Sécheresse…

[john_ross]

Ca, il n'appartient qu'au marché de trancher.

On parle d'agriculture, et je suis près à vous parier que réchauffage climatique à l'appui, les agriculteurs obtiendront des subventions supplémentaires pour l’irrigation du blé à cause de sécheresses qui se produisent 4 à 5 fois par siècle.

[François]

http://www.vedura.fr…onsommation-eau

La quantité moyenne d'eau nécessaire à la production d'un kilo de (source CNRS) :

Coton : 5 263 litres

Soja : 900 litres

Blé : 590 litres

Pomme de terre : 590 litres

Riz inondé : 5 000 litres

Riz pluvial : 1 600 litres

Maïs : 454 litres

Banane 345 litres

Conclusion : VITE, ARRÊTONS DE PRODUIRE DU BLÉ !

Je ne suis pas un spécialiste, comme les participants à ce fil, mais on (un agriculteur) m'a expliqué que le blé a besoin d'eau en mars-avril, et le maïs en juillet-août (plus ou moins). Le problème cette année vient d'un déficit de précipitations au printemps, alors même que, au moins pour certaines régions, il y a eu moins de neige à fondre. Le blé a donc connu un déficit relativement exceptionnel, alors que le maïs manquera donc d'eau comme d'habitude, mais avec des réserves insuffisantes.

Sur un autre sujet abordé dans ce fil, le transfert d'eau du delta du Rhône, vers Barcelone, je crois me souvenir qu'il s'agissait d'un concept de transport par conduite, version moderne de l'aqueduc, ce qui est quand même plus intelligent qu'un canal.

[gdm]

Je ne suis pas un spécialiste, comme les participants à ce fil, mais on (un agriculteur) m'a expliqué que le blé a besoin d'eau en mars-avril, et le maïs en juillet-août (plus ou moins). Le problème cette année vient d'un déficit de précipitations au printemps, alors même que, au moins pour certaines régions, il y a eu moins de neige à fondre. Le blé a donc connu un déficit relativement exceptionnel, alors que le maïs manquera donc d'eau comme d'habitude, mais avec des réserves insuffisantes.

Sur un autre sujet abordé dans ce fil, le transfert d'eau du delta du Rhône, vers Barcelone, je crois me souvenir qu'il s'agissait d'un concept de transport par conduite, version moderne de l'aqueduc, ce qui est quand même plus intelligent qu'un canal.

C'est un problème d'investissement industriel. Si certains investisseurs calculent que c'est rentable de faire un tel tube, c'est leur risque, c'est leur problème. L'Etat n'a pas à s'en mêler.