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Tout ce qui a été posté par ChocolateCookie
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Dans la série des statistiques rigolotes: La majeure partie de la population mondiale a plus de jambes que la moyenne.
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ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Ca fait un bail que j'avais rien fait pour CP. Normalement pas de contre-sens, et aussi peu de coquilles que Word en aura laissé passer. A la bonne votre, cordialement, CC. P.S.: je suis évidemment preneur de relecture par un oeil neuf. Putin sera le seul à profiter d’une nouvelle guerre froide. Par Vera Kichanova, de Young Voices Advocates, Russie. Il y a peu, nous célébrions lors de la conférence européenne de Students For Liberty, le 25eme anniversaire de la chute du Mur de Berlin. En imposant des sanctions au peuple Russe, les pays occidentaux sont en train d’aider Mr Putin à dérouler un nouveau rideau de fer. C’est à lui seul que profitera une nouvelle Guerre Froide. De telles mesures toucheront peu les dirigeants Russes. J’ai bien peur que ce soient les contribuables Russes qui devront débourser l’argent perdu par les bureaucrates à cause des sanctions. Au fur et à mesure que le pays s’appauvrira, la propagande officielle rejettera la faute sur les antirusses de l’étranger et sur les traitres (les « agents étrangers ») au sein de nos frontières, et dans le même temps la côte de popularité de Mr. Putin grimpera en flèche. Alors l’opposition russe sera sérieusement en danger. Putin et la Russie ne sont pas la même chose, et il ne faudrait pas croire que tous les Russes soutiennent l’annexion de la Crimée. En fermant leurs frontières, les USA et l’UE ne font qu’aider le gouvernement Russe à monopoliser les media. Et ce faisant, ils deviennent des ennemis aux yeux des russes de la rue et mettent en danger ceux qui sont en désaccord avec la politique de Putin. Vera a été citée récemment au sujet d’un régime de visa prônant la libre circulation pour les Russe par le magasine londonien CityAM. Vera Kichanova a été élue conseillère municipale dans le district Yuzhnoye Tushino de Moscou. En tant que membre du conseil municipal, elle se bat pour obtenir plus de transparence auprès des autorités locales. Elle tient un blog rapportant son activité au quotidien comme conseillère municipale. Elle travaille comme journaliste pour Slon.ru. Elle publie aussi un blog sur le site « Echo of Moscow » ainsi qu’un deuxième sur Grani.ru -
La Société Ouverte Et Ses Faux Amis
ChocolateCookie a répondu à un sujet de neuneu2k dans Philosophie, éthique et histoire
C'est pour ça que je dis madame à tout individu féminin. -
Images fun et leurs interminables commentaires
ChocolateCookie a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
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Les allocs c'est pour les loques
ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Dans la même veine, en rentrant au lycée, j'avais préparé un ubber classeur bien épais avec un intercalaire par matière. Après un long discours sur le fait qu'on étaient des adultes maintenant, qu'on devait savoir être responsables toussa, la prof d'histoire a pété un cable à la vue de mon classeur (j'étais pas le seul…) en nous expliquant qu'elle refusait qu'on mélange les matières dans un seul support… bah … -
Les allocs c'est pour les loques
ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Hihi ^^ Bah freedom yeah right qu'y chantait tout dépité, si on lui en propose une vraie couche je pense pas qu'il fasse la gueule… -
Les allocs c'est pour les loques
ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Je pense qu'y s'entendrait plutôt bien avec ron paul… bon à part pour la barrière entre le mexique et les US… -
Les allocs c'est pour les loques
ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Pour citer zack de la rocha… Accessoirement, je me demande comment ça se passe dans le privé au niveau des fournitures etc… -
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ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Joli boulot Hmmm L'éolien, autant en emporte le vent ? -
Ouais cette cover est une tuerie, non content de protéger très efficacement l'appareil, la loupiotte toute petite qu'elle soit éclaire très très bien, je n'utilise même plus de lampe de chevet pour lire, l'orientation est nickel, c'est tout confort. (accessoirement, si te pose le bestiau en "v" sur sa couverture, tu peux même lire sans le tenir, t'as juste à "tourner" les pages ^^) La lecture sur des écrans "électroniques" me désosse les yeux, comme je dois lire un max de doc technique c'est assez dur, le portage de pages hachteumleu en version kindle compatible est une merveille pour ça, mais je supposes qu'on est pas tous égaux en mirettes ^^
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ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Vous êtes intéressés par ça ? http://www.lp.org/platform je ne sais plus qui avait posté le lien. Comme c'est pas de la news, je veux bien le prendre comme travail de fond, sans ETA (bon je le rendrais sous max 3 semaines à priori). Mais comme c'est plutôt dense, je préférerais m'y mettre que si ça présente un véritable intérêt. -
Les Français pensent que leur entreprise est une "vache à lait"
ChocolateCookie a répondu à un sujet de glandon dans La Taverne
And palpatine said, "J'achèverais ta formation jeune padawan…" -
Les Français pensent que leur entreprise est une "vache à lait"
ChocolateCookie a répondu à un sujet de glandon dans La Taverne
Heu… si je suis plutôt d'accord avec ton point de vue glandon, et que l'attitude de la salariée est un peu naze, il me semble utile de faire une paire de précisions: S'il s'agit d'une formation financée par le FONGECIF, il s'agit probablement d'un CIF, or ce type de formation est conçu (Congé Individuel de Formation, periode de quelques mois à un an durant laquelle le salarié est maintenu à son salaire et se voit financer la formation qu'il a demandé) pour de changement de carrière, donc si la salariée est fromagère en super marché et qu'elle veuille devenir prof de danse, y'a à priori pas de déconnage à l'horizon… Maintenant, toujours s'il s'agit d'un CIF, ce n'est pas directement un droit, mais tout salarié peut y prétendre pour peu qu'il ai l'ancienneté nécéssaire, ainsi qu'un projet qui tienne la route devant la commission du FONGECIF (seul l'organisme peut traiter la "valadité" du projet, l'entreprise se garde le droit d'accepter ou non la sortie du salarié pendant la periode qui correspond). Du coup, quelques petites questions, c'est le fongecif qui a refusé ou la boîte ? si c'est la boîte, pour quelle raison ? Parce que de prime abord oui la réaction de la salariée semble incongrue, et probablement qu'elle est pas foutue d'accepter un refus (pour quelque motif que ce soit…) de façon intelligente. Maintenant, s'il elle souhaitait se faire payer des vacances de 6 mois sur le compte de la boîte, qu'elle aille se faire voir. Mais si elle en a marre de son taff, que cette formation lui permet d'aller voir ailleurs, pourquoi l'entreprise s'encombrerait-elle d'un personnel démotivé (je suppose) dont elle peut se débarasser à moindre coût (le FONGECIF finance les formations sur le "1%", techniquement l'entreprise a déjà payé la formation de cette personne, le coût réel consiste au remplacement (qui sait peut être par qqun de plus motivé ou interessé) du ou de la salarié). De Gaulle sort de ce corps… -
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ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Pof pof pof, pardon pour le retard, derniers exams blancs, veille de vacances toussa… Voilà la version finale, je la mail à la rédac, Pour le titre jésuite encore, du coup je vous le passe avec mon "Amérique, l'hyper-législative" (ça fait un peu trop penser au élécs en france mais bon…). Sinon je suis plutôt d'accord avec la suggestion de raf pour "Une Amérique ivre de législation" Donc: Amérique, l'hyper-législative Le zèle législatif de l’Amérique nous transforme tous en criminels d’un nouveau genre Durant les dernières décennies, l’Amérique a mis derrière les verrous de plus en plus de gens. Notre population carcérale a triplée. Nous emprisonnons de nos jours un plus grand pourcentage de notre population que les plus répressifs des pays : la Chine met sous les verrous 121 personnes sur 100,000 ; la Russie, 511. En Amérique ? 730. The Economist annonce, « Jamais dans le monde civilisé autant de gens n’ont été emprisonné pour si peu ». Et cependant nous continuons de rajouter encore plus de lois et de plus longues peines. On attribue cette phrase à Lavrentiy Beria, dirigeant de la police secrète Stalinienne de l’ancienne Union Soviétique, « Montrez-moi l’homme, et je vous montrerais le crime. » Staline a exécuté quiconque représentait une menace, et il n’en fallait pas beaucoup pour ça. Beria arrivait toujours à trouver une quelconque loi que la personne visée avait enfreinte. C’est bien facile quand les livres de droit sont remplis de tonnes de lois bien vagues. Staline a ainsi « légalement » exécuté près d’un million de personnes. Je ne dis pas que l’Amérique est comparable à la Russie Stalinienne, mais considérons un instant nos lois fédérales. Les règles qui nous entravent maintenant compte plus de 160,000 pages. Le Service de Recherche du Congrès a annoncé qu’il était incapable de dénombrer les crimes inscrit dans le code juridique. Cependant, la semaine dernière « les fédéraux » (NdT : « feds » dans le texte) ont rajouté ou proposé un millier de pages de plus. Les avez-vous toutes lues ? Vos « représentants » les ont-ils toutes lues ? Vous connaissez la réponse. Quand un grave crime est commis, les législateurs exigent dans l’instant que les criminels voient prononcé à leur encontre des sentences encore plus longues et des « peines plancher » (NdT : « mandatory minimums » dans le texte) à l’attention des récidivistes. C’est électoralement pertinent, mais cela détruit le pouvoir discrétionnaire de la justice et brise les malchanceux. Dans l’Iowa, un homme avec un passé judiciaire trouva une balle, la rangea dans un tiroir et l’oublia. Un policier l’a vue en cherchant autre chose. Les criminels n’ont pas le droit de posséder de munitions de quelque sorte que ce soit, et ce « crime » fit de cet homme un récidiviste. Il purge maintenant une « peine plancher » pour possession de munition. Oui, vraiment. Il fût fait appel de cette longue sentence, mais la Cour d’Appel des Etats-Unis du Huitième Circuit dû la maintenir, expliquant qu’elle avait les mains liées par la présence de la « peine plancher » inscrite dans les textes. La majeure partie d’entre nous ne sera jamais victime de ces « peines plancher » ou des innombrables ambiguïtés de notre code judiciaire contemporain, mais si vous êtes le genre d’individu dont l’Amérique a le plus besoin – un inventeur qui crée quelque chose ou quelqu’un qui monte une entreprise – il y a une plus grande chance que vous soyez victime d’un dédale impénétrable. Les lois qui encombrent les affaires et la finance sont déconcertantes -- tout au plus un ramassis des articles du Dodd-Frank . Et même les entreprises dotées de services comptable et juridique bien armés feraient bien de faire attention. Et puis il y aussi la soi-disant war-on-drugs (NdT : littéralement « guerre contre les drogues », voir article), une guerre contre les peuples en vérité. Nombre de politiciens admettent qu’ils ont consommé des stupéfiants dans leur jeunesse – même les présidents. Dans ses mémoires « Dreams from my father » (NdT : en France « Les Rêves de mon père : L’histoire d’un héritage en noir et blanc »), Barack Obama a écrit : « L’herbe aidait… ; et peut-être un petit peu de poudre (de la cocaïne) quand on pouvait se le permettre. » Et pourtant, une fois dans le bureau ovale, ces mêmes politiques gouvernent un système injuste qui emprisonne des millions d’américains pour des faits identiques. Et ils ne trouvent pas ça hypocrite ? Non mais s’il vous plait… Penn Jillette, un artiste libertaire mets le doigt dessus : « Si Obama s’était fait prendre avec cette marijuana qu’il dit avoir consommée et « peut-être un petit peu de poudre »… s’il s’était fait coffré dans ce cadre légal, il se serait pris de la putain de tôle… de la tôle dans une prison fédérale, de la tôle pour son « herbe » et sa « poudre », il ne serait pas président… ne serait pas allé dans sa fac pour cul-pincés, n’aurait pas vendu de bouquins, ni gagné des millions de dollars. Il se serait retrouvé dans une putain de prison, et c’est pas une foutue blague. » J’attends de mon gouvernement qu’il arrête de vrais criminels, des gens qui violent nos droits, et qu’il les enferme de manière à ce que nous soyons protégés. Mais nos politiciens sont allés bien au-delà. Les gouvernements à tous les niveaux se sont escrimés à interdire des comportements qui ne violent les droits de personne et à entasser des lois pour diriger les comportements qui pourraient causer du tort au gens. Et ils en rajoutent encore. Ils ont créé un inextricable labyrinthe de lois d’une telle incompréhensibilité que même les spécialistes du droit n’arrivent pas se mettre d’accord sur leurs interprétation. Pendant ce temps, d’ambitieux juristes brisent des vies en les mettant en application. Ces procureurs et législateurs nous disent que c’est pour notre propre bien. C’est faux. -
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ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Thx Raff -
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ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Help! Le site me demande un MDP !!! -
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ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Ah ouais pas mal… Je dois avouer que je misère un peu plus sur celui là, probablement parce qu'il est vachement mieux écrit (que l'article sur le maïs j'entend, j'aime bien le ton, et le niveau d'anglais est carrément pas mal) Je vous soumets une première mouture, c'est plutôt brut, je pense prendre quatre à six heures de plus (+/- deux jours) pour arriver à quelque chose de satisfaisant. EDIT: vous arrêtez par sur des cochonneries comme "Je ne dis pas que cette Amérique" (je m'auto-balance des mandales en ce moment même ^^) America, the law-crazed Le zèle législatif de l’Amérique nous transforme tous en criminels d’un nouveau genre Durant les dernières décennies, l’Amérique a mis derrière les verrous de plus en plus de gens. Notre population carcérale a triplée. Nous emprisonnons de nos jours un plus grand pourcentage de notre population que les plus répressifs des pays : La chine mets sous les verrous 121 personnes sur 100,000 ; la Russie 511. En Amérique ? 730. The Economist annonce, « Jamais dans le monde civilisé autant de gens n’ont été emprisonné pour si peu ». Et cependant nous continuons de rajouter encore plus de lois et de plus longues peines. On attribue cette phrase à Lavrentiy Beria, dirigeant de la police secrète Stalinienne de l’ancienne Union Soviétique, « Montrez-moi l’homme, et je vous montrerais le crime. » Staline a exécuté quiconque représentait une menace, et il n’en fallait pas beaucoup pour ça. Beria arrivait toujours à trouver une quelconque loi que la personne visée avait enfreinte. C’est bien facile quand les livres sont remplis de tonnes de lois bien vagues. Staline a ainsi « légalement » exécuté près d’un million de personnes. Je ne dis pas que cette Amérique est comparable à la Russie Stalinienne, mais considérons un instant nos lois fédérales. Les règles qui nous entravent maintenant compte plus de 160,000 pages. Le Service de Recherche du Congrès a annoncé qu’il était incapable de dénombrer les crimes inscrit dans le code juridique. Cependant, la semaine dernière « les fédéraux » (NTD : « feds » dans le texte) ont rajouté ou proposer un millier de pages de plus. Les avez-vous toutes lues ? Vos « représentants » les ont-ils toutes lues ? Vous connaissez la réponse. Quand un grave crime est commis, les législateurs exigent dans l’instant que les criminels voient prononcé à leur encontre des sentences encore plus longues et des « peines plancher » (NTD : « mandatory minimums » dans le texte) à l’attention des récidivistes. C’est électoralement pertinent, mais cela détruit le pouvoir discrétionnaire de la justice et brise les malchanceux. Dans l’Iowa, un homme avec un passé judiciaire trouva une balle, la rangea dans un tiroir et l’oublia. Un policier la vue en cherchant autre chose. Les criminels n’ont pas le droit de posseder de munition de quelque sorte que ce soit, et ce « crime » fit de cet homme un récidiviste. Il purge maintenant une « peines plancher » pour possession de munition. Oui, vraiment. Il fût fait appel de cette longue sentence, mais la Cour d’Appel des Etats-Unis du Huitième Circuit du la maintenir, expliquant qu’elle avait les mains liées par la présence de la « peine plancher » inscrite dans les textes. La majeure partie d’entre nous ne serons jamais victime de ces « peines plancher » ou des innombrable ambiguïtés de notre code judiciaire contemporain, mais si vous êtes le genre d’individu dont l’Amérique a le plus besoin – un inventeur qui crée quelque chose ou quelqu’un qui monte une entreprise – il y a une plus grande chance que vous soyez victime d’un dédale inpéntrable. Les lois qui encombrent les affaires et la finance sont déconcertantes -- tout au plus un ramassis des articles du Dodd-Frank . Et même les entreprises dotées de services comptable et juridique bien armés feraient bien de faire attention. Et puis il y aussi la soi-disant war-on-drugs (NDT : littéralement « guerre contre les drogues », voir article), une guerre contre les peuples en vérité. Nombre de politiciens admettent qu’ils ont consommé des stupéfiants dans leur jeunesse – même les présidents. Dans ses mémoires « Dreams from my father » (NDT : en France « Les Rêves de mon père : L’histoire d’un héritage en noir et blanc »), Barack Obama a écrit : « L’herbe aidait… ; et peut-être un petit peu de poudre (de la cocaïne) quand on pouvait se le permettre. » Et pourtant, une fois dans le bureau oval, ces mêmes politiques gouvernent un système injuste qui emprisonne des millions d’américains pour des faits identiques. Et ils ne trouvent pas ça hypocrite ? Non mais s’il vous plait… Penn Jillette, un artiste libertaire mets le doigt dessus : « Si Obama s’était fait prendre avec cette marijuana qu’il dit avoir consommée et « peut-être un petit peu de poudre »… s’il s’était fait coffré dans ce cadre légal, il se serait pris de la put*** de tôle… de la tôle dans une prison fédérale, de la tôle pour son « herbe » et sa « poudre », il ne serait pas président… ne serait pas allé dans sa fac pour cul-pincés, n’aurait pas vendu de bouquins, ni gagné des millions de dollars. Il se serait retrouvé dans une put*** de prison, et c’est pas une foutue blague. » J’attends de mon gouvernement qu’il arrête de vrais criminels, des gens qui violent nos droits, et qu’il les enferme de manière à ce que nous soyons protégés. Mais nos politiciens sont allés bien au-delà. Les gouvernements à tous les niveaux se sont escrimés à interdire des comportements qui ne violent les droits de personne et à entasser des lois pour diriger les comportements qui pourraient causer du tort au gens. Et ils en rajoutent encore. Ils ont créé un inextricable labyrinthe de lois d’une telle incompréhensibilité que mêmes les spécialistes du droit n’arrivent pas se mettre d’accord sur leurs interprétation. Pendant ce temps d’ambitieux juristes brisent des vies en les mettant en application. Ces procureurs et législateurs nous disent que c’est pour notre propre bien. C’est faux. (P.S.: je vous ai pas encore dit que je déteste le droit hein ^^) -
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ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
J'attaque America, the law-crazed. J'aurais probablement besoin d'idée pour trouver une traduction du titre un peu catchy, la je sèche. S'il n'est pas pris d'ici là, je m'en ferais un plaisir pendant mes vacances (semaine prochaine.) -
Excellent, je range ça dans un coin, merci ^^ Merci, tu as été plus rapide. Merci ^^ Tiens je n'y avais pas réfléchis dans ce sens là… Ha et sinon, y'a une machine à pop-corn quelque part ? (hein, ah, bon ok…)
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ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Mail sent. -
Coucou, les nouveaux : présentez-vous !
ChocolateCookie a répondu à un sujet de Copeau dans Forum des nouveaux
No right amount of gay… -
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ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
De rien, avec plaisir. J'ai jeté un oeil interessé sur America, the Law-crazed. Je m'y attaquerais peut être ce weekend à moins que qqun d'autre le prenne (ça risque d'être un sacré morceau). Edit: j'ai pas vérifié s'il fallait poster le final à un endroit particulier ou vous faire passer un word quelque part.. ^^' -
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ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Voilà la version finale, j'ai eu un peu d'aide pour les corrections! Une population mondiale affamée? Qu'ils boivent de l’éthanol ! … Et voilà les émeutes du maïs. Les règlementions relatives au changement climatique – bien plus que les aléas du climat – commencent maintenant à générer des instabilités à propos des quelles, ceux qui arrivaient à garder la tête froide, nous avaient mis en garde depuis des années. Les prix du maïs de la Bourse de commerce de Chicago approchent des niveaux record, près de $8.30 le boisseau (NDT : Bushel = ~1/4 quintal) au prix spot. La montée des prix a été dramatique ces dernières semaines, emmenée par la perception du déclin des rendements causé par des temps chauds et secs principalement dans le haut Midwest. Une bonne partie de ce maïs est irrécupérable comme semence. Les hautes températures rendent le pollen stérile, et l’étroite fenêtre de pollinisation – environ dix jours pour une surface donnée – implique qu’un fois ce temps passé, il est vraisemblable qu’il y ai bien peu de grains par épis. Et bien que la pluie puisse permettre à la plante de récupérer, sa valeur comme denrée alimentaire sera extrêmement réduite. La région productrice de maïs des états-Unis est extrêmement vaste, de ce fait un rendement minimal est toujours préservé. La sécheresse du milieu des années cinquante était très étendue et dura plusieurs années, mais n’avait réduit le rendement (le volume produit par acre (NDT : acre = ~0.4 hectare)) que de 20%. La sècheresse actuelle est comparable en étendue, mais pas en importance ni en durée. Pour le moment. « Ce que nous avons observé est un changement de politique, pas de climat.» A l’époque, le rendement moyen était de 45 « boisseaux » par acres (un « boisseau » étant composé de 56 livres (NTD : unités de poids impériale = 0.453 gr)), et grimpait à un taux constant qui avait été initié par l’adoption des semences hybrides commencée dans les années trente. Malgré les lamentations de Paul Ehrlich et de ses usants compatriotes, il n’y eu pas de grandes famines dû à des « limites à la croissance » imaginaires, qui furent prévues avant d’être bientôt démenties. En fait, les rendements maintinrent leur croissance. Une bonne année de nos jours, le rendement tourne autour de 160 « boisseaux». Entre hier et aujourd’hui, il y a eu plusieurs mauvaises années causées par la sècheresse, la chaleur ou bien encore des infections, et presque toutes ont vu le même impact sur les rendements, soit 25% des valeurs maximales attendues. La projection du “USDA” (NDT:United States Department of Agriculture, ministère de l’agriculture des états-Unis) du 11 Juillet est d’une réduction de 9% de ces 160 « boisseaux » moyens. Mais il a fait bien chaud et sec depuis que cette estimation a été faite (à partir de données datant de plusieurs jours avant le 11 juillet), donc on peut s’attendre à une réduction plus importante, ce qui explique que les prix continuent à monter. Ce qui nous amène à l’éthanol. Il est fabriqué à partir du maïs. Le volume à produire découle d’un décret, pas d’un choix. Cela représente 13.2 milliards de gallons cette année (NDT : Gallon = ~3.79l soit un volume de ~50 milliards de litres). L’année dernière nous avons vu partir en fumée 40% de nos cultures. Cette année, étant donnée les rendements attendus, nous pourrions bien détruire plus de la moitié de notre maïs. Les U .S. sont de loin les plus gros producteurs, et notre approvisionnement massif est un facteur majeur dans le maintien d’un prix bas de la plus abondante ressource alimentaire et fourragère – généralement autour de $3.00 / «boisseau». C’était avant que George W. Bush ne décide que la réponse au réchauffement climatique soit de produire de l’éthanol à partir du maïs. D’où la montée des cours du maïs qui commença avec le passage en 2007 des « décrets éthanols » (NDT : ref : http://www.epa.gov/lawsregs/laws/eisa.html ), bientôt suivi par des émeutesglobales de la faim. Et un maïs à $8.00 aujourd’hui en amènera encore bien plus. Le mauvais temps est uneréalité de la vie agricole. Durant les quatre dernières décennies, en cette période d’accroissement maximal des concentrations dedioxyde de carbone, il n’y a aucune preuve d’augmentations des années de mauvaises récoltes, ou d’un changement dans l’impact sur le rendement qui se produit. 2012 se profile comme une année minable pour la variété des cultures. Ce que nous avons observé est un changement de politique, pas de climat. Maintenant, l’Arabie Saoudite du mais brûle la moitié de sa production de cette céréale, plutôt que de la vendre au monde qui a faim. Et tout ceci grâce à nos amis les verts et, bien entendu, les Républicains, menant le processus politique main dans la main. Plus tard, la communauté environnementaliste réalisa – comme ce que certains d’entre nous leur avons dit pendant des années – que l’éthanol de maïs débouche sur une augmentation des émissions de dioxyde de carbone, et non pas sur une réduction. Evidemment, il y a peu de chance que le lobby agricole à l’influence disproportionnée accepte d’avaler une modification du « décret éthanol » quand ses membres ramassent l’argent à la pelle grâce à une pénurie induite artificiellement. C’est aussi une année électorale. Mais n’est-ce pas dommage pour ces pauvres gens au Mexique et à travers le monde qui vont, en fait, souffrir de la folie et la dépravation de notre politique environnementale? -
Coucou, les nouveaux : présentez-vous !
ChocolateCookie a répondu à un sujet de Copeau dans Forum des nouveaux
[blague juive] Vous connaissez la différence entre un rottweiler et une mère juive? Vous pouvez être sur q'un rottweiler finira par lâcher un jour. J'ai oublié de dire que j'avais un humour à 2 cents… Am I still in ? -
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ChocolateCookie a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Bonjour à tous, cette rubrique du forum m'a fait de l'oeil et j'ai trouvé l'article intéressant (mais avec un syntaxe et des tournures qui m'ont donné un mal de chien), du coup je vous soumets cette version, étant une nullité en économie et en notion de reglementation américaines, si vous pouviez y jeter un coup d'oeil ^^ Edit: Après relecture, j'ai encore un peu de boulot sur des tournures, et le sens de quelques phrases qui m'ont échappé. Vous pouvez me donner une impression générale malgré tout? (Je fournirais une version corrigée dans la soirée de demain) Une population mondiale affamée ? Eh bien, donnons-leur de l’éthanol à manger ! … Et voilà les émeutes du maïs. Les règlementions relatives au changement climatique – bien plus que les aléas du climat – commencent maintenant à générer des instabilités à propos desquelles, ceux qui arrivaient à garder la tête froide, nous avaient mis en garde depuis des années. Les prix du maïs sur la place de Chicago approchent des niveaux record, près de $8.30 le boisseau (NDT : Bushel = ~1/4 quintal) au prix spot. La montée des prix a été dramatique ces dernières semaines, emmenée par la perception du déclin des rendements causé par des temps chauds et secs principalement dans le haut Midwest. Un bonne partie de ce maïs est irrécupérable comme semence. Les hautes températures rendent le pollen stérile, et l’étroite fenêtre de pollinisation – environ dix jours pour une surface donnée – impose qu’un fois ce temps passé, il est vraisemblable qu’il y ai bien peu de grains par épis. Et bien que la pluie puisse permettre à la plante de récupérer, sa valeur comme denrée alimentaire sera extrêmement réduite. La région productrice de maïs des états-Unis est extrêmement étendue, de ce fait une rendement minimal est toujours préservé. La sécheresse du milieu des années cinquante était très étendue et dura plusieurs années, mais n’avait réduit le rendement (le volume produit par acre (NDT : acre = ~0.4 hectare)) que de 20%. La sècheresse actuelle est comparable en étendue, mais pas en importance ni en durée. Pour le moment. 15] « Ce que nous avons observé est un changement de règlementation, et non pas de temps. » A l’époque, le rendement moyen était de 45 « boisseaux » par acres (un « boisseau » étant composé de 56 livres (NTD : unités de poids impériale = 0.453 gr)), et grimpait à un taux constant qui avait été initié par l’adoption des semences hybrides, commencée dans les années trente. Malgré les lamentations de Paul Ehrlich et de ses usants compatriotes, il n’y eu pas de de grandes famines dû à des « limites à la croissance » imaginaires, qui furent prévues avant d’être bientôt démenties. En fait, les rendements maintinrent leur croissance. Une bonne année de nos jours, le rendement tourne autour de 160 « boisseau x». Entre hier et aujourd’hui, il y a eu plusieurs mauvaises années causés par la sècheresse, la chaleur ou bien encore des infections, et presque toutes ont vu le même impact sur les rendements, soit 25% des volumes attendus. La projection du “USDA” (NDT: United States Department of Agriculture, ministère de l’agriculture des états-Unis) du 11 Juillet est d’une réduction de 9% de ces 160 « boisseaux » moyens. Mais il a fait bien chaud et sec depuis que cette estimation à été faite (à partir de données de plusieurs jours antérieures au 11 juillet), donc on peut s’attendre à une réduction plus importante, ce qui explique que les prix continuent à monter. Ce qui nous amène à l’éthanol. Il est fabriqué à partir du maïs. Le volume à produire est découle d’un décret, pas d’un choix. Cela représente 13.2 milliards de gallons cette année (NDT : Gallon = ~3.79l soit un volume de ~50 milliards de litres). L’année dernière nous avons vu partir en fumée 40% de nos cultures. Cette année, étant donnée les rendements attendus , nous pourrions bien détruire plus de la moitié de notre maïs. Les U .S. sont de loin les plus gros producteurs, et notre approvisionnement massif est un facteur majeur dans le maintiens d’un prix bas de la plus abondantes ressource alimentaire et fourragère – généralement autour de $3.00 / « boisseau ». C’était avant que George W. Bush ne décide que la réponse au réchauffement climatique soit de produire de l’éthanol à partir du maïs. D’où la montée des cours du maïs qui commença avec le passage en 2007 des « décrets éthanols » (NDT : ref : http://www.epa.gov/lawsregs/laws/eisa.html ), bientôt suivi par des émeutes de la faim globales. Et un maïs à $8.00 aujourd’hui en amènera encore bien plus. Le mauvais temps est un fait de la vie agricole. Durant les quatre dernières décennies, en cette période d’accroissement maximal des concentrations de dioxyde de carbone, il n’y a aucune preuve d’augmentations des années de mauvaises récoltes, ou d’un changement dans l’impact sur le rendement qui se produit. 2012 se profile comme une année minable pour la variété des cultures. Ce que nous avons observé est un changement de politique, pas de climat. Maintenant, l’Arabie Saoudite brûle la moitié de sa production de maïs, plutôt que de la vendre au monde qui a faim. Et tout ceci vous est présenté par nos amis les verts et, bien entendu, les Républicains, menant le processus politique main dans la main. Plus tard, la communauté environnementaliste réalisa – comme ce que certains d’entre nous leur avons dit pendant des années – que l’éthanol de maïs débouche sur une augmentation des émissions de dioxyde de carbone, et non pas une réduction. Evidemment, il y a peu de chance que le lobby agricole à l’influence disproportionnée accepte d’avaler une modification du « décret éthanol » quand ses membres ramassent l’argent à la pelle grâce à une pénurie induite artificiellement. C’est aussi une année électorale. Mais n’est-ce pas dommage pour ces pauvres gens au Mexique et à travers le monde qui vont en fait souffrir de la folie et la dépravation de notre politique agriculturo-environementale ?