Quand j'avais 7 ans, j'ai osé me resservir d'un gateau que mon père avait amené chez des amis. Quand le repas fut terminé et que nous sommes repartis, je me suis pris une bonne baffe car mon père était en colère. Comme je n'avais pas eu conscience de commettre une bêtise, qui d'ailleurs n'en était pas vraiment une, cette gifle inattendue m'a bien marqué. Au lieu d'interdire les fessées, on ferait mieux d'interdire les parents colériques qui perdent leur sans froid.