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Bruno Kant

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Tout ce qui a été posté par Bruno Kant

  1. On dirait que vous parlez de la Protection de l'Enfance. Capter des richesses pour les redistribuer, ça fait souvent grincer des dents. Captez des momes pour les placer autre part, même si ça fait parfois grincer des dents, vous pourrez toujours expliquer que c'est nécessaire, et que des juges confirment d'ailleurs toujours la nécessité (voir l'article de l'AFMJF, "le catalogue des horreurs"). La Protection de l'Enfance, c'est assez touffu. Au cours de ces dernières années, je n'ai pas toujours entendu les mêmes chiffres. On parle souvent de 5 milliards d'euro, pour l'ASE ou des PME du social (des associations, le secteur privé, qui contribue à la Protectio nde l'Enfance dans le cadre de délagations de missions du service public). On nous a aussi déjà parlé du budget de la Protection Judiciaire de la Jeunesse, ce sont encore quelques milliards de plus. En 2005, on pouvait raisonnablement parler d'environ 12 milliards d'euro "dont des enfants pouvaient bénéficier, au titre de mesures de protection ou de traitement et de réinsertion". Pour des chiffres et des précisions, voir un très bon dossier de iFRAP: http://www.ifrap.org/Enfants-places,132.html L'ensemble du dossier est très engagé, souvent explicite, grincant, irritant. Comme le décrit une mère, "j’ai eu le malheur de parler de mes difficultés financières à l’assistante sociale. Tous les services sociaux se sont mis sur mon dos. On me reproche de ne pas bien nourrir mes enfants, de ne pas leur acheter des habits neufs, de ne pas les emmener chez le coiffeur. D’où le signalement, puis le placement. Pourquoi l’Etat donne-t-il 150 € par jour à mes gamins en les séparant de leur maman ?". 130 à 150 € / jour, c'est le prix de journée par enfant dans un foyer. Dans des structures spécialisées (psychiatrie ou prison pour mineurs), ces prix s'envollent. Plus un enfant va mal, et plus "il profite[nt]"… ca grimpe jusqu'à 450 € / jour en psychiatrie, peut-être même plus. En famille d'accueil, c'est moins onéreux. En France, environ 140 000 enfants sont placés (ou ces places sont financées, budgetées et disponibles, "pour un enfant, en cas de nécessité"). La répartition foyer/famille d'accueil est de l'ordre de 50%. Les centres Défense 2ième Chance s'efforcent aussi de contribuer à ce fiasco, lorsqu'en amont, l'ASE, ces PME et la PJJ ont échoué ou fait n'importe quoi. Une présentation officielle de ces centres pour les collectivités locales était explicite, Défense 2ième Chance constitue un véritable "poumon" pour l'économie locale, du fait des emplois crées dans des secteurs où des casernes étaient désaffectées ou du fait d'emplois maintenus lors de désaffection des casernes, par les militaires. Lorsque vous prélevez un enfant en ville, que vous le placez dans un village, ou que vous l'incarcerez, pour quelques mois ou plusieurs années, à la campagne, l'économie locale va "respirer". On entend parfois dire que "il faut tout un village pour élever un enfant". C'est assez pertinent, il faut une école, une boulangerie, entretenir des infrastructures sportives, blanchir le linge, etc. Dans nos campagnes (et dans nos villes), on trouve des foyers publics ou privés ainsi que des services territoriaux ou des associations, des PME du social, qui chaperonnent des familles d'acceuil. On peut parler d'un archipel de la protection de l'enfance, réparti sur toute la France. En cherchant bien, on devrait pouvoir trouver un village structuré autour du bowling, du bistro et de la pizzeria, remplis, le week end, par des adultes qui s'occupent quotidiennement d'enfants des villes placés là. Exploiter les humains, c'est illégal. S'occuper ainsi d'enfants des autres, c'est tout à fait légitime… Ces "places", ces "ilots" ou cette industrie de la Protection de l'Enfance sont subventionnés par nos collectivités. Par le passé, j'avais essayé d'en discuter avec des représentants d'ATTAC. Mais pour eux, 5 ou 12 milliards d'euro, c'est peanuts, et ces sujets ne méritent pas qu'on s'y attarde. L'ensemble des prestations sociales des départements s'élève à environ 500 milliards d'euro par an, des prélèvements ou des prestations dont des familles ou des jeunes peuvent parfois "profiter", notament lorsqu'ils ont été déssocialisés par la Dass… Je pense que le budget de l'administration carcérale n'est pas inclu dans ces 500 milliards d'euro. La prison est une autre "prestation" dont peuvent aussi bénéficier des familles et des jeunes, une fois désocialisés par la Dass et lorsqu'ils n'ont pas pu être réinsérés par les centres Défense 2ième Chance.
  2. Je m'inscrits dans ces échanges avec vous, c'est tout. Plus tôt, quelqu'un affirmait qu'on ne peut rien prouver dans ce genre d'histoires. J'ai avancé quelques élements. Je pense que Legifrance et le Journal Officiel francais ainsi que le bulletin de la cour de cassation constituent d'assez bonnes preuves, des source pertinentes, crédibles. Puis quelqu'un a voulu en savoir plus. J'ai répondu et j'ai parlé de ces opinions de psys, d'experts ou prétendus tels. Suite à ces échanges, quelqu'un a répondu qu'il ne souhaitait plus se prononcer… d'ici quelques temps, j'espère qu'une "psycholoque" de la Dass sera clouée au piloris, ca s'inscrira dans la suite de cette discussion Ensuite, quelqu'un a parlé du Fil d'Arianne et de SOS Parents Abusés, des associations que je connais très bien. Puis on a parlé d'écrire des livres qui existent déjà. Maintenant, vous parlez de buzz médiatiques… En près de 10 ans, j'ai vu passer un peu de tout, y compris des buzz médiatiques. Mais du changement dans ces sphères, la protection de l'enfance, je n'en ai pas perçu. On nous parle parfois de couacs, par exemple, d'un enfant pas placé à temps, et qui meurt, ou d'un enfant qui meurt, où il était placé (difficile de dissimuler un cadavre). On ne nous parle que plus rarement, voire même jamais des fautes ou des abus que commettent plus régulièrement et plus systématiquement les professionnels de la Dass. Pas de cadavre, pas de problème… En cas de buzz, si c'est nécessaire, les professionnels de la Dass commenceront par répondre en niant, ou par faire intervenir des assistantes sociales, des juges et des psychiatres. Puis s'il faut vraiment faire quelque chose, parfois ils n'ont pas le choix et doivent admettre qu'une remise en cause s'impose, ils s'éloigneront des médias, et tendront à résoudre les problèmes entre eux, de la façon la plus consensuelle possible, en préservant principalement la planche sur laquelle ils trouvent leur pain quotidien. De très gros buzz, il y en a déjà eu. Une association de magistrats français a répondu qu'il n'y avait pas de problème, jamais: http://justice.cloppy.net/index.php/references/2009/02/12/le-catalogue-des-horreurs La même chose, sans critique, sur le site de ces magistrats: http://www.afmjf.fr/Le-catalogue-des-horreurs-de-l.html Je pense que ces placements arrangent la droite. La Dass est un outil permettant d'extraire des momes de cités, familles ou de recoins à problèmes, ou supposés tels, pour placer ces momes, les faire élever autre part. La gauche, je pense que ça les arrange aussi. Ca fait du travail pour de nombreux professionnels de la Dass et des familles d'acceuil.
  3. Je ne vois pas ce qu'un livre changerait alors qu'il en existe déjà plus d'un, y compris des livres rédigés par des professionnels (journalistes, professionnels de l'ASE, enseignante détachée, …). Il y a L'enfant proie, Maltraitance sociale à l'enfance, etc… Mais je crois que ça n'intéresse personne, ces sujets là. Les plus affreux vous répondront que de toute façon, il ne s'agit que de momes de la Dass, des momes de parents maltraitants ou des momes de parents beaucoup trop débiles pour s'en occuper eux même. Vous supposez que je pourrais être parano, pourquoi pas. Chez Maxi, ils ont conclu que j'étais juste coupable d'aimer ma fille. Cet article de Maxi a aussi été beaucoup critiqué par les juges et les travailleurs sociaux Par le passé, une mère s'est adressée à moi parce que ses affaires d'ordre privées ne progressaient pas, bien au contraire. Sa fratrie avait été éclatée, et ses momes souffraient. Plus d'un était déjà parti à la dérive, c'était évident et pour certains, c'était déjà désastreux. J'ai aidé cette mère. Elle n'arrivait pas à accéder au dossier administratif, c'est élémentaire pour se défendre, pour prendre connaissance de ce qu'ont versé les travailleurs sociaux et pour leurs répondre. La CADA (commission d'accès au dossier administratif) que cette mère avait déjà sollicité lui avait donné raison. L'ASE devait permettre à cette mère de prendre connaissance de ces dossiers. Mais malgré l'avis de la CADA, l'ASE ne lui a pas permis de consulter les dossiers administratifs de ses enfants. Cette mère et moi avons remué la merde, en insistant principalement pour avoir accès à ces dossiers, puis pour qu'il suive une audience. L'ASE n'a pas bougé d'un iota. Le juge pour enfant était saisi. Le juge pour enfant reportait aux calendes grecques, prétextant qu'il attendait l'avis d'un pédo-psy, pour l'un de ces enfants. Le juge attendait ce rapport psy depuis des lustres…. La mère a insisté pour une audience, critiquant le travail de ces gorets, et réclamant de pouvoir consulter le dossier, réclamant aussi que ses enfants soient rapprochés d'elle. La protection de l'enfance a décrété que cette mère pourrait être parano, elle aussi. Le travail qu'accomplissent les professionnels de la Dass est forcément fabuleux, cette mère ne pouvait être que parno aussi, n'est-ce pas? C'est bizarre, dès qu'on cherche à se défendre et qu'on commence à critiquer de facon pertiente, on vire parano ou malade mental, selon l'ASE et ces juges pour enfants A force de médiatiser et de remuer la merde, elle a aussi attiré l'attention de l'association SOS Villages d'Enfants, celle qui lui avait éclaté la fratrie. Cette assocation aurait souhaité la museler, lui faire fermer ou supprimer son blog, "sos village de Marly", une association plus connue sous le nom SOS ParentsAbusés. Quoi que ce blog contienne aujourd'hui, il est toujours en ligne malgré les menaces et les intimidations de SOS Villages d'Enfants: http://www.sos-villages-de-marly.com/ Je pense que la suite finira par me donner raison. Auprès de la cour d'appel de Versailles, j'ai déjà affirmé et maintenu que ces juges trichent et trompent, notamment en s'aidant de rapports de psychologues ou de charlatants. Ce n'est pas anodin. Je n'ai pas été sanctionné pour avoir dit et écrit cela, bien au contraire. J'ai affirmé cela et dans la foulée, des juges ont désavoué deux juges des tutelles. C'est ce qui s'appelle tordre le bras à la justice pour qu'elle se ressaisisse J'en ai fait bien plus. J'ai même traité des juges de proxénètes, en les incitant à mieux lire le dossier de mon ainée. La fois là, les juges ont appris ou ont été obliges de compter jusqu'à deux. Et j'ai pas fini, je retourne les voir. Si vous pensez qu'un livre ou que des associations peuvent être utiles lorsqu'on souhaiterait s'extraire de ces bourbiers, vous vous trompez.
  4. Ah, et j'oubliais peut-être l'essentiel alors que je sais depuis longtemps que ce système judiciaire est pourri jusqu'à la moelle. Pour motiver la prorogation de ce placement, la suspension de tous mes droits sur ma fille, les juges m'ont aussi beaucoup reproché d'avoir un blog, d'écrire sur Internet, d'avoir parlé à des journalistes de Maxi et d'avoir contribué puis autorisé la diffusion d'un reportage, sur France 2. Quand le juge pour enfant est saisi, il faut se taire… En juillet 2005, alors que mes droits sur Justine allaient être suspendus, qu'elle allait disparaitre chez ses tantes maternelles, les travailleurs sociaux m'avaient reproché de m'être exprimé dans le forum du Monde. C'est interdit par la Dass Savez vous ce qu'est la liberté d'expression, et quelles sont ses limites? En France, on ne peut pas raconter ou publier n'importe quoi. La liberté d'expression est un outil plutôt redoutable, et assez bien encadrée par les tribunaux. Je pense que parmi ceux dont j'ai fait l'éloge dans mon blog, plus d'un professionnel de la Dass vous le confirmera. Au cours de ces dernières années, on m'a un peu enquiquiné pour des articles dans mon blog. Parfois j'ai du répondre à la police ou au procureur. Mais ce n'est jamais allé très loin. Depuis 2005, je n'ai jamais été censuré ou condamné pour un quelconque billet ou contenu de mon blog. Contrairement à des sites tels que Copwatch, mon blog est hébergé en France, à Paris. Je ne suis pas anonyme - ici, j'utilise d'ailleurs mon nom. J'ai encore publié un billet hier soir. Je pense que comme la plupart de mes précédents billets, plus d'un professionnel de la Dass a été touché, sera ému ou éclaboussé par cette publication, mais qu'aucun d'entre eux n'osera répondre, contester ou critiquer ces écrits. Bonne lecture: http://justice.cloppy.net Pour ma part, je retourne me soucier et faire soigner ma supposée parano
  5. Vous confirmez simplement que dans ce système supposé protéger les enfants, tout et son contraire, n'importe quel prétexte peut être employé pour justifier, pour motiver le travail social. Dites vert… fallait dire bleu. Mon ainée est majeure. Pour elle, c'est fini. Comme sommairement expliqué plus haut, la Dass a foiré son enfance et sa scolarité. C'est maintenant le problème de mon ainée… Pour moi, ce n'est pas fini. Malgré la majorité de mon ainée, ça continue. J'ai un troisième pourvoi en cassation. Je viens encore de faire appel, il suivra donc peut être un 4ieme pourvoi, encore dans ce cadre de l'assistance éducative. Je viens par ailleurs de recevoir une toute nouvelle requete, dans le cadre d'une autre affaire, mais qui rappelle que mon ainée a été placé, aidée par des gorets du social. Pour ce qui me concerne, c'est donc loin d'être fini avec cette histoire de "placement". Ca a déjà duré près de 10 ans. Et ca pourrait encore me coller au Q au cours des 10 années qui suivront… j'en aurais pris pour 20 ans d'emmerdes sans jamais un procès digne de ce nom, avec juste une opinion de psychiatre qui vous enfume tous, un psyhciatre selon lequel je serais parano D'autre part, je m'intéresse donc toujours à d'autres affaires. Dans le cadre de l'histoire de Valentine et Arthur, ces enfants qui ne veulent pas être placés ou aidés à leur tour, j'ai retrouvé un "psycholoque" qui est intervenu dans ma propre histoire. Il semblerait que ce "psychologue " exercait illégalement, probablement en tous cas sans les diplomes ou le cursus requis pour rendre ses avis ou rapports à des juges. C'est en cours, chez le juge pour enfant et en correctionnelle. J'en parlerais à la cour d'appel; ça ne changera probablement rien, mais au moins, j'en aurais parlé à ces juges-qui-ne-souhaitent-rien-réviser. Par ailleurs, au cours des années passées, ma fille ainée a été représentée par une avocate. J'ai retrouvé cette avocate dans d'autres dossiers d'assistance éducative. D'ici quelques temps, cette avocate pourrait aussi avoir à fournir quelques explications, comme ce "psychologue". Jen parlerais aussi à la cour d'appel. Pareil, ça ne servira pas à grand chose. En retour, on me traitera encore de parano ou de débile. Mais j'aurais parlé. Je n'aurais pas de problèmes de conscience. Vous voulez dire "fuir", faire les valises et partir, sans laisser de traces derrière soi? Je suis français, né en France, j'y travaille depuis toujours. Seriez vous en train de nous expliquer que lorsque des tribunaux français sont saisis, il vaut mieux fuir, tout abandonner, surtout lorsqu'on a rien à se repprocher? Vous avez raison
  6. Vous confirmez simplement que dans ce système supposé protéger les enfants, tout et son contraire, n'importe quel prétexte peut être employé pour justifier, pour motiver le travail social. Dites vert… fallait dire bleu. Mon ainée est majeure. Pour elle, c'est fini. Comme sommairement expliqué plus haut, la Dass a foiré son enfance et sa scolarité. C'est maintenant le problème de mon ainée… Pour moi, ce n'est pas fini. Malgré la majorité de mon ainée, ça continue. J'ai un troisième pourvoi en cassation. Je viens encore de faire appel, il suivra donc peut être un 4ieme pourvoi, encore dans ce cadre de l'assistance éducative. Je viens par ailleurs de recevoir une toute nouvelle requete, dans le cadre d'une autre affaire, mais qui rappelle que mon ainée a été placé, aidée par des gorets du social. Pour ce qui me concerne, c'est donc loin d'être fini avec cette histoire de "placement". Ca a déjà duré près de 10 ans. Et ca pourrait encore me coller au Q au cours des 10 années qui suivront… j'en aurais pris pour 20 ans d'emmerdes sans jamais un procès digne de ce nom, avec juste une opinion de psychiatre qui vous enfume tous, un psyhciatre selon lequel je serais parano D'autre part, je m'intéresse donc toujours à d'autres affaires. Dans le cadre de l'histoire de Valentine et Arthur, ces enfants qui ne veulent pas être placés ou aidés à leur tour, j'ai retrouvé un "psycholoque" qui est intervenu dans ma propre histoire. Il semblerait que ce "psychologue " exercait illégalement, probablement même sans les diplomes ou le cursus requis pour rendre ses avis ou rapports à des juges. C'est en cours, chez le juge pour enfant et en correctionnelle. J'en parlerais à la cour d'appel; ça ne changera probablement rien, mais au moins, j'en aurais parlé à ces juges-qui-ne-souhaitent-rien-réviser. Par ailleurs, au cours des années passées, ma fille ainée a été représentée par une avocate. J'ai retrouvé cette avocate dans d'autres dossiers d'assistance éducative. D'ici quelques temps, cette avocate pourrait aussi avoir à fournir quelques explications, comme ce "psychologue". Jen parlerais aussi à la cour d'appel. Pareil, ça ne servira pas à grand chose. En retour, on me traitera encore de parano ou de débile. Mais j'aurais parlé. Je n'aurais pas de problèmes de conscience.
  7. Ceux qui ne vivent que de petits boulots et sans attaches particulières peuvent y songer. Parfois, changer de département, ça suffit. Mais lorsqu'un juge pour enfant est saisi, il peut décider de ne pas lâcher le morceau.
  8. Voilà, d'une certaine façon, on me renvoie donc encore me débrouiller tout seul, vers des tribunaux et des services publics défaillants, en supposant que d'une façon ou d'une autre, ces mêmes tribunaux pourraient un jour réparer ou arranger quelque chose, alors que la Dass a rompu toutes relations de mon ainée avec sa famille naturelle, en 2005, que la Dass et le juge pour enfant ne se sont jamais souciés de la santé de mon ainée, que la Dass a également foiré la scolarité de mon ainée. En 2005, mon ainée était encore moyenne, en classe. Vers ses 16 ans, ils l'ont orientée et lui ont imposé une formation professionnelle. Pour moi, ce sont des incapables. Au cours de ces dernières années, tous ces professionnels l'auront largement démontré. Comme je l'ai exposé plus tôt, ils n'ont même pas su protéger Xavier Serrier La mère de mon ainée est décédée aux urgences, en 1999. Elle est restée tout une nuit, sans examens et sans soins appropriés. Le lendemain, elle était morte. Une instruction a conclu au non-lieu d'un homicide involontaire. Mais l'instruction a cependant mis en lumière des carrences de ce même service d'urgence. J'ai ensuite saisi le tribunal adiminstratif. Un expert a estimé qu'il y avait en effet eu des problèmes au cours de cette nuit là, en 1999, et qu'un diagnostique aurait du être réajusté, qu'il aurait même fallu l'opérer dans la nuit. La mère de mon ainée aurait alors eu des chances de survirvre… j'en avais aussi parlé au psychiatre. Vers 2008, le tribunal administratif a établi un simple constat. L'expert désigné par le tribunal administratif n'avait pas pu se faire communiquer le dossier médical par l'instruction. Fin de la procédure. Je suppose que comme de nombreux scellés, le dossier médical de la mère de mon ainée a été détruit ou égaré par l'instruction. Donc, en public ou ici, dans ce forum, il sera donc simplement retenu que je pourrais être parano Nos juges ne se trompent jamais. On devrait leurs confier nos bistouris
  9. Quand une personne ou un père "à peu près normal" constate que sa fille a été prise en charge par des services d'urgence, que ces services d'urgence ont prescrit une atelle, pour une entorse, mais que les travailleurs sociaux ne l'ont achetée que 15 jours ou 3 semaines après la prescription, et que ce genre de choses ou de bizareries se répètent, qu'est que vous en concluez, que cette personne ou ce parent est parano?
  10. Je reviens encore un peu sur ce point, après vous avoir déjà répondu un peu plus en détail, plus haut. Vous dites que je ne ferais que spéculer. Or, j'étais tout de même aux premières loges, depuis le cabinet du petit juge jusqu'à la cour de cassation, en passant par la case première présidence. Je crois très sincèrement que le juge Xavier Serrier s'est vautré, y compris dans la façon dont il s'est défendu, contre moi, dans le cadre de cette procédure de prise à partie (irrecevable ou pas autorisable). Et je ne pense pas être étranger à son "avancement", en 2010. J'ai le très net sentiment qu'après ce passage en cassation, sa carrière a été quelque peu compromise. C'est en tous cas ce que j'ai cru lire au Journal Officiel. J'ai publié ce billet en juillet 2010. Personne n'a répondu, vous y trouverez les références du Journal Officiel: http://justice.cloppy.net/index.php/epilogue/2010/07/27/c-est-officiel-xavier-serrier-s-est-passionne-pour-sa-petite-fonction Mais le juge Xavier Serrier avait peut-être encore fait d'autres conneries, l'administration ne nous dit pas tout Allez taper son nom sur Google.
  11. Les juges m'ont systématiquement refusé toute contre-expertise. Ils me refusent maintenant aussi une "révision". Ce qui n'a pas empêché les juges de "réviser" récemment quand même, mais à charge. Je vais aller en rediscuter avec eux, prochainement, à la cour d'appel de Versailles. Début 2006 alors que mon ainée avait déjà été donnée à ses tantes maternelles, j'ai dit au psychiatre que la protection de l'enfance travaillait comme en 1850, c'est depuis cette époque qu'un père peut être décrété indigne, que ces pros de la Dass n'avaient pas d'autre objectif que de donner mon ainée à ses tantes maternnelles. Aujourd'hui, c'est avéré, mon ainée a été donnée à ces tantes, par les juges, en 2005. J'ai deux filles, dont une d'une union précédente. La Dass est venue "prélever" mon ainée pour la "donner" à ses tantes maternnelles. Je pense que dire ou décrire ces choses là pose problème. L'une de ces deux tantes est assistante sociale, de l'Aide Sociale à l'Enfance, mais d'un autre département que le mien. Début 2003, ces ceux tantes se sont rapprochées de l'ASE de mon propre département, ou elles ont réclamé la garde de mon ainée. Comme je n'étais pas d'accord, l'ASE a saisi un juge. Puis ces tantes ont pourrit le dossier du juge, m'accusant encore. Les juges ont fini par admettre que l'une des tantes est elle-même AS à l'ASE. Puis l'autre tante a fini par reconnaitre qu'elles sont toutes les deux intervenues auprès de l'ASE de mon département. Puis les deux tantes ont versé leur fiel au dossier du juge pour enfant, c'est indiscutable. En 2006, les juges ont d'ailleurs reconnu que tout ce bordel, des calomnies et les agissements de ces tantes avait pu être la cause de ma dépression, puis du placement de mon ainée. Après, tout est parti en vrille, avec mon ainée dans un foyer de la région parisienne. Je me suis plaint de sévices que ma fille y subissait, de défauts ou de privations de soin aussi (j'ai des certificats médicaux et des réponses absurdes à ces sujets des travailleurs sociaux). Pour se défendre ou plutôt que d'assumer leurs responsabilités, les travailleurs sociaux ont dit que je serais parano. Et bizarrement, quelques mois plus tard, l'expert psy a décrété que je serais parano… Tout ce qui s'est passé et ce qui est écrit, couché sur du papier à entête de l'ASE, de conseils généraux, d'un notaire, du parquet, d'une banque, de l'association qui gardait ma fille, de 2003 à 2005, tout ce qui est couché dans les motivations de jugements de Nanterre et de Versailles n'est donc pas avéré. Ces faits passés et ce contenu écrit n'existent pas, puisque l'expert psychaitre et les travailleurs sociaux vous soutiennent que je serais parano Mais ne pensez vous pas que vous devriez vous mettre d'accord, suis-je maltraitant, ai-je volé de l'argent ou suis-je parano ? Si vous trouvez la bonne réponse, faites en part aux juges de Nanterre et de Versailles, vous les aideriez à aller de l'avant… Attention, si je suis parano, maltraitant et si dangereux, si la trisomie de ma soeur aînée est pour vous une preuve de quelque chose, je vais vous demander de m'expliquer pourquoi ma seconde fille n'a pas été placée aussi Tout à fait, un parano est parfois un peu dans son monde. Il peut être tout tranquille et gentil, à côté de vous, puis sans que vous ne comprenniez pourquoi, sans le moindre avertissement, il peut s'emparer d'une arme par destination, un pot de fleur, et vous tuer sur place. Et je vous le répète, fin mai 2008, le parquet de Nanterre n'a pas voulu répondre aux journalistes de France 2
  12. Ce genre de question ou d'insinuations, diffamatoires, ne me dérange absolument pas. Je peux déjà répondre que j'ai toujours eu l'autorité parentale sur mon ainée, jusqu'à sa majorité - pur formaliste. Dans la pratique, c'est inexact, les travailleurs sociaux et les gens qui se sont occupé de ma fille depuis 2005 ne m'ont jamais communiqué la moindre information la concernant. Quant aux décisions (scolarité, orientation, enseignement religieux, …) concernant ma fille ainée, ces mêmes gens et travailleurs sociaux les prennaient tout seuls. Pour la suppression de tous mes droits sur ma fille, c'est aujourd'hui principlament motivé par un avis psychiatrique (je parle plutôt d'une opinion de charlatan). Vous voulez des détails? Ma soeur ainée est trisomique, pour les juges de ce pays, c'est un "antécédant familial"… Après avoir rappelé cet "antécédant" et après un court développement, l'avis psychiatrique conclue que je serais "paranoïaque" et que "selon les circonstances, sous certaines conditions", je "pourrais" ou "pouvais" représenter un danger pour le "psychisme" de ma fille ainée - oui, son "psychisme", et non, les juges et le psychiatre n'ont pas précisé dans quelles "circonstances" ou "conditions" je "pourrais" ou "pouvais" représenter un "danger". Prennez cette opinion de charlatan avec des pincettes, la réserve qui s'impose. A l'époque, j'affirmais ou je parlais de choses sans forcément pouvoir les démontrer. Aujourd'hui et depuis un moment dejà, cet ancien avis de psy ne tient plus la critique. Avant ce rapport psychiatrique, on me reprochait d'avoir maltraité ma fille ainée. Avant cela, on me reprochait aussi de souhaiter la "délaisser". On m'a aussi accusé d'avoir acheté une maison avec de l'argent susceptible d'appartenir ou de revenir à ma fille… Je vous arrête de suite, il n'y a pas eu de pénal ni de correctionnel, ces accusations, calomnieuses, ne tenaient pas la route. Ces histoires de pognon et de successions, ce sont des choses qui ont été instrumentalisées par le juge pour enfant de Nanterre, comme le reste, pour motiver le "travail social" et la "protection" de mon ainée. En janvier 2011, suite à un ultime passage en cour d'appel, en chambre civile, je faisais finalement désavouer le juge des tutelles et une étude de notaire se prenait un blame: http://justice.cloppy.net/P1010669.JPG Avant ce rapport psychiatrique, versé au dossier début 2006, on me repprochait surtout beaucoup d'avoir porté des plaintes contre des travailleurs sociaux, ainsi que d'avoir porté plainte en raison de recel successoral. On me repprochait aussi de me plaindre parce qu'une banque ne me répondait pas, la banque qui détenait les comptes de la mère de ma fille ainée, décédée. Je pense que ce sont plutôt ces choses là qui ont motivé l'intervention d'un psychiatre, le juge pour enfant et les travailleurs sociaux avaient insisté… Mes plaintes, embarrassantes pour le parquet et les travailleurs sociaux, ont toutes été classées ou sont sans suites connues. Quant à la banque, le juge des tutelles a fini par leurs écrire vers 2006, il ne comprennait lui-même pas pourquoi la banque ne me répondait pas alors que j'étais l'administrateur légal des biens de mon ainée (jusqu'à sa majorité). On m'a aussi beaucoup repproché d'avoir un moment déprimé, fin 2003. Mon ainée a été placée - et seulement elle; j'ai un second enfant, né début 2003, qui n'a jamais intéressé cette justice… ces tantes maternnelles ne voulaient que la grande. En 2004, le juge pour enfant instrumentalisait encore ma dépression de 2003 pour proroger ou maintenir le placement de ma fille. Dans ce système, vous devez encaisser toutes sortes de calomnies et la diffamation, les atteintes à l'honneur et à la considération, sans jamais déprimer… Ou on vous repprochera donc aussi d'avoir déprimé! Mon ainée a été placée en novembre 2003 après 10 à 11 mois de harcellement socio judiciaire. J'avais donc déprimé, craqué. Cela avait fait l'objet de débats auprès de la cour d'appel qui avait admis que cet épisode avait pu être une conséquence de ce harcellement, des pressions qui s'étaient exercées sur moi et ma famille. Récemment, la chambre des mineurs m'a à nouveau repproché d'avoir souhaité délaisser ma fille ainée, fin 2003, oubliant que ce sujet avait déjà fait l'objet de débats (paragraphe précédent), c'est calomnieux. Mais j'ai depuis refait appel, je vais retourner voir ces juges. Selon un avis de psychologue que ces mêmes juges utilisent aussi contre moi, je ne serais pas d'une nature à délaisser mes enfants, raison pour laquelle, en 2005, le juge pour enfant décidait également de supprimer tous mes droits sur mon aînée. Les juges pour enfants ne sont pas très rationnels… plutôt que de rompre les relations parents-enfants, ils devraient travailler ou rétablir des liens, mais dans la pratique, on s'apperçoit qu'ils font n'importe quoi. Fin mai 2008, le parquet de Nanterre n'a pas souhaité répondre aux questions de France 2.
  13. Le juge s'était bien empressé de juger après la seconde sommation de juger alors qu'il ne répondait pas à mes simples requetes par RAR. La première présidence s'était ensuite contentée de motiver un refus en rappelant uniquement les articles 366 et suivants. Article 366-1 Décret n°2006-1805 du 23 décembre 2006 - art. 5 JORF 31 décembre 2006 en vigueur le 1er janvier 2007 La requête aux fins d'autorisation de la procédure de prise à partie est portée devant le premier président de la cour d'appel dans le ressort de laquelle siège le juge intéressé. Ces textes ne concernent que les magistrats non professionnels (prud'hommes, chambre du commerce, …). Ce n'est qu'après la cour de cassation que tout le monde dans mon secteur s'est aperçu que les magistrats professionnels ont un statut particulier et que la procédure de prise à partie ne pouvait tout simplement pas être utilisée contre un juge pour enfant. Attendu, d'une part, qu'il résulte des articles L. 141-2 du code de l'organisation judiciaire et 11-1 de l'ordonnance n° 58-1270 du 22 décembre 1958 portant loi organique relative au statut de la magistrature… Mais est-il vraiment nécessaire de pinailler à ces sujets? A l'époque et alors que tous mes droits sur ma fille (DVH, correspondance, … ) étaient suspendus, je n'avis plus la moindre nouvelle d'elle, nous avions enfin pu renouer. Sans ce pourvoi ou cette procédure qui aurrait du être déclarée irrecevable, ces sommations de juger, il aurait encore pu s'écouler des mois avant une nouvelle audience chez le juge pour enfant.
  14. C'est ce que pourrait me répondre tout mauvais juriste ou des gens qui n'approfondiront pas ce qui s'est tramé, entre mars 2008 et octobre 2010. En mars 2008, le juge Xavier Serrier refusait de convoquer pour une audience. Avec cette procédure de prise à partie, je l'ai sommé de juger, ce qu'il a été obligé de faire. Fin mai 2008, il y a eu une audience. Pour cette audience, des caméras m'avaient suivies, pour un reportage qui a été diffusé début juin 2008, par France 2. La Protection se l'Enfance et ce juge s'étaient alors pris un gros vent… L'arrêt rendu en décembre 2008, par la cour de cassation, est motivé. Je savais que j'allais "perdre", le greffe de la cour de cassation m'avait prévenu. C'était en toute connaissance de cause que je déclarais un pourvoi pour contester une décision de la première présidence de la cour d'appel de Versailles, elle m'avait refusé la prise à partie de Xavier Serrier, mais de façon farfelue. Vous remarquerez que l'arrêt de décembre 2008 rappelle des textes organiques et le statut de la magistrature… je n'en demandais pas beaucoup plus. Cette procédure aurait du être déclarée "irrecevable", c'est ce que dit l'arrêt. Ou rappeler le droit aux juges ne serait-il plus le rôle de la cour de cassation? Comme me le permettait cette procédure de prise à partie, je n'avais pas d'avocat pour ce pourvoi et cet arrêt de 2008. Hormi du temps, ça ne m'a donc pas coûté grand chose. Xavier Serrier avait un avocat à la cour de cass. Comptez quelques milliers d'euro pour un avocat, dans ces sphères là. Je pense que Xavier Serrier réclamait ces 2500 euro pour se faire rembourser tout ou partie de ses frais d'avocats… Il ne les a pas eu Mais il s'était encore passé ou tramé d'autres choses, plus intéressantes que ce vent infligé à Xavier Serrier et à la première présidence de la cour d'appel de Versailles. Xavier Serrier ne voulait pas que Justine et moi nous puissions renouer, ce juge avait maintenu une interdiction de DVH et de tous contacts entre elle et moi. Comme j'avais engagé une procédure contre lui, ce juge a du lâcher le dossier d'assistance éducative. Et avec toutes ces pressions (cassation, appel, France 2, etc), un autre juge a fini par accorder ce que Xavier Serrier avait refusé: des droits de visites qui m'avaient alors permis de renouer avec ma fille, Justine. Plus tard, et alors que j'avais fait appel de la décision du juge Xavier Serrier, décision qui avait été confirmée par la cour d'appel, j'ai finalement fait casser à nouveau la cour d'appel. En effet, la cour de cassation a cassé et annulé un arrêt rendu par la suite, par Versailles, en 2009. Autant dire qu'aux alentours de 2008-2009, j'ai pilloné dans les secteurs de Nanterre et de Versailles. Le second arrêt est aussi publié sur Legifrance. Le second arrêt a également été commenté par les juristes de Dalloz et de LexisNexis. Lisez cela, vous trouverez les références de l'arrêt d'octobre 2010, qui cassait ensuite une seconde fois Versailles: http://justice.cloppy.net/index.php/lacuree/2011/02/16/bicc-nd736-du-15-fevrier-2011
  15. Stéphanie et Alexandre ? Où avez vous lu ces prénoms ? Des condensés, j'en ai parfois publié. Mais je me suis souvent apperçu qu'ils ne sont pas lus… ce qui n'empêche pas des gens - même des flics, même des juges, et pas seulement des trolls - de tirer des conclusions ,de juger, de prendre des décisons, parfois lourdes de conséquences. J'ai été dénoncé fin 2002, suite à quoi, une horde de harpies, des travailleurs sociaux et des juges s'en s'ont mèlés. Valentine et Arthur, ce sont deux enfants qui devraient bientôt être "placés", eux aussi. Leurs proches et soutiens ont leur propre site Internet: Depuis'>http://associationarva.wordpress.com/ Depuis 2002 et tout en tentant de me défendre, je me suis beaucoup penché sur ce genre d'affaires ou histoires souvent dites "de famille", dans lesquelles les professionnels de l'ASE ou de la protection de l'enfance ne font souvent qu'envenimer les choses, notamment par le "traitement" qu'ils imposent aux enfants. L'affaire Sébastien en est une autre que j'avais également suivie, sa grand-mère avait aussi alimenté un blog: Quoi'>http://vadj.ovh.org/ Quoi dire de plus, comment synthétiser près de 10 annnées de bordel ou de chienlit imposé par des professionnels de la Dass, dans mon existence, dans l'existence de ma famille (ou ce qu'il en reste) ainsi que dans les existences de mes enfants? J'ai deux filles, l'ainée, Justine, était née d'une précédente union. La mère de Justine est décédée en 1999. Suite à cela, de façon naturelle et légitime, j'avais sa garde. Mais en 2002, le grand-père maternel de mon ainée est décédé, sa succession a été ouverte, puis j'ai été dénoncé… les tantes maternelles de Justine ont réclamé sa garde ainsi que l'administration de ses biens (la fumeuse succession). Les juges, bouchés et bornés, ont suivi ces tantes maternelles. Fin 2003, mon ainée a été "placée", mi-2005, tous mes droits sur elle ont été suspendus et cette enfant a été "donnée" à ses tantes maternelles, par les juges. Depuis, j'ai fait désavouer ou blâmer plusieurs juges et professionnels de ces milieux, notamment Xavier Serrier ainsi qu'un notaire (la fumeuse succession…). Mais les juges pour enfant et la chambre des mineurs de la cour d'appel n'ont toujours rien voulu savoir ni entendre. Depuis, les juges avancent systématiquement d'anciens avis "psychiatriques" de complaisance qu'ils avaient réclamé pour me discréditer, des avis selon lesquels je "pouvais" ou "pourrais" être dangereux, juste des paroles en l'air, sans fondements rationnels, et de la diffamation. J'ai été confronté à de véritables teignes, ces juges et des travailleurs sociaux. Ils m'ont refusé toutes contres-expertises. Ils ont aussi refusé tous mes éléments à décharge, notamment ceux qui démontrent que leurs avis "psychiatriques" sont partiaux. Je viens de refaire appel, je vais donc encore pouvoir en débattre à nouveau avec ces mêmes juges. Mais je n'ais plus d'illusions, ces juges m'ont déjà démontré qu'ils ne savent qu'instruire et réviser à charge - "diffamation, calomnies, mensonges", tel est leur crédo. Après avoir attaqué Xavier Serrier, mi-2008, j'avais enfin pu renouer quelques temps avec mon ainée. Puis elle a à nouveau disparue chez ses tantes maternelles, mi-2009. Je n'ai plus insisté. Depuis la mi-2009, je ne fais plus que rassembler encore du papier (jugements, arrêts, arrêts de cour de cassation) qui me permet de m'exprimer librement, de décrire comment fonctionnent ces juges pour enfants ou ce dispositif de la protection de l'enfance. Pour plus de détails, je vous invite à partir fouiller dans mon propre blog, vous les trouverez: http://justice.cloppy.net
  16. Cette "victime" là, le juge pour enfant Xavier Serrier, avait réclamé des dommages et intérêts substantiels parce que je l'avais trainé jusqu'en cassation, où il a perdu: http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000019967639&fastReqId=1025052758&fastPos=3# -> Vu l'article 700 du code de procédure civile, rejette la demande ; Appelez le TGI de Nanterre, et posez leurs quelques questions. Là bas, demandez le greffe du juge Xavier Serrier. Osez, personne ne vous mordra. Ou allez vous vous dégonfler? Le mémoire de Xavier Serrier, il réclamait une indemntité de 2500 euro, voyez la page 8 du PDF: http://justice.cloppy.net/B08.07.002.memoireXS.pdf Définition de l'article 700 L'article 700 du code de procédure civile permet au juge saisi d'une instance de condamner la partie perdante, au profit de l'autre, à une somme d'argent destinée à couvrir l'ensemble des frais non compris dans les dépens. Cette indemnité comporte un fondement juridique et un objet distincts de ceux des dépens. Ainsi, les honoraires d'avocat, les frais de déplacements, de correspondances, engagés par la partie peuvent être compris dans une demande au titre de l'article 700 (frais cités à titre d'exemple, liste non limitative). Le juge qui statue sur une telle demande, apprécie souverainement la condition d'équité prévue par le texte. Il peut faire droit en tout ou partie à la demande ou la rejeter lorsqu'il estime que l'équité ne commande pas la condamnation sollicitée. Le juge, lorsqu'il prononce une condamnation au titre de l'article 700, fixe une somme forfaitaire dans la décision, sans indication de détail. De source http://vosdroits.service-public.fr/F889.xhtml Ensuite, si vous le souhaitez, on pourrait encore faire d'autres vérifications. Elles sont réalisables, en quelques clics ou coups de fils Ca n'arrive pas qu'aux autres… Il suffit d'être "dénoncé", quelques calomnies suffisent à mettre cette broyeuse en marche.
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