Salut,
Du coup vous m'avez forcé à m'inscrire, alors que je n'étais jusqu'alors qu'un lecteur paisible!
Bref, pour y ajouter mon grain de sel:
Pour faire court, mon point de vue est proche de celui d'henriparisien et d'asthenik. Je considère que le droit d'auteur n'a pas de vraie existence en tant que droit, mais qu'il relève du droit commercial, plus précisément du contrant qui lie l'acheteur et le vendeur.
Ainsi, pour moi mettre à disposition une oeuvre protégée est une infraction à ce contrat, et télécharger en connaissance de cause est une forme de recel.
Inclure un watermark qui à chaque achat et enregistrer les informations de l'acheteur de manière cachée est une très bonne solution, mais ça ne fait pas avancer le schlimblick je trouve.
Prenons l'exemple d'un fermier qui se fait piquer ses légumes et donc bafouer son droit naturel de propriété. Il peut effectivement mettre des barbelés autour du champs, ça ne changera pas le fait que de piquer des légumes est une infraction au droit de propriété.
Tout comme il existe effectivement d'autres solutions sans droit d'auteur:
Cet personne qui a partagé et qui à été détectée via Watermark pourrait être bannie de tout achat / consommation de produit digital.
Il est possible aux créateurs de ce subventionner via la publicité ou le mécénat (même si je pense que toute l'industrie du divertissement digital ne peut fonctionner ainsi [J'exècre l'association actuelle du produit "culturel" ])
Selon le média, Il doit être possible de créer des DRM plus difficiles à casser.
Il est possible de protéger via le secret industriel dans certains cas :
Dans le jeu vidéo, WOW par exemple n'est pas vraiment piratable car une partie du jeu s’exécute sur le serveur. Certains font des serveur pirates, qui ne sont que des pales copies.
Dans le même principe et dans le JV toujours, On-Live par exemple rends impossible le piratage.
Et enfin mes quelques réactions par rapport à ce qui a été dit:
Argument pour le moins étrange. Pendant l’obscurantisme, nous avons eu quelques percées scientifiques, ce n'est pas pour autant que c'est un mode de pensée (l’obscurantisme) qui doit être reproduit!
De la même manière que pour une oeuvre digitale, le concepteur pourrait y limiter les usage, notamment ceux de copie, et appliquer les même procédés que ceux que j'ai décrit plus haut.
Voila.