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Bisounours

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Messages postés par Bisounours

  1. Il y a 6 heures, wakrap a dit :

    En Polynésie, le revenu moyen des non salariés est de 1800€, celui des salariés hors fonction publique d'Etat est de 2500€ et de 4500€ pour la fonction publique d'Etat qui ne cotise pas

    Les fonctionnaires d'État ne cotisent pas à quoi ? Il me semble bien pourtant qu'ils cotisent.

    Ou alors seulement en Polynésie ?

  2. Il y a 2 heures, Bisounours a dit :

    Juste un sentiment, et statistiques arrangées :

     

    Révélation

    Or l'Intérieur (qui bien sûr, dispose de tous les chiffres) ne publie que ceux du seul §28 (rési­dences principales), censurant tout le reste. Voici donc, après une correction effectuée avec les propres chiffres de l'Intérieur, camouflés aux Français, le bilan réel des cambriolages en France en 2023. Chiffre avoué par l'Intérieur (§28) 217 600 cambriolages ; plus deux qu'il cen­sure, §28, 29 et 30 (désormais ± 50% de l'ensemble) 130 560. Total des cambriolages connus de l'Intérieur, 348 160. Mais tous ne sont pas connus, chaque cambriolé ne portant pas plainte. Un "chiffre noir" estimé par les sociétés d'assurances à 37% des vic­times, soit 128 800 cambriolages. Total des effractions réellement subies par les Français en 2023, dans quelque local que ce soit ; déclarées ou non, ± 476 960. 1 306 cambriolages par jour, 54 par heure (presque un par minute). Telle est l'ampleur du camouflage/mensonge de l'Intérieur.

     

    Autre infraction inquiétante pour les Français, les "Coups et blessures volon­taires" (C&BV) - décodeur : se faire casser la figure, voire lyncher. Ne prenons ici que ceux commis hors du cadre familial : connus pour 2023, 171 500, total ayant bondi de + 26% depuis 2018 (années-Macron). Il s'agit là des seuls C&BV connus des autorités ; le total réel ("chiffre noir") dépasse les 500 000, soit ± 1 400 par jour, quasiment un par minute.

     

    Les homicides maintenant. Répétons d'abord que l'instauration de la médecine d'urgence im­pose d'agglomérer ces homicides et tentatives : moins de morts et plus de bles­sés sérieux, par arme blanche, arme à feu, etc. Toujours dans les années-Macron (2018-2023) ces homicides plus tentatives (2018 : 3 313 ; 2023 : 5 065) bondissent de + 53%. Dans les Bouches-du-Rhône et Marseille, de 2022 à 2023, les homicides + tentatives, explosent de + 117% (de 76 à 165). Pour toute la France, homicides + tentatives, de 2022 à 2023, + 18%.

     

     

     

     

  3. Le prix du gaz augmente : normal, sa consommation a diminué.

     

     

    Au 1er juillet prochain, la facture de gaz va de nouveau augmenter de 5,5% à 10,4% pour les Français, ont annoncé vendredi 2 février la Commission de régulation de l'énergie et le gestionnaire du réseau GRDF. Une augmentation qui peut surprendre alors que le prix repère du gaz pour janvier 2024 a baissé de 4% après des mois de hausses successives. "C'est essentiellement lié au fait que la consommation baisse", explique Emmanuelle Wargon, présidente de la Commission de régulation de l'énergie, alors que les coûts d'acheminement et d'utilisation du réseau de gaz restent les mêmes et doivent être supportés par les consommateurs moins nombreux.

     

  4. La Confédération paysanne approuve ce projet et propose aussi la sécurité sociale de l'alimentation

    Avec l'écriture inclusive qui va bien, annonciatrice de belles inepties

     

    la Confédération paysanne propose le projet politique de la socialisation de l'alimentation. Il consiste à  mettre en place une politique basée sur l'application du droit à l'alimentation [1]. Ce projet propose un accès universel à une alimentation choisie par les citoyen·nes et qui rémunèrent les paysan.ne.s qui la produisent, via un système de conventionnement.

    La sécurité sociale de l'alimentation permettrait de sécuriser un budget alimentaire pour chacune grâce à une cotisation sociale prélevée à tous sur le principe du fonctionnement de la sécurité sociale aujourd'hui. 

    Pour nous paysan.ne.s, ce projet est intéressant car il nous permet de poursuivre notre travail syndical sur le revenu en partant de la demande des consommateurs.ices. C'est aussi l'occasion de porter un projet de politique agricole et alimentaire qui répond au problème systémique du recours à l'aide alimentaire.

    Le projet de sécurité sociale de l'alimentation, c'est donc un outil qui permettrait d'assurer à la fois le droit à l'alimentation pour tout le monde et pour nous, producteurs et productrices, le moyen de vivre correctement de notre métier.

     

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