h16 Posté 20 septembre 2010 Signaler Posté 20 septembre 2010 http://e-blogs.wikio.fr/et-paul-jorion-cre…heorie-des-prix Je n'ai pas encore un avis très tranché, mais quelqu'un qui s'exclame : C’est donc un livre d’anthropologue. J’ai l’habitude de dire : “Je ne suis pas économiste” ; ici, j’ai dépassé cette perspective négative, je suis allé sur le terrain des économistes et j’ai dit : “La théorie des prix qui vous manque : la voici !” … n'est pas totalement net dans sa tête.
0100011 Posté 20 septembre 2010 Signaler Posté 20 septembre 2010 A première vue il réinvente l'intersubjectivité Kantienne. Son lien entre la connaissance partagée avec l'intrication quantique fait penser à du mauvais Sokal et Bricmont 15 ans après.
Chitah Posté 20 septembre 2010 Signaler Posté 20 septembre 2010 "Je ne suis pas garagiste, mais je peux réparer ta bagnole quand même". "Je ne suis pas économiste, mais voici une nouvelle théorie des prix". EDIT : ah c'est bon, j'ai compris Paul Jorion, né le 22 juillet 19461 à Ixelles, est anthropologue et sociologue belge, spécialisé dans les sciences cognitives et l'économie2.
pipo Posté 20 septembre 2010 Signaler Posté 20 septembre 2010 EDIT : ah c'est bon, j'ai compris Le problème dans la phrase, c'est "sociologue" et non "belge"
Chitah Posté 20 septembre 2010 Signaler Posté 20 septembre 2010 Le problème dans la phrase, c'est "sociologue" et non "belge" Etre sociologue c'est un choix et a priori c'est réversible. Etre belge, c'est un drame personnel et c'est irréversible, et bien souvent les cicatrices ne guérissent jamais vraiment.
Poil à gratter Posté 20 septembre 2010 Signaler Posté 20 septembre 2010 Paul Jorion, né le 22 juillet 19461 à Ixelles De quelle ère ?
h16 Posté 20 septembre 2010 Auteur Signaler Posté 20 septembre 2010 Etre sociologue c'est un choix et a priori c'est réversible.Etre belge, c'est un drame personnel et c'est irréversible, et bien souvent les cicatrices ne guérissent jamais vraiment. non, c'est être communiste qui est un drame personnel. Belge, c'est la vraie françitude.
JackieV Posté 20 septembre 2010 Signaler Posté 20 septembre 2010 Il est permis de dire que le prix est la vérité des choses humaines exprimée en nombres et la vérité, le prix des choses humaines exprimé en mots. ?
Chitah Posté 20 septembre 2010 Signaler Posté 20 septembre 2010 ? Ben c'est pourtant simple : - prix = vérité des choses humaines en nombres - vérité = prix des choses humaines en mots Donc : - prix = prix des choses humaines en mots des choses humaines en nombres - vérité = vérité des choses humaines en nombres des choses humaines en mots Et comme prix = vérité, alors mots = nombres. Donc les lettres et les chiffres c'est pareil. D'où d'ailleurs l'existence de l'émission de télé : …. de mouches.
ernest Posté 20 septembre 2010 Signaler Posté 20 septembre 2010 A première vue il réinvente l'intersubjectivité Kantienne. Mouais… je voyais plus ça comme une resucée du marxisme vulgaire. C'est-à-dire la vision de l'échange comme conflit (plutôt que comme "coopération" pour faire rapide). À mon sens, cet extrait est typique, il parle de nombres alors que c'est la valeurs subjective joue : Dans la constitution du prix, des nombres sont échangés et si un accord a pu être atteint sur un même nombre, alors de l’argent est échangé contre une marchandise Son lien entre la connaissance partagée avec l'intrication quantique fait penser à du mauvais Sokal et Bricmont 15 ans après. +1 évidemment.
Esperluette Posté 20 septembre 2010 Signaler Posté 20 septembre 2010 être communiste est un drame personnel
MrJones Posté 20 septembre 2010 Signaler Posté 20 septembre 2010 Des vrais économistes et philosophes, ça existe encore ? Ou bien il ne reste plus que des pseudo-intellectuels de garage ? J'ai lu une partie de l'extrait de son bouquin. Putain que c'est mal écrit, ça pique, on dirait du Keynes.
h16 Posté 28 septembre 2010 Auteur Signaler Posté 28 septembre 2010 on dirait du Keynes. En plus confus. C'est possible, apparemment.
Salatomatonion Posté 28 septembre 2010 Signaler Posté 28 septembre 2010 Je n'ai pas compris où il voulait en venir mais je ne demande pas mieux que d'être éclairé. A défaut, si je le croisais aujourd'hui en séance de dédicace je serais navré de lui dire : "laissez-moi vous énoncer une vérité, le prix de votre bouquin sera toujours trop élevé".
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