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Leçon d'économie


Théache

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Posté

Parlez de la dette d'un Etat a un sens comptable précis. En effet, un Etat est un agent économique. L'Etat est responsable des dettes des organismes qui sont dans le périmètre de l'Etat, comme la Sécu et certaines autres associations. Mais parler de la dette totale des habitants est, amha, un non-sens en économie. Les politiciens entretiennent la confusion entre la dette d'un Etat et l'ensemble des dettes des habitants. C'est un mensonge. C'est une habile illusion étatique fabriquée par l'Etat. L'Etat voudrait raire croire aux crédules que l"Etat=la population. Que l'argent de l'Etat serait l'argent du peuple. Et autre fadaises de cet acabit.

Humm, c'est extrêmement intéressant. Et comment ça se passe lorsque l'Etat étatise la dette privée ?

El mundo toma la receta de Cavallo en 1982: estatizar la deuda privada

La crisis financiera de esta semana dejó al descubierto falencias de los sistemas de control y fallas estructurales en los países más grandes. La estatización de los malos negocios privados

Esta salida de EE.UU. debe hacernos acordar a la solución que encontró Domingo Cavallo, siendo presidente del Banco Central en 1982, cuando estatizó la deuda privada y les hizo pagar a todos los argentinos el endeudamiento empresario.

De la misma manera se estatizó deuda privada cuando se privatizaron los ex bancos de Mendoza y de Previsión Social. En aquel entonces se vendieron las entidades por menos dinero y se creó un Fondo Fiduciario para cobrar las deudas privadas, por más de 1.000 millones de pesos-dólares, que casi no fueron cobradas. La sociedad en su conjunto financió esa fiesta porque la provincia debió endeudarse hasta nuestros días. A Estados Unidos esta crisis le costará mucho y, a pesar de Bush, la pagarán los plomeros de Minessota, pero también el resto del mundo. La poca responsabilidad con la que se han manejado los organismos reguladores y fiscalizadores ya está generando daños en la economía de todos los países. Finalmente, los capitales que están fugando de los países emergentes irán a comprar los nuevos bonos del Tesoro, con lo cual los países emergentes financiarán con recesión la fiesta financiera norteameriana.

La gran bicicleta mundial

El mundo financiero se lanzó a una gran bicicleta a partir de una brutal rebaja de la tasa de interés de en EE.UU. que llegó al límite del 1% anual. Un rendimiento tan bajo estimuló el consumo, pero también la generación de productos financieros que se multiplicaron sin control. Y en esta gran bicicleta entraron la mayoría de los bancos del mundo dando rienda suelta a los especuladores que jugaron con todo sin control. Cuando el mercado hipotecario se puso complejo, salieron rápido e hicieron subir artificialmente los precios de las materias primas. Así, con el mercado a sus expensas y sin regulaciones ni supervisión, los especuladores generaron una inflación global que terminó minando la situación de empresas y estados. La consecuencia se verá ahora: recesión mundial y una larga fila de muertos, heridos y contusos.

Hace unos quince años, Gorge Soros se hizo famoso por especular contra la libra esterlina y ganarle la pulseada, hasta obligar al Banco de Inglaterra a devaluar un 50% la moneda inglesa. Luego, como un niño travieso dijo con una brutal honestidad: “si nos no ponen límites y mejoran las regulaciones (los especuladores) vamos a producir mucho daño en el mundo”. Nadie se dio por enterado, pero ahora, todos salen a pedir más regulaciones y mejor supervisión. Puede ser que entremos en un nuevo ciclo histórico en la economía mundial.

Via Mendoza online : http://www.mdzol.com/mdz/nota/71411-el-mundo-toma-la-receta-de-cavallo-en-1982-estatizar-la-deuda-privada/

Posté

Une traduction correcte en français pourrait être utile (pas une googletrad, merci :) )

Posté

Humm, c'est extrêmement intéressant. Et comment ça se passe lorsque l'Etat étatise la dette privée ?

Via Mendoza online : http://www.mdzol.com…-deuda-privada/

Je ne comprend pas ce que vous désignez par "étatisation de la dette privée". Habituellement l'Etat vole par l’impôt. L'Etat n'a aucun avantage à payer une dette pour soulager un emprunteur. Votre terme "étatisation de la dette privée me semble donc bien mystérieux.

Posté

L'étatisation est un calque assez maladroit de l'espagnol, j'en conviens. Nationalisation de la dette privée serait plus approprié et explicite. La suite une fois que j'aurai traduit l'article ;)

Posté

Boujour à tous !

Voici un texte qui se promène actuellement par courriel, il a été écrit par Pierre Foglia - journaliste - le 16 mai 2009. J'aimerais votre avis…

LA LEÇON D’ÉCONOMIE

Ça se passe dans un très petit village qui vit du tourisme, sauf qu’à cause de la crise économique il n’y a plus de touristes. Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre. Plusieurs mois passent, misérables. Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100 $.

Le touriste n’est pas aussitôt monté à sa chambre que l’hôtelier court porter le billet de 100 $ chez le boucher, à qui il doit justement cent dollars. Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l’approvisionne en viande. Le paysan, à son tour, se dépêche d’aller payer sa dette à la pute à laquelle il doit quelques passes. La pute boucle la boucle en se rendant à l’hôtel pour rembourser l’hôtelier qu’elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l’heure. Comme elle dépose le billet de 100 $ sur le comptoir, le touriste qui venait de dire à l’hôtelier qu’il n’aimait pas sa chambre et n’en voulait plus, ramasse son billet et disparaît.

Rien n’a été dépensé, ni gagné. N’empêche que plus personne dans le village n’a de dettes.

N’est-ce pas ainsi qu’on est en train de résoudre la crise mondiale ?

Rien n'a été dépensé ? Et ils sortent d'où les 100€ du touriste ? Il les a bien dépensés ses 100 € ? Donc il les avait gagnés ? Ce raisonnement semble logique alors qu'il part d'un postulat faux : "rien n'a été dépensé"

T'as déjà été voir sur place pour affirmer que ces pays vivent dans la richesse ?

H16 n'a pas dit que les Brésiliens vivaient dans la richesse, mais que les richesses étaient chez eux. Ça ne signifie pas du tout la même chose

Posté

L'étatisation est un calque assez maladroit de l'espagnol, j'en conviens. Nationalisation de la dette privée serait plus approprié et explicite. La suite une fois que j'aurai traduit l'article ;)

"Collectivisation" de la dette privée ?

Posté

H16 n'a pas dit que les Brésiliens vivaient dans la richesse, mais que les richesses étaient chez eux. Ça ne signifie pas du tout la même chose

De toute façon, ce n'est pas très clair.

Si on prend le PIB, ou PIB/hab, le Brésil reste loin de la France.

Si on prend la croissance du PIB, c'est la France qui est loin derrière.

Il faut aussi regarder les montants investis en capitaux.

Mais, bon, CPEF quoi.

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