'un parti libéral aujourd'hui en France est de porter un projet politique.
Invité Berti Posté 10 septembre 2010 Signaler Posté 10 septembre 2010 le PLD souhaite grandir en restant indépendant, sans s'interdire des accords localement, ni des partenariats ponctuels avec des personnalités politiques ouvertes à nos idées. C'est ce que disais déjà AL (dont Aurélien Véron) en 2007. Cela veut-il dire que vous allez mettre le PLD au service de Bayrou, Morin, Joly, etc… aux présidentielles 2012 ? (comme AL s'est mis au service de Bayrou lors de la présidentielle de 2007) Si vous dites clairement que non, qu'il n'en est pas question, ça donnera peut-être envie aux gens d'adhérer.
Aurel Posté 10 septembre 2010 Auteur Signaler Posté 10 septembre 2010 L'erreur c'est de croire que la fonction d'un parti libéral aujourd'hui en France est de porter un projet politique. Un jeune parti comme le PLD a besoin d'une certaine radicalité, c'est clair. Ceux qui ont adhéré ou nous soutiennent de près expriment cette attente, mais ils attendent aussi un projet politique et une stratégie de conquête pour développer et multiplier nos bastions, avoir des élus et peser dans le débat politique. Ils sont membres d'un parti, pas d'une association apolitique comme LC (l'un n'empêchant pas l'autre, mais nos missions sont bien distinctes). Le combat pour nos idées nécessite un écosystème dont chaque acteur a intérêt à choisir ses priorités, ses objectifs pour ne pas se disperser et s'affaiblir. Un parti a pour vocation de récolter les voix d'un électorat que d'autres partis n'écoutent pas. L'UMP a cru ces voix captives, au point de les piétiner aujourd'hui et d'afficher un discours plus socialiste que libéral dans l'ensemble. A un parti libéral d'exploiter ce que la pensée libérale fait pousser, afin de négocier des mesures fortes avec les grands partis grâce aux quelques pourcents, et un jour 8, 10 ou 15 % comme le FDP en Allemagne. Enfin, je constate que l'électorat ouvert aux propositions libérales n'est pas homogène. Certains publics qui suivent les associations libérales ne se sentent pas libéraux, et n'adhèrent pas à des propositions de couleur libérale. D'autres se trouvent ailleurs, hors du périmètre du réseau associatif que nous connaissons, il faut aller vers eux et nous ouvrir de nouveaux horizons. Au départ, le programme du PLD s'inspire de ses responsables, par exemple Vincent Bénard, mais aussi de think tanks et d'associations militantes diverses. Nous assumons le fait que notre mission n'est pas de défendre "le libéralisme", pensée apolitique bien trop riche pour se restreindre à la ligne d'un parti, mais de s'en inspirer pour promouvoir un projet composé de propositions. Mais nous observons aussi que beaucoup de sympathisants ne connaissent pas grand chose du libéralisme, il nous faut donc nous adapter à leurs exigences et à leurs limites. C'est d'ailleurs un très bon exercice pour mieux communiquer auprès du grand public. C'est ce que disais déjà AL (dont Aurélien Véron) en 2007.Cela veut-il dire que vous allez mettre le PLD au service de Bayrou, Morin, Joly, etc… aux présidentielles 2012 ? (comme AL s'est mis au service de Bayrou lors de la présidentielle de 2007) Si vous dites clairement que non, qu'il n'en est pas question, ça donnera peut-être envie aux gens d'adhérer. Pour la présidentielle de 2012, nous sommes partis pour passer notre tour et grandir sans nous engager sur un candidat au vu des programmes qui se dessinent à droite comme à gauche. Mais la conjoncture peut se dégrader (faillite d'un pays, tensions graves en Europe), et la situation politique évoluer dans un sens qui nous offre une fenêtre. Et cela ne dépend pas que de moi. Contrairement à l'expérience de 2007, la démocratie interne fonctionne plutôt bien. Le débat continuera, avec l'intervention active des membres et de leurs représentants.
john_ross Posté 10 septembre 2010 Signaler Posté 10 septembre 2010 Ensuite, je constate chez beaucoup de nouveaux adhérents l'absence de culture, d'habitude politique. Vous parlez de vous? A un parti libéral d'exploiter ce que la pensée libérale fait pousser, afin de négocier des mesures fortes avec les grands partis grâce aux quelques pourcents, et un jour 8, 10 ou 15 % comme le FDP en Allemagne. Le FN avec 15% ne peut rien négocier, on est en France avec un scrutin majoritaire à 2 tours, et un score ne vaut rien! C'est quand même étonnant qu'une telle évidence vous ait échappé. Vous êtes aveuglé par le fait de croire que c'est parce que vous aurez des élus que vous pourrez peser sur le débat! Votre erreur est de croire que vous devez avoir un programme cohérent pour être audible et c'est une erreur monumentale.
Aurel Posté 10 septembre 2010 Auteur Signaler Posté 10 septembre 2010 Le FN avec 15% ne peut rien négocier, on est en France avec un scrutin majoritaire à 2 tours, et un score ne vaut rien! JM le Pen a toujours choisi de rester marginal, au point de foirer les opportunités qui se sont présentées à lui. En revanche, je pense que Marine obtiendra de bien meilleurs résultats parce qu'elle veut le pouvoir pour mettre en oeuvre ses propositions. Mais tu sembles si bien savoir ce qu'il faut faire que je ne peux que t'encourager à persévérer dans ta voie (que j'ai du mal à cerner tant tu es discret sur son contenu, mais tu as raison, il faut savoir garder secret ce qui est assuré d'un succès).
Invité Berti Posté 10 septembre 2010 Signaler Posté 10 septembre 2010 Pour la présidentielle de 2012, nous sommes partis pour passer notre tour et grandir sans nous engager sur un candidat au vu des programmes qui se dessinent à droite comme à gauche. Mais la conjoncture peut se dégrader (faillite d'un pays, tensions graves en Europe), et la situation politique évoluer dans un sens qui nous offre une fenêtre. Et cela ne dépend pas que de moi. Contrairement à l'expérience de 2007, la démocratie interne fonctionne plutôt bien. Le débat continuera, avec l'intervention active des membres et de leurs représentants. Pas de campagne présidentielle donc en 2012 pour le PLD ? Ce qu'avait fait AL en 2007 (avant Bayrou) était pourtant bien (obtention de passages médias). C'est ça qu'il faudrait refaire à mon avis (sans épisode Bayrou, Morin, Joly etc…) Non ?
Aurel Posté 10 septembre 2010 Auteur Signaler Posté 10 septembre 2010 Pas de campagne présidentielle donc en 2012 pour le PLD ?Ce qu'avait fait AL en 2007 (avant Bayrou) était pourtant bien (obtention de passages médias). C'est ça qu'il faudrait refaire à mon avis (sans épisode Bayrou, Morin, Joly etc…) Non ? Nous avions presque 1.000 adhérents et un joli budget avec des donateurs importants. Sabine était une jeune fille raffraichissante au milieu de candidats masculins, avec une image que la manif de 2003 avait permis de valoriser. Aujourd'hui, la manif est loin, les effectifs sont plus faibles et la motivation plus aussi forte pour aller à la chasse (en 2007, moins de 10 signatures au final) tant que nous n'aurons pas un meilleur maillage du territoire. C'est pourquoi le chiffre de 3.000 ou 4.000 adhérents me parait essentiel pour réussir cette étape… ou de grande difficultés financières entrainant le pays dans une grave crise.
Invité Berti Posté 10 septembre 2010 Signaler Posté 10 septembre 2010 Nous avions presque 1.000 adhérents et un joli budget avec des donateurs importants. Sabine était une jeune fille raffraichissante au milieu de candidats masculins, avec une image que la manif de 2003 avait permis de valoriser. Aujourd'hui, la manif est loin, les effectifs sont plus faibles et la motivation plus aussi forte pour aller à la chasse (en 2007, moins de 10 signatures au final) tant que nous n'aurons pas un meilleur maillage du territoire. C'est pourquoi le chiffre de 3.000 ou 4.000 adhérents me parait essentiel pour réussir cette étape… ou de grande difficultés financières entrainant le pays dans une grave crise. Les 1.000 adhérents, pourvu qu'on leur dise que Bayrou & Co c'est du passé, ils reviendront peut-être. Y'en aura même 1001 (je n'avais pas adhéré à AL). Sabine ? C'était pas plutôt un certain Edouard ? (masculin pas rafraichissant) Enfin pour les 500 signatures, faut pas se faire trop d'illusions, je suis d'accord avec toi. Moi je referais ce qu'avait fait AL… au début (sans Bayrou donc)
Aurel Posté 10 septembre 2010 Auteur Signaler Posté 10 septembre 2010 Edouard était candidat, mais la notoriété était surtout celle de sa femme.
john_ross Posté 10 septembre 2010 Signaler Posté 10 septembre 2010 JM le Pen a toujours choisi de rester marginal, au point de foirer les opportunités qui se sont présentées à lui. Vous parlez d'un homme qui est élu depuis plus de 50 ans, et la compromission avec les socialistes de droite ne peut être qualifié d'opportunité pour le FN et son leader. Voir le PCF depuis 1981! En revanche, je pense que Marine obtiendra de bien meilleurs résultats parce qu'elle veut le pouvoir pour mettre en oeuvre ses propositions. Elle veut le pouvoir et alors! Elle ne pourra l'obtenir seule, donc il faudrait qu'elle noue des alliances. Croire qu'un jour une alliance UMP, FN verra le jour est un non sens, car si l'UMP doit perdre sans s'allier au FN, elle perdra à coup sur en s'alliant avec. Mais tu sembles si bien savoir ce qu'il faut faire que je ne peux que t'encourager à persévérer dans ta voie (que j'ai du mal à cerner tant tu es discret sur son contenu, mais tu as raison, il faut savoir garder secret ce qui est assuré d'un succès). Il faut déjà cesser de regarder ce qui se passe à l'étranger avec les partis libéraux car il n'y a aucune leçon à en tirer pour la France. En France il n'y a pas de coalition, il y a alliance puis caporalisation de ses alliés. La stratégie dont vous devez vous inspirer c'est celle de l’extrême gauche, à savoir trouver un bouc émissaire l'état et passer votre temps à taper dessus pour récolter les voix des contribuables mécontent, en dehors de ça vous ne serez pas audible. On est en France il faut faire dans la contestation!
limmt Posté 10 septembre 2010 Signaler Posté 10 septembre 2010 Beaucoup de sympathisants de droite se disent libéraux, et sont plus ou moins déçus de la politique de sarkozy, mais la faible audience des petits partis libéraux fait qu'ils ne savent pas qu'ils existent et pensent que l'ump est la seule option "libérale", si on arrive a augmenter notre audience, ils forment un réservoir de voix très important pour nous faire entendre, et pourquoi pas gagner des élections (l'UDF a bien réussi à faire élire un président avec un réservoir à 5/10% des voix à la base)
john_ross Posté 10 septembre 2010 Signaler Posté 10 septembre 2010 Beaucoup de sympathisants de droite se disent libéraux, et sont plus ou moins déçus de la politique de sarkozy, mais la faible audience des petits partis libéraux fait qu'ils ne savent pas qu'ils existent et pensent que l'ump est la seule option "libérale", si on arrive a augmenter notre audience, ils forment un réservoir de voix très important pour nous faire entendre, et pourquoi pas gagner des élections (l'UDF a bien réussi à faire élire un président avec un réservoir à 5/10% des voix à la base) Lecanuet a fait plus de 15% en 1965!
TODA Posté 11 septembre 2010 Signaler Posté 11 septembre 2010 Nous avions presque 1.000 adhérents et un joli budget avec des donateurs importants. Sabine était une jeune fille raffraichissante au milieu de candidats masculins, avec une image que la manif de 2003 avait permis de valoriser. Aujourd'hui, la manif est loin, les effectifs sont plus faibles et la motivation plus aussi forte pour aller à la chasse (en 2007, moins de 10 signatures au final) tant que nous n'aurons pas un meilleur maillage du territoire. C'est pourquoi le chiffre de 3.000 ou 4.000 adhérents me parait essentiel pour réussir cette étape… ou de grande difficultés financières entrainant le pays dans une grave crise. la motivation plus aussi forte pour aller à la chasse [/b [banzaÏ] Que néni…je me sens prête à partir à la chasse aux signatures, à aller les dénicher à coup de fourchette à escargots [banzai] C'est pas une question de quantité, mais de détermination…
Invité Berti Posté 13 septembre 2010 Signaler Posté 13 septembre 2010 [banzaÏ] Que néni…je me sens prête à partir à la chasse aux signatures, à aller les dénicher à coup de fourchette à escargots [banzai] C'est pas une question de quantité, mais de détermination… Cool Si on n'a pas les 500 signatures, on saura donc qui est coupable : TODA a manqué de détermination !
TODA Posté 13 septembre 2010 Signaler Posté 13 septembre 2010 CoolSi on n'a pas les 500 signatures, on saura donc qui est coupable : TODA a manqué de détermination ! Impossible… Grace à la stratégie de la soupape, la victoire ou la victoire!
Tremendo Posté 14 septembre 2010 Signaler Posté 14 septembre 2010 Le débat AL - PLD a été fructueux, même s'il ne s'est pas terminé par une fusion. AL a annoncé s'associer au Nouveau Centre, alors que le PLD souhaite grandir en restant indépendant, sans s'interdire des accords localement, ni des partenariats ponctuels avec des personnalités politiques ouvertes à nos idées. Le rapprochement AL PLD continue, à commencer par une participation conjointe aux cantonales de 2011. Sur ce point d'ailleurs, nous financerons, si nécessaire, la campagne des candidats issus du PLD. Et le PLD a bien fait, ne surtout pas s'allier inutilement avec d'autres partis pour faire entrer un ou deux types dans un conseil municipal par exemple, encore moins donner son soutien au premier tour à un parti parce qu'on n'a pas réuni les 500 signatures. Il faut garder une certaine radicalité, jouer sur le populisme, rentrer dedans à la manière du FN et ne pas se compromettre avec des forces anti-libérales juste pour se faire connaître. Ce qu'il faudrait aux partis libéraux c'est aussi des grandes gueules comme le Pen, c'est une bonne manière de se faire connaître. Enfin, je constate que l'électorat ouvert aux propositions libérales n'est pas homogène. Certains publics qui suivent les associations libérales ne se sentent pas libéraux, et n'adhèrent pas à des propositions de couleur libérale. D'autres se trouvent ailleurs, hors du périmètre du réseau associatif que nous connaissons, il faut aller vers eux et nous ouvrir de nouveaux horizons. Au départ, le programme du PLD s'inspire de ses responsables, par exemple Vincent Bénard, mais aussi de think tanks et d'associations militantes diverses. Nous assumons le fait que notre mission n'est pas de défendre "le libéralisme", pensée apolitique bien trop riche pour se restreindre à la ligne d'un parti, mais de s'en inspirer pour promouvoir un projet composé de propositions. Mais nous observons aussi que beaucoup de sympathisants ne connaissent pas grand chose du libéralisme, il nous faut donc nous adapter à leurs exigences et à leurs limites. C'est d'ailleurs un très bon exercice pour mieux communiquer auprès du grand public. Là-dessus je ne comprends pas, à la limite peu importe qu'on clame au grand jour en faisant des petits sauts de cabris: "on est des libéraux on est des libéraux!!", Ron Paul ne dit jamais textuellement qu'il est libertarien, mais le message et les propositions sont suffisemment claires et tout le monde a bien compris de quel bord il était. Bien évidemment ce qu'il faut c'est soigner le message d'abord, c'est faire comme les tea-parties, insister sur la liberté et la protection des droits naturels fondamentaux, insister sur la liberté de choix dans tous les domaines pour permettre à chacun de prospérer librement, insister sur le retour à un Etat minimal, ça c'est vendeur! En revanche, que des publics qui vous suivent ne se sentent pas libéraux, peu importe, ils doivent savoir où ils débarquent, les convaincre c'est mieux, mais ça ne doit pas faire bouger le mouvement sur son programme.
Aurel Posté 14 septembre 2010 Auteur Signaler Posté 14 septembre 2010 Là-dessus je ne comprends pas, à la limite peu importe qu'on clame au grand jour en faisant des petits sauts de cabris: "on est des libéraux on est des libéraux!!", Ron Paul ne dit jamais textuellement qu'il est libertarien, mais le message et les propositions sont suffisemment claires et tout le monde a bien compris de quel bord il était.… En revanche, que des publics qui vous suivent ne se sentent pas libéraux, peu importe, ils doivent savoir où ils débarquent, les convaincre c'est mieux, mais ça ne doit pas faire bouger le mouvement sur son programme. La question n'est pas de bouger sur le programme qui évolue toutefois naturellement avec les échanges et les réflexions que nous menons. Je pense ici aux thèmes à défendre en priorité et à la forme de notre communication qui auront le meilleur impact.
Tremendo Posté 14 septembre 2010 Signaler Posté 14 septembre 2010 La question n'est pas de bouger sur le programme qui évolue toutefois naturellement avec les échanges et les réflexions que nous menons. Je pense ici aux thèmes à défendre en priorité et à la forme de notre communication qui auront le meilleur impact. Ok, je comprends mieux, effectivement c'est intéressant.
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