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Apéro saucisson pinard


xavdr

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Posté
Voilà, c'est exactement ça. Pour plagier Coluche, lorsqu'il parlait du fameux Cancer Généralisé du Travail et de Farce Ouvrière, on pourrait dire :

"Ils représentent même pas 1% des français, et ils nous emmerdent."

Il vaudrait mieux dire "La barbe ! Vous nous saoulez."

Posté
Soyons sérieux, arrêtons la victimologie de comptoir et revenons aux faits. Ce n'est pas une rue, mais une partie du quartier qui est bouclée par une milice religieuse.

Ensuite ce genre de démonstration musclée a lieu régulièrement dans d'autres villes de banlieue (comme Torcy ou Drancy) et d'Europe.

Bon ok il y a plusieurs rues. Et c'est gênant pour les non-musulmans, soit.

Je suis même d’accord avec les arguments de jabial, on ne devrait pas pouvoir faire chier les gens en bloquant les rues comme ca, a moins que ca fasse partie de la vie de quartier (comme un marche par exemple). Ceci dit la prière dans un quartier a 90% musulman, on peut considérer que ça fasse partie de la vie de quartier.

Ce que je comprend pas c'est la quantité de peur et de haine que ça déchaîne. A en croire certain, on a affaire a une invasion violente. Or:

1) il n'y a pas d'invasion, ce sont des musulmans qui prient dans des quartiers a majorité musulmane. Ils ne viennent pas prier sur les champs elysees ou devant la cathédrale notre dame.

2) il n'y a pas de violence, rien de "muscle" dans tout ça. Prier, ce n'est pas violent. Il y a des agents de sécurité, et c'est tant mieux.

3) si ils pouvaient prier ailleurs que dans la rue, il me semble qu'ils le feraient.

Posté

Jubal, merci d'avoir agréé le fait que le phénomène n'est pas ponctuel.

La suite des réponses à tes questions se trouve en Iran, en Algérie et dans d'autres pays où les islamistes orchestrent la peur de rue au quotidien contre leurs adversaires. L'occupation militante de l'espace public est un moyen, à l'extension géographique, thématique, sonore, temporelle, progressive, qui in fine devient ostensiblement agressive par ses messages, omniprésente dans le temps et dans l'espace. En Algérie par exemple, le développement de ce moyen à des fins totalitaires s'est fait de façon progressive mais visible. Les témoins qui ont du fuir leur pays racontent cette montée.

De même que l'extension géographique, thématique, sonore, temporelle est progressive, l'influence indue qu'elle engendre est progressive. Au début la présence est affirmée. Puis elle est localement incontournable dans le temps. Puis elle se multiplie dans l'espace. Ensuite elle deviendra omniprésente dans certains quartiers, elle s'y fera de plus en plus bruyante. Elle cherchera à être présente un peu partout en dehors de ses foyers d'origine où alors elle deviendra de plus en plus agressive. C'est ainsi que cela s'est déjà déroulé notamment en Algérie.

Le moment où c'est le plus facile et le moins couteux à stopper net, c'est le début, quand les 1ers abus illégitimes important apparaissent. C'est le cas en France depuis quelques petites années, il ne faut pas laisser le phénomène prendre de l'ampleur.

Posté
La suite des réponses à tes questions se trouve en Iran, en Algérie et dans d'autres pays où les islamistes orchestrent la peur de rue au quotidien contre leurs adversaires. L'occupation militante de l'espace public est un moyen, à l'extension géographique, thématique, sonore, temporelle, progressive, qui in fine devient ostensiblement agressive par ses messages, omniprésente dans le temps et dans l'espace. En Algérie par exemple, le développement de ce moyen à des fins totalitaires s'est fait de façon progressive mais visible. Les témoins qui ont du fuir leur pays racontent cette montée.

De même que l'extension géographique, thématique, sonore, temporelle est progressive, l'influence indue qu'elle engendre est progressive. Au début la présence est affirmée. Puis elle est localement incontournable dans le temps. Puis elle se multiplie dans l'espace. Ensuite elle deviendra omniprésente dans certains quartiers, elle s'y fera de plus en plus bruyante. Elle cherchera à être présente un peu partout en dehors de ses foyers d'origine où alors elle deviendra de plus en plus agressive. C'est ainsi que cela s'est déjà déroulé notamment en Algérie.

Le moment où c'est le plus facile et le moins couteux à stopper net, c'est le début, quand les 1ers abus illégitimes important apparaissent. C'est le cas en France depuis quelques petites années, il ne faut pas laisser le phénomène prendre de l'ampleur.

On peut reprendre ce discours avec tout et n'importe quoi, il suffit de changer quelques termes.

Posté
2) il n'y a pas de violence, rien de "muscle" dans tout ça. Prier, ce n'est pas violent.

Et pourtant chaque année de nombreux pèlerins meurent écrasé par la foule au pèlerinage de la Mecque, sauf qu'eux sont consentants.

- Bloquer la circulation avec des barrières est un mode opératoire musclé, ce dont les libéraux un minimum coéhrents conviennent habituellement lorsqu'un syndicat procède à ce genre d'opération. De la même façon qu'occuper une université est une méthode musclée.

- L'accès à la rue est contrôlé et filtré par des gardes à l'entrée, aux intimidations similaires à celles des gros bras de la CGT.

- L'accès est interdit, au besoin par la coercition, aux journalistes.

L'avantage avec des libéraux aussi iréniques c'est qu'on n'a plus besoin de subversion extérieure pour faire passer les droits créances avant les libertés fondamentales.

Posté
Et pourtant chaque année de nombreux pèlerins meurent écrasé par la foule au pèlerinage de la Mecque, sauf qu'eux sont consentants.

C'est hors-sujet, là.

- Bloquer la circulation avec des barrières est un mode opératoire musclé, ce dont les libéraux un minimum coéhrents conviennent habituellement lorsqu'un syndicat procède à ce genre d'opération. De la même façon qu'occuper une université est une méthode musclée.

- L'accès à la rue est contrôlé et filtré par des gardes à l'entrée, aux intimidations similaires à celles des gros bras de la CGT.

- L'accès est interdit, au besoin par la coercition, aux journalistes.

Je doute que le mode opératoire soit de cet ordre.

Pour les barrières, c'est la même chose les jours de marché, pas de quoi s'énerver.

Posté
- Bloquer la circulation avec des barrières est un mode opératoire musclé, ce dont les libéraux un minimum coéhrents conviennent habituellement lorsqu'un syndicat procède à ce genre d'opération. De la même façon qu'occuper une université est une méthode musclée.

- L'accès à la rue est contrôlé et filtré par des gardes à l'entrée, aux intimidations similaires à celles des gros bras de la CGT.

- L'accès est interdit, au besoin par la coercition, aux journalistes.

Un peu d'ordre ne fait pas de mal non plus tu ne crois pas? Sinon c'est débordements et compagnie. Personne ne va mourir de voir une barrière empêcher une voiture de passer le temps d'un après-midi, ça nous arrive de temps à autres, si on devait crier halte au totalitarisme à chaque fois, on en finirait pas. Encore une fois, si cela se fait avec la compréhension du voisinage, sans que cela suppose une gêne pour eux (bruits et impossibilité d'aller et venir chez soi), je vois pas le problème, sinon au tribunal.

Posté
Pour les barrières, c'est la même chose les jours de marché, pas de quoi s'énerver.

:icon_up:

La comparaison ne tient pas la route, les marchés sont organisés pour ne pas entraver la circulation, mais bien au contraire pour attirer le maximum de monde, les marchés sont un lieu par excellence d'échange social et non de tyrannie tribale qui impose sa conception de l'espace public par le fait accompli.

Sinon personne ne s'énerve, mis à part les associatifs rabiques et les défenseurs hystériques du droit à emmerder le monde.

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