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Chute importante du mécenat culturel


Invité rogermila

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Invité rogermila
Posté

Avec la crise, on constate sans surprise des conséquences importantes sur le mécénat culturel des entreprses.

L'association ADMICAL, pour la promotion du mécenat d'entreprise, a fait réaliser par CSA une enquête auprès de 749 entreprises.

Il en ressort que si le mécenat sportif ou social subit une petite érosion, le mécenat purement culturel enregistre un brutal déengagement des entreprises.

Le montant des sommes allouées à été divisé par 2,6 entre 2008 et 2010 !

Mais il y a aussi une modification dans les choix d'orientation du mécenat, dont seulement 19% vont à la culture alors qu'en 2008 c'était 39%.

Selon vous quelle est la solution pour les lieux culturels budgétairement touchés :

[ ] l'Etat doit se substituer au mecenat pour perenniser leurs activités

[ ] ils doivent réduire leurs dépenses de fonctionnement et s'adapter.

Posté

Quand l'état s'engage à raison de N $/€ dans une activité de mécénat, la société civile s'en désengage, mécaniquement, de M>N. Et réciproquement. Donc, la solution (paradoxale, mais qui fonctionne dans le monde réel) est:

[ ] L'état réduit sa contribution à la culture, idéalement à zéro.

Invité rogermila
Posté
[ ] qu'ils crèvent la bouche ouverte au coin d'une rue.

Au lieu de te réjouir de la "mort" d'autrui, est ce que tu pourrais l'éditer proprement car je n'ai pas la fonction sondage avec mon compte.

Posté
Au lieu de te réjouir de la "mort" d'autrui, est ce que tu pourrais l'éditer proprement car je n'ai pas la fonction sondage avec mon compte.

Cela dit le résultat d'un tel sondage ici est assez évident. Qui voudrait que l'état paye davantage de subventions?

Posté
Quand l'état s'engage à raison de N $/€ dans une activité de mécénat, la société civile s'en désengage, mécaniquement, de M>N. Et réciproquement. Donc, la solution (paradoxale, mais qui fonctionne dans le monde réel) est:

[ ] L'état réduit sa contribution à la culture, idéalement à zéro.

ou, comme le dit poétiquement Lucilio :

[ ] qu'ils crèvent la bouche ouverte au coin d'une rue.

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