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ça N'est Pas Fini !


y/o/o/o/k

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Posté
  Chitah a dit :
OK, tu as raison. :icon_up:  :doigt:

Seulement, il m'a enervé avec son attaque de merde.

Il a énervé tout le monde, mais ça ne sert à rien de s'acharner dessus. Albert Li est assez grand pour se décrédibiliser tout seul, il n'a pas besoin de notre aide. Et vu les "soutiens" qu'il a reçu, à part certains déçus du forum personne ne le prend au sérieux.

Posté

Il semble obsédé par le fait qu'on ait pris la grosse tête??

Un élément de réponse: débat entre deux nouveaux sur notre forum

http://www.liberaux.org/index.php?showtopic=4972&st=40

  Le Clown a dit :
Il est vrai que tout phénomène social revient à une intéraction entre des individus. La vrai question est de savoir ce qu'est un individu. A sa naissance, ce n'est qu'un être doté de quelques instincts. Mais rapidement, il acquiert via des contacts avec autrui des "habitudes de pensées", à commencer par la langage. Ces habitudes contribuent à structurer l'esprit d'un individu, elles lui donnent des dispositions à agir, sans pour autant lui nier son autonomie (elles sont même nécessaire à cette autonomie). Ce que je veux dire c'est que, contrairement à ce que la conception cartésienne prétend, l'esprit humain n'est pas hors de l'expérience (il n'y a pas de distinction corps/esprit) et il est donc formé par elle. L'individu se constitue par sa relation aux autres et chacun a en soi une dimension collective : la culture, le langage, les valeurs en sont des exemples.

(…)

En clair, la raison et l'esprit humain ont une dimension collective, vouloir expliquer un fait par l'individu renvoie toujours en arrière à la dimension collective de l'esprit humain.

  Steph a dit :
Je crois aussi qu'on n'a pas de liberté au sens métaphysique, un choix est toujours un choix dans un champs de possibles MAIS l'ampleur de ce champs varie selon nos déterminations psychophysiologiques (habitudes, histoires passées, héritage parentale, culture etc.), ce que tu évoques en tant que "formatage inconscient". Cependant 'il est possible d'augmenter le champs de ces possibles (notamment en changeant ses habitudes, en réglant son passé etc.) en travaillant sur les déterminations psychophysiologiques i.e. en comprenant l'imbrication et le mécanisme pour s'en libérer. (quelqu'un qui a peur du noir à un moment t, en analysant et en surmontant la raison de sa peur qui peut remonter à une enfance solitaire, peut à un moment t+1 ne plus avoir peur du noir. Ce qui signifie pour réemployer les termes ci dessus, que son champs de possibles dans la situation "il fait noir" c'est élargi: lorsque tombera la nuit, il ne sera plus réduit à se précipiter chez lui et pourra mener des activités diurnes par exemple et en plus de pouvoir rentrer chez lui.) C'est faire en sorte que le background ne soit plus un vecteur à l'action (dès lors déterminée) mais devienne un champs de possibilités ou de disponibilités que l'acteur choisira posément selon son bon plaisir (liberté). Mais certes les background diffèrent selon les individus. Sans vouloir établir une hierarchie de l'humanité, il ya certains individus qui ont un champs de possibles plus large que le mien, d'autres qui en ont un plus restreint, selon la quantité de "travail sur soi" (temps passé à ne plus se laisser déterminer) pour abolir les déterminations psychophysiologiques.

(…)

Voila exactement le genre de discussions de "grosses têtes" auxquelles il ne participait jamais. :icon_up:

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