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Les ravages de l'aide sociale à l'enfance
Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Il est à l'association, d'accord. Mais de mon point de vue, il est d'abord public, accessible au public, à tous. Il n'est pas restreint aux membres de l'association, ni d'ailleurs restreint en lecture à ses membres enregistrés uniquement. C'est un simple constat. Je connais le fonctionnement d'un forum. Et je vous rassure, je ne vais pas vous pourrir l'actualité, ni avec mes affaires, ni avec d'autres, je n'ai pas l'intention de maintenir ce fil "à flot" La réalité est un peu plus complexe, en tous cas de mon point de vue. D'autres choses peuvent aussi être importantes. Plus haut, je vous ai par exemple expliqué que j'avais encore une fois fait appel. Je n'ai pas fait appel pour "reconstruire la relation père fille", même si les juges souhaiteront peut être entretenir une telle confusion ou me renvoyer à une telle priorité. S'il y a quelque chose à "reconstruire", ça ne se fera pas dans des prétoires, et certainement pas dans ce forum non plus. -
Les ravages de l'aide sociale à l'enfance
Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
C'est un forum de libéraux, mais est-ce bien important? J'aurai pu réagir de la même façon dans un forum d'automobilistes ou de tricoteurs. J'ai peut-être fait toutes ces démarches, jusqu'à ce jour, simplement pour pouvoir parler librement, sans risquer de me faire condamner, sans risquer non plus de me faire discréditer par le premier venu. Ce forum ou site n'est pas privé, mais plutôt public, sur Internet. J'ai pu le lire, m'inscire, puis vous répondre. Je ne suis intervenu que sous cette discussion, "les ravages de l'ASE". Quelqu'un y a écrit que dans ce genre d'histoires, on ne peut rien vérifier. Je ne suis pas d'accord. Début septembre, j'étais à Limeil-Brévannes pour rejoindre quelques manifestants et soutenir deux enfants qui ne veulent pas être placés. J'ai pu vérifier des choses. Il y a peu, quelqu'un a laissé un message dans mon blog, un commentaire qui m'invitait à trouver et à lire un article de presse, à faire des vérifications. J'ai fait des vérifications. J'ai trouvé l'article, puis j'ai téléphoné… on peut faire des vérifications. Comment voulez vous que ça se goupille alors que, pendant 10 ans, des tiers et des professionnels l'ont remontée contre moi et "placée" ailleurs? Je pense qu'elle est en Alsace, où des tiers ont décidé qu'elle grandirait. J'en saurais peut être plus d'ici quelques semaines ou mois. J'ai refait appel. Je vous rassure, je ne demanderais pas la garde d'une majeure. Je compte juste revoir les juges de la cour d'appel et critiquer la façon dont le juge pour enfant de Nanterre a récemment bouclé le dossier: sans convoquer personne, sans débat contradictoire ni aucun avocat. Connaissant ces professionnels et leurs moeurs, je pense qu'ils n'assumeront pas, mais qu'ils convieront mon ainée pour que ce soit elle, en première ligne, qui me réponde… mais les juges de la cour d'appel pourraient aussi refuser de juger, prétextant que mon ainée est maintenant majeure. Ca se décantera peut-être un peu plus tard, après cette ultime audience à la cour d'appel. -
Les ravages de l'aide sociale à l'enfance
Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Un inconnu, tout à fait, et de surcroit, un illustre anonyme. C'est en le lisant, quelques pages plus tôt, que j'ai vraiment pris la mouche. Constatant que dans ce pays, les prétoires ne faisaient que dysfonctionner, je me suis assuré que mes histoires puissent au moins être vérifiables. Dans mes histoires, vous ne connaitrez jamais de coupables, ces cloches ne sonnent jamais en public, les coupables se taisent ou ces cloches ne tintent toujours qu'à huis clos… Le site de Jafland? C'est avec ce juriste que j'ai attaqué le juge pour enfant de Nanterre, en 2008. A l'époque, mon aînée avait comme disparue, depuis près de trois ans. En 2009, j'obtenais finalement une décision pas mal favorable sur le fond: mon ainée avait passée tout l'été avec nous, en famille. Cela avait principalement suscité d'intenses jalousies… La CEDH? C'est envisageable. Il faudrait que je retourne mes poches pour en sortir une voiture ou deux de plus, de quoi financer un recours… Mais dites moi pourquoi je devrais perdre du temps à faire condamner l'Etat français, pour lire ensuite que rien ne peut être vérifié? La CEDH fonctionne-t-elle mieux que les prétoires français, ou ne ferais-je que matérialiser un couac de plus si je m'engageais sur cette voie? -
Les ravages de l'aide sociale à l'enfance
Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Apollon affirmait également que je ne présentais aucune décision qui m'était favorable sur le fond. Ce n'étaient peut-être pas ces décisions là que je trouvais les plus intéressantes. Depuis, Apollon a pu en voir. Vous pensez qu'il n'y a ici que un seul son de cloche. C'est à mon avis éronné aussi. Je ne crois pas être le seul, sous ce fil, à me plaindre des abus de l'ASE ou du fonctionnement de certains tribunaux. D'autre part, dans ce que j'expose, vous trouvez bien quelques éléments versés dans des tribunaux, par ceux qui se sont opposés à moi. Vous n'avez qu'à aller lire l'arrêt d'octobre 2010, publié sur Légifrance, pour y lire les moyens et les moyens annexes. C'est public. Moi, agressif? Vous n'avez peut-être jamais été confronté à l'ASE. Vous seriez ou deviendriez peut-être vous même agressif après avoir découvert aussi comment fonctionnent les tribunaux? Essuyer des abus alors qu'il s'agit de vos enfants et de votre famille, je pense que ça peut transformer… Mais en 10 ans, je n'ai pas été confronté qu'à des couacs ou à des abus de l'ASE. J'en ai déjà parlé, ici, plus tôt? La mère de mon ainée est décédée aux urgences en 1999, elle y a passé la nuit, laissée sans examens ni soins appropriés. Ca peut rendre agressif. En 2002, un juge d'instruction a conclu au non lieu d'un homicide involontaire mais a mis en lumière les carences de ce même service d'urgence, ça peut aussi rendre agressif. Vers 2005, un expert s'est à nouveau prononcé, dans le cadre d'un recours au tribunal administratif, ses conclusions pouvaient énerver. En 2008, ce recours en raison des carrences de ces urgences a fait flop. En effet, l'expert commis par le juge du tribunal administratif n'a pas pu se faire communiquer le dossier médical par l'instruction. Le dossier médical est probablement perdu ou déjà détruit, ça arrive souvent, les tribunaux ne conservent pas toujours les scellés. Le tout a été très bien bordé par des avocats spécialisés dans ce genre de recours. Je pense que cette histoire pourrait à elle seule rendre Apollon agressif… Oui et non. Non, car ça peut être utile à d'autres? Plus haut, j'ai lu que l'arrêt d'octobre 2010 a retenu l'attention de Prégentil. Il n'est pas le premier à l'avoir trouvé intéressant, voire utile. Oui, ça ne sert à rien. Je ne bénéficie pas de l'aide juridictionnelle. Dans mon entourage, certains se demandent d'ailleurs encore pourquoi j'ai lâché des milliers d'euro pour des pourvois en cassation. Je pense que mon entourage aurait préféré acheter une bonne voiture… Non seulement ça ne sert donc à rien, mais de surcroit, ça me vaut donc aussi des repproches de la part de mon entourage. P.S.: Oui, "moi, agressif", car c'est ce que d'autres pourraient percevoir en nous lisant, en me lisant… -
Les ravages de l'aide sociale à l'enfance
Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
S'agissant simplement de droits de la famille et de l'enfance, des droits de mes enfants, de mes droits, de ceux aussi de ma compagne au cours de ces annnées passées, je pense nous avons subit des préjudices incalculables. Ce n'est jamais perdu pour tout le monde. Si ce que je raconte aujourd'hui permet à Apollon d'exister, vous m'en voyez ravis pour lui. -
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Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Par le passé, j'ai pu progresser grace à un juriste, très bon. On attaquait le juge Xavier Serrier. On a pu progresser la main dans la main. Il maitrisait le droit et j'avais déjà de la bouteille. Le juriste n'imaginait pas à quel point Coluche avait eu raison en nous parlant de ces milieux: "quelques années de droit, tout le reste de travers". Apollon chercherait-il à préserver son pré carré, à promouvoir les prétoires, à nous assurer qu'ils seraient les sources ultimes de la vérité, les oracles d'aujourd'hui? Je lui suggère de lire Thierry Levy, L'éloge de la barbarie judiciaire, ou l'éloge de ces vérités lâchées du ciel qui s'imposent à tous… Apollon a peut-être la foi, une vrai foi. Il ne demanderait alors qu'à être rassuré? Un notaire, quelqu'un de son milieu, devrait pouvoir le rassurer. Au cours de ces dernières années, plus d'une décision de justice m'était favorable sur le fond. Car je n'ai pas déccroché que mon inscription sur la liste électorale (personne n'a fait appel de cette décision, elle est définitive, j'ai d'ailleurs pu voter). Des décisions qui m'étaient favorables sur le fond, j'en ai plus d'une dans ma besace. Mais certaines de ces décisions étaient parfois dépourvues de bases dites légales… ou étaient détachées des fichiers du cadastre. Un notaire devrait pouvoir confirmer cela à Apollon. Un notaire devrait surtout pouvoir lui confirmer que sa boite aux lettres fonctionne vraiment très mal, qu'elle était en panne de 2005 à 2010 au moins, ou que ce notaire n'a pas compris grand chose à ce qui s'était tramé. En 2010-2011, son étude s'est pris un gros vent, un revers, je lui infligeais une sorte de blâme. Le notaire ne répondra probablement pas si vous lui téléphonez, ou alors, il vous exposera qu'il n'y a jamais eu que de gros "malentendus"… Une traduction de "Je vous précise que de mon côté je n'ai rien reçu" est peut être nécessaire. Comprennez bien que "Ma boite aux lettres (celle du notaire) ne fonctionne pas, je (le notaire) n'ai jamais reçu l'ordonnance du juge des tutelles qui vous (cad moi) était favorable." -
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Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Apollon m'a énervé, fâché, même. Par le passé, j'avais déjà essuyé ce genre d'enfantillages, plusieurs fois, de la part de gens qui nourissaient des objectifs précis. J'aimerai bien que Apollon me fournisse des explications, pourquoi tient-il absolument à "polémiquer"? Avant les assises, des enquêteurs, le parquet et/ou des juges d'instructions ont le plus souvent rassemblé des "charges suffisantes" pour y renvoyer. Dans une bonne part de ces affaires, aux assises, le tribunal et les jurés n'ont plus qu'à se prononcer sur la sévérité de la peine. Pour l'honnête citoyen qui se fait taper dessus au civil ou chez le juge pour enfant, tout est différent. A partir de 2007, j'ai commencé à me plaindre assez vertement parce que les juges pour enfant et la cour d'appel avaient fait n'importe quoi, leurs repprochant depuis, notamment, d'avoir dénaturé les éléments de la procédure. Ce n'est pas anodin. Avec n'importe quoi dans les motivations, des faux, je n'hésite pas à l'écrire, avec des mensonges élaborés puis incessamment rabâchés ou martelés par des juges pour enfant et une cour d'appel, tout peut paraitre très bien motivé. Et des types comme Apollon n'y verront jamais que du feu… -
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Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Autre part qu'ici, des gens sont un peu moins bouchés. Et heureusement, ou en 2007, je n'aurai pas pu voter, car Nanterre avait aussi refusé mon inscription sur la liste électorale. -
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Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
On en reste donc là. Je n'aurais maintenant plus que des pensées émues en écoutant ou en lisant encore des libéraux. -
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Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Je vais vous laisser tranquille, cogiter ce que j'ai déjà publié, ainsi que l'article suivant. Si vous pensez que j'ai publié n'importe quoi, ici ou ailleurs, dénoncez moi. Article 441-1 En savoir plus sur cet article…[ Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 - art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002 Constitue un faux toute altération frauduleuse de la vérité, de nature à causer un préjudice et accomplie par quelque moyen que ce soit, dans un écrit ou tout autre support d'expression de la pensée qui a pour objet ou qui peut avoir pour effet d'établir la preuve d'un droit ou d'un fait ayant des conséquences juridiques. Le faux et l'usage de faux sont punis de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende. Faites aussi poursuivre l'INA, qui archive Faits Divers le mag de juin 2008 http://inatheque.ina.fr/Ina/ws/dltv/dlweb/general/Record?m=28&w=NATIVE%28%27TICOL+ph+is+%27%27Faits+divers%2C+le+mag%27%27%27%29 3. Le reportage : familles déchirées, rendez-moi mon enfant à 14:32:29:00 - 00:12:30:00 Reportage consacré à deux pères, Bruno KANT et Gérard FAURE, qui se battent contre le système judiciaire pour retrouver la garde de leurs enfants placés en familles d'acceuil par les services sociaux. Selon Gérard FAURE, vice-président de l'association "Respect des familles", la moitié des placements en famille d'acceuil sont abusifs. -
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Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
[name=Chitah' timestamp='1319670129' post='765623] On ne peut rien vérifier, ni recouper. Vous n'avez pas de téléphone? L'essentiel est alors là, c'est ce qu'a retenu Legifrance, en 2010, le reste ne sont peut être que des railleries: http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000022945541&fastReqId=1136956509&fastPos=3 Je ne peux pas vous laisser dire qu'il n'est pas possible de vérifier ou de recouper. Vous n'avez peut-être pas envie de téléphoner, c'est différent.Si vous allez là bas, sur Legifrance, lire un arrêt qui casse et annule, renvoyant à Versailles, vous lirez bien des choses comme cela: AUX MOTIFS D'UNE PART QUE « les motifs essentiels du renouvellement du placement par la décision attaquée sont pour l'essentiel les mêmes que ceux déjà évoqués dans les décisions précédentes : - personnalité de M. X… de type paranoïaque marquée par l'orgueil, la surestimation de soi, la méfiance, la psychorigidité, pouvant mettre en péril les relations père fille voir l'équilibre psychologique de Y…, - absence d'évolution et de remise en cause de son fonctionnement par M X…,<br clear="none">- intolérance du père à l'intervention de tiers dans l'éducation de sa fille et notamment éloignement de la famille maternelle, - nécessité de tiers dans cette relation père / fille qui, sinon, serait périlleuse. -
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Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Je trouve que mon blog est en fait pas mal. Je viens d'y relire un fragment d'une ordonnance rendue par le juge Xavier Serrier, en juin 2008. En décembre 2008, je le défonçais, en cassation Dans son délibéré du 30 juin 2008, le juge Xavier Serrier a noté que « M.KANT contestait les conclusions de l’expertise psychologique de sa personne en indiquant qu’il s’agissait de traits de personnalité communs […] force est de constater que les raisons qui ont conduit au placement de Justine demeurent […] que le retour de Justine chez son père mettrait gravement en péril son équilibre psychologique ; […] c’est à Monsieur KANT d’évoluer et de se remettre en cause ; ». -
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Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
J'ai perçu une certaine réticence, ici, lorsque je suis arrivé. J'ai trouvé que certains exigeaient beaucoup d'explications, voire même des "preuves" de ce que j'affirmais. Etait-ce lié à ma façon de présenter les choses? C'est possible. Je ne cachais pas des points de vues "alternatifs" sur ma propre affaire. Par exemple, j'ai bien parlé de cette opinion des juges du coin selon laquelle je pourrais ou pouvais être dangereux. Dans nos médias, parfois, des avocats qui défendent une cause n'hésitent pas à ironiser… je ne m'en prive pas, mais je ne préviens pas toujours. Ce que nous présentent des avocats qui défendent des partis ou des causes est le plus souvent rééquilibré par la presse, souvent au cours d'une même emission (radio, TV) ou dans un même coupon de presse et ce que nous présentent ces avocats est beaucoup rééquilibré aussi au cours d'émissions ou dans des publications qui suivent, avec des réponses qui leurs sont faites. Dans mes affaires, le parquet du coin n'a jamais daigné répondu en public. J'aimerais bien qu'il le fasse, qu'il réponde, mais je crois qu'il n'aurait pas grand chose à vous dire. Pour les caméras de France 2, fin mai 2008, le parquet a en tous cas préféré décliner. A peine plus tôt, en mars 2008, Maxi, 500 ou 600 000 exemplaires, avait publié un article. Pour tout vous avouer, j'ai eu le sentiment que les travailleurs sociaux et le parquet avaient répondu aux journalistes de Maxi. Quand j'ai lu cet article, dans Maxi, j'ai en tous cas eu le sentiment que quelqu'un s'était trompé d'affaire, ou s'était embrouillé entre différentes affaires. Je l'avais expliqué dans mon blog, mon opinion à ce sujet, cet article de Maxi, était donc publique et explicite. Mon blog est lu, parfois beaucoup. A mon avis, les journalistes de Maxi n'ont pas édulcoré leur article, ils n'auraient pas pu le faire de cette façon, mais le parquet ou des travailleurs sociaux s'étaient vautrés en leurs parlant. Ca en faisait un article vraiment étrange, pas mauvais, mais vraiment étrange. Ca m'avait clairement donné le sentiment que le parquet du coin ne maitrisait pas grand chose, qu'il était perdu ou qu'il confondait ses propres dossiers. J'ai perçu comme une confirmation lorsque le parquet a refusé de répondre pour une émission de France 2. J'ai toujours la vidéo de France 2 qui a été diffusée début juin 2008. C'était accablant, y compris pour le juge des enfants. Le parquet n'a pas réagit. Il ne le fera plus, il ne pourrait plus que tendre des baobabs, comme écrit plus haut, pour se faire battre. En présentant aussi des points de vues alternatifs, en ayant toujours été équilibré dans ce que j'exposais, je pense que je me suis épargné beaucoup d'ennuis. Les rares fois ou la police ou même le parquet m'avaient convoqué pour me demander des explications parce que mes publications avaient déplues, je n'ai pas eu de problème pour leurs en fournir. Je pense que c'est aussi une raison pour laquelle le parquet ainsi que d'autres préfèrent se taire et ne plus répondre à des journaliste ou à des caméras. Moi, j'attends qu'ils s'y risquent, qu'ils parlent ou qu'ils s'expriment, je les attends au tournant, avec le baobab qu'ils me tendront. Je me demande si quelqu'un d'ici a téléphoné pour avoir des confirmations ou des compléments d'informations. Vous voulez le numéro du presbytère protestant d'Uhrwiller ou vous pourrez le trouver dans les pages jaunes? Je vous préviens cependant, le pasteur n'est pas très disponible. Entre fin aout et début septembre 2009, je l'ai souvent appelé pour parler des DVH que le juge pour enfant de Nanterre m'avait accordé. Mais le pasteur ne n'avait jamais répondu -
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Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Continuez à rouspéter, vous apporterez une pierre qui pourra reservir à d'autres. Par le passé, j'avais lu un article qui m'avait un peu remotivé. Je m'étais alors dit qu'il pouvait être utile, pour d'autres, que je continue un peu à me battre et à publier… Certains remarqueront qu'il s'agit là d'une publication de sisyphe.org, un site de courants que je qualifierais ici sobrement de "feministes": mardi 13 juin 2006 La DPJ et la chasse aux sorcières contre les mères par Lucie Poirier Avant, on voyait la cornette de la pudibonde religieuse et l’enfant disparaissait à jamais. Dorénavant, on voit le nez en l’air de la sociale travailleuse et l’enfant disparaît à jamais. Moi j'ai eu droit à la totale. L'une des tantes de mon ainée est donc tata de l'ASE, sociale travailleuse. La seconde est pasteur protestant, pudibonde religieuse. C'est la seconde qui a eu la garde de ma fille ainée et qui a assuré aux juges qu'elle se porterait garante de la relation père-enfant. Ma fille a été endoctrinée dans leur secte. Les juges auraient-ils du préciser à ces femmes qu'en parlant du père, ils ne pensaient pas à dieu le père? L'article, sur Sisyphe, est pas mal: http://sisyphe.org/spip.php?article2329 -
Les ravages de l'aide sociale à l'enfance
Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Vous devriez vous méfier. Les travailleurs sociaux étrangers n'ont pas forcément une meilleure presse. Et en Allemagne, justement, certains immigrés ont eu le sentiment que leurs enfants leurs avaient été retirées par ces mêmes SS, pour qu'ils soient mieux intégrés à la Nation. En tous cas, c'est ce qu'on peut lire sur la toile: http://www.jugendamt-wesel.com/ En Belgique aussi, j'ai pu remarquer que des parents s'étaient un peu plaint. Si vous vous penchiez sur la jurisprudence, sur ce que publient la presse et des professionnels de ces secteurs, je crois que vous hésiteriez à réaliser votre vieux rève, partir pour l'Allemagne. Attendez que vos enfants soient assez grands, majeurs? Allez sur Google et recherchez Kutzner contre allemagne. Les Kutzner sont un peu déficients intellectuels, mais leurs enfants n'étaient pas en danger. Une assistante sociale et les Kutzner se sont brouillés, puis leurs enfants leurs ont été retirés. L'Allemagne a même retiré l'autorité parentale aux Kutzner. La CEDH a rendu un arrêt qui a condamné l'Allemagne, ses pratiques ont été jugées excessives. Les allemands ont fini par en faire un téléfilm. Dans mon blog, comme à la cour d'appel, j'ai souvent raillé Versailles et Nanterre en leur lançant qu'en "donnant" ma fille à ses tantes maternelles, ils avaient plagié Kutzner contre Allemagne, ce qu'on lit d'ailleurs très biens dans plusieurs arrêts de la cour d'appel de Versailles. Ce n'est pas un hasard. Je pense qu'il y a là comme un problème de moeurs de bas étages, le problème des moeurs de ces services sociaux. Sur le fond, il n'y a pas grand chose qui distingue mon affaire de celle des Kutzner. Je ne suis pas déficient intellectuel, mais ingénieur. On ne m'a pas retiré mes deux filles. Les travailleurs sociaux ne sont venus "prélever" que celle que ces tantes voulaient obtenir et garder. Comme l'une de ces tantes est elle même corbeau, calomniateur et tata de l'ASE, ça peut faire penser à des théories conspirationnistes ou à du favoritisme. Mais à mon avis, dans ce genre de situations ou d'histoires, il faut d'abord y voir un vent de harpies qui souffle un moment très fort puis qui repart avec les enfants. Vous pourriez maintenant envisager de partir au Canada ou au Quebec. Mais attention, car là bas, je pense que ça peut être pire. Voyez le cas Kathelyn Sampson, battue à mort par ses tuteurs légaux. La mère de Kathelyn, une prostituée, a reconnu qu'elle ne pouvait pas s'occuper de sa fille, je crois d'ailleurs que c'est sa mère elle-même qui a sollicité le juge, pour protéger sa fille. Sa mère a suggéré au juge de confier la garde de son enfant à sa meilleure amie, ce que le juge a accepté, mais sans faire d'enquête préalable. Qui pouvait être la meilleure amie d'une prostituée, sinon une personne de ces mêmes millieux? Katelynn Sampson, 8 ans, a été battue à mort cet été - en 2008 - dans l'appartement de ses tuteurs légaux. L'affaire avait soulevé des questions sur la protection des enfants en Ontario, puisque la garde avait été attribuée au couple, malgré leurs antécédents criminels reliés de drogue et de violence. -
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Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Nous, nous avons donc été dénoncé par des tantes qui habitent à 400 et à 500km de chez nous. Elles ne connaissaient pas notre couple, notre histoire, notre lieu de vie. Un jour, nous avons eu la visite d'une enquêtrice de notre propre secteur. Elle était comme bloquée devant des portes. Elle était persuadée qu'elle était entrée dans un F2, et que derrière les portes, c'était des placards. Elle buttait. Elle avait du mal à accepter qu'elle avait mis les pieds dans un F4. Vous ne pourriez pas être plus stalinien que la Dass. -
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Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Je l'avais bien lu. Nous pourrons aussi parler des pratiques et des préférences qualifiables de sectaires de la Dass. -
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Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Vous êtes libre d'y croire, ou pas, de penser que vous hallucinez aussi -
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Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Je ne pensais pas que l'ASE, la Protection de l'Enfance et les prétoires français pouvaient fonctionner de façon aussi farfelue. En Afrique? J'étais très bien en France. Partir maintenant n'aurait plus aucun sens. Je n'ai pas dit autre chose à propos des sociologues. Je sors beaucoup. En mars 2011, j'ai suivi le colloque international Droit, sciences et techniques, au Sénat. On nous a parlé d'armes de destructions massives. Dans le public, un mathématicien a pris la parole, posant une question assez simple. Il nous a d'abord expliqué qu'il travaillait sur la modélisation de la propagation des ondes sonores, en citant l'exemple de la propagation dans les airs de bruits faits avec la bouche. Il a expliqué que le résultat de ses recherches pourrait un jour être récupéré pour améliorer des bombes atomiques, que les modèles de propagation des ondes d'une explosion étaient similaires à ceux de simples bruits. Il a demandé comment se prémunir d'une récupération de ses travaux. Il n'y a pas eu de réponse. Un psychiatre, ça se veut ou se prétend également scientifique, savant. Je pourrais vous montrer des brûlots récents, rédigés ou préfacés par un psychiatre, des brûlots ou des ouvrages très engagés, scientistes, brutaux, au contenu souvent erroné et partial, au contenu parfois même raciste. Ce psychiatre a souvent été très bien reçu en France, par la droite… Ses ouvrages pourraient très bien s'articuler avec Ghetto urbain, de Lapeyronnie, ainsi qu'avec Jeunes sans domiciles fixes, de Jacques Guillou. L'ensemble serait aisément récupérable (pour le moment, personne ne semble avoir osé, pas vraiment). Je pourrais même ajouter un ouvrage ou deux de talentuteux juristes qui complèteront. Je n'en dirais pas plus. Plus haut, j'ai lu vos exemples et contre exemples, ils ne manquent pas. S'il vous en fallait un qui soit un peu différent, attendez qu'une petite affaire défraye les chroniques. En 2005, le juge pour enfant de Nanterre souhaitait donc que je me fasse expertiser par un psychiatre. Le juge avait insisté. Le psychiatre m'a convoqué à l'UMD de Paul Giraud, à Villejuif. L'UMD ou Unité pour Malades Difficiles, c'est le bout du monde de l'univers carcéral et psychiatrique. Quand vous entrez en UMD, c'est souvent pour ne plus jamais ressortir de ces lieux… sauf en faisant le mur, pour récidiver. J'en avais longuement discuté avec un crimonologue, il m'avait répondu qu'on m'avait fait un affront en me faisant convoquer à l'UMD. J'attendais ce rapport psychiatrique pour rediscuter avec les juges, mon ainée venait d'être "donnée" à ses tantes. Je pensais que le psychiatre allait conclure que j'étais à peu près normal, ou que j'allais pouvoir contester son expertise, si nécessaire. Arrivé une première fois à l'UMD, je me suis aperçu que le psychiatre m'avait posé un lapin (j'ai plus d'une convocation, et une lettre d'excuse de son secrétariat). Après cela, dans le journal, j'avais lu que le psychiatre avait peut-être du expertiser un "grand criminel". Arrivé une seconde fois à l'UMD, on m'a expliqué que le psychiatre était malade et absent. J'en ai discuté avec des gens, certains m'ont dit qu'ils auraient explosé de colère, au secrétariat - un truc à ne surtout pas faire en UMD Plus tard, le psychiatre missionné par le juge pour enfant a enfin commis son expertise… voir plus haut: parano, ou personnalité de type parano. Je n'ai pas eu le droit de contester, les juges m'ont refusé une contre expertise. J'ai fini par renoncer à en demander une, puis donc, enfin, à porter un entonnoir sur la tête pour débattre encore avec et auprès de la Cour. En décembre 2009, un enfant a été jeté par la fenêtre, à Orly. Le Parisien nous avait appris que son état était critique. L'enfant était tombé sur le béton, il gardera des séquelles, cérébrales. L'information m'a intriguée. Selon les journaux, le père sortait de Paul Giraud, où il n'y a pas qu'une UMD, le site est vaste. Je suis allé sur place, à Orly, discuter avec les gens du quartier. J'ai eu la possibilité de parler un peu avec la mère, puis avec un élu du 9-4. Une proche de la mère m'a un moment téléphoné, me mettant manifestant dans le lot des journalistes qui avaient suivi l'affaire. Elle m'a demandé de laisser la famille tranquille, me raccrochant au nez juste après m'avoir lancé: "les psychiatres sont tous des criminels". Le père sortait donc de Paul Giraud, où il avait été interné quelques temps. Une fois sorti de là, il a manifestement arrêté de prendre son traitement. Et son fils a volé par la fenêtre. "Schizo", m'a-t-on dit au bar du quartier. http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/orly-etat-stable-pour-l-enfant-jete-par-la-fenetre-29-12-2009-759560.php Les premiers éléments de l'enquête ont établi que le père a jeté son fils par le fenêtre de l'appartement situé au deuxième étage, lundi vers 14H00, pour un motif encore inconnu. Son épouse, présente dans l'appartement au moment du drame, n'aurait rien vu de la scène. L'homme, qui souffre de problèmes psychologiques, a été hospitalisé d'office à l'hôpital psychiatrique Paul-Guiraud de Villejuif (Val-de-Marne). Selon le parquet de Créteil, il était sorti le 2 décembre d'un séjour à l'hôpital Paul-Guiraud, où il avait été hospitalisé à la demande d'un tiers. -
Les ravages de l'aide sociale à l'enfance
Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Je vous invite à être un peu plus prudent. Plus haut, j'écrivais qu'à mon avis, la réalité pouvait être très contrastée, différente de noir ou blanc. Avant cela, il me semble que quelqu'un, ici, a écrit qu'avec ses pensées libérales, il estimait qu'il pourrait un jour déplaire… et se voire imposer le placement ou, demain, l'adoption de ses enfants? Je ne dis pas qu'aujourd'hui, cela pourrait être possible, quoi que…. Comme depuis longtemps et pour longtemps encore, votre situation, quelle qu'elle soit, vos valeurs et vos choix pourraient être jaugés, jugés, évalués. Et quelqu'un pourrait estimer qu'une solution pour vos enfants s'impose. Demain, vous pourriez avoir un très banal accident, comme n'importe qui d'autre. Puis votre existence pourrait basculer… Il arrive que des parents ou une famille se retrouvent plus ou moins ponctuellement en difficulté, dans l'incapacité de s'occuper de leurs enfants. Lorsque l'ASE s'en mèle ou s'empètre, du ponctuel devient rapidement du provisoire, du transitoire, voire même du durable. Demain, selon les situations familiales, l'ASE pourrait donc même recommander l'adoption des enfants? J'ai croisé une mère qui a du se battre, longtemps, pour récupérer ses enfants, après être sortie d'un coma de 3 mois. Son réveil avait été rude. Ses enfants avaient été placés. Ghetto urbain? Comme je l'introduisais plus haut, avec d'autres ouvrages, il pouvait ou pourrait constituer une caution scientifique pour qui souhaiterait maintenant déghettoïser - parmi ceux qui nous lisent certains ont déjà bondit. Les travaux des sociologues de la rue ont bien été utilisés, récemment, par certains qui souhaitent promouvoir l'adoption… Articulez un tel ensemble, des cautions scientifiques, mettez y un peu de bonne volonté politique, quelques lois et directives qui s'imposeraient à tous, et vous aurez très vite épuré la rue ainsi que de nombreux ghettos, les enfants auront disparus dans des villages ou dans "de bonnes familles" - les critiques et les réactions seront virulentes. Non, ce que vous évoquez, c'est plutot l'inverse, "leurs relations avec la société et cerne leurs pratiques ainsi que le poids des perceptions dans les pratiques" des sociologues. "Les scientifiques engagés sont également plus actifs envers leurs pairs." Je pensais comme vous, plus haut, à l'impact des études sociologiques sur la société, de quelle façon ces études peuvent parfois être perçues, ou comment elles peuvent agir, transformer la société… ou de quelles façons ces études peuvent être utilisées pour la transformer. Par "bulle", je m'entendais. Ils semblaient d'abord souhaiter garder la maitrise et la direction de leur revue, la maitrise également de leur science et de son évolution, comme le souhaiteraient des physiciens. -
Les ravages de l'aide sociale à l'enfance
Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Allez en discuter avec les parents et les familles naturelles de ces mêmes enfants. Ils ne seront peut être pas d'accord avec ces préconisations… Et ce n'est qu'un pan de la révolte que vous risqueriez d'essuyer en abordant ce sujet. Parce qu'avec Ghetto urbain, des discours et des solutions risquaient de se radicaliser, assez rapidement, sur fond d'une étude scientifique etayant d'autres ouvrages et des théoriques qui le sont nettement moins. Vous avez un lien pour cet article? Elle est Suisse? En avril 2010, c'était un colloque plutôt parisien. Je pense que nous en avons des idées ou une perception assez similaire. Oui, je crois aussi qu'ils vivent un peu dans leur bulle. Mais ils le revendiquent. C'était aussi l'un des sujets discutés en avril 2010, à Paris. On nous avait par exemple parlé d'un droit de réponse qu'un lecteur/objet d'étude avait souhaité leurs imposer. Mais comment accepter un droit de réponse d'un néophyte dans un ouvrage de sociologie, dirigé par et pour des scientifiques? On nous a expliqué qu'après concertations et réflexions, la réponse avait été intégrée dans la revue tel un complément de l'objet étudié, quelque chose de cette nature… ils étaient assez embarassés, mais cela faisait donc bel et bien partie des sujets présentés ou débattus, ce jour là. Je n'y allais pas pour me contenter de les lire ou pour m'abreuver passivement de leurs discours, mais pour les étudier -
Les ravages de l'aide sociale à l'enfance
Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Non, les sociologues de la rue n'ont pas proné l'adoption, ils n'avaient fait que nous communiquer leurs études. Et d'autres s'en sont emparés pour nous apporter une solution, l'adoption. Plutôt que d'abandonner des enfants à ces méandres de la protection de l'enfance, puis d'en voir autant, plus tard, à la rue, un petit groupe nous a suggéré qu'il fallait plutôt confier ces mêmes enfants à des familles méritantes, accueillantes, en demande ou en mal d'enfants. Ce sont des sujets très sensibles. L'ouvrage de Lapeyronnie, oui. Je pense que son contenu n'est pas à mettre entre toutes les mains. J'en avais un peu discuté avec l'auteur. Par ailleurs, j'ai eu la chance d'assister à un colloque, en avril 2010, Le sociologue dans la cité - Éthique et utilité sociale. J'en ai conservé quelques notes ainsi que le numéro 1 de la revue Sociologie. Des débats et des présentations, j'en ai surtout retenu que les sociologues n'avaient jamais étudié comment leurs études étaient reçues ou perçues dans la société. -
Les ravages de l'aide sociale à l'enfance
Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Sous ce fil, "les ravages de l'ASE", en parlant de Paugam, je pensais principalement à des travailleurs sociaux, ils peuvent avoir du mal à lire La disqualification sociale. Pour répondre à votre HS et pour rester dans le cadre de ces échanges, l'ASE, ses ravages, il y a quelques temps, une ministre de la famille s'est en effet emparée de constats ou d'études réalisés par des sociologues, spécialisés dans l'exclusion et la rue. La ministre faisait alors la promotion de l'adoption. Pour la ministre et ceux qui l'entouraient, l'adoption constituait une solution évidente permettant d'endiguer ou de limiter ces mêmes ravages, bien décrits par des sociologues… En nous écartant plus du sujet initial, nous pourrions parler de Ghetto urbain, un ouvrage de sociologie, un baobab. Nous serions susceptible d'irriter ou d'embarrasser des sociologues, des juristes et des politiciens, sans faire passer personne pour un guignol. -
Les ravages de l'aide sociale à l'enfance
Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
La réaction d'Apollon ne me surprend pas trop. Je suis vacciné, immunisé. Je présente souvent des choses de façon lapidaire, caricaturale, en grossissant certains traits ou travers. Ca peut agacer. Pour compenser, je renvoie cependant souvent et volontier à d'autres lectures, moins excessives, mais tout aussi explicites, comme L'enfant proie ou ce dossier de iFRAP. Dans mon blog, c'est pareil, il est truffé de liens et de coupons de presse qui rééquilibrent un peu ce que je publie. Je pars du principe que ceux qui me lisent ont un esprit suffisamment critique, qu'ils feront un tri, qu'ils se documentent ou s'informent également par ailleurs. Et je suppose que tout le monde a bien conscience de la réalité du terrain, qu'elle peut être très constrastée. Récemment, un étudiant, quelqu'un de bien inséré, a avoué avoir tué gratuitement un SDF qui roupillait dans un buisson. J'irrite souvent, y compris des juges. En 2006, j'emportais un livre à la cour d'appel, Le sanglot judiciaire, un contenu qui désacralise, qui démystifie, un ouvrage publié par des professionnels, accessibles à des néophytes. La Cour m'a invité à ranger cet "ouvrage à scandales". A cette période, nous parlions plutôt du fiasco d'Outreau… Depuis quelques temps et puisque la Cour me refuse toute contre-expertise psychiatrique, puisque l'autorité de choses jugées s'impose à tous, je me présente devant la Cour avec un entonnoir sur la tête, coiffé du chapeau du plus fou. Parfois je scandalise ou j'agace, y compris des juges. Je me situe plutôt parmi les illisibles ou les inaudibles, pour beaucoup. Serge Paugam, sociologue, est illisible. Paugam a publié La dysqualification sociale, décrivant comment l'action sociale ou les travailleurs de ces milieux peuvent contribuer à l'exclusion, à la mise au ban de plus nécessiteux. -
Les ravages de l'aide sociale à l'enfance
Bruno Kant a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
C'est pas secret, l'une des tantes de ma fille aînée est bel et bien tata de la Dass, et c'est public. Téléphonez à Carole Bulow, elle confirmera. Vous trouverez son nom et ses coordonnées ainsi que les horaires de ses permanences sur le site de la mairie de Saint Avold (57): http://www.mairie-saint-avold.fr/solidarite-sante/assistantes-sociales.html Vous affirmez que les décisions que j'ai exposées ne montrent rien en ma faveur. C'est bizarre. J'ai plutot le sentiment que la décision d'octobre 2010 cassait et annulait une décision de la cour d'appel de Versailles (78). J'ai pu mal lire, Dalloz, LexisNexis et les juges de Versailles aussi ont pu mal lire… Quand à la décision du 6 janvier 2011, rendue par une chambre civile de la cour d'appel de Versailles, elle infirmait bel et bien une ou deux décisions du juge des tutelles d'Antony (92). Téléphonez à l'étude de Maître Charles Halter, notaire, à Saint Avold (57), vous trouverez ses coordonnées dans les pages jaunes. Je pense que son étude confirmera. Vous voulez parler de la procédure de prise à partie? Appellez le conseil qui représentait Xavier Serrier, son avocat à la cour de cassation. Dans ce que j'ai publié ici, le lien vers un mémoire en défense, vous trouverez facilement son nom. Téléphonez plutôt que de troller. Puis si vous repassiez et souhaitiez polémiquer, je vous répondrais.