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Un duo infernal à la Cour des Comptes


Invité rogermila

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Invité rogermila
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La nomination d'Alain Lambert à la Cour des Comptes, où il va retrouver son pote Migaud, est quand même une assez bonne nouvelle, en comparaison du risque prochain d'un Borloo ou d'une MAM à Matignon.

Alain Lambert a été nommé à la Cour des Comptes sur proposition du Premier ministre François Fillon.

Aussitôt, le sénateur a annoncé sur son blog son départ du Sénat, "cette nouvelle fonction de magistrat étant incompatible avec un mandat de parlementaire".

Soulignant qu'il avait "consacré l'essentiel de sa vie publique aux finances du pays", Alain Lambert explique sa décision par sa "conviction que la Cour des Comptes est, dans les circonstances présentes, l'institution qui (lui) permettra le mieux de poursuivre (sa) tâche".

A la Cour, il rejoint le socialiste Didier Migaud. Les deux hommes, qui se connaissent bien et s'apprécient, sont les pères de la Lolf (loi organique relative aux lois de finances), qui a défini la nouvelle architecture budgétaire.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/10/…te-le-senat.php

Posté

ça c'est sur que ça fait tâche les finances, hey le mec il y a consacré toute sa vie, heureusement qu'ils ne s'y mettent pas à plusieurs.

Posté

http://www.publicsenat.fr/lcp/politique/al…tte-senat-44274

Le 2 avril 2010, publicsenat.fr avait publié une tribune au vitriol d’Alain Lambert, intitulée « L’antisarkozysme se nourrit de l’esprit de cour ! ». Il y expliquait que Nicolas Sarkozy « n’est pas en situation de faire gagner » les idées de l’UMP en 2012. Et proposait qu’Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin, Dominique de Villepin et François Fillon se rencontrent « pour envisager toutes les éventualités ».

Une liberté de ton qui ne s’exprimera plus. « Je me soumets, par évidence, dès cet instant, à l’obligation de réserve qui s’attache à cette fonction », explique-t-il sur son blog.

Pas sûr que ce soit une bonne nouvelle. Il ne sera "que" Conseiller-maître, avec Migaud qui reste le patron.

Ce n'est pas la première fois qu'Alain Lambert, sous ses airs de père-la-rigueur, ne va pas jusqu'au bout.

Mais bon ; il a peut-être reçu des menaces ? Peut-être allait-il perdre les sénatoriales de 2011 (son mandat de 9 ans arrivera à terme en 2011), sans investiture de l'UMP ?

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