On pourrait reformuler en posant la question : le libéralisme peut-il se comprendre simplement comme une opposition à l'état ? Répondre oui (ce que j'aurais tendance à faire) permet d'écarter tout un tas de problèmes, mais je me demande si ça n'amène pas à des situations paradoxales où on accepte de la coercition sous prétexte qu'elle est non étatique (mob justice) et ou on rejette de la non-coercition sous prétexte qu'elle est étatique (libertarian paternalism sur le papier). Et si on rejette l